neuneu2k Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Evidemment qu'on pars du principe qu'elle est seule au monde, de toute façon, dans l'optique capillaire, dépendre de ses proches, c'est de l'esclavage aussi, ce n'est pas de l'esclavage que si on reçoit sans jamais rien devoir en échange, même pas de la reconnaissance.
Messer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 [life ON] Jviens de me faire pounaid par une "collègue" de taf, fonctionnaire, syndiquée, féministe etc. Bref, elle raconte ses diatribes jusqu'à la phrase, le travail c'est de l'esclavage moderne. Je ne laisse pas passer, j'argument, travail = contrat, = absence de contrainte or esclavage = contrainte. Et j'ai eu le droit au pauvre argument pourrave "imagine la mère de 3 enfants etc etc", et là, j'ai rien trouvé à répondre outre le fait qu'elle ait prit un cas marginal. Ok, ça vient du caniveau mais bon, reste que je suis en colère contre moi-même, n'ayant pas su quoi répondre à cet argument pleurnichard et démago. [life OFF] Personne ne l'a forcé à faire des gosses. Mais ça passe très, très mal comme argument avec des femmes, qui tendront à utiliser l'émotion plutôt que l'argumentation. Elle peut toujours démissionner hein, les gens oublient qu'il y a pire que de se faire exploiter, c'est de ne pas se faire exploiter du tout.. Moi je suis entouré de femmes, je laisse couler, je baigne dans un océan de bons sentiments gauchisants. Je laisse parler.
fryer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Sur le coup des gosses oui, mais je serais pragmatique en disant qu'elle peut être veuve ^^
Marlenus Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Rien ne lui interdit de monter sa boite. Ou de vendre ses compétences en libéral plutôt que d'être salarié. (ça si c'est le salariat qui égale esclavage). A l'argument "mais si elle n'a pas de compétences valable sur le marché du travail". Tu réponds: "1-Donc son employeur la paye par charité? 2- Tu es en train de mépriser ses personnes en disant qu'elles n'ont pas les compétences pour rebondir, tu préfère leur répéter qu'elles sont médiocres pour te rassurer sur tes capacités" Si c'est le travail tout court qui est de l'esclavage. dans ce cas avoir des enfants et rentrer dans la logique bourgeoise (c'est bien de foutre du bourgeois quand tu parles à un gauchiste) de la femme pondeuse (et hop une saillie "féministe") c'est entrer en esclavage pour ses enfants. L'avortement est autorisé de nos jours pour sortir de cet esclavage.
fryer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 j'aime bien les points 1 et 2, ça remet en place cette attitude de "l'autre est de toute manière moins capable que moi".
JackieV Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Allez jme fais l'avocat du diable, même si je ne suis pas d'accord avec ce que je vais énoncer. "Elle peut démissionner mais elle ne peut pas voyons, ce travail est sa seule source de revenu (admettons). " Evidemment je peux rétorquer, qu'elle peut prendre un risque en changeant d'emploi, pour trouver mieux mais là on peut me contrer en disant pas de formation donc boulot de basse qualification etc. Je suis con de débattre avec ce genre de personne car elle n'aura jamais tort mais même, ça me blesse un peu de me dire que je passe pour le connard de service, irréaliste en disant "bah qu'elle quitte son job, elle trouvera mieux ailleurs si elle est doué". Et encore, j'élude le coté "j'ai 3 enfants donc j'ai pas le temps de bosser à plein temps, de me former etc etc". C'est clairement quelqu'un qui de mauvaise foi. "Quoi? Si tu ne vois pas la différence entre cette situation et l'esclavage, c'est qu'il y a un problème." aurait suffit à la faire réfléchir et à clore la situation. Ou un speech sur la responsabilité.
