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Les étudiants


Messages recommandés

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Magnifique en effet !

En conséquence, ils comprennent et approuvent le mouvement des étudiants, prennent acte des décisions de leurs assemblées générales et se déclarent prêts à participer aux débats que les étudiants veulent engager sur la réforme de l’université. Ils chercheront tous les moyens possibles pour ne pas pénaliser les étudiants pour leur participation au mouvement, tout en faisant en sorte que l’acquisition des connaissances prévues par leurs cursus soit assurée.

En fait je ne vois qu'un cas où tous ces jolis objectifs contradictoires peuvent être réalisés simultanément… celui où il n'y a aucune connaissance à acquérir dans le cursus. C'est un aveu ? :icon_up:

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Magnifique en effet !

En fait je ne vois qu'un cas où tous ces jolis objectifs contradictoires peuvent être réalisés simultanément… celui où il n'y a aucune connaissance à acquérir dans le cursus. C'est un aveu ? :icon_up:

Je suis d'accord,

celà prouve juste que leur formation prévue sur 8 mois peux se faire en 7 mois (puisqu'ils disent qu'ils vont le faire)

si c'est pas du foutage de gueule ça !

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Il a failli être bon dans les années 80/85… Pas de niveau I mais il performait en groupe 2 … Ensuite… Remarquez j'ai oui dire qu'il restait bien classé dans les matières "deal de drogues" et "revendications lycééennes"….

C'est surtout que d'après la carte scolaire il se trouvait dans le même secteur que Maurice Ravel et Hélène Boucher dans l'Est parisien (12e,19e et 20e), géographiquement les deux derniers étaient situés à un carrefour entre le Cour de Vincennes, Vincennes et Saint-Mandé, quartiers et villes un peu plus huppés ce qui en faisaient de fait de bons lycées. La quasi-totalité des habitants de Nation choisissaient l'un des deux derniers pour leur réputation, quitte à marcher à pieds sur 200-300m ou prendre le métro. Maintenant que la carte scolaire a disparu, je pense que ce lycée devrait plonger un peu plus… Enfin bon, tout est relatif bien sûr!

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Tu oublies Rennes.

Je ne suis pas sure que Rennes ait été réellement instigatrice de tous les mouvements étudiants. Les plus connues sont Tolbiac Mirail et Provence, on est limite des légendes quoi…

Un peu comme la fac de Droit d'Aix (sozial traitre!)…

Un truc cool c'est que la fac de Lettres et de Droit sont côte à côte et les manifs sont obligées de passer devant Droit pour aller en centre ville. C'est assez jouissif de s'y rendre pour les entendre se faire huer et siffler.

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Je ne suis pas sure que Rennes ait été réellement instigatrice de tous les mouvements étudiants. […]

Rennes a été très agitée cette année, et surtout a été à l'origine du mouvement anti-CPE. Les cellules trotskystes locales sont très, très bien implantées.

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Rennes a été très agitée cette année, et surtout a été à l'origine du mouvement anti-CPE. Les cellules trotskystes locales sont très, très bien implantées.

Je te parle sur un plan historique. Cette année et 2005 si tu veux, nous c'est tout les ans qu'ils songent à bloquer.

Je n'arrive même plus à concevoir que l'on puisse apprécier sciemment(?) ce genre d'idée…

Invité jabial
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En général, ils ne sont pas étudiants, et ceux qui le sont ne passent pas les exams.

L'avantage d'avoir des frais de scolarité plus élevés, c'est que ça élimine d'office les parasites.

Grave erreur, ça n'élimine que les parasites pauvres. Il se trouve que les parasites riches sont gauchistes presque par définition. En fait, plus le petit con est un branleur sûr de vivre peinard grâce aux efforts ou à l'intelligence de ses ancêtres, plus il culpabilise, ce qui en fait un parfait candidat de la gauche caviar. Et d'acheter la légitimité de son argent en finançant l'extrême-gauche dans sa jeunesse puis la gauche quand il vieillit un peu. Les exceptions existes mais sont rares.

