Wallace Posté 11 avril 2007 Signaler Posté 11 avril 2007 Je confirme, le pistonnage est quasi-obligatoire pour obtenir un poste dans les universités françaises. C'est une évidence, et malheureusement ça donne des résultats assez tristes, le nombre de doctorants intelligents et passionés par leur matière qui n'ont pas de poste parce qu'ils n'ont pas couché, ou parce qu'ils n'ont aucun piston, est effarant; à l'inverse il y a bon nombre d'incompétants aux thèses médiocres, qui eux obtiennent des postes de Maitre de conf comme ça. Pour moi ce phénomène est l'une des causes importantes du déclin de l'université française.
djudju Posté 11 avril 2007 Signaler Posté 11 avril 2007 en plus on peut pas dire que les universites fassent beaucoup d'efforts dans la confection des masters 2…Ex: j ai telephoné à Price Waterhouse Coopers (l'un des BIG Four mondial du monde de l'audit). je leur demandais pour un stage, concernant mon master 2, le profil que j ai les interesse, parfait. sauf queee ma chere université prevoit que le stage obligatoire, de 3 mois seulement, doit se faire entre janvier et mars…problème les cabinet d'audit recrute 6-7 mois, de septembre à debut-fin mars… faut vraiment que ca soit privatisé et que cet abruti d'ancien deputé communiste qui dirige notre fac dégage… d ailleurs je me demande comment ce gogol est arrivé à ce poste dans une fac plutot libérale…
Libérus Posté 11 avril 2007 Signaler Posté 11 avril 2007 en plus on peut pas dire que les universites fassent beaucoup d'efforts dans la confection des masters 2…Ex: j ai telephoné à Price Waterhouse Coopers (l'un des BIG Four mondial du monde de l'audit). je leur demandais pour un stage, concernant mon master 2, le profil que j ai les interesse, parfait. sauf queee ma chere université prevoit que le stage obligatoire, de 3 mois seulement, doit se faire entre janvier et mars…problème les cabinet d'audit recrute 6-7 mois, de septembre à debut-fin mars… faut vraiment que ca soit privatisé et que cet abruti d'ancien deputé communiste qui dirige notre fac dégage… d ailleurs je me demande comment ce gogol est arrivé à ce poste dans une fac plutot libérale… Voyon, voyons , djudju. Si votre université ne veut vous lâcher que 3 mois, c'est qu'elle vous aime bien! Les entreprises préfèrent 6 mois, c'est un fait, mais elles comprennent aussi qu'il faut "inculquer" au préalable aux stagiaires des connaissances que leurs cadres formés il y a 15 ans ne possèdent peut-être pas…..
Calembredaine Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Pour l'employeur, le DIF est assimilable à un congés payés. Il le provisionne donc et l'inclut donc dans son calcul de rentabilité.Càd qu'à la prochaine augmentation ou à la prochaine nouvelle embauche, le coût du DIF sera internalisé. Du fait, le DIF n'est payé par l'employeur. Le DIF est donc bien une formation forcée pour le salarié qu'il doit payer lui-même. Tu exagères. Tu laisses entendre que le DIF est sans conséquence pour l'entreprise. Il est cependant vrai que ce surcoût sera lissé sur les prochaines embauches et les futures éventuelles augmentations de salaire et donc qu'au final les salariés paient pour une formation qu'il n'ont pas demandé. Cela dit, c'est tout de même une contrainte supplémentaire imposée aux entreprises: remplacer un salarié pour un congé ou une formation n'est jamais simple et très coûteux. Il convient par conséquent de dissuader les salariés d'user de ce "droit". Toujours est-il qu'il s'agit d'une manière d'imposer de manière indirecte, une augmentation généralisée des salaires.
