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Quand on savait insulter avec classe


José

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Posté
These glorious insults are from an era when cleverness with words was still valued, before a great portion of the English language got boiled down to 4-letter words.

  • The exchange between Churchill & Lady Astor: She said, "If you were my husband I'd give you poison," and he said, "If you were my wife, I'd drink it."
  • A member of Parliament to Disraeli: "Sir, you will either die on the gallows or of some unspeakable disease." "That depends, Sir," said Disraeli, "whether I embrace your policies or your mistress."
  • "He had delusions of adequacy." - Walter Kerr
  • "He has all the virtues I dislike and none of the vices I admire." - Winston Churchill
  • "A modest little person, with much to be modest about." - Winston Churchill
  • "I have never killed a man, but I have read many obituaries with great pleasure." Clarence Darrow
  • "He has never been known to use a word that might send a reader to the dictionary." - William Faulkner (about Ernest Hemingway).
  • "Poor Faulkner. Does he really think big emotions come from big words?" - Ernest Hemingway (about William Faulkner)
  • "Thank you for sending me a copy of your book; I'll waste no time reading it." - Moses Hadas
  • "He can compress the most words into the smallest idea of any man I know." - Abraham Lincoln
  • "I didn't attend the funeral, but I sent a nice letter saying I approved of it." - Mark Twain
  • "He has no enemies, but is intensely disliked by his friends." - Oscar Wilde
  • "I am enclosing two tickets to the first night of my new play; bring a friend…. if you have one." - George Bernard Shaw to Winston Churchill, "Cannot possibly attend first night, will attend second… if there is one." - Winston Churchill, in response.
  • "I feel so miserable without you; it's almost like having you here." - Stephen Bishop
  • "He is a self-made man and worships his creator." - John Bright
  • "I've just learned about his illness. Let's hope it's nothing trivial." - Irvin S. Cobb
  • "He is not only dull himself, he is the cause of dullness in others." - Samuel Johnson
  • "He is simply a shiver looking for a spine to run up." - Paul Keating
  • "There's nothing wrong with you that reincarnation won't cure." Jack E. Leonard
  • "He has the attention span of a lightning bolt." - Robert Redford
  • "They never open their mouths without subtracting from the sum of human knowledge." - Thomas Brackett Reed
  • "In order to avoid being called a flirt, she always yielded easily." - Charles, Count Talleyrand
  • "He loves nature in spite of what it did to him."- Forrest Tucker
  • "Why do you sit there looking like an envelope without any address on it?" - Mark Twain
  • "His mother should have thrown him away and kept the stork." - Mae West
  • "Some cause happiness wherever they go; others, whenever they go." - Oscar Wilde
  • "He uses statistics as a drunken man uses lamp-posts… for support rather than illumination." - Andrew Lang (1844-1912)
  • "He has Van Gogh's ear for music." - Billy Wilder "
  • I've had a perfectly wonderful evening. But this wasn't it." - Groucho Marx

http://bkmarcus.com/blog/2008/05/when-insults-had-class

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J'adore celle de Clemenceau à propos de Félix Faure, mort suite à ses ébats avec une fille de joie : "Il a voulu vivre César, il est mort Pompée".

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J'adore celle de Clemenceau à propos de Félix Faure, mort suite à ses ébats avec une fille de joie : "Il a voulu vivre César, il est mort Pompée".

vouloir vivre César ??? ce n'est pas du bon françois.

Non mon cher, Clemenceau maîtrisait mieux que cela la langue française : "il s'est voulu César"

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vouloir vivre César ??? ce n'est pas du bon françois.

Non mon cher, Clemenceau maîtrisait mieux que cela la langue française : "il s'est voulu César"

C'est parfaitement français si on admet que César peut être adverbialisé.

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C'est parfaitement français si on admet que César peut être adverbialisé.

N'est-ce pas réservé aux Grands ?

Dante, Kafka, Machiavel…

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N'est-ce pas réservé aux Grands ?

Dante, Kafka, Machiavel…

Il a voulu vivre Dante, il est mort édenté (variante : ce fut l'enfer)

Il a voulu vivre Kafka, il est mort sans procès (variante mozartienne : il est mort dans le caca)

Il a voulu vivre Machiavel, il est mort Légion.

Sinon je ne vois en quoi l'adverbialisation de certains noms propres entraîne que l'on puisse utiliser ses noms propres comme s'il s'agissait d'adverbes.

On dit : un plan machiavélique et non un plan Machiavel.

C'est Kafkaïen ! Ou à la rigueur c'est du Kafka (du moins, me semble-t-il à l'odeur).

On parle de pouvoir césarien, non de pouvoir César (car enfin on n'y peut rien).

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On parle de pouvoir césarien, non de pouvoir César (car enfin on n'y peut rien).

:icon_up:

Tres en forme en ce moment!

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J'adore celle de Clemenceau à propos de Félix Faure, mort suite à ses ébats avec une fille de joie : "Il a voulu vivre César, il est mort Pompée".

J'ai entendu : "il voulait être César, il ne fut que Pompée."

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Je ne me souviens plus des 2 protagonistes, mais j'avais entendu une histoire du genre (entre un vieil homme et une femme):

"Monsieur, pourquoi me dévisagez-vous ainsi?"

"Je ne vous dévisage pas, je vous envisage."

J'avais un bouquin qui regroupait les reparties célèbre du genre, un vrai régal, mais impossible de remettre la main dessus.

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Il y a cette belle répartie du Chi (il faut lui reconnaître ça au moins) : Un type l'interpelle

- Salut Connard

et le Chi de répondre en souriant

- Salut, moi c'est Chirac.

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C'est une reprise de Rostand (dans Cyrano). Chirac n'est qu'un petit copieur.

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C'est une reprise de Rostand (dans Cyrano). Chirac n'est qu'un petit copieur.

On va dire qu'il avait de la mémoire et qu'il est grand :icon_up:

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Il a voulu vivre Dante, il est mort édenté (variante : ce fut l'enfer) […]

:icon_up:

Il a voulu vivre beau, il est (de la) Morlais.

  • 2 months later...
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L'une de mes préférées, dans le genre "avoir de la répartie" :

Robert Surcouf (1773 - 1827)

«- Au fond, ce qui nous distingue, nous autres Britanniques, de vous autres Français, c'est que nous nous battons pour l'honneur et vous pour l'argent,

- Hé oui, chacun se bat pour ce qui lui manque»

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