a455bcd9 Posté 13 octobre 2014 Signaler Posté 13 octobre 2014 http://www.nytimes.com/video/business/100000003173127/tirole-on-french-reform.htmlhttp://www.france24.com/en/20141013-economics-nobel-prize-tirole-downsize-state-france-economy-unemployment/ "We haven’t succeeded also in downsizing the state" "the state is too big" "France’s “big state” threatened its social policies because there will not be “enough money to pay for it in the long run”" Évidemment les plus sceptiques ne retiendront que le "we have a social model that I approve of", mais les exemples que Jean Tirole donne sont clairs : Scandinavie, Allemagne, Canada et Australie. Les deux derniers restent les pays parmi les plus libéraux au monde ( http://www.heritage.org/index/ranking http://www.cato.org/economic-freedom-world ) et les autres ne sont pas loin, et dans tous les cas largement devant la France.
condorcet Posté 13 octobre 2014 Signaler Posté 13 octobre 2014 Il n'est ni anarcap, ni même minarchiste, c'est une sorte de croisement entre une forme d'ordolibéralisme et de libéralisme classique.
Theor Posté 13 octobre 2014 Signaler Posté 13 octobre 2014 Je pense qu'on peut trouver un consensus en le rangeant dans la grande famille des socio-libéraux : favorable à un laisser-faire encadré par un Etat, et mise en place de politiques économiques et sociales, quoique modérées. Incompatible avec les libertariens, mais possibilité d'entente avec les néoclassiques.
Corned beef Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Le Venezuela de Chavez, je maîtrise à peu près le sujet. Quelqu'un a des infos fiables et complètes sur l'Équateur de Correa et la Bolivie de Morales (qui vient d'être réelu) ?
Hayek's plosive Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Economic Freedom of the World: 2014 Annual Report In this year’s index, Hong Kong retains the highest rating for economic freedom, 8.98 out of 10. The rest of this year’s top scores are Singapore, 8.54; New Zealand, 8.25; Switzerland, 8.19; Mauritius, 8.09; United Arab Emirates, 8.05; Canada, 8.00; Australia, 7.87; Jordan, 7.86; and, tied for 10th at 7.84, Chile and Finland. The United States, once considered a bastion of economic freedom, now ranks 12th in the world, tied with the United Kingdom at 7.81. Due to a weakening rule of law, increasing regulation, and the ramifications of wars on terrorism and drugs, the United States has seen its economic freedom score plummet in recent years, compared to 2000 when it ranked second globally. The rankings of other large economies in this year’s index are Japan (23rd), Germany (28th), South Korea (33rd), France (58th), Italy (79th), Mexico (91st), Russia (98th), Brazil (103rd), India (110th), and China (115th). HK 1er, US et UK 12e ex-aequo, France, 58e.
poney Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Oui, oui, il est bien ce qu'on appelle un néolibéral. Plus libéral qu'un soc-dem, plus socialiste qu'un libéral. A tout prendre, c'est mieux que Piketty.
Mathieu_D Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Si bas l'Italie dans le classement ? Je ne pensais pas.
