Jaimepasmonpseudo Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Le cac plonge (-2,60%). Je sens qu'on va être bien rouge cette semaine, le marché ayant tardé à réagir aux signaux de déclin de la Grèce. Edit : apparemment, c'est le taux de la dette Portugaise qui est en train d'exploser et se dirige vers les 6%. Pour avoir un aperçu sur la semaine : http://www.bloomberg.com/apps/cbuilder?tic…=GSPT10YR%3AIND
h16 Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Tout. Va. Bien. Franchement, je vous trouve pessimistes.
Paul L Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Interview de Marc Fiorentino sur France Info : … Marc Fiorentino* : “Je voudrais vous demander ce qui a été fait depuis deux ans. On nous a dit : “on va lutter contre les hedge funds”, la semaine dernière les chiffres sont parus sur les hedge funds, ils n’ont jamais autant collecté d’argent que cette année, ils sont proches de leurs records. “On va lutter contre les bonus”, l’année a été l’année record pour les bonus. “On va lutter contre les paradis fiscaux” : ils sont toujours là, ils sont juste passés de noir à gris puis de gris à blanc, on ne sait pas par quel miracle. “Et on va lutter pour la réglementation financière”, et on vient d’assister au G20 finance ce week-end, et à la sortie du G20 finance, quel a été le communiqué ? Le communiqué a été de dire : on ne s’est mis d’accord sur rien, parce que notamment le Japon, le Canada, et l’Australie ont dit : aucune réglementation financière.” Bernard Thomasson : “Donc les politiques nous mentent.” Marc Fiorentino : “Les politiques nous mentent, les politiques nous abreuvent d’histoires. On a vu combien de G20, combien de déclarations d’Obama depuis qu’il est là en disant : “Attention Wall Street, tremblez, voilà, j’arrive” ? Il avait dit ça, c’était son premier discours dès qu’il avait été intronisé, il avait dit qu’il lutterait contre les bonus, et il se trouve que les bonus ont été les plus élevés” Bernard Thomasson : “Imaginez ce que pensent les gens qui nous entendent en ce moment, ils vont se dire, mais qu’est-ce qu’il faut faire, il faut faire la révolution, il faut aller brûler des banques, faut… ?” Marc Fiorentino : “Je suis toujours assez surpris de voir que finalement il n’y a jamais de manifestations devant les banques, je trouve ça assez étonnant.” Bernard Thomasson : “Voilà, Marc Fiorentino, moi je suis surpris de vos propos, vous qui avez dirigé des banques américaines en Europe…” *Diplômé d’HEC en 1982[3], Marc Fiorentino dirigea des banques d'affaires américaines en Europe durant seize ans (Bank Of America, Drexel Burnham Lambert, PaineWebber, Salomon Smith Barney)[4]. En 1999, cet ancien professeur à l'Essec[5] créa sa propre société de Bourse, Euroland Finance[6], et en 2007, un site de conseil en investissement financier, Allofinance.com[6].
Tremendo Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Au sujet des agences de notation, il leur est reproché de ne pas avoir été assez impartiales puisque notamment les banques d'investissement avec de lourds actifs pourris étaient leurs clientes, elles n'auraient donc pas signalées leurs déficiences par peur de les perdre comme client. Vous ne trouvez pas bizarres que des agences de notation aient pour clients ceux qu'elle va noter? Il ne serait pas plus logique que ce soit les acteurs du marché comme vous et moi qui avons besoin d'informations qui soient leurs clients plutôt. Exemple: J'ai besoin d'information sur des produits présents sur les marchés financiers, je me fais fournir cette information par les agences de notation entre autres qui me donnent une idée de la valeur de tel ou tel placement. Les agences en concurrence vont essayer d'obtenir l'information la plus impartiale possible et me la vendent au prix qu'elles veulent. Ce ne serait ni plus ni moins que du conseil comme cela existe dans plein de secteurs. D'autre part, est-il vrai comme j'ai pu l'entendre que les agences de notation sont au nombre de trois dans le monde et ont obtenu leurs monopoles par les pouvoirs publics? Si c'est le cas, cela expliquerait peut-être la bizarrerie du business model que j'évoquais en premier lieu.
