Jump to content

Candidats Inquiétants


Recommended Posts

Posted

Voulez-vous voir le pire du pire pour 2007, c'est parti:

nous commençons avec Roland Castro (pas mal comme nom pour un coco):

http://www.utopiesconcretes.org/

Puis nous enchainons avec alliance-royal (royalisme en force! lol):

http://www.alliance-royale.com/

Puis, il est suivi de Yves Aubri (encore plus à gauche que Martine, dirigisme en avant):

http://www.yvesaubry.net/

Et pour finir le pire du pire du pire du pire et du pire:

Accueillez Jacques Sorreda qui défend le concept du président dictateur républicain. Vive la dictature et le Super Etat:

http://perso.wanadoo.fr/presidentielle2007

Amusez-vous bien en lisant les programmes.

Posted

Est-ce bien le bon forum, pour poster un tel sujet ?

Je déplace dans Politique et questions de société.

PS : Parait-il qu'il y aura même un candidat AL, c'est dire si c'est inquiétant ! :icon_up:

Posted
L'Etat régalien type Ardisson, pas trop régalien…

Qui lui s'inspire très probablement de ce qu'écrivit Maurras. Ce qui reste malgré tout régalien.

Mais aurait-il été d'accord sur tout ce que cela pouvait "engendrer" ? J'en doute fort.

Et puis monarchie…minarchie…

Posted
Qui lui s'inspire très probablement de ce qu'écrivit Maurras. Ce qui reste malgré tout régalien.

Mais aurait-il été d'accord sur tout ce que cela pouvait "engendrer" ? J'en doute fort.

Et puis monarchie…minarchie…

Ceci dit, un Etat régalien n'est pas synonyme d'Etat minimum.

Posted

Bof, je me souviens avoir vu des candidats pratiquer la lévitation dans leurs spots-télé officiels, alors ces zozos-là ne m'inquiètent guère.

J'aime bien l'idée du Président-Dictateur, surtout les initiales… ce doit être pour ça que le type se montre en T-shirt blanc moulant… :icon_up:

Posted

Les royalistes sont presque libéraux, en tout cas davantage que les républicains.

Services publics et fonction publique

S.N.C.M., R.T.M., S.N.C.F. Trois entreprises de transport. Trois entreprises publiques. Trois conflits sociaux. À chaque fois, une revendication mise en avant : la défense du service public, qui serait contradictoire avec toute privatisation

Bien qu’il paraît évident que les motivations réelles des grévistes de ces entreprises soient la conservation de leurs avantages plutôt que la défense du service du public, la question mérite d’être posée. Un service public ne peut-il être assuré que par une entreprise publique ou par la fonction publique ? Factuellement la réponse est non puisque, par exemple, la distribution de l’eau est le plus souvent assurée par des entreprises commerciales, délégataires de ce service public. Mais pour autant, est-ce légitime ?

Pour répondre à cela il faut d’abord préciser ce qu’est un service public.

Un service public est un service assuré à tous les citoyens qui en ont besoin pour assurer leur dignité ou tenir la place qui est la leur. Un service public se distingue d’un service commercial qui ne vise qu’un intérêt privé, au mieux à moyen terme. Un service commercial ne touche par définition que les personnes qui ont les moyens de se l’offrir. Un service public n’est pas le secteur public, à savoir les administrations ou les entreprises publiques. A ce titre, L’Alliance Royale pense qu’appeler « service public » le secteur public est un abus de langage qui permet de mélanger allègrement la défense du service public avec la défense des intérêts particuliers…du secteur public. Une fois bien défini ce que signifie un service public, il convient de noter que, pour que le bien-être des citoyens soit effectif, le choix de ces services dépend du temps et des circonstances. La santé, le logement, l’école, les revenus minimums ; l’alimentation en énergie, l’emploi, l’accès aux télécommunications, autant de services qui peuvent être jugés nécessaires à une époque, pas nécessairement à une autre, à un lieu, mais pas nécessairement partout, et rarement de la même manière.

