José Posté 12 janvier 2007 Signaler Posté 12 janvier 2007 If there’s a country where socialism has a chance of working, it’s Venezuela. Rich oil reserves should give it considerable room for error and, if managed sensibly, reduce its dependence on foreign investment. Ridicule. L'URSS avait également du pétrole et était également indépendant des investissements étrangers. Et cela a quand même foiré. Car le socialisme foirera toujours. Comme l'a démontré Mises en 1920. Le drame est que l'agonie de la dictature socialiste vénézuélienne pourra durer plus longtemps grâce au pétrole. C'est d'autant plus lamentable pour la population.
Dardanus Posté 12 janvier 2007 Signaler Posté 12 janvier 2007 Le Monde tient régulièrement un discours très critique sur Chavez dont le régime ne fait vraiment rêver personne. Sa rhétorique socialiste ne fait pas recette en France (hors du petit cercle des éternels convaincus). C'est au moins un petit point positif. La note sera de toute façon salée pour la population en bout de course.
Antoninov Posté 12 janvier 2007 Signaler Posté 12 janvier 2007 Ridicule. L'URSS avait également du pétrole et était également indépendant des investissements étrangers. Et cela a quand même foiré. Car le socialisme foirera toujours. Comme l'a démontré Mises en 1920. Le drame est que l'agonie de la dictature socialiste vénézuélienne pourra durer plus longtemps grâce au pétrole. C'est d'autant plus lamentable pour la population. Oui enfin je pense que l'auteur se place du point de vue des supporters du socialisme.
Rincevent Posté 12 janvier 2007 Signaler Posté 12 janvier 2007 […] Sa rhétorique socialiste ne fait pas recette en France (hors du petit cercle des éternels convaincus). C'est au moins un petit point positif. […] Elle séduit beaucoup chez les étudiants. Vraiment beaucoup.
Antoninov Posté 15 janvier 2007 Signaler Posté 15 janvier 2007 I happened to be in Venezuela on vacation for this little speech. My hostess’s grandfather, 80 years old, had his head in his hands after the speech, and echoed the sentiment above: “Aye caramba!”Sadly, I had already changed all of my US$. After his speech, the black market exchange rate bounced from 3,000 Bolivares for every $1 to 4,000 VEBs for US$1. Just the day before his speech, I read about an upcoming Venezuelan government bond sale. I can only conclude, given that he and anyone else with even a modicum of a functioning brain would know that such a speech would do serious damage to the country’s bond rating, that he simply does not give a rat’s rear end about the country he presides over. Other notes: his face is on the side of every one of the massive fleet of government tow trucks on the highways, and driving past a PDVSA (state-run oil company) facility, I most certainly saw a sign that read “Feliz Chavidad.” His campaign material, particularly billboards (and all paid for with state money), was everywhere. I saw campaign materials for his opponent as well(very very sparsely, mostly signs that would make very nice material for, say, a student government election, along with graffiti, which is everywhere), but nothing really railing on Chavez. I was delighted, however, on the way back to the airport the other day. Just a few miles from the airport, there was a very large billboard with a giant Chavez photo on it. Someone had shot him in the head with a paintball.
Punu Posté 15 février 2007 Auteur Signaler Posté 15 février 2007 C'est simple la politique : il suffit d'imposer un prix maximum qui oblige à vendre à perte, puis de dire que puisque ces porcs de capitalistes ne veulent pas perdre de l'argent, on va nationaliser le système. Hugo Chavez menace de nationaliser des supermarchésLEMONDE.FR | 15.02.07 | 17h56 • Mis à jour le 15.02.07 | 18h16 e président socialiste du Venezuela, Hugo Chavez, a menacé mercredi 14 février de nationaliser les supermarchés, les abattoirs et les chambres froides qui continueront à vendre des produits de première nécessité au-dessus des prix fixés par le gouvernement. "J'ai été patient (…). J'ai envoyé des messages aux producteurs, aux intermédiaires des abattoirs, des chambres froides et des magasins d'alimentation. Mais s'ils continuent à violer les intérêts du peuple, la Constitution, les lois, je vais leur retirer leurs chambres froides, les supermarchés et je vais les nationaliser. Alors qu'ils se préparent !", a déclaré le président vénézuélien, selon les quotidiens El Nacional et El Universal, en précisant que dans ce cas leur gestion serait confiée aux conseils communaux. UN PRIX MAXIMUM POUR LES PRODUITS DE BASE Depuis quatre ans, le gouvernement a fixé les prix maximaux d'un grand nombre de biens de consommation de base et les revoit régulièrement. M. Chavez accuse les supermarchés de faire monter artificiellement les prix de certains produits en manipulant les stocks, et est allé jusqu'à faire saisir des denrées vendues ensuite à prix cassés dans les supermarchés d'Etat Mercal, destinés aux plus pauvres. Pour les producteurs et les dirigeants des supermarchés qui se plaignent régulièrement, cette régulation des prix les oblige à vendre à perte. Récemment des supermarchés ont suspendu la vente de bœuf, de lait et de sucre après qu'une chaîne de magasins a été provisoirement fermée pour avoir vendu de la viande au-dessus des prix du marché, créant une pénurie de produits de première nécessité. La récente suppression de la taxe sur la valeur ajoutée sur un certain nombre de produits de base n'est, selon eux, toujours pas suffisante pour dégager des bénéfices. Pour le quotidien El Universal, les menaces de M. Chavez se précisent après la publication mardi d'un article dans La Gaceta Oficial établissant que "les établissements qui ne respectent pas la loi, ou refusent de vendre, ou limitent la circulation des produits soumis à la régulation des prix pour ne pas se soumettre au prix maximum de vente autorisé, seront sanctionnés". Récemment, l'Etat vénézuélien a racheté des compagnies d'électricité et de télécommunications. Aline Leclerc J'ai un doute sur le "racheté" de la dernière ligne.
h16 Posté 15 février 2007 Signaler Posté 15 février 2007 C'est simple la politique : il suffit d'imposer un prix maximum qui oblige à vendre à perte, puis de dire que puisque ces porcs de capitalistes ne veulent pas perdre de l'argent, on va nationaliser le système.J'ai un doute sur le "racheté" de la dernière ligne. Pour ma part, j'adoOore le "j'ai été patient". Le pouvoir diminue manifestement la capacité de patience.
Invité jabial Posté 16 février 2007 Signaler Posté 16 février 2007 Je rappelle que l'appel au meurtre d'un chef d'Etat, fût-il étranger, est lourdement puni.
Punu Posté 16 février 2007 Auteur Signaler Posté 16 février 2007 C'est pas mal comme concept, jabial.
Sous-Commandant Marco Posté 16 février 2007 Signaler Posté 16 février 2007 J'aime bien la "gestion par les conseils communaux". Ca me rappelle le bon temps des soviets.
Stranger Posté 19 février 2007 Signaler Posté 19 février 2007 Ridicule. L'URSS avait également du pétrole et était également indépendant des investissements étrangers. Et cela a quand même foiré. Car le socialisme foirera toujours. Comme l'a démontré Mises en 1920. Le drame est que l'agonie de la dictature socialiste vénézuélienne pourra durer plus longtemps grâce au pétrole. C'est d'autant plus lamentable pour la population. Mais il faut regarder les évènements de leur côté positif. Lorsque Chavez aura ruiné son pays, les socialistes n'auront plus l'excuse que l'échec du socialisme était le manque de démocratie.
Rincevent Posté 19 février 2007 Signaler Posté 19 février 2007 Mais il faut regarder les évènements de leur côté positif. Lorsque Chavez aura ruiné son pays, les socialistes n'auront plus l'excuse que l'échec du socialisme était le manque de démocratie. Ils trouveront d'autres excuses : quelqu'un qui se bat contre la responsabilité individuelle a nécessairement bâti une solide expérience dans ce domaine. On peut même en imaginer certaines : la faute aux méchants Ricains, à la variation du prix du pétrole, aux pays voisins, à la finance apatride qui fait rien qu'à rechercher son propre intérêt au lieu de se dévouer corps et âme à la cause néo-bolivarienne… Ils pourront même combiner les excuses : plus ce sera gros, plus la gauche y croira !
Nico Posté 20 février 2007 Signaler Posté 20 février 2007 L'URSS est devenue la Russie suite à son implosion, et les Russes sont beaucoup plus capitalistes que les français ! Les français sont fous
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