Nihiliste frustré Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Franchement, je vais encore passer pour un intégriste mais j'assume : ton extrait n'est pour moi pas libéral, tout au plus vaguement néolibéral, ou social-libéral.Je reprends le texte : la crise ne peut s’expliquer simplement par les défaillances de marché.libérhalal Tout d’abord, un mélange de réglementations inadaptéeslibérhalal et de laxisme dans leur mise en oeuvre ont, surtout aux Etats-Unis mais également en Europe, fourni aux acteurs les incitations pour prendre des risques importants, in fine sur le dos de la collectivité, et plus particulièrement sur celui du contribuable.Je ne sais pas si il y a eu laxisme dans la mise en œuvre de certaines règles mais les mauvaises incitations sont plutôt dues à celles qui ont été bien mises en œuvre. Et effectivement, les contribuables ont pris cher. Ensuite, les défaillances de marché et de la régulation n’auraient jamais eu un tel impact si un excédent de liquidités n’avait encouragé à la prise de risque. Le tableau dressé ici est celui d’une défaillance massive du système de régulation financière, de sa conception à sa mise en œuvre. Si certains comportements individuels du monde de la finance sont choquants, la dénonciation globale de la “finance folle” est futile. Les acteurs du monde financier, comme tous les agents économiques réagissent aux incitations auxquelles ils sont confrontés. De mauvaises incitations génèrent de mauvais comportements.Rien à redire. De nombreux responsables ont assimilé libéralisme à “laissez-faire” plutôt qu’à son vrai sens, “responsabilisation”,Totalement libéral. c’est-à-dire la mise en place d’institutions et d’incitations appropriées pour faire coïncider les intérêts privés avec l’intérêt général.Je pense que cette proposition est plus qu'intéressante, je n'ai jamais compris comment on pouvait vouloir instaurer le libéralisme sans penser que c'est dans l'intérêt général. Peut-être est-ce parce que seules les particules fondamentales existent et que la société ou l'individu ne sont que des illusions trompeuses qui me font croire que j'existe alors que seuls les quarks qui me composent sont réels... L'intérêt général comme intérêt de la société elle-même est discutable (anthropomorphisme toussa), l'intérêt général comme somme des intérêts individuels aussi (optimum de Pareto, si le sacrifice d'un seul rapporte plus aux autres que ça ne leur coute, alors il faut le faire...) mais en tant que ce qui profite à tous sans exception (subjectivement, hein), je ne vois pas où est le problème. Le socialisme rend certains intérêts individuels particulièrement nuisibles pour les autres, individuellement ou en tant que groupe. Un libéral, c'est un mec qui dit que cette nuisance est objective : comme l'est le bénéfice d'une libéralisation, profitant à tous sans exception, et étant donc dans l'intérêt général. Et dans cette optique, une libéralisation reviendrait précisément à réconcilier intérêt général et individuel. Pas un libéral, donc, mais déjà vachement moins iédologique et socialiste que la moyenne française.Comme Keynes par exemple...
Mister Polark Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Pascal Terrasse (PS) dit «oui» à un transfert de la Sécu vers les complémentaires santé Le député socialiste de l’Ardèche, Pascal Terrasse, plaide pour que les soins les moins graves soient désormais pris en charge par l’assurance complémentaire santé et non plus par la Sécurité sociale. Le député socialiste de l’Ardèche Pascal Terrasse n’a pas mâché ses mots lors de son intervention à Réavie, ce mardi 7 octobre. Ce spécialiste des affaires sociales s’est très clairement prononcé pour une prise en charge des «petits soins» par l'assurance maladie complémentaire, alors que la Sécurité sociale se concentrerait sur les pathologies lourdes. «Oui, il faut aller vers ce transfert, et y aller à fond», a t-il déclaré, avant d’ajouter que ce mouvement exigeait que les organismes complémentaires disposent de réels outils de gestion du risque : «Il faut avancer sur l’open data, je le demande au gouvernement.» Les associations de patients et la Mutualité française, notamment, ont récemment critiqué les dispositions prévues dans le projet de loi de santé concernant l’accès aux données de remboursement. Le précédent Jacques Barrot Pascal Terrasse a bien conscience que ces déclarations risquent de heurter – «Cela va coincer» –, notamment dans son propre camp politique. En 2002, Jacques Barrot, ancien ministre des Affaires sociales et alors chef de file de l’UMP à l’Assemblée nationale, s’était prononcé en faveur d’une prise en charge différenciée entre le «petit risque» et le «gros risque», déclarations qui avaient suscité une vive polémique et de violentes critiques contre ce que certains considèrent comme une remise en cause de la Sécurité sociale. Prélèvements obligatoires élevés «Le monde avance, le monde change. Et la Sécurité sociale de 1946 n’était sûrement pas ce que certains prétendent», a expliqué Pascal Terrasse en mettant en avant la généralisation de la complémentaire santé et l’impossibilité d’augmenter les cotisations, au regard du taux actuel de prélèvement obligatoire. Cela dit, nombre d’acteurs de la santé ont toujours pointé la difficulté de définir ce qu’était le «petit risque». http://www.argusdelassurance.com/reavie-2014/pascal-terrasse-ps-dit-oui-a-un-transfert-de-la-secu-vers-les-complementaires-sante.83820