fryer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 C'est clairement quelqu'un qui de mauvaise foi. "Quoi? Si tu ne vois pas la différence entre cette situation et l'esclavage, c'est qu'il y a un problème." aurait suffit à la faire réfléchir et à clore la situation. Ou un speech sur la responsabilité. responsabilité est un mot un peu inconnu pour une fonctionnaire syndiquée qui n'en branle pas une depuis un bail (et qui ne se cache pas)
Ray Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 [life ON] Jviens de me faire pounaid par une "collègue" de taf, fonctionnaire, syndiquée, féministe etc. Bref, elle raconte ses diatribes jusqu'à la phrase, le travail c'est de l'esclavage moderne. Je ne laisse pas passer, j'argument, travail = contrat, = absence de contrainte or esclavage = contrainte. Et j'ai eu le droit au pauvre argument pourrave "imagine la mère de 3 enfants etc etc", et là, j'ai rien trouvé à répondre outre le fait qu'elle ait prit un cas marginal. Ok, ça vient du caniveau mais bon, reste que je suis en colère contre moi-même, n'ayant pas su quoi répondre à cet argument pleurnichard et démago. [life OFF] Que penses-tu de quelque chose dans ce genre-là : Tu as tout à fait raison, il est pénible d’être salarié à notre époque. Cependant les salariés sont dans cette situation pénible en raison du chômage. L'existence d'un chômage important place les patrons en position de force et enlève aux salariés leur pouvoir de négociation. C'est d'autant plus regrettable que le chômage n'existe pas naturellement. Les causes en sont le SMIC et les règlementations du marché du travail - qui sont censés protéger les salariés -, mais qui au bout du compte leur enlèvent tout leur pouvoir de négociation !
fryer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Que penses-tu de quelque chose dans ce genre-là : Tu as tout à fait raison, il est pénible d’être salarié à notre époque. Cependant les salariés sont dans cette situation pénible en raison du chômage. L'existence d'un chômage important place les patrons en position de force et enlève aux salariés leur pouvoir de négociation. C'est d'autant plus regrettable que le chômage n'existe pas naturellement. Les causes en sont le SMIC et les règlementations du marché du travail - qui sont censés protéger les salariés -, mais qui au bout du compte leur enlèvent tout leur pouvoir de négociation ! haha, mais je brûle mille fois en enfer si je remet en cause le salaire minimum et l'idéal marxiste communément reconnu du contrat de travail. Mais bien évidemment je suis d'accord, sauf quand tu dis que le chômage n'existe pas, c'est faux, il existe forcément tjs du chômage ^^ Mais ok pour le reste, ça reste d'autres pistes. Mais je pense qu'avec cette fille, la discussion est impossible donc on se cantonnera à l'idée principale sans des masses argumenter (ou alors je ferme ma gueule aussi, mais c'est un peu dur pour moi haha)
Astynoos Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 C'est d'autant plus regrettable que le chômage n'existe pas naturellement. Il y a tout de même du chômage frictionnel, dû à des imperfections dans la circulation de l'information. Mais il est vrai que ce type de chômage est peu problématique car très temporaire. Néanmoins on peut dire qu'il est "naturel", dans le sens où il n'est pas causé par des distorsions étatiques. De plus Friedman évoque bien un taux de chômage naturel, même si les salaires sont au niveau d'équilibre.
Ray Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Ne vous inquiétez pas, tout est calculé Une syndicaliste n'est pas équipée pour relever une légère inexactitude économique, encore moins une qui est en état de choc parce qu'elle vient d'entendre quelqu'un remettre en cause le SMIC. L'idée principale est que le coupable des mauvaises conditions de travail est le chômage. C'est un raisonnement que même une marxiste va accepter puisque c'est celui que Marx lui-même tenait. A partir de là, la route est déblayée pour une attaque frontale contre le SMIC.
Esperluette Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Et j'ai eu le droit au pauvre argument pourrave "imagine la mère de 3 enfants etc etc", et là, j'ai rien trouvé à répondre outre le fait qu'elle ait prit un cas marginal. Je n'oublie pas les cas limites mais le mariage (en tant que contrat valable en CDI) reste une parade sûre à pas mal de tracas pour protéger les bambins. On leur établit plein de droits opposables sur chaque parent, ce qui inclut le patrimoine… et ça perdure au-delà du décès. Pas très capillaro-sympathisant, je sais.