djudju Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Voyon, voyons , djudju. Si votre université ne veut vous lâcher que 3 mois, c'est qu'elle vous aime bien! Les entreprises préfèrent 6 mois, c'est un fait, mais elles comprennent aussi qu'il faut "inculquer" au préalable aux stagiaires des connaissances que leurs cadres formés il y a 15 ans ne possèdent peut-être pas….. Si elle pouvait nous aimer autrement…ca nous arrangerait… surtout qu'on est pas aidé avec l'autre abruti de communsite qui nous réduit les budgets en Eco-gestion… il trouve anormal par exemple que des personnes hautement qualifiées (souvent de Paris ou de l'étranger) viennent nous faire des conférénces et qu'ils ne fassent pas ca à l'oeil… la fac ne devrait meme pas leur payer l'hotel… on croit rever…
Largo Winch Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Cela dit, djudju, il peut y avoir une raison qui explique des stages d'une durée limitée à 3 mois. Un décret est passée l'année dernière qui oblige les entreprises à rémunérer (1/3 du smic) les stages qui ont une durée qui dépasse 3 mois. Je sais que certaines formations universitaires ont préféré réduire la durée des stages de peur que certains étudiants n'en trouvent plus. Petit détail amusant : ce décret ne concerne que les entreprises. Les organismes publics qui prennent des stagiaires de longue durée n'ont pas cette obligation de rémunérer.
Calembredaine Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Je sais que certaines formations universitaires ont préféré réduire la durée des stages de peur que certains étudiants n'en trouvent plus. Exactement. Et pour les stages de plus de trois mois indispensables, ils sont scindés en deux avec une période en école entre les deux. A propos, je viens de prendre une stagiaire dont le première question fut de savoir si l'entreprise faisait le pont pour la Pentecôte. C'est la dernière fois.
Libérus Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Cela dit, djudju, il peut y avoir une raison qui explique des stages d'une durée limitée à 3 mois. Un décret est passée l'année dernière qui oblige les entreprises à rémunérer (1/3 du smic) les stages qui ont une durée qui dépasse 3 mois. Je sais que certaines formations universitaires ont préféré réduire la durée des stages de peur que certains étudiants n'en trouvent plus. Petit détail amusant : ce décret ne concerne que les entreprises. Les organismes publics qui prennent des stagiaires de longue durée n'ont pas cette obligation de rémunérer. Caractéristique des effets pervers des mesures qui se veulent protectrices, et qui finissent par se retourner contre ceux qu'elles voulaient protéger. Exactement. Et pour les stages de plus de trois mois indispensables, ils sont scindés en deux avec une période en école entre les deux.A propos, je viens de prendre une stagiaire dont le première question fut de savoir si l'entreprise faisait le pont pour la Pentecôte. C'est la dernière fois. Il fallait lui offrir un pont avec vous à Venise.
A.B. Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 Il fallait lui offrir un pont avec vous à Venise. C'est clair, en plus cela lui éviterait surement d'avoir à se lever la nuit a 4h du mat
djudju Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 le pont de la pentecôte??? je comprends meme pas qu'en etant stagiaire on puisse demander ca … pourquoi pas un golden parachute à la fin de son stage aussi nan???je reve… ca sent la socialiste ou la coco ca non???
A.B. Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 le pont de la pentecôte??? je comprends meme pas qu'en etant stagiaire on puisse demander ca … pourquoi pas un golden parachute à la fin de son stage aussi nan???je reve… ca sent la socialiste ou la coco ca non??? Ca ne me gene pas du tout qu'on puisse demander ca, je ne vois vraiment pas le probleme. Elle a peut-etre un mariage ce jour la, ou elle a envie de prendre un week-end pendant les vacances que sais-je. Je trouve parfaitement normal qu'elle ait demandé ca, moi je l'aurai fait. Je trouve en revanche aberrant que c'ait été sa première question, je pense que je n'aurai pas eu les nerfs de Rocou et je lui aurais tout de suite montré la porte.
