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Tout ce qui a été posté par Rübezahl
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ama ce qui est câblé en dur, c'est l'idée de pouvoir dominant/dominé, de partage des tâches sexué, etc, car cela vient de très loin. une femme qui gagne moins, c'est une implémentation, parmi d'autres, de la dominance. Mais ce n'est pas la seule, parce que sinon, les couples où madame commande, alors que monsieur gagne plus n'existeraient pas. ... or ils sont légions. La dominance, caractérisée par le volume de rentrée d'argent, ça marche pour les couples qui font de ce critère un critère déterminant. C'est sûrement une grosse part de la population, mais ce n'est pas 100% et de plus ama c'est en diminution.
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Prends quand même des bons neurones made in France. bios et élevés sous la mère éducation nationale.
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Rübezahl a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Le gouv fr à la rescousse de l'IA, que sinon on se demande comment elle s'en sortirait. Comment peut-on ne pas percevoir le grotesque de ces pitreries ? (L'entraînement sans doute) -
Je redonne ce lien atoutazar : peertube : https://framablog.org/2018/03/21/peertube-beta-une-graine-dalternative-a-youtube-vient-declore/ c'est fait par des gauchos, ... mais la technique n'a pas d'odeur hein .
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Des filles intéressantes et intéressées par l'intellect first, ça court pas les rues, mais ça existe encore. C'est comme pour les grosses truites papillons rares (c'est mieux hein), faut être un peu patient, aux aguets, et parfois aller les pêcher dans les coins un peu difficiles.
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... Il y a même des toubibs qui font revenir le patient pendant toute sa vie. Et c'est pas rare. Et c'est aussi parce que le patient est d'accord. De la patientèle qui va au toubib comme on allait à confesse, il y en a toujours eu et il y en aura toujours ama. La différence étant que ceux qui n'auraient plus les moyens devraient y renoncer.
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Je ne reprends pas tout ton post, mais pour le coup, je serais assez d'accord avec Lexington. ama le modèle est impossible, la planification précise à 40/50/60 ans ... ça n'a ama pas grand sens. ça a été, au niveau global, (et c'est encore pour certains) un truc vendu comme un acquis du progrès, la fin de l'incertitude, la carrière planifiée, la couleur des clous du cercueil, etc. ça a pas trop mal fonctionné pour la génération d'après-guerre, celle qui a tapé dans les caisses des ascendants et endetté les descendants pour se payer son modèle ... mais ça n'ira pas plus loin. Un rêve humide soviétoïde au global, un peu bidochonnesque au niveau individuel, selon moi. ça ne veut pas dire que ceux qui pensent que ça leur est utile ne doivent pas le faire, mais ama c'est une anticipation trop à l'avance pour être réaliste. ça ne veut pas non plus dire qu'il faille vivre au jour le jour, sans anticiper du tout. (au contraire, ama il faut). Pour faire une comparaison parlante, c'est un peu comme quand j'avais 5 ans et que je planifiais mon mariage ... ça s'est avéré moyennement utile (et pourtant c'était seulement 20 ans plus tard ). Il y a une modélisation/planif/anticipation qui est peut être utile, surtout dans le pays France, c'est l'anticipation du pire. Pour le reste, il me semble que de l'optimisation locale sur qqs années est suffisante.
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Je ne pensais pas spécifiquement à cette population et je n'en sais rien si elle est concernée. Je pensais plutôt aux gens qui, sans être des workalcoholics restent, dans leur tête, des exécutants toute leur vie. Avec ~0 pratique de l'autonomie + l'encroutage de l'âge. Là, il y en a pas mal pour qui retraite ne signifie pas faire pousser des légumes, mais en devenir un. Et c'est parfois spectaculaire de binarité/bascule.
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Certains l'ont fait à demi-mot, mais on peut aussi questionner le schéma très binaire : vie active (sur flux de pognon) -> vie inactive (sur réserves) Sur pas mal de gens, l'effet est dévastateur, qui passent du jour au lendemain à l'état de légumes/boulets complets, incapables d'utiliser leur temps/autonomie disponible because jamais pratiqué. Avec l'allongement notable de la durée de vie, ça fait pitié.
