Rincevent Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Allez on rigole (pleure?) un peu:http://www.liberation.fr/rebonds/218077.FR.php Quelle fiotte ce Piketty. Non mais vraiment quelle ordure ! Notons aussi le dernier paragraphe, où transparait en filigrane la haine de Piketty envers Salin (mais Piketty est-il seulement d'éprouver d'autres sentiments que la haine et ses succédanés, Jalousie, Envie et Mépris ?).
Stan Selene Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 De toute facon on peut esperer (raisonablement?) que Libe fasse bientot faillite, non?
A.B. Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 A sa decharge, Piketty n'est pas le seul a donner dans l'ad hominem: http://www.mises.org/etexts/keynestheman.pdf Mais au moins Rothbard argumente-t-il. L'article de libe est a vomir.
Sous-Commandant Marco Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 A sa decharge, Piketty n'est pas le seul a donner dans l'ad hominem: http://www.mises.org/etexts/keynestheman.pdfMais au moins Rothbard argumente-t-il. L'article de libe est a vomir. Mais l'article de Rothbard fut écrit en 1992 alors que Keynes est mort en 1946! Piketty aurait au moins pu avoir la décence d'attendre quelques temps pour cracher sa bave de crapaud jaloux.
Etienne Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Un peu marxiste mais pas faux, on a fait ici la meme analyse de Piketty par exemple. Et on a tort - tout du moins dans ses travaux d'économiste universitaire.
A.B. Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Et on a tort. Ca depend… As-t-on tort methodiquement? Non, les incitations, le wishfull thinking peuvent biaiser serieusement des etudes, surtout des etudes statistiques qui sont tres sensibles au biais de publication. As-t-on tort strategiquement? Peut-etre car l'argument peut-etre retourne comme le fait Piketty. Autant dans ce cas se restreindre a une critique morale et epistemologique, ce ne sont pas les arguments qui manquent.
Jesrad Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 La mienne était anarcho-capitaliste avant même de savoir ce que ce terme voulait dire. Je suis l'homme le plus chanceux du monde Bah merdalor, avec Melo, on est donc trois dans le même cas ?
Rincevent Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Bah merdalor, avec Melo, on est donc trois dans le même cas ? Et ça se trouve où, des libérales ?
Calembredaine Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Euh, anarcap ou nanarcap, Mme Rocou ?Sachant qu'elle est africaine, je subodore qu'elle sera fièrement anarcap, mais on ne sait jamais, ta mauvaise influence et tout ça… Oui, je la vois mal piéger notre canapé Quant à ma mauvaise influence, étant bien plus intelligente et beaucoup plus vive d'esprit que moi, je n'ai aucun souci de ce côté là.
Ronnie Hayek Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Prends-en de la graine jeune homme ! Je vois mal A.B. enceint; il y a des limites à son progressisme ! Quant à ma mauvaise influence, étant bien plus intelligente et beaucoup plus vive d'esprit que moi, je n'ai aucun souci de ce côté là. Bravo pour l'anacoluthe ! (anar-coluthe ?)
A.B. Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Je vois mal A.B. enceint; il y a des limites à son progressisme !Bravo pour l'anacoluthe ! (anar-coluthe ?)
José Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Allez on rigole (pleure?) un peu:http://www.liberation.fr/rebonds/218077.FR.php Décédé la semaine dernière à l'âge de 94 ans (Libération de vendredi), Milton Friedman n'était pas un personnage très sympathique. Comme souvent chez les personnes de cette conviction, son ultralibéralisme économique (foi éperdue dans le marché, dénigrement systématique de l'Etat) allait de pair avec un certain antilibéralisme politique (Etat autoritaire, voire fascisant, pour réprimer les perdants du marché), comme en témoignent ses visites de courtoisies au régime Pinochet dans les années 70. Et la soi-disant société «libérale» du Mont Pèlerin, qu'il a présidée à la suite de Hayek, ne s'est jamais privée d'entretenir des relations avec de peu reluisants généraux sud-américains, jusque dans les années 1990-2000. Thomas Piketty… ce connard puant vient de me rappeler pourquoi je ne lis plus aucun journal français en particulier et francophone en général. Au 21e siècle, si l'on veut s'informer il faut parler une autre langue et lire d'autres journaux, ne serait-ce qu'une gazette mongole.