L’Alliance Royale pense que c’est aux représentations nationales, régionales ou locales, élues selon le principe de la représentation sincère, de définir les services qui leur semblent nécessaires au bien-être des citoyens. C’est un des volets de ce qu’elle appelle la « politique publique » (par opposition à la « politique régalienne »). Il est bien clair que la plus haute autorité de l’Etat peut, dans certaines conditions, imposer un service minimum. C’est son devoir régalien. Il s’agit d’assurer la sécurité et la paix dans le pays, mais aussi la cohésion nationale. Il est par exemple impensable de laisser des intérêts privés mettre en danger la sécurité de nos approvisionnements vitaux. Il est tout aussi impensable de laisser se développer des disparités profondes entre les régions risquant de déséquilibrer la pays, de permettre à des catégories particulières d’affaiblir l’économique de la nation ou créer des situations de tension insupportables.

Les services publics ainsi définis peuvent être assurées de façon satisfaisante par des entreprises ou des organismes non publics (privés ou communautaires). Mais il appartient au gouvernement ou aux diverses autorités publiques locales concernées de décider alors de la façon dont ces services vont être rendus. Il est légitime que ces autorités politiques se préoccupent du coût de tels services et de leur pérennité. Elles peuvent donc tout aussi légitimement demander à des entreprises commerciales d’assurer ces services. Bien entendu, si ces derniers ne sont pas rentables pour une entreprise commerciale, dont l’objectif est le profit, ou si le prix se révélait prohibitif pour les Français, elles seraient amenées à compenser l’écart entre le prix raisonnable pour l’usager et le prix de rentabilité pour l’opérateur de service public. Jusqu’au moment où, le marché, les avancées technologiques, la concurrence ou le désintérêt du pays, ne nécessitent plus que la puissance publique s’investisse dans ces services.

Ainsi, l’Alliance Royale n’est pas contre le principe de confier le service public au secteur public ou contre celui de le « privatiser », si l’une ou l’autre solution s’avère la meilleure. Mais elle pense que c’est au pays lui-même, à travers sa représentation, et à divers niveaux, de décider quels services doivent être publics et comment ils doivent être rendus. Et non pas aux salariés de telles entreprises dont l’intérêt propre ne leur permet pas de juger de ce qui est le mieux pour l’intérêt général

Posted
la monarchie peut rester un concept tout à fait défendable par des libéraux.

tout à fait d'accord, d'un point de vue libéral un état monarchique est sans doute plus défendable que le modèle d'état des démocraties contemporaines. hans hermann hope a fait quelques comparaisons intéressantes entre l'homme d'état type président (qui ne dispose que de quelques années au pouvoir pour pouvoir utiliser sa position pour "maximiser son profit") et le monarque (qui dispose du pouvoir par héritage et à vie et qui de ce fait auront une gestion axée sur le long terme et plus prudente de l'état). le moindre de deux maux en quelque sorte…

maintenant leur déclarations moralisantes sur la famille et la laïcité ont du mal à passer avec moi.

pour le pire du pire je vote pour le président dictateur républicain au discours poujadisant sur la france d'en bas.

Posted
Dans ceux que j'ai donné, pour vous qui est le pire du pire du pire et du pire?

Sur quel plan ? Selon quel critère ?

Posted

L'Alliance royaliste m'a écoeuré dans les premièers lignes en parlant de la mondialisatio ultra-libérale.

Juste ca, ca ne pousse pas à prendre au sérieux.

Posted
Les pires ? Dieudonné et Bové.
Non, la pire c'est Arlette.
Posted
Non, la pire c'est Arlette.

Pas d'accord, elle est désintéressée (ok vu ce qu'elle défend c'est encore pire que corrompue) et a toujours défoncé le PS. Elle a d'ailleurs eu raison vu que le PS a produit DSK le grand privatiseur…

Posted
Qui lui s'inspire très probablement de ce qu'écrivit Maurras. Ce qui reste malgré tout régalien.

Mais aurait-il été d'accord sur tout ce que cela pouvait "engendrer" ? J'en doute fort.

