Lancelot Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Sinon, pour relancer avec de l'intéressant et pas juste de la complainte continuelle sur le féminisme des FEMEN, je vous propose l'ambassadrice de bonne volonté pour le droit des femmes de l'ONUOui mais non c'est pas une bonne féministe. Et c'est pas moi qui le dit mais des féministes : http://uncsiren.com/emma-watson-gave-lesson-basic-white-feminism-bored/ http://blackfeministkilljoy.tumblr.com/post/98266792208/why-i-am-not-praising-emma-watsons-speech http://feministworldproblems.tumblr.com/post/98337443062/when-people-call-emma-watsons-un-speech-brave http://www.blackgirldangerous.org/2014/09/im-really-emma-watsons-feminism-speech-u-n/ etc.
Noob Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Crazy Stupid Love ( ) ou Hitch and co ont bien popularisé et enjolivé le mouvement je pense. Mais c'est vrai aussi du côté des femmes avec les adoptesunmec et compagnie et la volonté permanente d'afficher sa "sexualité libérée" parce qu'on a des plans cul. Autant je vois de de quoi tu parles lorsqu'on parle de Ibiza, autant dans le métro parisien j'ai de la peine à voir comment les nanas affichent leur sexualité libérée (ce qui donc attirerait les lourdeaux ?). Enfin disons que je vois bien que certaines femmes s'affichent volontiers, mais je ne pense pas que ce celles là en particulier qui se plaignent de la drague dans le métro. C'était pas trop mal, encore que son ton me rappelle Julie Borowski que je déteste particulièrement dans sa tonalité. Après, on peut dire ce qu'on veut, le féminisme libéral peut s'attaquer sous de nombreux angles. Emma Watson est encore jeune pour être une véritable ambassadrice et n'a pas forcément la maturité de prendre charge de toutes les problématiques de premier et de nième degré. Tu trouves ? C'est vrai qu'elle a un ton un peu maternant, mais c'est à mon avis lié au contexte US, où ces derniers temps n'importe quoi est sujet à la moindre crise d'hystérie (sans même compter son expérience personnelle avec les rad-fem).
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Sa voix manque d'assurance. Son discours me semble assez correct. Après, je ne donne pas vraiment d'importance aux ambassadeurs de l'ONU. Mais soit. Emma Watson est encore jeune pour être une véritable ambassadrice ambassadeur
john_ross Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Vous êtes odieux. Les lesbiennes ont parfaitement le droit d'avoir des lieux de socialisations où elles sont préservées des gros lourds. Une lesbienne c'est une bi qui n'a pas encore croisée la route de JR. Vous y pensez-vous à toutes ces pauvres lesbiennes qui ne savent pas ce qu'elles ratent? C'est quand même pas de leur faute si elles n'ont pas encore rencontré un vrai mec.
ShoTo Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Voilà, ensuite je sais pas à quel point la mode des PUA a influencé des milliers de mecs à se comporter comme des trouducs dans les lieux publiques pour "s'entraîner". Est-ce que ça a particulièrement augmenté ses dix dernières années ou pas, tel est la question. Aucun rapport entre les pua et le harcelement de rue
sans Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Je ne crois pas que le harcelleur de rue ai de volonté de nuire, et s'il en avait une un juge ne verrait pas la différence.
ShoTo Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Je ne crois pas que le harcelleur de rue ai de volonté de nuire, et s'il en avait une un juge ne verrait pas la différence. Pourtant c'est le cas, ne t'en déplaise. La différence est flagrante.
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 J'ai bien l'impression que la méthode des "PUA" comme vous dites est bien différente de celle du lourdeau de rue basique. Il me semble qu'aucun "PUA" n'a incité ses "élèves" à siffler des femmes dans la rue ou à les héler, "hé t'es bonne salope !". Le mode de sélection est goujat voire un peu agressif (pas dans le sens violent du terme, disons straightforward) mais n'a rien à voir avec le harcèlement de rue. Au fond, cela ne fait que prouver une chose : l'impossibilité complète de définir un crime sans coupable, le harcèlement de rue.
sans Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Je ne crois pas que ce qu'on appelle le harcèlement de rue se limite aux insultes aléatoires. Ça concerne surtout des tentatives de drague plus ou moins subtiles.
ShoTo Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Au fond, cela ne fait que prouver une chose : l'impossibilité complète de définir un crime sans coupable, le harcèlement de rue. Si on peut définir ça très clairement : dans un cas il y a intimidation et dans l'autre non.
Noob Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Aucun rapport entre les pua et le harcelement de rue Justement je parle pas uniquement du harcèlement, même la drague si elle est pas souhaitée à un moment donnée peut devenir pompante. J'ai pas affirmé que ça avait changé, au contraire je me posais la question. Est-ce que cette mode à déclencher une sorte d'explosion du nombre de mecs qui vont tenter leur chance dans la rue et donc du nombre de sollicitations envahissantes. Je ne crois pas que ce qu'on appelle le harcèlement de rue se limite aux insultes aléatoires. Ça concerne surtout des tentatives de drague plus ou moins subtiles. Exactement, la question étant de savoir ça a changé ou pas en dix ans.
