Taranne Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Ca pourrait être marrant de le voir re-perdre. Pas sûr! Il y en a pas mal au sein du Parti Démocrate qui n'ont pas envie de voir Hilary aux affaires, et Gore pourrait très bien être l'homme providentiel. Il a une expérience incontestable (huit années à la vice-présidence tout de même) un certain charisme et, surtout, il est moins à gauche que Mme Clinton. Je pense sincèrement qu'il a ses chances.
Coldstar Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Il est trop tard pour lui pour se lancer dans la course maintenant.
h16 Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 A plus forte raison : s'il se lance et qu'il reperd, ce serait vraiment rigolo. Quand je vois Gore, Bové, Hulot, Mamère, NKM, Borlouille, Mélencon, … je me dis que c'est vraiment dommage tous ces manches de pioches qui serviront à autre chose qu'à leur casser la tête. C'est gâcher, pour le coup.
Rincevent Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Faut croire que Gore a sacrément changé Oh oui, 30 kilos en plus, ça vous change un homme.
A.B. Posté 13 octobre 2007 Signaler Posté 13 octobre 2007 Petit ragot… le ménage d'Al Gore possédait environ 2 a 3 millions de dollar avant la campagne présidentielle… depuis son film, Al Gore possèderait environ une centaine de millions de dollar. Logique, il a donné plusieurs milliers de conférence sur le Global Warming et il est payé, de $100,000 à $200,000 par conférence (plus frais de bouche, plus hotel, plus déplacement…)
pankkake Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Oh oui, 30 kilos en plus, ça vous change un homme. Ah, il s'est moorisé ?
Rincevent Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Ah, il s'est moorisé ? Pas tout à fait, il est grand, et Moore a davantage que 30 kilos en trop. Mais compare une photo de Gore-Vice-Président et une de Gore-Ecolo :
Taranne Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Il est trop tard pour lui pour se lancer dans la course maintenant. Je ne pense pas. Il est déjà connu, a une véritable expérience, une légitimité que les autres candidats n'ont pas. Et ses partisans rongent leur frein depuis huit ans. Ne pas sous-estimer non plus le syndrôme du "tout sauf Hilary" très vivace même chez les démocrates.
h16 Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Je ne pense pas. Il est déjà connu, a une véritable expérience, une légitimité que les autres candidats n'ont pas. Et ses partisans rongent leur frein depuis huit ans. Ne pas sous-estimer non plus le syndrôme du "tout sauf Hilary" très vivace même chez les démocrates. Gore président, c'est surtout "tout sauf Hilarant".
Cochon Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Pour revenir au sujet initial, une petite analyse intéressante des manipulations écolo-politiques de Monsieur Gore. Eclairante sur les méthodes démocratiques, libérales, humanistes et last but not least empruntes d'honnêteté et d'humilité qui caractérisent certains écologistes sur le global warming.
0100011 Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Pas tout à fait, il est grand, et Moore a davantage que 30 kilos en trop. Mais compare une photo de Gore-Vice-Président et une de Gore-Ecolo On peut effectivement assister à une Moorisation des esprits et des corps qui fait peur. L'avantage c'est que ça peut aussi faire peur aux E.T. qui rêvent de nous envahir. Ils vont y réfléchir à deux fois avant d'atterrir sur une planète remplie de gras dont la pensée s'exprime au mieux par des onomatopés.
Invité jabial Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Ne pas sous-estimer non plus le syndrôme du "tout sauf Hilary" très vivace même chez les démocrates. [mode chitah on] Ceci me fait penser à un truc. Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais il y a quelques temps en France, on a eu la même situation : un parti de droite avec une popularité nulle à chier qui n'avait prétendument aucune chance de gagner, une candidate de gauche qui fédérait les têtes de son parti contre elle… Et ça a fini comment? [mode chitah off]
Hakill Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 Ne pas sous-estimer non plus le syndrôme du "tout sauf Hilary" très vivace même chez les démocrates. Moi ça me fait surtout penser au syndrôme Jospin. Les médias et lui-même veulent créer du buzz pour un vieux loser peut-être récupérable. Mais non, pas d'engouement, pas de popularité et comme dit précédemment, des scores dans les sondages très faibles.