D'expérience, les libéraux les plus efficaces sont ceux qui ont connus les pires galères. Ils sont totalement vierges de culpabilité sociale, la réalité les a très tôt guéri de la non-violence bourgeoise, et ils peuvent se foutre de la gueule de la plupart des mecs qui viennent leur parler de pauvreté.

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D'expérience, les libéraux les plus efficaces sont ceux qui ont connus les pires galères. Ils sont totalement vierges de culpabilité sociale, la réalité les a très tôt guéri de la non-violence bourgeoise, et ils peuvent se foutre de la gueule de la plupart des mecs qui viennent leur parler de pauvreté.

Jesrad doit avoir les oreilles qui sifflent.

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Grave erreur, ça n'élimine que les parasites pauvres. Il se trouve que les parasites riches sont gauchistes presque par définition.

D'ailleurs, Harvard pullule de groupes extrémistes trostkystes.

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Jesrad doit avoir les oreilles qui sifflent.

Faut pas charrier :icon_up: Mon père est plutôt à l'aise financièrement (en étant parti du zéro absolu). C'est plus le fait que ça ne m'ait pas du tout mis à l'abri de quoi que ce soit qui joue, je pense.

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En fait, plus le petit con est un branleur sûr de vivre peinard grâce aux efforts ou à l'intelligence de ses ancêtres, plus il culpabilise, ce qui en fait un parfait candidat de la gauche caviar. Et d'acheter la légitimité de son argent en finançant l'extrême-gauche dans sa jeunesse puis la gauche quand il vieillit un peu. Les exceptions existent mais sont rares.

C'est un peu réducteur, mais c'est assez vrai. Je ne compte plus le nombre de connaissances qui tombent dans ce cas. Mais il s'agit plus de classe moyenne que de réels bourges.

C'est fou parce que les sociologues, adeptes des comportements de classe, ne parlent jamais de ce phénomène.

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C'est un peu réducteur, mais c'est assez vrai. Je ne compte plus le nombre de connaissances qui tombent dans ce cas. Mais il s'agit plus de classe moyenne que de réels bourges.

C'est fou parce que les sociologues, adeptes des comportements de classe, ne parlent jamais de ce phénomène.

Peut être, parce que, comme disait Bourdieu, il est toujours plus difficile de s'analyser que d'analyser les autres? Ces sociologues sont souvent la caricature de salariés d'Etat protégés et confortablement installés qui ne se posent même pas la question de leur condition sociale.

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Ceux qui participe aux blocages sont connus, il suffirait de les renvoyer de leurs facs pour qu'à l'avenir ce genre de mouvement ait beaucoup moins d'ampleur.

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Ceux qui participe aux blocages sont connus, il suffirait de les renvoyer de leur fac pour qu'à l'avenir ce genre de mouvement ait beaucoup moins d'ampleur.

Qui a le droit de virer un élève, selon quelle procédure, et surtout pour quels motifs ? De là à l'accusation de discrimination pour appartenance politique… :icon_up:

Invité jabial
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Qui a le droit de virer un élève, selon quelle procédure, et surtout pour quels motifs ?

Je ne veux pas être méchant mais c'est purement disciplinaire. Ca me paraît normal que si tu bloques une fac tu en sois viré.

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Je ne veux pas être méchant mais c'est purement disciplinaire. Ca me paraît normal que si tu bloques une fac tu en sois viré.

Il faudrait, en fait, savoir ce qu'en dit le Code de l'Enseignement, qui, à n'en pas douter, se mêle de ce qui ne le regarde pas de tels sujets.

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Il faudrait, en fait, savoir ce qu'en dit le Code de l'Enseignement, qui, à n'en pas douter, se mêle de ce qui ne le regarde pas de tels sujets.

