Apollon

"Mettez vous cela en tête: il n'existe qu'un seul indicateur de la valeur d'un tableau : c'est la salle des ventes." Renoir

Me revoici bronzé.

Et pour quelle raison passes-tu à la télé Rincevent ? (50 points fayot de gagné)

Je te conseille de faire la côte en voiture, à l'exception peut-être du nord-est. Aussi évite Aberdeen. Passe par le Loch Ness (tu es quasiment obligé d'y passer de toute façon). Ce que j'ai vu de plus beau c'était les petits endroits cachés au nord d'Ullapool mais c'était en été. Il y a aussi les caps si tu es un amateur. Si tu as du temps, tu peux essayer d'aller sur l'île de Skye qui a beaucoup de beauté à offrir mais c'est enclavé et loin de Dundee. Plus près de Dundee, je crois qu'il y a de beaux endroits près de Blairgowie ou Alyth. Et bien sur il faut voir Edimbourg absolument. Glasgow est moins intéressante à part son imposante nécropole àmha même si la traverser par l'autoroute qui passe au milieu (et oui…) procure des vues intéressantes.

Oui c'est la photo montrée par H16. Remarquez au passage la signature sur le dessin.

Un peu trop démonstratif àmha.

Qui a dit : La démocratie, cela ne consiste pas à s'unir, comme l'annoncent sans cesse les conservateurs attardés. C'est au contraire l'art de se diviser. Alors c'est qui ? Edit, une autre en prime : Tout le rêve de la démocratie est d'élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli.

ps pour ceux qui ne savent pas randy est un synonyme de horny.

Rousseau doit se retourner dans sa tombe.

Un hippopotin : un copieux derrière (ou un gros ragot).

Je l'espère.

Amha Obama agit de façon à accroitre sa légitimité et pour cela il met ses pas dans les pas des anciens présidents. Croire qu'il va révolutionner la politique américaine c'est se fourvoyer dans le dernier des contre-sens et s'il révolutionne la politique américaine ce sera à son corps défendant.

Tellement vrai : toujours à se plaindre et chercher les choses négatives dont ils sont souvent partie prenantes, j'en ai marre.

Jetez un oeil à la couverture du new yorker de cette semaine.

joyeux anniversaire !

Entre Obama, Sarkozy et sa poulette on est matraqué. D'ailleurs il me semble que les critiques sur l'hypervisibilité de Sarko ont diminué depuis que ses détracteurs n'en finissent plus de titrer sur un Obama souriant.

Détail intéressant : Obama avait été interviewé il y a plus de 10 ans par le new yorker. A Couple in Chicago

pfff Et pourquoi dit-il cela ?

Je dirais plutôt un anglo-saxon, qui aiment bien prêter au pape beaucoup de pouvoir et d'autorité quand le bouffe-curé français lui prête surtout du ridicule. Dawkins ? Ou alors c'est plus ancien, auquel cas mon raisonnement est inopérant.

Quand Hitler est arrivé au pouvoir l'hyperinflation était terminée. Elle a cependant joué en sa faveur en ce qu'elle a sapé Weimar de deux façons : en détruisant la classe moyenne, fondement de la démocratie, et en affaiblissant le régime, qui se montrait faible et ne gouvernait pas les événements (car cette inflation n'était pas voulue comme on l'a parfois expliqué, pour ne pas payer les réparations.)

C'est plus probable.

Non l'important est que les pages aient l'air lues. Une illustration pour mieux comprendre.

Au fait Etienne, tu as lu quelle proportion des livres que tu viens de lister ?

Tiens je suis surpris de voir Radosh, le biographe des Rosenberg, en bibli.