djudju Posté 13 avril 2007 Signaler Posté 13 avril 2007 oui ce que je voulais souligner, mais je me suis mal exprimé, c'était effectivement le fait que ca soit la premiere chose qu'elle ait demandé… D'ailleurs à ce sujet, il y avait un article dans La Tribune d'aujourd hui page 21 :"La Nouvelle Révolution de Mai". En effet on y apprend que nous sommes le pays qui aura le moins de jours ouvrés des pays dits "développés"… 17 jours contre 23-28 aux US par exemple…malgré que l'article soit court, l'auteur, Marc Fiorantino (Président d'Euroland Fiance), décrit plutot bien les enjeux économique que cela entraine… Soit on s'en sort bien (niveau de production normal)et on prouve au monde entier que nous sommes les plus productifs au monde. soit la production se casse la figure pourrait etre dramatique. La fin de l'article: "Après Mai 2007, plus qu'après mai 68, nous pourrons valider définitivement l'adage populaire: En Mai, fais ce qu'il te plaît ! Nous pourrons y ajouter "Mais surtout ne travaille pas". Les marchés financiers, eux, ne s'arrêteront pas. La Bourse de Paris ne fermant que le 1er Mai.Ceux qu'on accuse de gagner de gagner de l'argent pendant leur sommeil, travailleront pendant que certains dormiront. C'est à n'y comprendre. Si le grand capital fait une OPA sur le travail, que restera il aux autres? le RMI et les trasnports gratuits. PS: désolé de vous avoir dérangés pendant les vacances de Paques." Ca c'est fait…
Invité PauLo Posté 16 avril 2007 Signaler Posté 16 avril 2007 C'est une évidence, (…) il y a bon nombre d'incompétants aux thèses médiocres, qui eux obtiennent des postes de Maitre de conf comme ça.(…) 1000 excuses de devoir citer mon site sur "Le rétablissement de l'instruction publique." La dissolution du Ministère de l'Éducation nationale et la dévolution de l'ensemble des attributions et responsabilités de « l'Instruction publique » à la « cour sénatoriale des régions » impliquent, > d'une part, le licenciement de l'ensemble des professeurs et de l'ensemble de leur encadrement, « assis » (fonctionnaires du Ministère) et « debout » (inspection générale et inspections), > d'autre part, la régionalisation et/ou la départementalisation de l'instruction publique sous l'autorité et le contrôle de ladite cour sénatoriale des régions, > enfin, la participation démocratique et le libre choix des parents s'agissant des crèches, maternelles, écoles, collèges et lycées, et des étudiants s'agissant des universités. Il appartiendra à cette cour sénatoriale des régions de fixer les règles nationales et d'en rendre compte au Parlement en présence du gouvernement, par exemple : > choisir la régionalisation des universités et lycées, la départementalisation des collèges et écoles et la municipalisation des maternelles et crèches, ainsi que la forme juridique des établissements d'instruction publique, par exemple « association loi de 1901 » ; > choisir de maintenir ou non la mixité particulièrement dans les collèges et lycées et les écoles ; > déterminer, en fonction de la dotation nationale par catégorie d'élève ou d'étudiant, le montant du « chèque instruction publique en crèche », du « chèque instruction publique en maternelle », du « chèque instruction publique en école » et du « chèque instruction publique en collège ou lycée » destinés aux parents, selon le cas de leur enfant, ainsi que du « chèque instruction publique en université » destiné aux étudiants ; le montant dudit chèque devrait être des 2/3 de la dotation nationale correspondante, le « tiers restant » permettant l'ajustement par les autorités territorialement compétentes aux besoins d'égalisation des chances et d'adaptation des moyens en fonction, notamment, des choix faits par les familles et de leurs catégories socio-professionnelles ; > choisir et fixer le mode de sélection, de rémunération et de désignation des chefs d'établissement, ainsi que le mode de leur post-sélection par l'assemblée générale des parents s'agissant des chefs de lycée, collège, école, maternelle et crèche et celle des étudiants s'agissant des chefs d'universités ; > choisir et fixer le mode de sélection, de fourchettes de rémunération et de recrutement des enseignants et personnels complémentaires par les chefs d'établissements, ainsi que le mode de leur post-sélection par l'assemblée générale des parents s'agissant des enseignants et personnels de lycée, collège, école, maternelle et crèche, et celle des étudiants s'agissant des enseignants et personnels d'universités ; > choisir et fixer les programmes, les règles des examens et concours nationaux et les règles d'entrée au collège, au lycée et à l'université ; > choisir et fixer les règles d'attribution des locaux d'enseignement aux crèches, maternelles, écoles, collèges, lycées et universités constitués en fonction de la demande parentale et estudiantine. Il appartiendra ensuite, selon le cas, à la région, au département ou à la commune de mettre en œuvre la sélection et la désignation de locaux et de chefs d'établissement et d'ouvrir aux parents ou étudiants la pré-inscription dans un seul établissement de leur choix. La « carte scolaire » étant abrogée, un « périmètre » de liberté de choix pourra être éventuellement substitué, pour maintenir un ordre certain, selon le cas en « cercle » ou en « tranche de camembert » ou selon toute autre formule innovante ou préconisée par tel ou tel des