Citronne

Il s'est raté apparemment, il est entre la vie et la mort cf Twitter.

Ce qui m'étonne, c'est que dans la vidéo du tireur, il sort son flingue bien avant de tirer et personne ne capte. D'ailleurs, c'était un proche des journalistes, non ?

Pas vu les autres tiens. Comme quoi les gens ne savent vraiment pas comment mettre les informations sur un forum !

fryer, ce prog.... Citronne *s'enfuit en ricanant*

En Virginie : http://www.leparisien.fr/faits-divers/virgine-deux-journalistes-tues-par-balles-en-direct-a-la-television-26-08-2015-5037053.php

Il doit pas avoir besoin de compenser, ceci pourrait expliquer cela

Je préfère le train pour le temps et effectivement le confort et la tranquilité. Et dieu sait que je suis hyper sociable pourtant. Contrainte de temps, si tu vas à l'aéroport : +25min, +1h minimum d'avance => Tu perds 1h30 alors que t'as besoin d'être à la gare que 20min avant. Vous arrivez sérieusement à faire la comparaison Avion / Train / Voiture sur les trajets longue distance intra-France ? Vous craquez complet les gars, sérieusement.

Si t'es à Paris (ou même ailleurs), je suis totalement pour aller faire de la grimpette avec toi ! Jamais fait de voie en extérieur mais un peu de bloc, #céchouette

Ah je me disais aussi...

Pareil au sein de son temps libre. Que ce soit au niveau étudiant ou au niveau vie professionnelle. Il y a beaucoup plus à gagner à être actif au niveau communautaire et associatif lorsqu'on est aux US qu'en France. D'une part sur le CV : alors qu'en France, on favorise les Grandes Ecoles et autres diplomes, aux US et dans la plupart des autres pays au monde, on favorise l'expérience, la proactivité et l'implication dans des projets et/ou le self-learning. Par ailleurs, c'est beaucoup plus inscrit dans la démarche sociétale. Tu commences tout jeune à t'impliquer dans l'associatif et la vie communautaire. Un peu comme au Japon, tu apprends très tôt le respect et à ne pas dégrader les lieux où tu travailles parce que tu sais que d'une semaine sur l'autre, tu es réquisitionné le soir après les cours pour nettoyer ta salle de classe avec tes camarades. Oh mais je connais une association qui apprécierait grandement tes petites mimines, ta plumes volubile et tes dons généreux Rejoins le côté CP de la force Non, c'est moins basé sur l'image que donne le client que l'image que tu donnes en tant que client auprès du service rendu. Je m'explique : au Japon, tout comme en France, les serveurs, conducteurs de taxis et autres métiers du même genre ont un salaire. Pourquoi ? Parce que c'est considéré comme un métier réel demandant du savoir-faire (contrairement aux US). Y laisser un pourboire constituerait une humiliation, d'une part envers le serveur à qui tu as laissé un pourboire alors que son salaire est déjà inclu dans ton addition, tu donnes alors l'impression qu'il a cherché à mendier plus d'argent, d'autre part envers le chef/patron car tu impliques qu'il ne paye pas bien son salarié.

C'est le côté aristotélicien de JB, il est encore loin dans le samsara Citronne, qui ressort les discussions philo du dimanche

Par rapport à ce que j'ai vu aux Etats Unis, je trouve que ce n'est rien. Les entreprises s'impliquent vraiment dans la vie associative et caritatives auprès des locaux. Et les employés font régulièrement des actions au sein de l'entreprise et en accord avec celles-ci pendant leurs heures de travail : vente de cookies, gateaux, etc.

Directmatin

Grossière erreur de l'article d'estimer que la culture du pourboire dans un pays est ce qui peut expliquer cela. A titre d'exemple, il est encore plus malpoli au Japon de laisser un pourboire qu'en France où c'est admis et peut être apprécié. Pourtant les Japonais sont loin d'être considéré comme des mauvais payeurs. M'est avis qu'il s'agit encore ici d'un symptôme du socialisme à la française et du trop plein d'impôts : on ne fournit plus de pourboire/de dons et on ne prend que très peu de temps personnel pour offrir aux associations qui soutiennent des causes nous tenant à coeur.

Bravo à Gio et merci à eux deux d'avoir contribué ! Citronne #kitsch

Et lui ? Il vous fait pas rêver lui ? Son fil Twitter au passage : https://twitter.com/ECiotti

T'en as donné ta langue à la chatte ? C'est maladif à ce stade, il n'y a pas de solution. Il faut donc amputer.

1) et 2) Ambition =/= richesse. Tu te trompes de définition, d'élément, et tout simplement de concept. L'ambition, c'est la volonté de se dépasser. Ca peut être sur le plan social par la recherche de richesse matérielle, l'acte d'héroisme, la reconnaissance sociale. Ca peut aussi être parfaitement individuel dans la volonté de devenir ce que tu considères être une meilleure personne. Par ailleurs, l'héritage aussi c'est subjectif. Tu peux laisser autre chose à tes enfants que de l'argent. Je te dirai même que l'argent et les biens matériels ne sont qu'une infime portion de ce que tu laisses à tes enfants. 3) Ambition =/= travail acharné et/ou position sociale hyper élevé. Quant au reste, c'est parce que je vis réellement ma vie au moment présent que je pense l'ambition être important. C'est un trait de caractère qui dit beaucoup sur la personnalité d'un individu : volonté de survivre, volonté de donner de son mieux, volonté de se battre pour lui et ce qu'il construit... Bref, beaucoup de choses qui sont très séduisante à mon sens chez un partenaire. A mon sens, l'ambition est plus synonyme de réalisme et de vie dans l'instant présent que n'importe quelle action #tropouf et n'importe quelle relativisme qui estime que : de toutes façons on va tous mourir. Citronne : sorry les modos pour le HS, patapé

J'avoue, un mec qui n'a aucune ambition, c'est pas uber sex. You're welcome guys Voilà Jubal, il faut que t'excite ton partenaire au lieu de provoquer baillements et autres pandiculations.