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Flou complet. Vague mélasse. Drague Subtile ? Gentil ? Bisou ? Méchant ? Un peu trop direct ? On ne sait pas trop. Le harcèlement de rue c'est de la marmelade vendue par millions de pots aujourd'hui. Crime sans coupable, parce qu'on ne sait pas à partir de combien d'individus une série de dragues devient du harcèlement. Un ? Deux ? Dix ? Cinquante ? Cent ? Par jour, semaine ? Le premier dragueur de la journée est-il coupable d'avoir commencé ? Ou celui d'après ? Le trentième est-il responsable des flirts de ceux qui ont tenté leur chance avant lui ? Peut-on faire porter à un homme la culpabilité de trente autres sous prétexte que 30+1 c'est du harcèlement mais pas avant ? La culpabilité est alors collective ? C'est-à-dire que tous les hommes, du premier dragueur au trentième sont responsables ? Et comment pouvaient-ils savoir qu'il y en avait avant et qu'il y en aura après ? Comment peuvent-ils savoir qu'ils ne sont pas le premier dragueur ? On ne sait pas non plus quelle doit être la nature de la drague pour qu'elle soit du harcèlement, de sorte qu'en plus de ne pas savoir qui est le coupable on ne sait pas ce qui le rend coupable. Si on peut définir ça très clairement : dans un cas il y a intimidation et dans l'autre non. À l'époque des féminazis qui se mettent en position du foetus dans des salles avec des chiots parce qu'elles ont été traumatisées par le discours d'une féministe pas comme elles, l'idée d'"intimidation" me fait doucement rire. Et quand j'en parle avec des femmes, un simple sifflet peut être intimidant, tout dépend si on a la gueule de l'emploi, ou si on est seul, en groupe, etc.
ShoTo Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Flou complet. Vague mélasse. Drague Subtile ? Gentil ? Bisou ? Méchant ? Un peu trop direct ? On ne sait pas trop. Le harcèlement de rue c'est de la marmelade vendue par millions de pots aujourd'hui. Crime sans coupable, parce qu'on ne sait pas à partir de combien d'individus une série de dragues devient du harcèlement. Un ? Deux ? Dix ? Cinquante ? Cent ? Par jour, semaine ? Le premier dragueur de la journée est-il coupable d'avoir commencé ? Ou celui d'après ? Le trentième est-il responsable des flirts de ceux qui ont tenté leur chance avant lui ? Peut-on faire porter à un homme la culpabilité de trente autres sous prétexte que 30+1 c'est du harcèlement mais pas avant ? La culpabilité est alors collective ? C'est-à-dire que tous les hommes, du premier dragueur au trentième sont responsables ? Et comment pouvaient-ils savoir qu'il y en avait avant et qu'il y en aura après ? Comment peuvent-ils savoir qu'ils ne sont pas le premier dragueur ? On ne sait pas non plus quelle doit être la nature de la drague pour qu'elle soit du harcèlement, de sorte qu'en plus de ne pas savoir qui est le coupable on ne sait pas ce qui le rend coupable. À l'époque des féminazis qui se mettent en position du foetus dans des salles avec des chiots parce qu'elles ont été traumatisées par le discours d'une féministe pas comme elles, l'idée d'"intimidation" me fait doucement rire. Et quand j'en parle avec des femmes, un simple sifflet peut être intimidant, tout dépend si on a la gueule de l'emploi, ou si on est seul, en groupe, etc. Pour moi l'aspect "intimidation" me parait sans aucune ambiguité possible. Après c'est vrai que le terme "harcelement" est inadéquat Justement je parle pas uniquement du harcèlement, même la drague si elle est pas souhaitée à un moment donnée peut devenir pompante. J'ai pas affirmé que ça avait changé, au contraire je me posais la question. Est-ce que cette mode à déclencher une sorte d'explosion du nombre de mecs qui vont tenter leur chance dans la rue et donc du nombre de sollicitations envahissantes. Exactement, la question étant de savoir ça a changé ou pas en dix ans. J'aurais du lire ton message avec le doigt
ShoTo Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Et quand j'en parle avec des femmes, un simple sifflet peut être intimidant, tout dépend si on a la gueule de l'emploi, ou si on est seul, en groupe, etc. Oui ça dépend de beaucoup de parametres, je n'ai pas dit le contraire.
