BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Ben c'est exactement ce que tu dis sur tous les sujets comme la drogue, la prostitution : définis la santé publique pour commencer Ce qui irait dans le sens de la santé publique, ce serait de faire les actions (ou pas) appropriées pour limiter l'apparition de maladies, de dépendance à des drogues, d'obésité ou ce genre de choses par exemple. Pour la prostitution, il y a les risques de MST et aussi la formation de quartiers mal famés.
Eorl Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Si se soucier de la santé publique, c'est être un dangereux bolchévique, soit. En France, oui, qu'on me laisse manger gras, salé (j'aime pas le sucre et donc les fruits, fuck off with 5 fruits/légumes par jour) PS: J'ai un IMC de 20.
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Si j'ai envie de niquer mes poumons ou de baiser dans tous les coins, c'est MON problème. Si je désire me jeter du premier étage de la Tour Eiffel, c'est mon problème.
Flashy Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Bonjour la condescendance. Si se soucier de la santé publique, c'est être un dangereux bolchévique, soit. Faire le bien des gens malgré eux, c'est -a minima- amorcer le premier pas sur la longue pente de l'autoritarisme. C'est, à coup sûr, les déresponsabiliser. Quelle valeur a le choix des gens si tu leur interdis tout ce que tu considères comme "mauvais"? Quel mérite, quelle vertu y a-t-il à suivre le droit chemin si tu n'as aucun autre choix? Quelle valeur a un bonheur imposé? Tu peux critiquer leurs choix, tu peux les désapprouver, ou ignorer leurs appels à l'empathie à tout le moins : c'est là ton droit le plus strict. Mais pourquoi vouloir les empêcher de fumer, de boire, de se prostituer? Qu'ils se flinguent la santé ; qu'ils portent sur leurs épaules les conséquences de leurs choix ; qu'ils assument les souffrances infligées à leurs proches. On peut les écouter, les comprendre et être prêt à les aider s'ils y consentent.
Tremendo Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Babar, pour la santé publique il n'y a rien de mieux que les réseaux sociaux, les applications spécialisées ou le boycott. Une critique sur la dernière chiasse au restaurant du coin par Tripadvisor, Facebook ou Google maps, un médecin avec les gants sales sur les webs d'opinion de médecins et hôpitaux ou l'application de ton assurance médicale privée (en Espagne ça se fait), la dernière bagnole dont le pot d'echappement est dégueu sur un forum de fans de voitures ou dans la presse spécialisée, le boycott des produits fabriqués dans des usines douteuses. Y'en a même qui testait les médocs contre le sida avant la FDA. Pour les drogues et le reste, il y a la prévention, l'information etc... Vraiment pas besoin de l'Etat pour tout ça.
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Tramp est rebuté par les policiers, est-ce ignoble? -. Entre ma fille qui se prostitue ou me ramène un fonctionnaire de police dans mon propre foyer, le choix est dur.
Tremendo Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Entre ma fille qui se prostitue ou me ramène un fonctionnaire de police dans mon propre foyer, le choix est dur. Trop gros, passera pas
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Faire le bien des gens malgré eux, c'est -a minima- amorcer le premier pas sur la longue pente de l'autoritarisme. C'est, à coup sûr, les déresponsabiliser. Quelle valeur a le choix des gens si tu leur interdis tout ce que tu considères comme "mauvais"? Quel mérite, quelle vertu y a-t-il à suivre le droit chemin si tu n'as aucun autre choix? Quelle valeur a un bonheur imposé? Tu peux critiquer leurs choix, tu peux les désapprouver, ou ignorer leurs appels à l'empathie à tout le moins : c'est là ton droit le plus strict. Mais pourquoi vouloir les empêcher de fumer, de boire, de se prostituer? Qu'ils se flinguent la santé ; qu'ils portent sur leurs épaules les conséquences de leurs choix ; qu'ils assument les souffrances infligées à leurs proches. On peut les écouter, les comprendre et être prêt à les aider s'ils y consentent. Une interdiction trop coercitive obtient les effets contraires à ce qui était cherché, on est sans doute d'accord. Mais on peut leur faire savoir, à travers de la prévention par exemple, les risques encourrus et les effets que ça a sur la santé. Et ainsi donne une mauvaise image sociale de ces comportements. Enfin ce n'est qu'un exemple. Mais on doit aider ces gens à s'en sortir. J'essaye de faire arrêter mon père de fumer, je n'arrive pas. :'(
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Bonjour la condescendance. Si se soucier de la santé publique, c'est être un dangereux bolchévique, soit. L'excuse de la santé publique est la voie royale pour le communisme totalitaire puisque toute tes actions, de ce que tu manges à ta façon de t'asseoir sur ta chaise, peut-être considéré comme un enjeu de santé publique.
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Si je désire me jeter du premier étage de la Tour Eiffel, c'est mon problème. Ben oui. Sauf à tomber sur des passants.
Marlenus Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Si je désire me jeter du premier étage de la Tour Eiffel, c'est mon problème. Les proprios de la tour eiffel ont leur mot à dire. Mais te tuer chez toi, oui c'est ton problème.
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 L'excuse de la santé publique est la voie royale pour le communisme totalitaire puisque toute tes actions, de ce que tu manges à ta façon de t'asseoir sur ta chaise, peut-être considéré comme un enjeu de santé publique. Le nazisme Pol-Potien même.
