Rübezahl

ça me parait quand même méchamment évident. La survie, c'est des frais à peu près fixes. ("on n'a jamais qu'un trou du cul" d'après le dicton). Chaque centime gagné en plus des besoins de survie est disponible pour de l'épargne (qui elle est potentiellement sans limite).

Les irlandais se rappellent peut-être qu'il n'y a pas si longtemps, c'est eux qui se barraient de leur île pour ne pas mourir de faim. Et étaient bien contents de ne pas être rejetés. Et puis, les boites qui enrichissent les irlandais aujourd'hui ... c'est aussi de l'immigration. Vouloir la boite machin, mais sans l'encadrement pour la faire tourner ... faudrait être con comme des ...

Je voyais plutôt ça comme un exemple/illustration concret à ronger.

un mensonge même.

parce qu'ils commettent le crime d'avoir avec nous une activité rentable.

+1 avec ce qui est écrit au-dessus. Avec une réserve sur les "êtres monogames", ou plutôt une complétion, ie j'ajouterais "dans leur milieu". ama la monogamie découle d'évidence simplement du ratio homme/femme de la population, qui est grosso-modo 1/1 partout et tout le temps. Bref, une contingence du milieu. De là à déduire que la monogamie serait adaptée pour un brave gars échoué pour des années sur une île avec 10 femelles. Et bien évidemment, c'est un grand non. Et d'y voir s'y mêler éventuellement la morale serait un grand rire. C'était pour embrayer sur la proposition de Kassad ou Mégille qui rapprochait morale et maths. J'aurais tendance à considérer certains comportements sociaux comme simplement des optimums mathématiques (théorie des jeux etc). Et après il y a de l'habitude/automatisme (efficient) qui vient se sédimenter par-dessus, en traditions/rites/religion/morale. ... et qui fait qu'au bout de 20 générations, on a oublié les raisons toutes bêtes et purement pratiques par-dessous. idem, pour "ne pas manger de cochon" et autres trucs dans le genre.

En tant qu'indépendant, il y a 20 ans déjà que je constatais que l'intégralité de mes progrès productifs étaient bouffés par l'état. (Plus le fait de non seulement se faire essorer, mais en plus insulter pendant l'essorage).

La monogamie est elle morale ?

c'est plutôt d'infirmiers spécialisés dont il aurait besoin.

Le capitalisme, c'est les lancers de nains. Le socialisme, c'est les bagarres de clodos à la TV.

ça sort d'où ça ? Une petite pensée pour les "folles de mai" https://fr.wikipedia.org/wiki/Mères_de_la_place_de_Mai

Marathon sans entraînement sur du bitume = grosse proba de niquer les talons (et de finir en marchant au mieux) Tu peux toujours raconter que tu sous-entendais un marathon de baise. (... mais c'est pas évident non plus !)

Je crois aussi que c'est un critère qui facilite bien le socialisme. Grand pays = l'illusion de la fiction étatique, où chacun croit pouvoir vivre au dépend des zotres, est facilitée.

Il était visiblement très dangereux puisqu'il filmait. On a une chance incroyable de vivre en France, ce pays merveilleux où l'état ne fait pas encore tirer à balles réelles sur la populace les gens. Nous ne mesurons pas bien cette chance.

Bien sûr c'est une minorité, mais ama là n'est pas le point. Le point c'est que, à l'instant même où les gens ont le choix, à ~100% ils quittent la SS. ça montre bien à quel point la sécu fr ne tient que par la coercition. Le decorum médiatique faux à 100% "on aime la sécu" n'est vraiment là que pour donner une apparence de respectabilité à la coercition.

Pour mémoire, les français frontaliers (Suisse) qui avaient le choix, avant que ce soit interdit, se sont barrés de la sécu fr à presque 100%.

J'ai une bouteille de champagne au frais. Le bouchon a hâte de sauter.

oui, et ça n'a sans doute rien de fortuit.

Sur les classements relatifs à l'éducation, c'est bien le niveau fr qui descend. Pour les classements éco, même si le rating est inchangé, si les autres grimpent et nous dépassent, ça signifie bien qu'on regarde le train de l'enrichissement passer pendant qu'on reste à quai. Pour un jeune qui voyage (et peut donc comparer), ça ne me semble pas folichon comme perspective. Il n'y a, dans l'absolu, aucune raison objective de rester à quai. Les autres pays ne sont pas extra-terrestres. La France n'est pas frappée d'une malédiction (à part le socialisme). On n'est pas collé sous une hypothétique asymptote malthusienne où les autres gueux viendraient s'agglutiner avec nous. Les autres bossent plus, s'enrichissent plus, et nous dépassent allègrement.

Le Maire, jamais à court d'une connerie (c'est une mitraillette), avait qualifié ces pays de "nains". De la part du nième rejeton d'une lignée de crétins qui détruit le pays de l'intérieur, c'est presque cocasse.

Je pense eg à l'Europe du nord en gestation (j'ai oublié le nom du truc, alliance hanséatique ou baltique ou dans le genre). C'est balbutiant aujourd'hui, mais ça va forcément nous impacter demain. De toutes manières, les gens sensés inside n'en peuvent plus de la classe politique française, alors ceux qui sont dehors se mettent des boules quiès ou un cordon sanitaire. Je les comprends, je ferais pareil. L'europe du sud, paradis socialiste, se construit sous nos yeux. On pourra dire "j'y étais".

Indépendamment de l'état objectif/précis/quantifiable/mesurable etc du pays, il faut être aveugle pour ne pas voir : - que la tendance est (bien établie) à la descente (quasi tous les classements internationaux le constatent noir sur blanc) - que la classe politique est unanime à vouloir poursuivre dans le socialisme

Si tel est ton souhait, ama ne t'en fais pas. Beaucoup de pays réagissent bel et bien (avec de grosses conséquences pour nous) mais font ça sans tambours ni trompettes. Individuellement, on réagit pareil avec un mec bourré. Pas de clash, mais on prend ses distances.

Le lien semble avoir un souci.

C'est un peu un mal de nos élites expertes, assez spécifiquement françaises. En plus, ça à l'air de s'aggraver à mesure que le pays descend dans tous les classements. Quand ça concerne un individu, c'est une pathologie qui a un nom.