Rincevent Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Thomas Piketty… ce connard puant vient de me rappeler pourquoi je ne lit plus aucun journal français en particulier et francophone en général. Pour le qualifier, j'hésitais entre "connard puant" et "enflure de merde", pour tout t'avouer.
Stan Selene Posté 7 mars 2007 Signaler Posté 7 mars 2007 Thomas Piketty… ce connard puant vient de me rappeler pourquoi je ne lit plus aucun journal français en particulier et francophone en général. Au 21e siècle, si l'on veut s'informer il faut parler une autre langue et lire d'autres journaux, ne serait-ce qu'une gazette mongole. +1
Invité Arn0 Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 Pour le qualifier, j'hésitais entre "connard puant" et "enflure de merde", pour tout t'avouer.Très élégant.
Rincevent Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 Très élégant. C'est en tout cas plus élégant que la manière dont lui, Piketty, a honoré la mémoire de Friedman.
Invité Arn0 Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 C'est en tout cas plus élégant que la manière dont lui, Piketty, a honoré la mémoire de Friedman. Libre à toi de te comparer à Piketty.
Rincevent Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 Libre à toi de te comparer à Piketty. Il vaut mieux ne pas se trouver trop haut, pour apercevoir la bassesse et la profondeur de l'ignominie de Piketty.
melodius Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 Oui, je la vois mal piéger notre canapé Quant à ma mauvaise influence, étant bien plus intelligente et beaucoup plus vive d'esprit que moi, je n'ai aucun souci de ce côté là. Tu m'en vois ravi. J'espère faire la connaissance de Mme Rocou un jour ou l'autre, c'est toujours un plaisir de pouvoir s'asseoir dans un canapé inoffensif en bonne compagnie. Et ça se trouve où, des libérales ? IRL
tommylib Posté 8 mars 2007 Auteur Signaler Posté 8 mars 2007 "Une leçon à méditer en France, où les rares économistes ultralibéraux proclamés sont de piètres chercheurs, sans aucune reconnaissance internationale" oui moi thomas piketty je suis un super chercheur , je suis reconnu internationalement vous autres vous étes que des m….. oui mais ce qu'on ne dit pas c'est que l'université francaise fait tout pour isoler ceux dont la pensée leur dérange
Rincevent Posté 8 mars 2007 Signaler Posté 8 mars 2007 IRL First Life est autrement plus vaste que Second Life : tu pourrais donner des détails ?
tommylib Posté 14 mars 2007 Auteur Signaler Posté 14 mars 2007 ah je reviens de mon cours d'économie avec mon professeur on a quitté ce cours avec le sujet l'état providence tiens j'ai entendu le terme libertarien de droite , ça m'a surpris qu'il dise ça bon sinon ces références polyani , jacques attali , stiglitz ah il a bien tapé sur les libéraux ça m'étonne pas ,il a parlé des libéraux et ultra libéraux on a parlé de justice redistributive , défaillance du marché , privatisation de la sécurité sociale le fait qu'on sera tous fiché par les assurances que plus de liberté individuelle ça donne avec le méchant marché sans intervention de l'état ,au final moins de libertés que trop de marché c'est moins de solidarité entre les gens
Rincevent Posté 14 mars 2007 Signaler Posté 14 mars 2007 […] on a parlé de justice redistributive […] Malgré une littérature aussi abondante que fervente sur la "distribution des revenus", le fait est que la plupart des revenus ne sont pas distribués, mais gagnés. (Thomas Sowell) Par conséquent, prendre à A pour donner à B revient à dire que A ne mérite pas l'intégralité de ce qu'il a gagné, ce qui est d'une injustice rare. le fait qu'on sera tous fiché par les assurances On est déjà tous fichés par l'Etat ; or, les assurances ne font ni les lois, ni la loi. que plus de liberté individuelle ça donne avec le méchant marché sans intervention de l'état ,au final moins de libertés Gné ? Plus de liberté, c'est moins de liberté ? Qu'il explique en quoi l'intervention de l'Etat accroit la liberté, et en quoi l'irruption du marché la diminue. que trop de marché c'est moins de solidarité entre les gens Il ne peut pas y avoir de solidarité forcée : par définition, la solidarité ne peut qu'être volontaire et consentie. En fait, il ne peut y avoir de solidarité hors marché. Surtout, ne pas hésiter à reprendre terme à terme les professeurs : c'est assez défoulant.