Mister Polark Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Le Venezuela de Chavez, je maîtrise à peu près le sujet. Quelqu'un a des infos fiables et complètes sur l'Équateur de Correa et la Bolivie de Morales (qui vient d'être réelu) ? Ca m'intéresse aussi. Surtout la Bolivie suite au reportage de FR2 hier soir je crois. Ou le JT explique que le pib a été multiplié par 3. La pauvreté à reculé de 15%. La niveau de vie a augmenter ... C'est dès le premier tour, que le président de gauche a été réélu, avec 61% des voix. Le candidat de l'opposition de droite n'en a recueilli que quelque 21%, lors d'élections qui se sont déroulées dans une parfaite régularité (il est vrai que le vote est obligatoire dans le pays). Comment expliquer cet exploit ? Par la croissance du pays, 5,2%, la plus élevée du continent, et dont les effets se font sentir dans la population : le gaz arrive progressivement dans les logements des plus pauvres, des routes, des hôpitaux, des stades, des usines, ne cessent de sortir de terre. Contrairement à ce que prédisaient certains, la nationalisation de l'énergie par rachat d'actions aux industriels, voici deux ans, n'a pas conduit le pays au bord du gouffre, au contraire. Le président a pu aussi compter sur le soutien des classes moyennes, qui se sont massivement portées sur son nom. Et même le patronat lui est reconnaissant de la stabilité du pays.Une telle nouvelle, un matin, devrait logiquement occuper une bonne partie des journaux d'information. Haletants, les présentateurs devraient interroger leurs envoyés spéciaux : expliquez-nous ! Un président de gauche réélu ? En tenant ses promesses, et au-delà ? Des nationalisations bénéfiques pour tout le monde ? Quelles sont les recettes ? Quelques unes d'entre elles seraient-elles, par miracle, transposables ? Mais non. Dans le meilleur des cas, la réélection d'Evo Morales en Bolivie est traitée en brève dans les journaux du matin. Le plus souvent, elle passe à l'as. Du côté de la presse libérale, ce silence se comprend. Voici deux ans, Le Figaro soulignait le risque des nationalisations : l'effondrement de la production pétrolière. Celle-ci ne s'étant apparemment pas produite, Le Figaro reconnait, sportivement quoique brièvement, le succès de la politique Morales. Quant au Monde, sa correspondante à Lima, même si elle a constaté la prospérité économique bolivienne, l'attribue à...la croissance chinoise, qui a dopé ses exportations de minerais et d'hydrocarbures. L'explication par les nationalisations est simplement suggérée en seconde place, au conditionnel, et prudemment placée dans la bouche de Morales lui-même. A gauche aussi, il n'est pas impossible que le cas Morales dérange : pensez, un président de gauche qui a légalisé le travail des enfants à partir de dix ans, et apparemment à la demande des enfants eux-mêmes: qu'en penser ? Voilà qui bouscule toutes les catégories. Les débats se poursuivent jusque dans nos forums. Même Mélenchon, pourtant doté d'antennes surpuissantes en Amérique latine, semble l'avoir perdu de vue sur son blog. Le miracle bolivien n'aura pas de savants docteurs. http://www.arretsurimages.net/breves/2014-10-13/Chut-Le-president-de-gauche-a-ete-reelu-id18061
Theor Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Economic Freedom of the World: 2014 Annual Report HK 1er, US et UK 12e ex-aequo, France, 58e. Ce sont les chiffres de l'institut Cato. La fondation Heritage publie le même indice avec une méthodologie légèrement différente. On retrouve sensiblement les mêmes places dans le classement, mais la France est 70ème, plombée par le poids de l'Etat. http://www.heritage.org/index/ranking
poney Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Je viens de recevoir un mail, Bruno Martinelli vient de mourir ce matin de son cancer...
PJE Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 http://www.argusdelassurance.com/reavie-2014/pascal-terrasse-ps-dit-oui-a-un-transfert-de-la-secu-vers-les-complementaires-sante.83820 Il est en train de basculer dans le coté obscur de l'ultra-libéralisme. Rechercher des prix de marché dans le secteur de la santé, c'est un coup à se faire insulter par tous les élus de tous les partis politiques français.