Chitah Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 c'était surtout dans le sens, "elle est obligé de bosser, elle n'a pas le choix car il faut bien nourrir ses bambins. Pas le choix, donc esclavage moderne puisqu'à la merci du patron etc". Oui, elle est obligée de travailler pour vivre. Et alors? C'est de l'esclavage? Faux, l'esclavage est un assujettissement d'un homme sur un autre homme, pas d'un homme avec un système capitaliste. Mais je ne vais même pas parler de cela et aller droit au but : ta copine est une conne, elle prend son jeu de mot pour un raisonnement, comme les artistes qui parlent de politique. Je suis oblige de respirer pour vivre, cela veut dire que je suis esclave de l'air? Idem avec la bouffe, je suis donc esclave du steak hache qui est dans mon assiette? Non mais nimp de chez nimp. Ne te laisse pas embarquer dans une discussion avec ce genre de gogols.
Chitah Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 Ah oui j'ai oublie un point bien sur, si la mere était esclave, alors ses trois enfants appartiendraient à son employeur à leur naissance.
fryer Posté 31 août 2011 Signaler Posté 31 août 2011 nan mais c'est pas ma pote, c'est une collègue de taf, sauf qu'elle en branle pas une même si tout le monde le sait. Mais ouais, je pense que jvais la laisser déblatérer, c'est irrécupérable comme déchet. L'idée principale est que le coupable des mauvaises conditions de travail est le chômage. C'est un raisonnement que même une marxiste va accepter puisque c'est celui que Marx lui-même tenait.A partir de là, la route est déblayée pour une attaque frontale contre le SMIC. +1, j'avais pas pensé à ça, mais les raisonnemenst économiques basiques de ce style, je n'y penses pas très souvent sur le moment. @esperluette, oui sauf si le régime légal est sous la séparation de bien (à moins que tu te places hors droit positif)
Fedaykin Posté 1 septembre 2011 Signaler Posté 1 septembre 2011 nan mais c'est pas ma pote, c'est une collègue de taf, sauf qu'elle en branle pas une même si tout le monde le sait. Mais ouais, je pense que jvais la laisser déblatérer, c'est irrécupérable comme déchet. Elle l'est peut être, mais si vous débattez "en public" d'autre le sont peut être moins, ça peut donc valoir le coup de continuer à débattre
LaFéeC Posté 1 septembre 2011 Signaler Posté 1 septembre 2011 Et j'ai eu le droit au pauvre argument pourrave "imagine la mère de 3 enfants etc etc", et là, j'ai rien trouvé à répondre outre le fait qu'elle ait prit un cas marginal. c'était surtout dans le sens, "elle est obligé de bosser, elle n'a pas le choix car il faut bien nourrir ses bambins. Pas le choix, donc esclavage moderne puisqu'à la merci du patron etc". "Elle peut démissionner mais elle ne peut pas voyons, ce travail est sa seule source de revenu (admettons). " Le travail permet aux femmes d'avoir une vraie vie sociale, je vous laisse imaginer ce qu'est la vie quand on la passe à garder les gosses, c'est l'enfer. Avec 3 enfants sans boulot, je suppose que l'état-mère aide, via le RSA et les allocs.
Punu Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Un mois maintenant que je tiens à 100 % sans lire la presse ni aucun blog ou site d'info (avant je faisais quand même un petit tour une fois par semaine). Je ne vais même plus sur la page d'accueil de Yahoo.com. Je ne sais plus rien, à part ce que les gens me disent ou bien les bouts de conversation que je capte dans les lieux publics. L'impression est étrange. Deux femmes parlaient ce matin et je n'ai même pas saisi le sujet. J'ai la vague impression de ne plus vraiment faire partie du même monde - les infos comme ciment social.