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Je suis d'accord avec Citronne, la question du volume du terreau intervient. Et aussi, le fait d'entretenir la jalousie. Ce qui détourne les individus de regarder, utilement, leurs propres talents ... et leur fait envier en permanence les autres (alors que s'ils connaissaient leur vie, parfois ils s'abstiendraient). (Ph. Silberzahn a écrit un bon article sur CP sur ce sujet il y a environ 1 semaine : Mme Tao)
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oui. ça me fait penser à tenter de conserver un iceberg au Sahara. Une des très bonnes fables de La Fontaine : Le savetier et le financier.
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C'est ça. Mais pas que jeune. La véritable richesse, c'est le temps dont nous disposons. Chaque minute passée inutilement à des trucs secondaires (entre autres les "activités" (ahahaha) de spectateur), c'est un petit bout de vie perdue. Le vrai drame des gens il est là (ama).
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" Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut." - Cicéron https://uplib.fr/wiki/Jardin
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Ce qui est sûr aussi, c'est que de balancer du fuel sur le gouffre à pognon est l'inverse d'une solution. Je ne sais pas si c'est encore courant aujourd'hui, mais dans la génération de mes parents, les mecs qui se sont accrochés une trophy woman qui en 15 ans se transforme en machine à flamber du pognon hors de tout contrôle, il y en avait des moulons. Seule solution le divorce ... et là aussi il y en a qui ont craché des sommes astronomiques jusqu'à la fin. J'ai l'impression que ça se pratique moins de nos jours (?)
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ça peut aussi se reformuler en vivre au milieu du tas de mouton ou pas. Perso, j'ai renoncé depuis longtemps à l'idée de trouver dans mon voisinage physique les personnes pointues dans les domaines techniques où ça m'intéresse d'échanger. Le voisinage intellectuel de qualité, il est forcément éclaté sur la planète. Et les seuls endroits où il se trouve rassemblé, c'est sur les mailists spécialisées, les sites dédiées, etc. Les échanges de qualité sont épistolaires et la proba d'avoir des personnes de valeur dans son voisinage physique est ~0. Alors que la proba d'avoir 100% de moutons est ~100%. Même quand je bossais en labo de recherche, je n'avais physiquement accès qu'à une demi-douzaine de personnes avec qui échanger techniquement. Mes meilleures interactions étaient déjà par mail. La vie urbaine, à chaque fois que je viens la contempler, c'est de la pression sociale permanente, de la représentation permanente (dévoreuse de temps/énergie/pognon) du concours de quéquête régulier, les activités court terme qui bouffent tout, etc. De l'agitation. à ne pas confondre avec la vie. Tout ça, largement pour vivre en jauge permanente par rapport aux autres (et même cela est une illusion). Bref, l'inverse exact de ce que moi j'appelle vivre pour de bon. Après, je crois que c'est largement dans l'ADN des gens. ("On n'adhère pas à ce qu'on estime être bon, on estime être bon ce à quoi on adhère" - Spinoza) Donc, chacun fait d'abord selon ce que sa complexion lui permet. (Dans mon cas perso, vivre dans le béton, le bruit et la foule permanente, ça me tape rapidos sur le système, et vivre loin de la nature, ça m'est pénible sur la durée).
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Il y a plusieurs projets crypto-like où tu peux bosser en étant tout sauf isolé. Et ce ne sont pas les seuls. Et le matos (ordis etc) reste abordable pour le particulier.