Ash Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 [mode chitah on]Ceci me fait penser à un truc. Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais il y a quelques temps en France, on a eu la même situation : un parti de droite avec une popularité nulle à chier qui n'avait prétendument aucune chance de gagner, une candidate de gauche qui fédérait les têtes de son parti contre elle… Et ça a fini comment? [mode chitah off] C'est faux puisque Sarko depuis qu'il était ministre de l'intérieur a sans cesse fait parler de lui et n'a pas baissé de popularité dans les sondages. Il a toujours été le favoris.
Invité jabial Posté 14 octobre 2007 Signaler Posté 14 octobre 2007 C'est faux puisque Sarko depuis qu'il était ministre de l'intérieur a sans cesse fait parler de lui et n'a pas baissé de popularité dans les sondages. Il a toujours été le favoris. C'est facile à dire a posteriori ; ce n'est pas ce que j'ai lu dans les journaux durant la période pré-électorale.
Apollon Posté 15 octobre 2007 Signaler Posté 15 octobre 2007 Wikipédia : "Comme l'avait décidé Alfred Nobel, les lauréats du prix Nobel de la paix sont choisis par un comité nommé par le parlement norvégien, les autres prix Nobel sont sélectionnés par l'Institution académique suédoise." Un banal prix politique ! C'est faux puisque Sarko depuis qu'il était ministre de l'intérieur a sans cesse fait parler de lui et n'a pas baissé de popularité dans les sondages. Il a toujours été le favoris. Je crois que Royal était favorite au moins jusqu'à sa désignation par le PS.
Salim32 Posté 15 octobre 2007 Signaler Posté 15 octobre 2007 http://www.fahayek.org/index.php?option=co…46&Itemid=1 Une excelent article sur le site de l'institut hayek sur cette nomination,ainsi que le jugement de son film par un tribunal anglais en vue de le passer dans les ecoles, et de son aveux du caractere manipulatoire de ce film …
miniTAX Posté 15 octobre 2007 Signaler Posté 15 octobre 2007 Wikipédia :"Comme l'avait décidé Alfred Nobel, les lauréats du prix Nobel de la paix sont choisis par un comité nommé par le parlement norvégien, les autres prix Nobel sont sélectionnés par l'Institution académique suédoise." Un banal prix politique ! Bien vu. Voici ce qu'on apprend sur la politique intérieure actuelle en Norvège, aux mains des "rouges/verts" : La gauche norvégienne a remporté les élections législatives du 12 septembre 2005. Le leader du parti travailliste (Jens Stoltenberg) a ainsi pu constituer une coalition majoritaire, dite « rouge/verte », incluant les centristes et, pour la 1ère fois dans un gouvernement, les socialistes de gauche. Le programme politique du gouvernement Stoltenberg, mis en place le 17 octobre 2005, traduit les inflexions sociales et environnementales de la nouvelle majorité : plus de dépenses publiques en faveur des collectivités locales, des familles et de l’environnement ; augmentation de la pression fiscale sur les ménages (revenus et patrimoine) et sur les entreprises ; politique d’innovation dans une optique de l’après pétrole. La question du Grand Nord (région située au-delà du cercle polaire) est ainsi définie comme une priorité stratégique, au centre des questions politiques, énergétiques et environnementales. La politique énergétique norvégienne est en effet marquée par des préoccupations environnementales, avec l’objectif de devenir le pays le plus respectueux des normes les plus strictes dans ce domaine. Bref un pays qui a pompé à mort son pétrole en s'enrichissant un max et qui prétend maintenant vouloir s'attaquer à l'après-pétrole et aux changements climatiques avec en toile de fond la convoitise russe pour les réserves de pétrole et de minerais du Grand Nord. Et qui prône le status quo en matière d'exploitation des ressources en donnant le Nobel au prophète de malheur Gore. Eh oui, de la politique cynique déguisée en discours de salvation de l'humanité. Bref l'hypocrysie boboesque habituelle.