Calembredaine Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 J'ai réorganisé mon bureau, j'en avais marre d'avoir la porte dans mon dos et de ne jamais savoir quand on lisait lib.org par dessus mes épaules.
h16 Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Un mois maintenant que je tiens à 100 % sans lire la presse ni aucun blog ou site d'info (avant je faisais quand même un petit tour une fois par semaine). Je ne vais même plus sur la page d'accueil de Yahoo.com. Je ne sais plus rien, à part ce que les gens me disent ou bien les bouts de conversation que je capte dans les lieux publics. L'impression est étrange. Deux femmes parlaient ce matin et je n'ai même pas saisi le sujet. J'ai la vague impression de ne plus vraiment faire partie du même monde - les infos comme ciment social. Mais tu viens encore ici. Tu peux encore faire un effort et devenir, toi aussi, un vrai ermite.
Punu Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 L'ana-r-chorétisme, j'ai assez donné. ;-)
Mike Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Le travail permet aux femmes d'avoir une vraie vie sociale, je vous laisse imaginer ce qu'est la vie quand on la passe à garder les gosses, c'est l'enfer. Avec 3 enfants sans boulot, je suppose que l'état-mère aide, via le RSA et les allocs. Une mère avec 3 gosses c'est à la louche 900€ de RSA et 500€ d'APL, une priorité absolue pour un HLM T4, + les aides diverses (ASS, ARE, and co). A moins 2500€ net par mois, ça vaut pas le coup de bosser. Celles qui le font quand même sont des saintes, pas des esclaves.
h16 Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Une mère avec 3 gosses c'est à la louche 900€ de RSA et 500€ d'APL, une priorité absolue pour un HLM T4, + les aides diverses (ASS, ARE, and co). A moins 2500€ net par mois, ça vaut pas le coup de bosser. Celles qui le font quand même sont des saintes, pas des esclaves. Heu. 2500 net, ça me paraît gros.
Mike Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Heu. 2500 net, ça me paraît gros. Je voulais dire: à moins de trouver un travail payé 2500€ net, ça vaut pas le coup de bosser.
jabial Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 Le travail permet aux femmes d'avoir une vraie vie sociale, je vous laisse imaginer ce qu'est la vie quand on la passe à garder les gosses, c'est l'enfer. Avec 3 enfants sans boulot, je suppose que l'état-mère aide, via le RSA et les allocs. Tu devrais poser la question à des femmes ayant vécu à l'époque où ça se faisait. Tu serais surprise. Les enfants ça ne demande pas une présence constante pendant 20 ans non plus. La femme enchaînée à la chambre ou à la cuisine, ça n'a jamais existé que dans les fantasmes sexistes.
Chitah Posté 2 septembre 2011 Signaler Posté 2 septembre 2011 La femme enchaînée à la chambre ou à la cuisine, ça n'a jamais existé que dans les fantasmes sexistes. En tant que modèle ne serait-ce que minoritaire, oui, mais tout de même, je te le garantis, ça arrive.
