Apollon

Je n'osais pas le dire.

Peut-être mais je n'espère pas de Noël le vide ! Je prends les métro et bus et le trafic est à peine diminué, et comme ça va plus vite ça ne pose pas problème.

Paris en été c'est le bonheur : personne.

Avec une hypothèse pareille… le débat se termine avant d'avoir été commencé.

Joyeux anniversaire Tu crois à la théorie de l'accident ?

Bof. Vulgaire.

ah je soupçonne la nature de ton commerce.

Réveillé par un concert de pigeons.

Tout à fait

Je croyais que tu parlais de la possibilité de dénicher le travail.

Pourquoi ?

C'est bon il est en vacances (entre nous il lit tout et ne répond pas).

J'ai lu un peu Strauss mais en tout état de cause rien qui rationalise cette incohérence. On aurait pu écrire "leur erreur est de croire", ou bien "leur vice est de dissimuler". En revanche "leur erreur est de dissimuler" va nécessiter des trésors d'intellectualisme pour être expliqué. Le raisonnement en question, assez simple, se résume à dire que le conservateur fait l'apologie de la tradition alors qu'une doctrine conservatrice aurait empêché la tradition d'apparaitre. Mais d'une part le conservateur ne fait aucune apologie de la tradition, il se borne à préférer les schémas hérités aux constructions intellectuelles rationalistes et omnipotentes - ces schémas ne se limitant nullement à la tradition, intégrant bien davantage les institutions au sens large dont la monnaie, la loi, etc Et d'autre part, si une doctrine conservatrice - au sens noble des disciples de Burke et non des boulets à la O'Reilly - s'oppose au constructivisme social, il ne s'oppose qu'à cette tentative délibérée de changer la société et admet le changement spontané, ou au moins consenti, et dès lors sa doctrine n'empêche ni de nouvelles traditions d'apparaitre, ni d'anciennes de se modifier. Mais encore une fois la tradition est secondaire. Ce qui fait donc trois erreurs : ce concentrer sur la tradition, croire que les conservateurs rêvent d'une application rigoureuse de la tradition, et enfin interpréter la méfiance du rationalisme -et non de la raison - comme rejet de tout changement. C'est donc bien une caricature. C'est pas moi qui ait trollé m'sieur !

Pas très français et bien ampoulé ce texte. Comment peut-on à la fois faire une erreur et dissimuler càd tromper ? "ne serait jamais venue" est lourd. Le "grâce" est inopportun. L'idée, une fois ces oripeaux dégagés, peut enfin être appréciée : elle est fausse. De surcroit, notre ami FJ n'est pas conservateur. Comme tous les jeunes.

+1 Déjà pas mal de bonnes réponses mais on peut en tenter d'autres. "Un quart de la bouffe que vous achetez permet de vous infliger une leçon de morale." Alors c'est un bon film finalement ? Pouah. Trop stupide. Ce qu'il faut pas faire pour tuer des vigiles avec bonne conscience.

Publié dans les pages opinion.

Oui ça pue l'histoire simplifiée en fable.

Roux, blanx et très beau. @Nirvana : ce qui est lamentable, ce n'est pas qu'amazon retire des ouvrages piratés, c'est qu'on compare le retrait d'un ouvrage piraté à un totalitarisme. Quoi qu'on pense de la propriété intellectuelle, elle se résume à l'application d'une règle générale et publique, dans le but de rémunérer les auteurs ; tandis que le totalitarisme soumet l'esprit des individus à la volonté du prince.

Après toutes ces années d'entrainement, il a intérêt !

J'ai un minou roux très mignon et pas bien futé, dont l'activité favorite consiste à se caser le long d'un mur et de se tourner fixement vers celui-ci…

Logique au final. Les chats dont le miaulement s'approchent le plus des sons qui font réagir les humains de façon bienveillante sont préférés aux autres par la nature. Cela rappelle au passage le caractère profondément domestiqué du chat, dont je dirais même que la dimension sauvage n'existe que pour mieux plaire à son maître.

Et en plus d'être con, c'est vulgaire et révélateur d'une mentalité d'esclave : ne pas savoir respecter la loi autrement que par la contrainte, concevoir un monde dans lequel tout gain est forcément obtenu par l'obséquiosité face au maitre et en lui soutirant ses objets lorsqu'il a le dos tourné. Cruel