Nick de Cusa Posté 17 octobre 2007 Signaler Posté 17 octobre 2007 Pas sûr! Il y en a pas mal au sein du Parti Démocrate qui n'ont pas envie de voir Hilary aux affaires, et Gore pourrait très bien être l'homme providentiel. Il a une expérience incontestable (huit années à la vice-présidence tout de même) un certain charisme et, surtout, il est moins à gauche que Mme Clinton. Je pense sincèrement qu'il a ses chances. A voir. Il faut une équipe de campagne méga maousse et la sienne propre, en tant qu'ex VP, c'est le clan Clinton. J'ai oui dire qu'il a d'autres chats à fouetter en ce moment.
José Posté 19 octobre 2007 Signaler Posté 19 octobre 2007 The Norwegian Nobel Committee The Peace Prize is awarded by a committee of five, appointed by the Storting (the Norwegain parliament). According to rules laid down by the Storting, election to the committee is for a six-year term, and members can be re-elected. The committee's composition reflect the relative strengths of the political parties in the Storting. Although this is not a requirement, all committee members have been Norwegian nationals. The committee elects its own chairman and deputy chairman. The Director of the Nobel Institute serves as secretary to the committee. http://nobelpeaceprize.org/eng_com_mem.html Partly it’s a reaction to what happened in 2000, when the American people chose Mr. Gore but his opponent somehow ended up in the White House. Both the personality cult the right tried to build around President Bush and the often hysterical denigration of Mr. Gore were, I believe, largely motivated by the desire to expunge the stain of illegitimacy from the Bush administration. http://www.nytimes.com/2007/10/15/opinion/…332&ei=5070
José Posté 5 novembre 2007 Signaler Posté 5 novembre 2007 John Christy, membre de IPCC, vient de renoncer publiquement à sa part de Prix Nobel de la Paix et dénonce l'alarmisme éconcondriaque de nombre de ses collègues, d'Al Gore et des médias : My Nobel MomentBy JOHN R. CHRISTY November 1, 2007; Page A19 I've had a lot of fun recently with my tiny (and unofficial) slice of the 2007 Nobel Peace Prize awarded to the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). But, though I was one of thousands of IPCC participants, I don't think I will add "0.0001 Nobel Laureate" to my resume. The other half of the prize was awarded to former Vice President Al Gore, whose carbon footprint would stomp my neighborhood flat. But that's another story.Large icebergs in the Weddell Sea, Antarctica. Winter sea ice around the continent set a record maximum last month. Both halves of the award honor promoting the message that Earth's temperature is rising due to human-based emissions of greenhouse gases. The Nobel committee praises Mr. Gore and the IPCC for alerting us to a potential catastrophe and for spurring us to a carbonless economy. I'm sure the majority (but not all) of my IPCC colleagues cringe when I say this, but I see neither the developing catastrophe nor the smoking gun proving that human activity is to blame for most of the warming we see. Rather, I see a reliance on climate models (useful but never "proof") and the coincidence that changes in carbon dioxide and global temperatures have loose similarity over time. There are some of us who remain so humbled by the task of measuring and understanding the extraordinarily complex climate system that we are skeptical of our ability to know what it is doing and why. As we build climate data sets from scratch and look into the guts of the climate system, however, we don't find the alarmist theory matching observations. (The National Oceanic and Atmospheric Administration satellite data we analyze at the University of Alabama in Huntsville does show modest warming -- around 2.5 degrees Fahrenheit per century, if current warming trends of 0.25 degrees per decade continue.) It is my turn to cringe when I hear overstated-confidence from those who describe the projected evolution of global weather patterns over the next 100 years, especially when I consider how difficult it is to accurately predict that system's behavior over the next five days. Mother Nature simply operates at a level of complexity that is, at this point, beyond the mastery of mere mortals (such as scientists) and the tools available to us. As my high-school physics teacher admonished us in those we-shall-conquer-the-world-with-a-slide-rule days, "Begin all of your scientific