<<code de l'éducation, article 811-1: "Ils [Les étudiants] disposent de la liberté d'information et d'expression à l'égard des problèmes politiques, économiques, sociaux et culturels. Ils exercent cette liberté à titre individuel et collectif, dans des conditions qui ne portent pas atteinte aux activités d'enseignement et de recherche et qui ne troublent pas l'ordre public.". Tout blocage de l'université ou d'un établissement d'enseignement, voté ou non, est donc illégal! >>

:icon_up:

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Tu oublies Rennes.

Rennes II pour être précis. Effectivement, une belle université rouge mais avec un président qui ne se laisse pas marcher dessus et qui a qualifié les bloqueurs de "khmers rouges" et a parlé de "comportement terroriste". Ca doit aussi être un des premiers à avoir fait voter les étudiants à bulletins secrets et même là ils étaient massivement contre le blocage.. Quelle surprise! :icon_up:

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Je ne veux pas être méchant mais c'est purement disciplinaire. Ca me paraît normal que si tu bloques une fac tu en sois viré.

D'autant que l'étudiant français, à la différence des autres étudiants dans le monde, a droit à des études subventionnées par le contribuable. A-t-on déjà vu un usager des services publics se permettre impunément de les bloquer?

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Rennes II pour être précis. Effectivement, une belle université rouge mais avec un président qui ne se laisse pas marcher dessus et qui a qualifié les bloqueurs de "khmers rouges"

et khmerdeux aussi. Ce qui est assez juste.

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http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=19348

C'est juste superbe de voir ça :icon_up:

De nombreux professeurs dans mon université interviennent également pour nous soutenir désormais. Certains viennent même en AG prendre la parole pour dénoncer "les méthodes stalinienne de ces AG" et "l'unique désir d'apporter des voix à l'extrême gauche et de faire une pseudo révolution"

J'ai adoré ces profs…

Posté
http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=19348

C'est juste superbe de voir ça :doigt:

De nombreux professeurs dans mon université interviennent également pour nous soutenir désormais. Certains viennent même en AG prendre la parole pour dénoncer "les méthodes stalinienne de ces AG" et "l'unique désir d'apporter des voix à l'extrême gauche et de faire une pseudo révolution"

J'ai adoré ces profs…

Putain j'ai failli balancer ma chaise dans l'écran en lisant ce commentaire:

Bonjour,

Un pays qui hait à ce point sa jeunesse, et à plus forte raison, la partie de sa jeunesse, qui se mobilise collectivement alors qu’on lui a appris le "chacun pour sa gueule " est un pays foutu.

Il n’y pas d’un côté les bloqueurs et les anti bloqueurs comme on voudrait nous le faire croire. Il y a d’un côté des étudiants qui ne savent dire que "moi, je " " je vais manquer mes cours ", "je veux entrer ". Une majorité, ça. Non , un agrégat d’égoismes dévastateurs incapables de la moindre solidarité même entre eux, et qui ne se retrouve que dans le vote à bulletins secrets, parce que le geste de lever ensemble la main dans une AG est déjà trop d’effort collectif.

Et de l’autre, un "nous " sûrement imparfait, sûrement maladroit, mais un nous, tout de même. Un nous qui englobe les jeunes de demain, ceux qui ne pourront plus accéder à une fac trop chère.

Merci à ces gens de vingt ans à peine, qui maintiennent ce nous malgré les coups et le mépris.

:icon_up:

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Putain j'ai failli balancer ma chaise dans l'écran en lisant ce commentaire:

"Et de l’autre, un "nous " sûrement imparfait, sûrement maladroit, mais un nous, tout de même. Un nous qui englobe les jeunes de demain, ceux qui ne pourront plus accéder à une fac trop chère."

:icon_up:

Sans doute un pauvre type qui souffre de la solitude. En principe, quand on a une vie sociale normale, on ne cherche pas l'amour, la solidarité, le bonheur.etc…. en se fondant dans un "nous" abstrait.

Bref, encore un drame de la solitude! :doigt::warez:

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Sans doute un pauvre type qui souffre de la solitude. En principe, quand on a une vie sociale normale, on ne cherche pas l'amour, la solidarité, le bonheur.etc…. en se fondant dans un "nous" abstrait.