Boz Posté 14 mars 2007 Signaler Posté 14 mars 2007 ah je reviens de mon cours d'économie avec mon professeuron a quitté ce cours avec le sujet l'état providence tiens j'ai entendu le terme libertarien de droite , ça m'a surpris qu'il dise ça bon sinon ces références polyani , jacques attali , stiglitz ah il a bien tapé sur les libéraux ça m'étonne pas ,il a parlé des libéraux et ultra libéraux on a parlé de justice redistributive , défaillance du marché , privatisation de la sécurité sociale le fait qu'on sera tous fiché par les assurances que plus de liberté individuelle ça donne avec le méchant marché sans intervention de l'état ,au final moins de libertés que trop de marché c'est moins de solidarité entre les gens Il faut lui demander : 1) de préciser en quoi on serait plus fiché que dans un régime étatique (deux poids deux mesures classique). 2) comment se fait-il que les défaillances du marché dont il parle pour justifier l'intervention de l'état sont toutes ou presque des distortions artificielles de l'offre ou de la demande qui sont le fait…de l'état (raisonnement circulaire, pétition de principe).
tommylib Posté 14 mars 2007 Auteur Signaler Posté 14 mars 2007 Malgré une littérature aussi abondante que fervente sur la "distribution des revenus", le fait est que la plupart des revenus ne sont pas distribués, mais gagnés. (Thomas Sowell) Par conséquent, prendre à A pour donner à B revient à dire que A ne mérite pas l'intégralité de ce qu'il a gagné, ce qui est d'une injustice rare.On est déjà tous fichés par l'Etat ; or, les assurances ne font ni les lois, ni la loi. Gné ? Plus de liberté, c'est moins de liberté ? Qu'il explique en quoi l'intervention de l'Etat accroit la liberté, et en quoi l'irruption du marché la diminue. Il ne peut pas y avoir de solidarité forcée : par définition, la solidarité ne peut qu'être volontaire et consentie. En fait, il ne peut y avoir de solidarité hors marché. Surtout, ne pas hésiter à reprendre terme à terme les professeurs : c'est assez défoulant. j'avais envie de lui dire vous parlez des défaillances du marché mais il existe des défaillances des états?
Rincevent Posté 14 mars 2007 Signaler Posté 14 mars 2007 […] 2) comment se fait-il que les défaillances du marché dont il parle pour justifier l'intervention de l'état sont toutes ou presque des distortions artificielles de l'offre ou de la demande qui sont le fait…de l'état (raisonnement circulaire, pétition de principe). j'avais envie de lui dire vous parlez des défaillances du marché mais il existe des défaillances des états? Excellent, la réplique est très bonne et souvent utile !
tommylib Posté 14 mars 2007 Auteur Signaler Posté 14 mars 2007 et puis quand méme dire que c'est le marché qui rend les gens peu solidaires alors que c'est justement l'état qui est en cause , vu que c'est l'état qui redistribue les revenus à sa façon avec pour motif que c'est pour un principe d'équité , pour aider les pauvres mais il n'est pas possible d'aider les pauvres soi méme quand la quasi intégralité de son revenu va au gouvernement c'est donc bien l'état qui tue la solidarité mais pour 100 euros prélevés pour étre redistribués aux pauvres , déja combien vont réellement aux pauvres et pas à d'autres personnes
Jesrad Posté 14 mars 2007 Signaler Posté 14 mars 2007 mais pour 100 euros prélevés pour étre redistribués aux pauvres , déja combien vont réellement aux pauvres et pas à d'autres personnes Pour chaque 100 euros prélevés à A sous prétexte qu'il n'a pas "mérité" de gagner autant, A augmente ses prix de 100 euros (puisque c'est un surcoût hors concurrence tous ses concurrents en font autant) et les fait payer à B. Ensuite, l'état (après s'être payé grassement de 90 euros sur les 100) reverse 10 euros à B pour l'aider. C'est-y pas beau, la "redistribution" ?
tommylib Posté 14 mars 2007 Auteur Signaler Posté 14 mars 2007 Pour chaque 100 euros prélevés à A sous prétexte qu'il n'a pas "mérité" de gagner autant, A augmente ses prix de 100 euros (puisque c'est un surcoût hors concurrence tous ses concurrents en font autant) et les fait payer à B. Ensuite, l'état (après s'être payé grassement de 90 euros sur les 100) reverse 10 euros à B pour l'aider.C'est-y pas beau, la "redistribution" ? c'est le réve surtout en france
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