LaFéeC Posté 3 septembre 2011 Signaler Posté 3 septembre 2011 Tu devrais poser la question à des femmes ayant vécu à l'époque où ça se faisait. J'ai aps l'exemple dans ma famille, je suis issue d'une lignée de femmes qui ont tjrs travaillé (ça a commencé avec mon arrière arrière gd mère, une des 1ères femmes concessionnaire auto en France) Tu serais surprise. Va voir la rentrée des petites sections de maternelles, le nb de gosses qui n'ont jamais mis les pieds en structure collective car gardés par Maman, et les fameuses maman qui les mettent d'entrée à temps plein, pas pour aller bosser, mais pour souffler. Les instits de ces classes pètent littéralement un câble, et les mômes aussi d'ailleurs. Jusqu'à 3 ans, si t'as pas de boulot, ton môme t'es quasi obligé de le garder (sauf si t'as des sous pour une nounou) sans job pas de crèche. A partir de 3 ans la plupart des garderies sont accessibles aux parents qui bossent, pas aux autres. La présence n'est pas constante, mais l'école le libère à 16h30, qd tu es seule, tu t'en occupes jusqu'à 20h au moins, en ayant fait la maison et les courses et le reste avant qu'il ne sorte ! Jdis ça mais je suis mère célibataire avec UN SEUL môme, en bossant à temps plein j'ai très peu de temps libre, mais je préfère 1000 fois ça que de ne pas bosser !! Les enfants ça ne demande pas une présence constante pendant 20 ans non plus. Mouais, le mien n'a que 6 ans, mais je suppose que c'est qd même bcp de présence et d'attention jusqu'à l'adolescence, au moins… Enfin, l'histoire du délire féministe, pas à moi s'il te plaît…
jubal Posté 3 septembre 2011 Signaler Posté 3 septembre 2011 Jdis ça mais je suis mère célibataire avec UN SEUL môme, en bossant à temps plein j'ai très peu de temps libre, mais je préfère 1000 fois ça que de ne pas bosser !! C'est une question de tempérament et de comment tu vis avec tes mômes. Il y a des femmes qui préfèrent 1000 fois rester avec leur mômes que de bosser, et ça ne les empêche pas d'avoir une vie sociale (au contraire en fait, c'est plus facile qu'en bossant). Ceci dit je suis comme toi. J'ai fait un peu "homme au foyer", et rester 24/24 avec des mômes en bas age ça me rend fou. Mouais, le mien n'a que 6 ans, mais je suppose que c'est qd même bcp de présence et d'attention jusqu'à l'adolescence, au moins… Tu n'as pas noté comme ça devient beaucoup plus facile a partir de 4 ans ? Et a partir de 6-7 c'est encore plus facile, ils deviennent très indépendants. Après je sais pas, pas encore testé, mais j'ai l'intuition que ça devient de plus en plus facile.
neuneu2k Posté 3 septembre 2011 Signaler Posté 3 septembre 2011 Il y a des femmes qui préfèrent 1000 fois rester avec leur mômes que de bosser, et ça ne les empêche pas d'avoir une vie sociale (au contraire en fait, c'est plus facile qu'en bossant). +1, de fait, je suis convaincu que le facteur majeur de désolidarisation locale de notre société (qui encourage à se tourner vers l'état maman et a ne pas/plus imaginer de solutions de solidarités volontaires), est la suppression du travail considérable de lien social des femmes 'au foyer', les femmes ne se sont pas mises a travailler, elles ont changé de travail, a coté d'une croissance économique mesurable évidente due a l'apport des femmes dans les domaines de production, il y a eu une décroissance majeure du lien social, ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas… Qu'on s'entende bien, je pense qu'il est tout a fait souhaitable que les femmes aient le choix et puissent faire un travail d'homme si elles le souhaitent (et respectivement), mais ça ne signifie pas du tout que c'était une bonne idée d'en faire le choix par défaut et de condamner et de mépriser le travail traditionnel de la femme.
Marlenus Posté 3 septembre 2011 Signaler Posté 3 septembre 2011 +1, de fait, je suis convaincu que le facteur majeur de désolidarisation locale de notre société (qui encourage à se tourner vers l'état maman et a ne pas/plus imaginer de solutions de solidarités volontaires), est la suppression du travail considérable de lien social des femmes 'au foyer', les femmes ne se sont pas mises a travailler, elles ont changé de travail, a coté d'une croissance économique mesurable évidente due a l'apport des femmes dans les domaines de production, il y a eu une décroissance majeure du lien social, ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas… Qu'on s'entende bien, je pense qu'il est tout a fait souhaitable que les femmes aient le choix et puissent faire un travail d'homme si elles le souhaitent (et respectivement), mais ça ne signifie pas du tout que c'était une bonne idée d'en faire le choix par défaut et de condamner et de mépriser le travail traditionnel de la femme. Le problème c'est que tu ne peut dissocier le travail de la femme et le divorce. Dans une société où ton conjoint peut partir sans problèmes et sans subir de foudre de la part de la société, ne pas travailler est un risque, un gros risque.
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