Marlenus Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Une interdiction trop coercitive obtient les effets contraires à ce qui était cherché, on est sans doute d'accord. Mais on peut leur faire savoir, à travers de la prévention par exemple, les risques encourrus et les effets que ça a sur la santé. Et ainsi donne une mauvaise image sociale de ces comportements. Enfin ce n'est qu'un exemple. Mais on doit aider ces gens à s'en sortir. J'essaye de faire arrêter mon père de fumer, je n'arrive pas. :'( Les gros sont informé des risques encourrus. Suis sûr que ton père sais très bien ce qu'il risque à fumer.
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Le nazisme Pol-Potien même. Quand détenir quelques grammes de cocaine t'envoie à perpétuité dans une prison où tu te feras probablement violer et tabasser régulièrement, la santé publique n'en est plus loin effectivement. Ou lorsque tu te fais condamner à mort comme à Singapour.
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Les gros sont informé des risques encourrus. Suis sûr que ton père sais très bien ce qu'il risque à fumer. Pas autant que les fumeurs. Et avec les mouvements pro gros qui se développent, ça n'aide pas. Les SJW font même de la propagande mensongère à ce sujet pour lutter contre la "grossophobie". En effet, mais il ne fait pas assez d'efforts pour arrêter.
Citronne Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 On est sérieusement en train de refaire un débat pour un mec qui ne comprends visiblement pas que sa morale n'est en aucun cas supérieure a celle des autres même en la cachant sous des terminologies foireuses telles que "santé publique", "bien être social/sociétal" ou autre? Sérieusement, même dans Harry Potter on expliquait que le "greater good" était une idée erronée qui menait à des erreurs et des horreurs. A un moment, si babar ne veut pas comprendre, vaut mieux laisser tomber. Bon pour revenir à un sujet sur le féminisme: http://madame.lefigaro.fr/societe/-mise-au-ban-star-de-la-television-japonaise-sexisme-080216-112369
Flashy Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Qu'on indique aux gens les conséquences de leurs choix, OK, naturellement.Qu'on leur serine à coups de spots TV, radios, affichages, messages sur chaque support possible et imaginable, qu'il faut faire ceci ou cela, c'est un pas que je ne franchirai pas.
Bisounours Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Babar : Faire de la prévention et de l'information, c'est très bien, et c'est déjà le cas, peut être pas suffisamment, mais tout le pognon foutu en l'air pour interdire, punir, poursuivre, enfermer, juger des gens qui ont des conduites à risque sur eux mêmes réduit d'autant le pognon qui pourrait être utilisé pour informer et prévenir et mettre en place des structures d'aide (par la société civile)
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 On est sérieusement en train de refaire un débat pour un mec qui ne comprends visiblement pas que sa morale n'est en aucun cas supérieure a celle des autres même en la cachant sous des terminologies foireuses telles que "santé publique", "bien être social/sociétal" ou autre? Sérieusement, même dans Harry Potter on expliquait que le "greater good" était une idée erronée qui menait à des erreurs et des horreurs. A un moment, si babar ne veut pas comprendre, vaut mieux laisser tomber. Bon pour revenir à un sujet sur le féminisme: http://madame.lefigaro.fr/societe/-mise-au-ban-star-de-la-television-japonaise-sexisme-080216-112369 SI le relativisme absolu est ton délire, ce n'est pas le mien.
Bisounours Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 C'est pas relatif, c'est subjectif, nuance. As tu lu les liens qu'on t'a donné ?
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Pas pire que l'hygienisme absolu. C'est un truc de prog d'ailleurs.
Elphyr Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 SI le relativisme absolu est ton délire, ce n'est pas le mien.Juste qu'imposer ses idées, quelque soit la circonstance, n'a aucun intérêt.
Lancelot Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Mais on doit aider ces gens à s'en sortir.
Bisounours Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 Babar, si tu sens un devoir moral de sauver ou d'aider les drogués et les prostitués, vas y on te couvre, mets fais le avec tes moyens et ceux qui te fileront du fric volontairement, pompe pas le pognon des autres par la force, c'est tout
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 C'est pas relatif, c'est subjectif, nuance. As tu lu les liens qu'on t'a donné ? C'est subjectif les effets de la drogues sur la santé par exemple ? Oui j'en ai lu quelques uns sur la non efficacité de la prohibition.
Citronne Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 SI le relativisme absolu est ton délire, ce n'est pas le mien. Ah moi c'est la perte de temps qui n'est pas mon délire. Et la lecture de tes élucubrations pour énoncer tes petits délires de bonne morale à imposer à tous sous prétexte d'hygiénisme bien pensant en sont une.
Hayek's plosive Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 C'est subjectif les effets de la drogues sur la santé par exemple ?oui et on t'a déjà expliqué pourquoi.
Bisounours Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 C'est subjectif les effets de la drogues sur la santé par exemple ? Oui j'en ai lu quelques uns sur la non efficacité de la prohibition. Et donc ? tu continues de penser que la prohibition c'est THE solution Qui a écrit ici que les effets de la drogue à haute dose était bon pour pour la santé ?
BabarRoiDesElephants Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 oui et on t'a déjà expliqué pourquoi. Donc les cancers du poumons causés par le tabac, c'est subjectif ?
Tramp Posté 10 février 2016 Signaler Posté 10 février 2016 C'est subjectif les effets de la drogues sur la santé par exemple ? Cette question qui se veut rhétorique vient de se faire se facepalmer tout un congrès de pharmaciens.
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