Noob Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Flou complet. Vague mélasse. Drague Subtile ? Gentil ? Bisou ? Méchant ? Un peu trop direct ? On ne sait pas trop. Le harcèlement de rue c'est de la marmelade vendue par millions de pots aujourd'hui. Crime sans coupable, parce qu'on ne sait pas à partir de combien d'individus une série de dragues devient du harcèlement. Un ? Deux ? Dix ? Cinquante ? Cent ? Par jour, semaine ? Le premier dragueur de la journée est-il coupable d'avoir commencé ? Ou celui d'après ? Le trentième est-il responsable des flirts de ceux qui ont tenté leur chance avant lui ? Peut-on faire porter à un homme la culpabilité de trente autres sous prétexte que 30+1 c'est du harcèlement mais pas avant ? La culpabilité est alors collective ? C'est-à-dire que tous les hommes, du premier dragueur au trentième sont responsables ? Et comment pouvaient-ils savoir qu'il y en avait avant et qu'il y en aura après ? Comment peuvent-ils savoir qu'ils ne sont pas le premier dragueur ? On ne sait pas non plus quelle doit être la nature de la drague pour qu'elle soit du harcèlement, de sorte qu'en plus de ne pas savoir qui est le coupable on ne sait pas ce qui le rend coupable. À l'époque des féminazis qui se mettent en position du foetus dans des salles avec des chiots parce qu'elles ont été traumatisées par le discours d'une féministe pas comme elles, l'idée d'"intimidation" me fait doucement rire. Et quand j'en parle avec des femmes, un simple sifflet peut être intimidant, tout dépend si on a la gueule de l'emploi, ou si on est seul, en groupe, etc. ??? Je n'ai pas parlé de harcèlement !!! Ce n'est pas criminel ni délictueux, l'état n'a rien à foutre là-dedans. La question étant si les femmes constatent une augmentation des tentatives qui les ennuient peut-être que c'est lié à un activité que certains estiment fun à leurs dépens. Si oui et si ça devient pesant pour beaucoup, qu'elle solution peut émerger pour les soulager. Pour moi l'aspect "intimidation" me parait sans aucune ambiguité possible. Après c'est vrai que le terme "harcelement" est inadéquat J'aurais du lire ton message avec le doigt J'aurais pu faire plus claire comme message sans doute. Perso j'ai tendance à mettre dans la catégorie trouduc le mec qui peut pas s'empêcher de déranger une fille parce qu'elle est trop jolie, t'as vu. Il y a tellement d'occasion d'aborder des meufs dans la vie sans devoir imposer sa présence à qui que ce soit que je trouve ça vraiment trouduc de ne pas respecter une forme d'espace privé.
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 ??? Je n'ai pas parlé de harcèlement !!! Ce n'est pas criminel ni délictueux, l'état n'a rien à foutre là-dedans. La question étant si les femmes constatent une augmentation des tentatives qui les ennuient peut-être que c'est lié à un activité que certains estiment fun à leurs dépens. Si oui et si ça devient pesant pour beaucoup, qu'elle solution peut émerger pour les soulager. Si ça devient vraiment l'objet d'une demande, en anarcapie, un centre commercial ouvrirait avec des vigiles qui ejecteraient les lourdeaux dès la première drague, et basta. Mais dans une société contemporaine on peut pas faire grand chose en effet, car toute répression implique l'État et on est bien d'accord que l'État devrait rester en dehors de tout ça.
Tramp Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Vous savez que le harcelement ca necessite que ce soit répété dans le temps ? Le pseudo harcèlement de rue est une expression virus et elle ne devrait pas être employée. Et évidemment en occident, les crimes et délits sont individuels. On ne peut pas etre condamné parce que quelqu'un d'autre à parlé à la demoiselle avant nous. Sauf si on veut revenir aux méthodes en vigueur pendant Vichy et toujours utilisées en Corée du Nord.
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Oui, c'est ce que je dis dans cette page même, plusieurs individus commettant un même acte répétitif ce n'est pas du harcèlement s'ils n'agissent pas de concert.
Tramp Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Si ça devient vraiment l'objet d'une demande, en anarcapie, un centre commercial ouvrirait avec des vigiles qui ejecteraient les lourdeaux dès la première drague, et basta. Mais dans une société contemporaine on peut pas faire grand chose en effet, car toute répression implique l'État et on est bien d'accord que l'État devrait rester en dehors de tout ça. On peut aussi être courageux et leur dire de se taire.
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Moi ? Dans la rue ? M'interposer dans une tentative de flirt ou un sifflement ? Non, merci, j'ai piscine. Et peut-être que chez ce lourdeau, un parmi ses pairs, elle trouvera l'homme de sa vie, et moi, m'interposer parce qu'il l'a sifflée, et briser a priori un couple heureux, je m'en voudrais toute ma vie. Ce serait navrant. Profondément déchirant.
sans Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 En parlant de harcellement de rue, les mecs de l'unesco et compagnie, qu'est-ce qu'on en fait ? Et les mendiants ?
Voy Posté 23 avril 2015 Signaler Posté 23 avril 2015 Les mendiants agissent sans trigger warning en plus, les salauds.
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant