Rincevent Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 A.B. a dit : […] Les voies des comploteurs sont impenetrables…. Heu… Si tu connaissais Thierry Meysan, tu saurais que tu aurais dû éviter de faire un jeu de mots.
Rincevent Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 Je compte d'ailleurs proposer à xavdr un sujet sur Meyssan pour le Café Liberté si mon (futur) premier sujet d'intervention est un succès.
A.B. Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 Apollon a dit : Cette magistrature était contrairement à sa forme moderne temporaire, légale et légitime. Tsss.. la "legalite" positive d'un gouvernement est une tautologie.
Apollon Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 A.B. a dit : Tsss.. la "legalite" positive d'un gouvernement est une tautologie. Hum ce n'est pas de moi mais de Aron que j'ai pas cité puique je n'ai pas ses mots exacts. Et non je n'ai pas écrit de tautologie. Comprend que la dictature à Rome était une institution prévue et délimitée alors que nos dictateurs modernes rompent la légalité pour s'installer.
Etienne Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 Arn0 a dit : Je ne suis pas nécessairement contre l'existence de dispositif de plein pouvoir. Dans certains cas il peut être légitime, en cas de crise grave et pour un court laps de temps, de ne pas avoir à passer par le circuit habituel pour prendre une décision (vote du parlement, publication aux JO, contrôles multiples et ce genre de chose…). J'ai écouté une conférence intéressante d'Ackerman sur le sujet de l'état d'urgence, des pleins pouvoirs, etc., il y a peu. Si ça vous tente, c'est ici : http://www.diffusion.ens.fr/en/index.php?r…amp;idconf=1327.
Rincevent Posté 21 janvier 2007 Signaler Posté 21 janvier 2007 Etienne a dit : J'ai écouté une conférence intéressante d'Ackerman sur le sujet de l'état d'urgence, des pleins pouvoirs, etc., il y a peu. […] Celui qui a inventé la fonction du même nom ?
Invité jabial Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 Apollon a dit : ? Je n'ai pas compris ton post. Il se comprend de la manière suivante : le système universitaire français étant ce qu'il est, des hommes de gauche cooptent des hommes de gauche, quelque soit le parti au pouvoir. Souviens-toi du scandale du Jury Salin - pour une fois, ce n'était pas un marxiste qui contrôlait le jury. L'alternance, ils ne connaissent pas.
Dardanus Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 Arn0 a dit : L'article 16 c'est bien pire que les pleins pouvoirs puisque en principe c'est le président qui décide seul de l'invoquer, il n'a même pas besoin de l'accord du parlement. Et il n'y a aucune durée limite de fixée. Mais le parlement se réunit de plein droit et l'AN ne peut être dissoute pendant cette période.
Dardanus Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 jabial a dit : Il se comprend de la manière suivante : le système universitaire français étant ce qu'il est, des hommes de gauche cooptent des hommes de gauche, quelque soit le parti au pouvoir. Souviens-toi du scandale du Jury Salin - pour une fois, ce n'était pas un marxiste qui contrôlait le jury. L'alternance, ils ne connaissent pas. Je ne sais pas si les profs de droit sont si à gauche que cela. Et en quoi un universitaire de gauche spécialiste de droit constitutionnel dirait-il plus d'âneries qu'un prof de droite ?
Dardanus Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 Les pleins pouvoirs ont dans les faits donnés à De Gaulle pas à Guy Mollet. Et pour une raison très simple : faire une nouvelle constitution. C'est la seule raison pour laquelle DG est devenu président du conseil. Le reste c'est de la feuille de vigne juridique (couvrez ce coup d'état que je ne saurais voir).
Invité jabial Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 Dardanus a dit : Je ne sais pas si les profs de droit sont si à gauche que cela. Moi, si. Citation Et en quoi un universitaire de gauche spécialiste de droit constitutionnel dirait-il plus d'âneries qu'un prof de droite ? Pour répondre à ta question, quand ils ne sont pas de gauche ils sont de droite, et c'est parfois pire. Mais en général, c'est du simple marxisme. Les pires se trouvent à l'ENM qui forme des générations de juges rouges depuis des décennies.
Apollon Posté 22 janvier 2007 Signaler Posté 22 janvier 2007 Dardanus a dit : Les pleins pouvoirs ont dans les faits donnés à De Gaulle pas à Guy Mollet. Et pour une raison très simple : faire une nouvelle constitution. C'est la seule raison pour laquelle DG est devenu président du conseil. Le reste c'est de la feuille de vigne juridique (couvrez ce coup d'état que je ne saurais voir). C'est vrai encore fallait-il le savoir. Mais peut-on assimiler DG à Pétain ? N'oublions pas qui a parlé toujours et partout d'un coup d'Etat de DG : Mitterrand - Tonton se gardera pourtant bien de supprimer voire même de réformer la Ve pendant ses 14 ans de présidence -, n'oublions pas non plus qui soutenait DG : une large majorité des français dont… Raymond Aron qui souhaitait un dictateur au sens antique, n'oublions pas le bilan de la réforme constitutionnelle : alors que Pétain signait l'Armistice et instaurait l'Etat français , DG a mis en place un régime beaucoup plus stable (exit les colonies et les partis) et beaucoup moins socialiste que la IVe. jabial a dit : Moi, si. Ma faculté de droit a été formée par les profs de Nanterre de droite qui se sont barrés à cause de l'orientation trop à gauche de l'université.
xavdr Posté 23 janvier 2007 Signaler Posté 23 janvier 2007 Jo a dit : fils spirituel du dirigeant cubain Fidel Castro Si je ne m'abuse, il n'en est pas seulement le fils spirituel. J'ai lu quelque part (à confirmer) qu'il avait été formé à Cuba.
José Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Le socialisme du 21e siècle… ressemble de plus en plus au socialisme du 20e siècle. Citation Meat, sugar scarce in Venezuela stores By NATALIE OBIKO PEARSON, AP Business Writer Thu Feb 8, 4:13 PM ET CARACAS, Venezuela - Meat cuts vanished from Venezuelan supermarkets this week, leaving only unsavory bits like chicken feet, while costly artificial sweeteners have increasingly replaced sugar, and many staples sell far above government-fixed prices. President Hugo Chavez's administration blames the food supply problems on unscrupulous speculators, but industry officials say government price controls that strangle profits are responsible. Authorities on Wednesday raided a warehouse in Caracas and seized seven tons of sugar hoarded by vendors unwilling to market the inventory at the official price. Major private supermarkets suspended sales of beef earlier this week after one chain was shut down for 48 hours for pricing meat above government-set levels, but an agreement reached with the government on Wednesday night promises to return meat to empty refrigerator shelves. Shortages have sporadically appeared with items from milk to coffee since early 2003, when Chavez began regulating prices for 400 basic products as a way to counter inflation and protect the poor. Yet inflation has soared to an accumulated 78 percent in the last four years in an economy awash in petrodollars, and food prices have increased particularly swiftly, creating a widening discrepancy between official prices and the true cost of getting goods to market in Venezuela. "Shortages have increased significantly as well as violations of price controls," Central Bank director Domingo Maza Zavala told the Venezuelan broadcaster Union Radio on Thursday. "The difference between real market prices and controlled prices is very high." Most items can still be found, but only by paying a hefty markup at grocery stores or on the black market. A glance at prices in several Caracas supermarkets this week showed milk, ground coffee, cheese and beans selling between 30 percent to 60 percent above regulated prices. The state runs a nationwide network of subsidized food stores, but in recent months some items have become increasingly hard to find. At a giant outdoor market held last weekend by the government to address the problems, a street vendor crushed raw sugar cane to sell juice to weary shoppers waiting in line to buy sugar. "They say there are no shortages, but I'm not finding anything in the stores," grumbled Ana Diaz, a 70-year-old housewife who after eight hours, had managed to fill a bag with chicken, milk, vegetable oil and sugar bought at official prices. "There's a problem somewhere, and it needs to be fixed." Gonzalo Asuaje, president of the meat processors association Afrigo, said that costs and demand have surged but in four years the government has barely raised the price of beef, which now stands at $1.82 per pound. Simply getting beef to retailers now costs $2.41 per pound without including any markup, he said. "They want to sell it at the same price the cattle breeder gets for his cow," he said. "It's impossible." After a meeting with government officials Wednesday, supermarkets association head Luis Rodriguez told the TV channel Globovision that beef and chicken will be available at regulated prices within two to three days. He did not say whether the government would be subsidizing sales or if negotiations on price controls would continue. The government has urged Venezuelans to refrain from panic buying and is looking to imports to help. Jorge Alvarado, trade secretary at the Bolivian Embassy in Caracas, told the state news agency that Venezuela's government plans to import 330 tons of Bolivian beef next week, eventually bringing that to 11,000 tons a year. It also plans to import 8,250 tons of beans, chicken, soybeans and cooking oil, Alvarado said. Government officials dismiss any problems with price controls, while state TV has begun running tickers urging the public to "denounce the hoarders and speculators" through a toll-free phone number. "The weight of the law will be felt, and we demand punishment," Information Minister Willian Lara said Wednesday. http://news.yahoo.com/s/ap/20070208/ap_on_…ela_food_crunch
Invité jabial Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Pffff. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise?
h16 Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Lucilio a dit : Le socialisme du 21e siècle…ressemble de plus en plus au socialisme du 20e siècle. http://news.yahoo.com/s/ap/20070208/ap_on_…ela_food_crunch On ne change pas une politique qui perd.
melodius Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 Le prochain pas est cette autre grande tradition communiste, une famine. Qu'on impute bien évidemment à une "sécheresse". Ne riez pas, ils l'ont fait au Nicaragua.
h16 Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 melodius a dit : Le prochain pas est cette autre grande tradition communiste, une famine. Qu'on impute bien évidemment à une "sécheresse". Ne riez pas, ils l'ont fait au Nicaragua. Oh, d'ici là, ils trouveront aussi un "embargo des porcs capitalistes" pour justifier leurs déboires. Et la sécheresse, bien sûr, ce sera le Global Warming All Over Again, imputable quant à lui à - je vous le donne en mille - "ces porcs capitalistes".
Stephdumas Posté 9 février 2007 Signaler Posté 9 février 2007 à propos, j'ai repéré cet article du Figaro que Washington compterait sur l'éthanol brésilien pour isoler Chavez. http://www.lefigaro.fr/international/20070…ler_chavez.html Citation En cherchant à obtenir un accord sur ce biocombustible, les États-Unis espèrent réduire leur dépendance vis-à-vis du pétrole vénézuélien. Il Y A ENCORE cinq ans, parler de l'éthanol comme énergie du futur faisait passer pour un doux rêveur, surtout au Brésil. Le géant latino-américain s'était enthousiasmé pour les véhicules à alcool dans les années 1980, mais il en était revenu. Des innovations technologiques dans la production du biocombustible et dans les voitures ont changé la donne : en ce début 2007, près de la moitié des nouvelles immatriculations brésiliennes sont des voitures flex (pouvant rouler aussi bien à l'éthanol qu'à l'essence) et le Brésil se prend à rêver d'être l'« Arabie saoudite verte » de demain. Car non seulement l'éthanol est moins cher, mais il est surtout beaucoup moins polluant. C'est dans ce contexte que deux émissaires américains de haut niveau - le sous-secrétaire d'État Nicholas Burns et l'émissaire en charge de l'hémisphère occidental, Thomas Shannon - sont venus en mission à Brasilia pour tenter d'obtenir un accord sur l'éthanol. Il aurait pour avantage de relancer la coopération commerciale entre les deux principales puissances économiques d'Amérique. Alors que le projet de zone de libre-échange des Amériques, de l'Alaska à la Patagonie, voulu par George Bush, a été définitivement enterré fin 2005 - notamment par les soins du Brésil - la Maison-Blanche cherche une façon de revenir dans la région. Mais surtout, ce traité pourrait réduire la dépendance énergétique vis-à-vis du Venezuela, qui exporte les quatre cinquièmes de son pétrole vers les États-Unis, et contribuer ainsi à isoler le président Hugo Chavez. « Double discours » « Nous voulons freiner notre dépendance au pétrole dont souffre mon pays ainsi que d'autres dans la région, (…), et diversifier nos sources d'énergie parce que le pétrole a pour habitude de provoquer une distorsion négative dans le pouvoir de certains états », a ainsi déclaré Nicholas Burns à l'agence Reuters sans mentionner le Venezuela. Au même moment, la secrétaire d'État Condoleezza Rice assurait à Washington qu'Hugo Chavez « détruisait économiquement et politiquement son pays ». Pour le Brésil, un accord avec les États-Unis qui déboucherait sur l'introduction de l'éthanol dans d'autres pays (l'Europe oblige déjà les voitures à inclure un pourcentage de biocombustible dans son essence) pourrait dégager d'énormes potentiels. Le Brésil est le plus grand producteur d'éthanol au monde, mais aussi le plus compétitif, l'alcool étant issu de la canne à sucre : le galon d'éthanol (3,78 litres) coûte 0,83 dollar, contre 1,09 aux États-Unis et 1,2 en Europe. Les exportations, encore timides, explosent : elles ont plus que doublé par rapport à l'année dernière. Mais les ventes d'éthanol, comme l'ensemble des produits agricoles brésiliens, butent sur les barrières commerciales dressées par les États-Unis et l'Europe, ce qui pousse Brasilia à accueillir prudemment les propositions américaines. Des hauts fonctionnaires du gouvernement de Luiz Inacio Lula da Silva tout comme les industriels de la canne à sucre avouent leur agacement face à ce qu'ils considèrent comme un « double discours » des États-Unis et de l'Europe. Mercredi, le ministre des Affaires étrangères, Celso Amorim, a tenu à spécifier par ailleurs que le Brésil n'entrait dans aucune alliance contre Caracas : « La bonne politique, ce n'est pas celle de l'isolement, mais du dialogue », a-t-il conclu
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