Et puis monarchie…minarchie…

"Le libéral, c'est l'anarchiste qui ne néglige pas ses mots, va dans le monde et prend soin du nœud de cravate."

Charles Maurras - Action française, 17 août 1913

Le mot est bon, mais il n'avais qu'a moitié compris quand même.

Posted

Tiens j'ai trouvé cela sur le site de l'Alliance Royale :

8 - Le libéralisme doit être contrôlé par le pouvoir politique

Si le libéralisme économique ne consistait qu’à laisser agir les lois du marché et la libre entreprise, alors on ne saurait s’y soustraire ; mais, livré à lui-même, il cherche naturellement à échapper aux exigences de la souveraineté nationale et de la justice sociale, au profit des plus habiles et des groupes d’intérêts. Si le libéralisme politique ne consistait qu’à laisser chacun affirmer librement ses convictions, et défendre ses intérêts par une représentation sincère, alors il serait indispensable ; mais, livré à lui-même, il prétend naturellement que la morale politique et la loi doivent entériner l’opinion et les pratiques du plus grand nombre, faisant ainsi le jeu des manipulateurs idéologiques ou sans scrupules : les pires dictatures sont nées ainsi. Si le libéralisme veut être compatible avec la liberté, alors il doit être contrôlé par le pouvoir politique pour éviter qu’il ne dérive. Sinon, il n’est que la liberté des plus habiles, comme la dictature est la liberté des plus forts.

Posted
Si le libéralisme veut être compatible avec la liberté, alors il doit être contrôlé par le pouvoir politique

ça c'est très fort! :icon_up:

Posted
Tiens j'ai trouvé cela sur le site de l'Alliance Royale :

Gloubiboulga démentiel.

Exercice :

Souligne les concepts creux "justice sociale", "souveraineté nationale", "morale politique", "la liberté des plus forts" et discute les avec ton voisin.

Posted
tout à fait d'accord, d'un point de vue libéral un état monarchique est sans doute plus défendable que le modèle d'état des démocraties contemporaines. hans hermann hope a fait quelques comparaisons intéressantes entre l'homme d'état type président (qui ne dispose que de quelques années au pouvoir pour pouvoir utiliser sa position pour "maximiser son profit") et le monarque (qui dispose du pouvoir par héritage et à vie et qui de ce fait auront une gestion axée sur le long terme et plus prudente de l'état). le moindre de deux maux en quelque sorte…

maintenant leur déclarations moralisantes sur la famille et la laïcité ont du mal à passer avec moi.

pour le pire du pire je vote pour le président dictateur républicain au discours poujadisant sur la france d'en bas.

C'est sur que la monarchie est plus acceptable que la démocratie absolutariste décrite par Jacques Sorreda. Mais la démocratie reste le meilleur système car c'est elle qui permet de choisir le meilleur des candidats.

Posted

Oh my god…

T'es sur d'être revenu de l'UDF ?

Sinon en bon candidat je trouve qu'elle a cartonner en 33 ^^

Posted

j'ai pas compris ta question? Attention, je ne suis pas monarchiste. Je suis totalement pour la démocratie (bien sur qui va avec un système libre).

Posted
C'est sur que la monarchie est plus acceptable que la démocratie absolutariste décrite par Jacques Sorreda. Mais la démocratie reste le meilleur système car c'est elle qui permet de choisir le meilleur des candidats.

Hum… le professeur Dardanus va être obligé d'intervenir.

Monarchie s'oppose à République et non à Démocratie.

Démocratie s'oppose à Dictature, Théocratie et tout ce que voulez d'autre non-démocratique.

Il est des républiques dictatoriales et des monarchies démocratiques

Exemple : l'Iran est une République mais pas une démocratie ; le Royaume-Uni est une monarchie mais une démocratie.

Bref une monarchie où le monarque ne gouverne pas (comme le président dans une république parlementaire) peut parfaitement être une démocratie.

Archived

This topic is now archived and is closed to further replies.

×
×
  • Create New...