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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

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Talk talk, Jimmy Summerville, Cock Robin, Mike Oldfield, Depeche Mode ... cool les années -90 B)

 

... sans oublier guns 'n roses !

 

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C'est quoi ce débat de vieux combattants? A chaque décennie ses bonnes choses. Dans les 90's il y a Radiohead par exemple et puis Morcheeba aussi.

Aujourd'hui il faut la chercher un peu plus la bonne musique mais on la trouve.

RATM, noir des', Therapy, excellente epoque. Et aujourd'hui, on trouve d'excellentes choses aussi.

Je trouve que depuis une bonne vingtaine d'annees, l'offre est assez fantastique dans tous les genres.

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Selon Alice Feiring qui annone tenir l'info du dernier sommelier de Staline, celui-ci buvait 100 bouteilles de vin par mois.

 

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La relève n'a pas été là, c'est le problème. Qu'est-ce que c'est cheesy les 80s en plus.

Boîtes à rythme et synthés dégueux. :icon_kotze:

Mais ça va pas, non ?

La liste de nouveautés musicales exceptionnelles du début des années 80 (1978-1985, à la louche) est interminable. Et pour tous les goûts en plus.

Des groupes comme New Order, Siouxsie, c'est cheesy?

Les groupes "gothiques", je pense à Bauhaus, Sisters of mercy, etc., c'est du sunthé tout pourri?

:facepalm:

Il y a aussi un revival du ska avec Madness, The specials.

Les années 80, ça n'est pas que des clips ridicules avec des épaulettes et du synthé. C'est aussi de l'excellente musique comme on n'en fait plus.

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Hmm qui c’est qui a lancé le débatoupourri déjà ?

Les 90's sont la continuité des mauvaises 80's.

Séminariste Tramp, vous m’ferez 8 Pater et 12 Ave. Et qu’ça saute !

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Jean Luc Mélanchon se fache tout rouge contre un jeu vidéo :


« C'est de la propagande contre le peuple. Le peuple, c'est des barbares, des sauvages sanguinaires. Et celui qui est notre libérateur à un moment de la Révolution, Robespierre, est présenté comme un monstre. On dénigre pour dénigrer ce qui nous rassemble, nous les Français. C'est une relecture de l'histoire en faveur des perdants et pour discréditer la République une et indivisible. »

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RATM, noir des', Therapy, excellente epoque. Et aujourd'hui, on trouve d'excellentes choses aussi.

Je trouve que depuis une bonne vingtaine d'annees, l'offre est assez fantastique dans tous les genres.

 

...apres le desert de merde des 90s surtout vers la fin

enormement de musique electronique de merde absolument naze dans les 90s, plein de groupe encenses par le media qui font des albums nuls a chier, des kilometres de tek pourrie ( je pense en particulier aux remixes jazz de merde pour bobos qu'on entendait partout et qui debordait sur la house normale,  l'invention de la Dance...

c'etait aussi une decennie ou ils ont essaye de melanger de l'electro avec les vieux groupes d'avant et c'etait quasiment  toujours a chier.

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Cette découverte.

 

 

Non, les Juifs ne sont pas tous riches
 

Les auteurs de “Jews got money”, un documentaire sur la pauvreté des Juifs, sujet tabou, ont enchaîné les refus de diffuser leur film.

“Les Juifs pauvres, ça existe ?” C’est suite à cette réflexion de l’un de ses amis, après avoir vu La Petite Jérusalem, un film de Karin Albou sur le quartier juif de Sarcelles, ­que Sasha Andreas décide de s’attaquer  à ce sujet dont on parle peu : la pauvreté au sein de la communauté juive. Mais le cliché selon lequel “les Juifs ont de l’argent” est bien ancré dans les esprits, et la précarité de certains d’entre eux semble être un réel tabou. Pour preuve, deux ans après le bouclage du film, les auteurs de Jews got money n’ont toujours pas trouvé de salle pour diffuser leur documentaire.

“Mettre fin à un stéréotype”

“Un Juif new-yorkais sur cinq vit dans la pauvreté”, affirme Anna Heim, productrice du film. L’équipe du film a choisi de concentrer son attention sur New York. Dans leur documentaire de quarante minutes, sociologues, membres d’associations caritatives, représentants officiels de la communauté juive ont la parole. Le réalisateur voulait “mettre fin à un stéréotype dangereux”,  nous explique Anna Heim. Dans une tribune sur le Huffington Post, la réalisatrice racontait:

“Il n’y a pas de raison de cacher l’existence des Juifs pauvres. Non seulement cela nourrit l’antisémitisme, mais cela prive aussi les associations qui leur viennent en aide de dons dont elles manquent toujours autant”.

Mais alors que l’objectif du film est de faire prendre conscience d’une réalité, les réactions ont pu être étonnantes, témoigne Anna Heim :

“Nous avons même été accusés de créer le cliché sur les Juifs riches”.