Bref, encore un drame de la solitude! :icon_up::warez:

Hénaurme. Je peux le ressortir ? :doigt:

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Putain j'ai failli balancer ma chaise dans l'écran en lisant ce commentaire:

Malheureusement, ce genre de discours dégoulinant de bons sentiments est imparable, même s'il ne fait appel à aucune logique. C'est pour ça qu'il fait bondir, on se sent impuissant, et une réponse raisonnée sera perçue comme froide et méprisante (pour la doxa, donc peut-être faudrait-il y prêter moins attention).

Peut-être que le jour où la population comprendra justement la différence entre les notions de "convaincre" et "persuader", elle se laissera persuadée moins souvent.

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En pensant défendre ce qu'ils ont déclaré comme étant le bien de tous, ils ne font que pénaliser plus qu'autre chose leurs "semblables" (par là j'entends les autres étudiants).

J'ai entendu dans le bus l'autre jour deux petites minettes, probablement en première année de machinchose à Tolbiac, dire qu'à cause du blocage les étudiants ont été auto inscrits au régime de l'examen terminal, c'est à dire que toute leur année d'étude va être sanctionnée par un examen terminal qui aura lieu à la fin de l'année scolaire. Je pense à tous les licence I qui débarquent cette année en fac et qui ne sont pas encore au fait des partiels, de leur déroulement, du stress engendré (si on cumule à cela que la grande majorité des étudiants de premier cycle ont de grosses lacunes concernant l'écriture d'une dissert ou d'un commentaire de texte (chose qui peut être rétablie par les cours de MTU généralement donnés au premier semestre, mais là oh! Ben non ils ont été annulés pour cause de blocage), ben ça sent la débacle à plein nez, l'échec aux partiels va encore être massif cette année à moins que comme pour le bac de 2006 on le leur donne (promotion chocolat).

Sinon, il est totalement absurde de dire que toutes les facs se valent sur leur niveau :icon_up: par ex les heureux selectionnés aux Master d'Assas sont en général des HEC ou des sciences po, ou encore des titulaires de licences obtenues avec mention bien.

Pour preuve, j'ai dans mon service une apprentie en Master de Droit dans une fac de banlieue parisienne, et à la vue de son niveau d'orthographe je pense que son futur diplome sent le chocolat.

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Le point de vue du directeur de l'IEP de Grenoble :

Récit par Olivier Ihl de l’altercation

qui s’est produite le 29 novembre 2007 à l’IEPG

Devant l’émoi suscité par l’altercation qui s’est produite vers 6 h 50 devant l’IEP, je souhaitais très simplement vous apporter mon témoignage sur ce qui s’est passé. La plupart des étudiants ne sont arrivés qu’après les faits et n’ont pu se faire une idée qu’en fonction des images vidéo qui ne montrent que très partiellement le contexte de cette opération coup de poing sur l’IEP.

Dès la veille au soir, j’avais été averti par la concierge (vers 21 h 30) que des individus menaçants au nombre d’une vingtaine tentaient de rebloquer l’IEP au moyen de caddies, de poubelles et de rondins de bois. Elle avait pu les chasser par la peur que ses chiens leur inspirait.

Le lendemain matin, vers 6 h 45, j’ai reçu un appel au secours. La concierge, affolée, m’appelait pour me dire qu’ils « l’avaient enfermée dans Sciences PO ». Qu’ils étaient « agressifs », « qu’ils allaient tout casser ». Ils avaient bloqué toutes les issues, même la porte de secours à l’arrière du bâtiment. Elle ne pouvait plus en sortir (il faut savoir que nous avons impérativement besoin de deux à trois portes de secours pour les personnels en cas d’urgence).