pronouncements with 'At our present level of ignorance, we think we know . . .'" I haven't seen that type of climate humility lately. Rather I see jump-to-conclusions advocates and, unfortunately, some scientists who see in every weather anomaly the specter of a global-warming apocalypse. Explaining each successive phenomenon as a result of human action gives them comfort and an easy answer. Others of us scratch our heads and try to understand the real causes behind what we see. We discount the possibility that everything is caused by human actions, because everything we've seen the climate do has happened before. Sea levels rise and fall continually. The Arctic ice cap has shrunk before. One millennium there are hippos swimming in the Thames, and a geological blink later there is an ice bridge linking Asia and North America. One of the challenges in studying global climate is keeping a global perspective, especially when much of the research focuses on data gathered from spots around the globe. Often observations from one region get more attention than equally valid data from another. The recent CNN report "Planet in Peril," for instance, spent considerable time discussing shrinking Arctic sea ice cover. CNN did not note that winter sea ice around Antarctica last month set a record maximum (yes, maximum) for coverage since aerial measurements started. Then there is the challenge of translating global trends to local climate. For instance, hasn't global warming led to the five-year drought and fires in the U.S. Southwest? Not necessarily. There has been a drought, but it would be a stretch to link this drought to carbon dioxide. If you look at the 1,000-year climate record for the western U.S. you will see not five-year but 50-year-long droughts. The 12th and 13th centuries were particularly dry. The inconvenient truth is that the last century has been fairly benign in the American West. A return to the region's long-term "normal" climate would present huge challenges for urban planners. Without a doubt, atmospheric carbon dioxide is increasing due primarily to carbon-based energy production (with its undisputed benefits to humanity) and many people ardently believe we must "do something" about its alleged consequence, global warming. This might seem like a legitimate concern given the potential disasters that are announced almost daily, so I've looked at a couple of ways in which humans might reduce CO2 emissions and their impact on temperatures. California and some Northeastern states have decided to force their residents to buy cars that average 43 miles-per-gallon within the next decade. Even if you applied this law to the entire world, the net effect would reduce projected warming by about 0.05 degrees Fahrenheit by 2100, an amount so minuscule as to be undetectable. Global temperatures vary more than that from day to day. Suppose you are very serious about making a dent in carbon emissions and could replace about 10% of the world's energy sources with non-CO2-emitting nuclear power by 2020 -- roughly equivalent to halving U.S. emissions. Based on IPCC-like projections, the required 1,000 new nuclear power plants would slow the warming by about 0.2 ?176 degrees Fahrenheit per century. It's a dent. But what is the economic and human price, and what is it worth given the scientific uncertainty? My experience as a missionary teacher in Africa opened my eyes to this simple fact: Without access to energy, life is brutal and short. The uncertain impacts of global warming far in the future must be weighed against disasters at our doorsteps today. Bjorn Lomborg's Copenhagen Consensus 2004, a cost-benefit analysis of health issues by leading economists (including three Nobelists), calculated that spending on health issues such as micronutrients for children, HIV/AIDS and water purification has benefits 50 to 200 times those of attempting to marginally limit "global warming." Given the scientific uncertainty and our relative impotence regarding climate change, the moral imperative here seems clear to me. http://mobile2.wsj.com/beta2/htmlsite/html…in_commentaries
Friedrich Posté 5 novembre 2007 Signaler Posté 5 novembre 2007 Bravo à John Christy ! Voilà un véritable savant dont l'honnêteté l'honore.
Jesrad Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Il mérite la médaille de l'honnêteté intellectuelle.
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