Pourtant, le but est bel et bien de souligner un fait qui tient de l’évidence : pourquoi, précisément, n’y aurait-il pas de Juifs pauvres ? “Certaines personnes qui ont vu le film nous ont dit : ‘c’est logique que tous les Juifs ne soient pas riches’. Nous avons mis le doigt sur une évidence”, rapporte la productrice.

Aucun distributeur, peu de couverture médiatique

Alors même que Jews got money traite d’un sujet qui se fait rare au cinéma et dans les médias en général, l’équipe du film a eu beaucoup de mal à trouver des financements, explique Anna Heim :

“Nous avons donc décidé de le tourner à New York, avec un très petit budget”.

Mais les difficultés ne faisaient que commencer. Si le cliché a la vie dure parmi les personnes non juives, il existe aussi au sein de la communauté juive. “C’est un tabou, répète Anna Heim, les Juifs ont peur d’être mal vus. Il n’y a pourtant aucune raison : il existe de très nombreuses raisons pour lesquels des Juifs vivent dans la pauvreté.” Trouver des témoins et spécialistes qui acceptent de parler du sujet n’a donc pas non plus été chose facile. Et au moment de diffuser le film, tous les interlocuteurs vers lesquels se sont tournés Anna et Sasha ont refusé :


“On nous renvoyait souvent vers des membres de la communauté juive, qui n’étaient pas plus intéressés que les autres”.

Même problème avec les médias. Anna Heim évoque un article de Rue 89, et quelques-uns dans la presse anglophone. “Mais nous aimerions que les médias français en parlent, regrette la productrice, car nous sommes Français.”

“Nous voulions que les gens voient notre film”

Deux ans après, Sasha et Anna ont trouvé une solution : diffuser le film sur Internet. Il est disponible sur la plate-forme Reelhouse, un site canadien qui permet la mise en ligne de films indépendants. Les internautes peuvent louer ou acheter le film pour un petit prix. Une démarche de dernier recours pour le réalisateur et sa productrice :


“Cela risque de compromettre le film de le mettre sur Internet. Nous avons pris cette décision après avoir frappé à toutes les portes”.

Mais une raison a motivé les deux auteurs de Jews got money à prendre ce risque : “Nous avons fait ce film pour son message. Nous voulions que les gens le voient“.

 

http://www.lesinrocks.com/2014/11/13/actualite/jw-got-mone-docu-trouve-pas-distributeur-11535221/

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Deux couillons ont compris qu'il existait des juifs pauvres et veulent le faire savoir au monde entier

Non mais WTF, ils sortent d'où eux pour découvrir ça un petit matin à 40 ans???
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Non mais WTF, ils sortent d'où eux pour découvrir ça un petit matin à 40 ans???

 

Dans leur prochain film, ils vont nous montrer qu'il existe des riches en Afrique mais personne ne le savait. :)

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Je remarques que personne ne remet en question Rage Against The Machine malgré le positionnement ouvertement marxiste du groupe. (Surtout pas moi)...

Ça c'était du pur rock... 90's...

 

ils ont fait 1 morceau.

 

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"Les année 80 tu as quelques grosses bandes de taffioles, mais par rapport aux décennies avant ou après c'est triste."

 

je suis d'accord en fait

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Un nouveau blog qu'il est bien:

 

Paris à chier.

 

Haha, la description du Batofar.

 

 

À quelques encablures du périphérique et des voies ferrées de la gare d’Austerlitz, c’est dans une atmosphère cantine, œuf pourri et rat d’égout que cette cabotière merdique propose une restauration en dessous de tout, de la qualité au service. Burgers faisandés, tagliatelles pourries à 65 euros du kilo, le tout servi par des cons désinvoltes et impudents. Même les rats qui fréquentent le secteur ne voudraient pas de cet outrage à la gastronomie. Si vous n’êtes pas tombés malades après cela, vous pourrez toujours rejoindre les ploucs et les pétasses qui s’entassent dans la cale, comme des déportés dans un wagon à bestiaux, pour se pâmer devant les forfaitures musicales de quelques DJ tout juste bons à pendre au grand mât d’artimon.

Sur le pont, une terrasse bruyante offre une vue imprenable sur la BNF et le ministère des finances, à savoir tout ce qu’on on a fait de plus laid en matière d’architecture à Paris. On y trouve des bêcheuses de province sans importance – mais qui s’en donnent avec leurs défroques Zadig & Voltaire – rivalisant de bêtise et d’inculture crasse, le tout parfumé par les effluves fétides et puantes des eaux de la Seine.

Qu’on les enferme à fond de cale au pain sec et à l’eau.

 

Magique.

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Bof je trainais quelques fois au Sans Souci et la description qu'il en fait est bidon.

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Ha bah le tigre en liberté en région parisienne est en fait un gros chat.

Un Maine Coon :lol: Il s'était passé la même chose avec la 'panthère' de Marseille.
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