Je suis arrivé sur les lieux à 7 h OO et n’ai pu entrer que par la fenêtre du service de reprographie où les deux femmes de ménage, terrorisées, m’ont expliqué que des individus masqués et cagoulés, portant des tiges noires en fer, les menaçaient. Je suis parti aussitôt, après les avoir rassurées car elles pleuraient, vers la porte d’entrée. J’ai découvert alors que celle-ci était totalement recouverte de poubelles, sacs, grilles de fer, rondins de bois… En entrebâillant la porte latérale et en faisant tomber certains objets, j’ai pu me glisser à l’extérieur où avec un collègue nous avons commencé à débarrasser l’entrée, conformément aux consignes qui avaient été passées en DTU. Les chiens de la concierge ont fait fuir la petite dizaine de personnes qui stationnaient là, dont certaines cagoulées. Je leur ai crié de ne pas revenir. Mais une à deux minutes plus tard, venus de Stendhal et de plusieurs parties de l’Université, un attroupement s’est formé de plus d’une cinquantaine de personnes armées de rondins (certains ont été conservés en témoignage), de tiges de fer en proférant des menaces à notre encontre. J’ai redit que je lâcherai les chiens s’ils nous attaquaient, essayant de leur faire peur pour qu’ils partent car ils étaient beaucoup plus nombreux que nous. Il faisait noir. Ces individus ne voulaient pas rester à distance. Au contraire, emmenés par quatre ou cinq leaders, d’une trentaine d’années, qui les encourageaient à faire le coup de force, ils se sont mis à nous entourer, avec l’idée de refaire leur barricade. Plusieurs me menaçaient physiquement de leur rondin de bois et d’objets en fer et me poussaient. Trop avancé, je ne pouvais plus rentrer par la grande porte, fermée, ni la petite, qui était trop loin, j’ai saisi la première chose qui me tombait sous la main pour me défendre. Avec la tige de poubelle qui était à ma portée, j’essayais de les tenir en respect.

Les cris fusaient « on va crasher le directeur » et ils m’acculaient contre la haie. Je n’avais aucune issue. Ils refusaient de rester à distance et se montraient de plus en plus menaçants, m’insultant à plusieurs reprises. Je n’ai pas voulu leur montrer que j’avais peur, ni me retourner par crainte de prendre un coup. C’est là que je me suis avancé en faisant tourner deux fois ma tige de poubelle. Aucun coup réel n’a été porté, et encore moins de blessure occasionnée. Le fameux étudiant blessé au visage » était le matin même à l’AG, sans aucune blessure. D’ailleurs, ils m’ont ensuite débordé. J’ai reçu alors une grande grille de fer qui m’a blessé aux mains et m’a luxé le petit doigt de la main gauche. Mon collègue m’a aidé à la repousser. L’altercation a été spectaculaire mais n’a pas fait de victime. Les cris ont alors redoublé : « fachos », « sarkosiste », « Destot au poteau». La police ayant été annoncée, elle a fait diversion, et une minute et demie après les forces de l’ordre intervenaient.

Depuis cet incident, mis en scène par image vidéo sélectionnée (qui ne représente jamais le groupe agresseur), ces groupuscules ont entrepris une campagne de presse extrêmement violente à mon encontre, avec mon portrait et des appels à la haine contre moi placardés dès le lendemain sur plusieurs murs de l’Université. Comme pour un lynchage.

Je trouve ces procédés parfaitement indignes. J’ai été choqué par cette violence. Je veux remercier les très nombreux signes de soutiens d’étudiants, des personnels administratifs, de collègues enseignants, de la municipalité, du Ministère et de nombreux inconnus, indignés par ces procédés caricaturaux aux allures de « chasse à l’homme ». Soucieux de favoriser un retour à la normale, je tiens à redire qu’aucune mesure administrative ou disciplinaire ne sera lancée contre des étudiants de Sciences Po. Mon intervention visait à défendre les personnels agressés (notamment la concierge et les personnels de ménage) et à sauvegarder l’intégrité des bâtiments de l’IEP.

En appelant à un retour au calme et à la sérénité pour retrouver l’esprit du dialogue et de l’enseignement,

Bien sincèrement

Olivier Ihl

Directeur de l’IEP

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