multiples rapports existants sur le sujet dans les archives du Parlement. > Nota 1 : Il va de soi, dans le respect de la liberté et de la laïcité républicaines, que tous les projets et candidatures de chefs d'établissement et d'enseignants devront être examinés mais aucun projet d'établissement « confessionnel » ne pourra être bénéficiaire du « chèque instruction publique » ni participer à un quelconque examen ou concours de l'instruction publique. > Nota 2 : Il est probable que le personnel central, l'inspection générale et l'inspection de l'ancienne « Éducation nationale » auront peu de chance d'être embauchés par « l'Instruction publique » eu égard au rôle déterminant qu'ils ont joué dans la dérive de cette institution et, surtout, dans l'échec scolaire durant les années du régime socialogaulliste. > En fonction des pré-inscriptions recueillies, aucune ne pouvant être refusée, le chef d'établissement présélectionnera les enseignants et personnels nécessaires et suffisants et présentera son projet d'instruction et d'équipe enseignante à l'assemblée générale des parents ou étudiants ayant effectué leur pré-inscription. > Les parents ou étudiants pourront approuver ou non par autant de votes à bulletin secret (avec autant de voix aux parents que d'enfants pré-inscrits) que nécessaires tout ou partie du projet d'enseignements et du projet d'équipe de mise en œuvre. > Lors de cette étape de cette procédure démocratique, participative et responsable, les parents ou étudiants confirmeront ou non définitivement leur inscription. S'ils la confirment, ce sera pour l'année scolaire et par la remise, au chef d'établissement qui ne pourra le refuser et pour chaque inscrit, de leur « chèque instruction publique ». S'ils ne confirment pas leur inscription, il leur appartiendra de trouver, dans un autre établissement de leur choix dans le périmètre permis mais en fonction des possibilités dudit établissement, l'inscription souhaitée contre remise, au nouveau chef d'établissement et pour chaque inscrit, de leur « chèque instruction publique ». > Le chef d'établissement, muni du projet d'instruction et d'équipe enseignante, approuvé ou au moins non rejeté par l'assemblée générale des parents ou étudiants, et des « chèques instruction publique » reçus, évaluera les besoins spécifiques éventuellement nécessaires et établira son « justificatif de budget », avec salaires des nouveaux enseignants et personnels sélectionnés, en proposant de recevoir soit normalement le tiers restant de la dotation nationale de sa catégorie, soit moins, soit davantage. > L'autorité territorialement compétente (assemblée régionale, départementale ou municipale) approuvera ou rectifiera ce budget en fonction de la répartition qui lui incombera du « tiers restant » de dotation sur son territoire. > Muni du budget ainsi arrêté pour son établissement, le chef d'établissement fixera le salaire des nouveaux enseignants et personnels sélectionnés et signera avec eux leur contrat CDI, et mettra en place la rentrée dans son établissement. Il tiendra informés par écrit les parents ou étudiants de son budget et des modalités de la rentrée. > Chaque trimestre, le chef d'établissement rendra compte, dans les mêmes termes, aux parents et aux présidents de région et de départements et maires concernés de la bonne marche de son établissement, du bon déroulement de son projet d'enseignements et de leurs résultats. > Les chefs d'établissement organiseront les examens et concours prévus selon les modalités fixées par la cour sénatoriale des régions. > En fin d'année, une assemblée générale des parents ou étudiants entendra le chef d'établissement sur le bilan tant d'instruction publique que budgétaire de l'année et sur le projet de l'année suivante. Les votes de post-sélection du chef d'établissement et de chaque enseignant seront organisés en présence de représentants des autorités régionale et départementales et mairies concernées. L'indemnité légale de rupture du contrat d'un chef d'établissement ou d'un enseignant sera à la charge de l'établissement concerné. > Un bilan communal, départemental, régional et national sera fait sous le contrôle de la cour sénatoriale des régions qui en tirera toutes conséquences de droit ou de fait, notamment recommandera à la région, au département ou à la commune, la fermeture de tel ou tel établissement et/ou la mise en place de nouveaux établissements dans les mêmes ou d'autres locaux. La cour sénatoriale des régions rendra compte au Parlement, en présence du gouvernement, de l'état de l'instruction publique sur le territoire de la République. Ainsi « l'instruction publique », sous l'autorité et le contrôle des régions, sera déconcentrée, décentralisée et subordonnée à l'assentiment ou à la désapprobation des élus et des parents ou étudiants ; parents et étudiants étant impliqués et responsabilisés par une participation démocratique et le « chèque instruction publique » qu'il leur appartiendra de bien utiliser. Nul doute que, certes progressivement mais résolument grâce à l'émulation inhérente au dispositif et au bon sens et à la vigilance de toutes et tous, le niveau d'instruction publique s'améliorera et les meilleurs chefs d'établissement et enseignants seront confirmés, et celles et ceux vraiment mauvais seront éliminés et remplacés. Tout le contraire des méfaits de l'Éducation nationale socialogaulliste.