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+1 De toutes manières, juger une entité uniquement sur ses rentrées, c'est se tromper. Ce qui compte, c'est la différence entre les entrées et les sorties. Et, à long terme, cela s'ajuste plus sainement en apprenant à gérer les sorties, que dans une fuite en avant permanente coté entrées. "La discipline des besoins est le premier pas vers la liberté" - Pierre Lance (voir aussi Sénèque) "Un homme n'est libre que s'il est maître de lui-même". - Épictète
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Attention, le cash flow c'est bien, mais ça fait pas tout. 35 ans c'est probablement trop tôt, mais dualement, 50/55 ans c'est souvent trop tard. Je dis ça d'expérience pour avoir vu : - soit des individus coincés en lotissement jusqu'à leur mort (auraient voulu se casser, ont les moyens ... mais plus le courage ni le jus), - soit des individus qui se cassent pour de bon ... mais où la greffe campagnarde ne prend plus (essai de vivre à la campagne 100% comme à la ville, mais, surprise, ça foire), - et sans compter ceux qui se retrouvent encore à déménager x fois à 60 balais passés, parce que même âgés, ils ne savent toujours pas où pendre la lumière
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Moi je ne dis ni fous, ni déséquilibrés. Simplement des serpillières socialistes accomplies, extrêmement décérébrées, (dont l'existence statistique est inévitable dans un pays socialisé en profondeur comme la France), que des manipulateurs adroits font monter dans un joli avion suicide tout beau. Et perso, quand je vois à quel point l'état organise le chômage de masse dans le pays, depuis des décennies, et le corollaire inévitable de terreau d'ennui total et de délinquance, promeut la jalousie en permanence, attise les communautarismes dans tous les sens, ben je suis plutôt très étonné de ne pas voir plus d'événements de ce genre.
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ama le terme de substrat est erroné. ça tient plus du vernis. ... mais c'est bien exactement ce qu'ils font. Ils deviennent des socialistes accomplis, minables, paresseux, le cerveau vide, sans formation, et surtout avec une jalousie exacerbée. («C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal.» - Hannah Arendt) Ils atteignent l'asymptote du socialisme. Par jalousie/envie/haine, ils finissent donc leur marinade socialiste, par aller égorger le 1° quidam qui leur semble s'en sortir mieux qu'eux (ce que beaucoup de socialistes rêvent bien de faire). (jalousie encouragée par l'appareil étatique 24/7/365, soit rappelé en passant). Mais, égorger un quidam en beuglant "vive le socialisme final" ou "je suis un pauvre type jaloux" ... ça le fait pas trop. Allah Akbar, c'est quand même plus sérieux et en plus on peut avoir des cours clandestins, comme des vrais résistants. Ceci dit, contrairement au ton catégorique de ta réaction. Je ne prétends pas que la description ci-dessus corresponde à tous les cas. Il y a peut-être deci delà des vrais islamisés avec 15 ans de pratique sérieuse et sincère (n'hésite pas à donner des exemples) Mais, quand même, le profil qui revient le plus souvent c'est bien celui du gars qui se moque complètement de la religion islamique pendant l'essentiel de son existence, et n'en découvre les attraits que quelques mois avant de se suicider accompagné. (Les cas les plus caricaturaux étant ceux de gars ayant appris des versets du Coran en mode phonétique, sans rien y biter).
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Je signalais peertube entre autres because les possibilités (à terme) de monétisation.
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pour le coup, il me semble que pour la plupart des enfoirés qui passent à l'acte, ce n'est pas le cas. Le schéma récurrent est plutôt : longue délinquance, alcool, drogue, boites, etc puis une courte formation accélérée d'islamisation (bâclée) avant de passer à l'acte. L'islamisation revendiquée m'apparaît plus comme un emballage opportuniste (mais de facto mince) alors que le fond de la motivation/rancoeur c'est bien, entre autres, les années d'(auto)victimisation permanente.
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... et puis surtout, maintenant que j'ai une mesure macro, pas question bien sûr de s'arrêter juste à l'observation. ça serait trop dommage de ne pas aller fouailler dans la tripaille pour y faire plein d'interventions indispensables au regard de la valeur de l'indice.
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pour info : PeerTube bêta : une graine d'alternative à YouTube vient d'éclore https://framablog.org/2018/03/21/peertube-beta-une-graine-dalternative-a-youtube-vient-declore/
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On peut aller ama encore 1 ou 2 crans plus loin : “On the contrary, I am just saying that from the perspective of the physics, you might call Darwinian evolution a special case of a more general phenomenon.” - Jeremy England Le bonheur étant juste l'appellation humaine de la recherche d'optimum d'entropie physique. (ce qui me semble tout à fait sensé/plausible).