PJE Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 La France : 15 % des dépenses sociales mondialesLa France est hypersocialisée et hyperendettée. Le constat sonne rabâché et les controverses à ces deux sujets ressassées. Une manière originale de présenter les problèmes est de souligner les proportions, en se comparant à l'échelle du monde. Il ne s'agit pas de fournir ici de nouvelles données détaillées (elles abondent) mais de fixer les idées (qui importent davantage). Si, dit-on, on pourrait faire dire n'importe quoi aux chiffres, ce n'est pas vrai des ordres de grandeur. Les agences internationales (Banque mondiale et FMI aux premiers rangs) compilent, agrègent, analysent, critiquent. Les appareils statistiques recueillent des informations toujours plus fournies. Situer la France ne nécessite pas de l'économétrie ou de la comptabilité publique élaborées. Pour un ordre d'idées, la règle de trois demeure un excellent outil. La France, avec ses 65 millions d'habitants, compte donc environ pour 1 % de la population humaine. Le PIB mondial, en 2011, est d'environ 50.000 milliards d'euros. Le PIB français, avec ses 2.000 milliards, s'élève donc à 4 % du PIB mondial. Voilà. Ce n'est pas compliqué. On pourrait raffiner, pour davantage de rigueur et des précisions après la virgule, mais cela ne changerait pas grand-chose à cette proportion de 4 %, d'ailleurs très stable depuis les années 1950. Plus innovante, l'Organisation internationale du travail estime, dans un captivant travail récent, que les dépenses sociales représentent, au total, dans le monde 9 % de ce PIB. Donc, en gros, 4.500 milliards d'euros passent en dépenses sociales. Il s'agit là de retraites, d'assurance-chômage, d'accidents du travail, de prestations familiales, de couverture santé, etc. La France se situe au premier rang mondial (ou dispute ce titre avec le Danemark) en ce qui concerne la part de sa richesse nationale affectée à la protection sociale. On tourne autour de 33 % du PIB. En 2011, ce sont 670 milliards d'euros, soit 15 % des 4.500 milliards de dépenses sociales mondiales. Bien des précisions et révisions pourraient être apportées, mais l'ordre de grandeur est assez clair. Dans l'absolu, rien ne permet de tirer immédiatement de ce constat qu'il y a trop en France et pas assez ailleurs, ou bien pas assez ailleurs et juste ce qu'il faut en France. Cependant, pour se faire une religion, il est bon de connaître ces proportions… Il est aussi possible de se surprendre avec l'endettement public. En 2011, l'endettement public mondial se monte à 35.000 milliards d'euros. Avec ses presque 2.000 milliards (l'équivalent de son PIB), la France ne compte que pour 6 % de la dette publique mondiale (contre 26 % pour les Etats-Unis, ou 24 % pour le Japon). Nous semblons donc, relativement, bien plus socialement dépensiers que publiquement surendettés. Naturellement, tout est dans la qualité, le contenu et l'orientation, de la dépense sociale (compensation ou investissement) comme de la dette publique (selon qu'elle est ou non détenue par des nationaux). L'image qui ressort de ces rapides règles de trois a toutefois de quoi surprendre. Moins de 1 % de la population mondiale consomme et finance (ce sont deux façons complémentaires de voir la question) environ 15 % de la protection sociale mondiale, tout en devant rembourser 6 % de la dette publique totalisée dans le monde. La statistique est certainement moins pesante que la situation.Julien Damon http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0203846993245-la-france-15-des-depenses-sociales-mondiales-1052726.php
Theor Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 J'ai entendu d'un collègue "15% du PIB mondial", ça me paraissait inimaginable. In other news, c'est au tour des Finlandais de vouloir interdire les billets de 200 et 500€. http://yle.fi/uutiset/police_request_500_euro_banknotes_be_taken_out_of_circulation/7527539
Mathieu_D Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Dépenses sociales ça implique forcément redistribution étatique ?