phantom_opera Posté 16 avril 2007 Signaler Posté 16 avril 2007 Mais qu'est-ce que c'est que ce programme de merde? lol
h16 Posté 16 avril 2007 Signaler Posté 16 avril 2007 Mais qu'est-ce que c'est que ce programme de merde? lol Rigole, rigole : t'as déjà essayé de pondre un programme politique cohérent sous mescaline ?
Invité PauLo Posté 17 avril 2007 Signaler Posté 17 avril 2007 Mais qu'est-ce que c'est que ce programme de merde? lol Un plan d'actions de "salut public" souvent qualifié de libéral… visant à en finir avec "la fabrique de crétins" socialo-gaulliste, alias "éducation nationale" ! Ainsi « l'instruction publique », sous l'autorité et le contrôle des régions, sera déconcentrée, décentralisée et subordonnée à l'assentiment ou à la désapprobation des élus et des parents ou étudiants ; parents et étudiants étant impliqués et responsabilisés par une participation démocratique et le « chèque instruction publique » qu'il leur appartiendra de bien utiliser. Nul doute que, certes progressivement mais résolument grâce à l'émulation inhérente au dispositif et au bon sens et à la vigilance de toutes et tous, le niveau d'instruction publique s'améliorera et les meilleurs chefs d'établissement et enseignants seront confirmés, et celles et ceux vraiment mauvais seront éliminés et remplacés. Tout le contraire des méfaits de l'Éducation nationale socialogaulliste.
h16 Posté 17 avril 2007 Signaler Posté 17 avril 2007 Ainsi « l'instruction publique », sous l'autorité et le contrôle des régions, sera déconcentrée, décentralisée et subordonnée à l'assentiment ou à la désapprobation des élus et des parents ou étudiants ; parents et étudiants étant impliqués et responsabilisés par une participation démocratique et le « chèque instruction publique » qu'il leur appartiendra de bien utiliser. Ainsi, se lançant sur la route du futur armés d'une culture dispensée par les fiers soldats de l'instruction publique, vibrants d'une ferveur quasi-christique et mordant l'avenir à pleine dents à l'émail poli des mille gestes salvateurs d'une République saine et fraîche au menthol, la génération qui se lèvera, pour parvenir à l'apothéose d'un monde meilleur construit sur des bases en béton de la démocratie imbibant toutes les fibres de leurs êtres robustes, sera l'avènement d'un monde meilleur aux accents mélodieux que chacun, la larme à l'oeil de l'émotion juste mais contenue et de l'ordre nécessaire et rigoureux, acclamera d'une seule voix forte pour en redemander, comme jadis pour la purée Mousseline. Parler ni penser ne sont rien, encore faut-il bien faire savoir qu'on parle ou qu'on pense. Savoir ne sert à rien si l'on n'est pas foutu de le dire. Voilà bien un conseil, convenez-en, marqué au seau du bon sens. Pour ceux que cela intéresse, sachez que le seau du bon sens représente un politicien radical en train de réfléchir au programme politique de son parti pour les prochaines élections. Gustave Labarbe, Maire de Champignac
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