Mais nooooon.. On est juste sur un forum repère d'INTx, cétou...

Aaah ces jeunes si naïfs Bof. Il y a plusieurs autres éléments qui entrent en compte. 1) Je pense que c'est cette "culture populaire" qui rend également la chose complexe. Une femme vivra moins bien le rejet de son partenaire en matière d'avances sexuelles. En gros, si une femme se fait rejeter lorsqu'elle drague ou qu'elle chasse, elle le vivra bien plus mal qu'un mec. Ce qui fait donc qu'en apparence, une femme peut avoir l'air de moins rechercher à provoquer le désir chez l'homme. D'une part, on s'attend à ce que ce soit le mec qui le fasse. D'autres part, un mec qui se prend un rejet de la part d'une nana, c'est normal/banal. Une nana qui se fait rejeter par le mec, la nana se demandera ce qu'elle a fait de pas bien, si elle n'est pas désirable et tutti quanti. Ca fait mal à l'ego quoi. 2) Les femmes ont d'autres moyens de "provoquer" que les mecs. C'est moins direct, un peu plus subtil et imagé. De fait, des petites choses très anodines et qui semblent naturelles sont des provocations typiquement féminines mais ne seront pas comprises ou perçues comme tel par les mecs

Tu sous estimes la non connaissance de la langue anglaise. Et sinon tant mieux pour ton genou. C'aurait été dommage que ça t'empêche de venir trinquer avec nous

Et beam... You shall not pass Citronne, comprenne qui pourra

Camren Bicondova c'est Michèle Pfeiffer avec 40 ans de moins aussi.... Et ça c'est Vraiment impressionnant

La première façon de voyager consiste à aller chercher le soleil, la plage, le confort, le dépaysement et à fuir l’éventuelle morosité de son propre pays. La seconde est beaucoup plus culturelle: on cherche à en apprendre plus sur la culture et l’histoire d’un pays, en visitant des musées, des temples, etc. Saskia Cousin, anthropologue à l’université de Paris Descartes et coauteure de Sociologie du tourisme, nous explique que ce «phénomène de classe sociale» est déterminant dans notre façon de percevoir nos compatriotes: «Beaucoup de vacanciers, notamment en club, sont venus chercher un entre soi en famille, entre amis, et ne se préoccupent pas de leur image ou de celle de leurs voisins, ni de la réalité du pays d'ailleurs. […] Les Français qui critiquent leurs compatriotes critiquent en fait le tourisme populaire, et le tourisme tout court. Le plus souvent, il s’agit de se démarquer des autres, et d’abord des autres touristes. Comme l’a bien montré Jean-Didier Urbain [sociologue spécialiste du tourisme en France, ndlr], le touriste, cet "idiot du voyage", c’est toujours l’autre.» Le Français «aventurier» n’hésiterait donc pas à se placer au-dessus de la mêlée de touristes «du soleil», enorgueilli par le savoir qu’il a emmagasiné dans les guides de voyages qu’il consomme sans modération. Et selon André Rauch, professeur émérite à l’université de Strasbourg et auteur de Vacances en France de 1830 à nos jours, cette appréhension de l’inculture de l’autre est particulièrement flagrante dans des lieux sacrés: «Notre rapport à la religion est mis à distance car nous sommes “laïcs”, et le respect du sacré peut nous apparaître comme quelque chose qui nous prive de notre liberté. C’est pour cela que certains visitent un peu des lieux sacrés comme des places publiques.» D’où l’agacement de certains quand ils croisent d’autres Français qu’ils estiment irrespectueux des traditions locales. Enfin, dans un registre un peu différent, André Rauch rappelle que râler est presque un sport national pour nous et qu’il faut tenir compte des affirmations identitaires: «Un Français qui ne râle pas, c’est un Français qui n’existe pas. Nous avons un esprit critique à l’égard de tout ce qui nous entoure, c’est une culture qui nous est propre et qui peut choquer à l’étranger.» Le Français va donc aimer râler, que ce soit contre des étrangers ou contre d'autres Français. Le Français aime aussi son compatriote: tout dépend du contexte Bien sûr, chacun des sociologues que nous avons pu contacter a tenu à rappeler qu’il ne fallait en aucun cas généraliser ces explications. Beaucoup de Français aiment aussi rencontrer leurs compatriotes, qu’ils soient touristes «aventuriers» ou touristes «climatiques». André Rauch remarque que beaucoup de Français retournent tous les ans dans le même camping pour retrouver les amis qu’ils y ont rencontrés. Et puis, quand le touriste français se sent un peu perdu dans un pays et une culture qu’il n’arrive pas à maîtriser, il aurait plus tendance à justement se rapprocher de ses compatriotes, pour partager le fameux «choc culturel» qu’il est en train de vivre. «Dans la réalité, explique Saskia Cousin, lorsqu’il y a beaucoup de nationalités en présence et que l’environnement s’avère complexe à appréhender, par exemple dans les pays non francophones comme dans les guest-houses d’Asie ou d’Amérique du Sud, les voyageurs se retrouvent et s’appareillent bien par nationalité –les Français les premiers, notamment en raison de leur mauvaise maîtrise de l’anglais!» Que la compagnie de nos compatriotes puisse nous agacer est normale, mais il serait dommage de couper les ponts une fois la frontière passée. Après tout, nous sommes tous le Français d’un autre, pour le pire comme pour le meilleur. http://www.slate.fr/story/105255/croiser-francais-vacances-etranger A vos marques, prêt, ralez !