TYRION Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 J'avais une plutôt bonne opinion d'ARTE, même si je regarde pas souvent, mais apparemment leurs documentaires sont quand même un peu orientés... http://www.challenges.fr/economie/20141014.CHA8889/pourquoi-la-serie-d-arte-sur-le-capitalisme-est-un-naufrage.html
TYRION Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 interested? http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1245715-l-homme-qui-a-100-orgasmes-par-jour-un-cas-tres-rare-voire-unique-chez-les-hommes.html?utm_source=outbrain&utm_medium=widget&utm_campaign=obclick&obref=obnetwork
Corned beef Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Arte, c'est de très bons reportages sur la science et les animaux. Le reste : poubelle. En gros, tout commence avec Adam Smith (1723-1790), théoricien du capitalisme de libre marché, avec la publication de son ouvrage de référence, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776). Les deux premiers épisodes lui sont plus ou moins consacrés. Mais en fait Smith n’est pas l’inventeur du capitalisme. Il n’a fait que mettre en forme une théorie amorcée par deux médecins, William Petty et François Quesnay. Et même, selon Ilan Ziv, la vraie date fondatrice du capitalisme serait 1492, année de la découverte de l’Amérique. Les premiers capitalistes auraient été des aventuriers, les conquistadors, qui s’endettaient pour financer leurs expéditions et n’avaient de cesse de se renflouer en pillant les pays dans lesquels ils s’installaient. Mediapart.
Tramp Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 (optimum de Pareto, si le sacrifice d'un seul rapporte plus aux autres que ça ne leur coute, alors il faut le faire...) Ça c'est l'utilitarisme. L'optimum de Pareto, c'est justement le moment ou on arrête de bouger parce que l'amélioration de l'utilité des uns ne peut plus se faire qu'aux dépends des autres.
Tramp Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Dépenses sociales ça implique forcément redistribution étatique ? Oui et non. Une bonne partie des cotisations sont proportionnelles aux revenus mais une bonne partie des prestations sont proportionnelles aux cotisations. Même si ça l'est de moins en moins depuis que c'est l'État qui gère la Sécurité sociale.
Theor Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 J'avais une plutôt bonne opinion d'ARTE, même si je regarde pas souvent, mais apparemment leurs documentaires sont quand même un peu orientés... http://www.challenges.fr/economie/20141014.CHA8889/pourquoi-la-serie-d-arte-sur-le-capitalisme-est-un-naufrage.html Bravo, tu es capable de regarder Arté. Des fois, on peut le regarder pour s'amuser (https://www.liberaux.org/index.php/topic/34888-nouvelles-du-monde-sans-int%C3%A9r%C3%AAt/page-1615 ), mais en général c'est juste abominable de subjectivité.
poney Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Smith est un philosophe moraliste, c'est un bon détecteur à idiots utiles qui parlent de ce qu'ils ne connaissent pas, quand ils en font un économiste.
Noob Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Ça c'est l'utilitarisme. L'optimum de Pareto, c'est justement le moment ou on arrête de bouger parce que l'amélioration de l'utilité des uns ne peut plus se faire qu'aux dépends des autres. t'as sorti cette citation d'où ? Comprendre à ce point la de travers l'optimum de pareto c'est quand même une prouesse. (je suis d'accord avec toi, je me demande d'où tu sors la citation que tu as mis.)
Hayek's plosive Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Arté, la derniere fois que j'ai regardé, c'était sur recommendation de FJ a propos d'un documentaire de propagande sur les Khmers Rouges. Faut que ca soit la pire atrocité commise par les communistes pour qu'ils se décident a dire que ouais, peut-etre, les trucs de gauche ca peut faire des trucs pas bisou.
Noob Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 De Nihiliste Frustré. Ha ben zut, pardon à NF pour cette moquerie, mais oui tu t'es un peu planté.
Theor Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Arté, la derniere fois que j'ai regardé, c'était sur recommendation de FJ a propos d'un documentaire de propagande sur les Khmers Rouges. Faut que ca soit la pire atrocité commise par les communistes pour qu'ils se décident a dire que ouais, peut-etre, les trucs de gauche ca peut faire des trucs pas bisou. Et encore, dans les années 70, Libé et Le Monde se faisait une joie d'encourager leur résistance à l'impérialisme. http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-aveuglement-des-intellectuels-face-au-genocide-khmer-rouge_1069522.html http://cambodge.blogs.liberation.fr/2009/2009/10/lib%C3%A9-les-maos-et-les-khmers-rouges.html#more http://www.lemonde.fr/festival/article/2014/07/24/le-jour-ou-le-monde-salue-l-arrivee-des-khmers-rouges_4461932_4415198.html
poney Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Voir le travail/rapport d'étudiant de Alix Morel.
Adrian Posté 14 octobre 2014 Signaler Posté 14 octobre 2014 Imaginez, Nadine Morano vous interpellent dans la rue .. Que faites vous ?
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