Chitah Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Vous ne trouvez pas bizarres que des agences de notation aient pour clients ceux qu'elle va noter? Il ne serait pas plus logique que ce soit les acteurs du marché comme vous et moi qui avons besoin d'informations qui soient leurs clients plutôt. http://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_de_not…inanci.C3.A8res Si les agences de notation existent depuis les années 1920, la structure de marché a considérablement évolué. Initialement, les personnes souhaitant obtenir la notation d'un investissement (en capital ou dette) payaient pour cette notation. Cependant, dans les années 70, compte tenu (i) du développement de la photocopie qui menaçait le modèle "investisseur-payeur", (ii) de l'accroissement des coûts de notation de produits de plus en plus complexes et (iii) des exigences de transparence sur les marchés qui impliquaient une information identique des investisseurs1, Moody’s et Standard & Poors ont commencé à facturer les émetteurs pour l'obtention de leur propre notation. D'autre part, est-il vrai comme j'ai pu l'entendre que les agences de notation sont au nombre de trois dans le monde et ont obtenu leurs monopoles par les pouvoirs publics? Si c'est le cas, cela expliquerait peut-être la bizarrerie du business model que j'évoquais en premier lieu. Il faut un agrément en effet : http://www.qualisteam.fr/actualites/mai09/05-05-2009-3.html
yiggles Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Le Portugal qui voit ses taux d'intérêt grimper, la Grèce qui renonce à emprunter sur les marchés, les bourses européennes qui dévissent… on risque de se rappeler du 27 avril 2010
Rincevent Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Vous ne trouvez pas bizarres que des agences de notation aient pour clients ceux qu'elle va noter? Il ne serait pas plus logique que ce soit les acteurs du marché comme vous et moi qui avons besoin d'informations qui soient leurs clients plutôt. Exemple: J'ai besoin d'information sur des produits présents sur les marchés financiers, je me fais fournir cette information par les agences de notation entre autres qui me donnent une idée de la valeur de tel ou tel placement. Les agences en concurrence vont essayer d'obtenir l'information la plus impartiale possible et me la vendent au prix qu'elles veulent. Ce ne serait ni plus ni moins que du conseil comme cela existe dans plein de secteurs. Vrai, mais il y a un problème : qui paie ? Dans l'optique où les acheteurs paient, comme l'info financière est rapidement duplicable, il se pourrait que les premiers acheteurs paient et que l'info diffuse, rendant inutile l'achat de l'info par les suivants. Chacun fuyant la position de premier acheteur, les notations (pour des produits aussi nombreux que spécifiques) ne se retrouvent plus achetées par personne. C'est plutôt embêtant, comme équilibre sous-optimal. D'autre part, est-il vrai comme j'ai pu l'entendre que les agences de notation sont au nombre de trois dans le monde et ont obtenu leurs monopoles par les pouvoirs publics? Si c'est le cas, cela expliquerait peut-être la bizarrerie du business model que j'évoquais en premier lieu. Techniquement, il y en a plus. Mais celles qui se sont imposées comme le standard sont trois. Et c'est par leur inscription nominative dans la loi américaine qu'elles ont la position qui est aujourd'hui la leur, qui a amené à ce qu'elles soient gentiment poussées à la faute par leurs clients.
vincponcet Posté 27 avril 2010 Auteur Signaler Posté 27 avril 2010 Au sujet des agences de notation, il leur est reproché de ne pas avoir été assez impartiales puisque notamment les banques d'investissement avec de lourds actifs pourris étaient leurs clientes, elles n'auraient donc pas signalées leurs déficiences par peur de les perdre comme client.Vous ne trouvez pas bizarres que des agences de notation aient pour clients ceux qu'elle va noter? Il ne serait pas plus logique que ce soit les acteurs du marché comme vous et moi qui avons besoin d'informations qui soient leurs clients plutôt. Exemple: J'ai besoin d'information sur des produits présents sur les marchés financiers, je me fais fournir cette information par les agences de notation entre autres qui me donnent une idée de la valeur de tel ou tel placement. Les agences en concurrence vont essayer d'obtenir l'information la plus impartiale possible et me la vendent au prix qu'elles veulent. Ce ne serait ni plus ni moins que du conseil comme cela existe dans plein de secteurs. D'autre part, est-il vrai comme j'ai pu l'entendre que les agences de notation sont au nombre de trois dans le monde et ont obtenu leurs monopoles par les pouvoirs publics? Si c'est le cas, cela expliquerait peut-être la bizarrerie du business model que j'évoquais en premier lieu. http://www.institutmolinari.org/faut-il-da…er-les,151.html
Chitah Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Vrai, mais il y a un problème : qui paie ? Dans l'optique où les acheteurs paient, comme l'info financière est rapidement duplicable, il se pourrait que les premiers acheteurs paient et que l'info diffuse, rendant inutile l'achat de l'info par les suivants. Chacun fuyant la position de premier acheteur, les notations (pour des produits aussi nombreux que spécifiques) ne se retrouvent plus achetées par personne. C'est plutôt embêtant, comme équilibre sous-optimal. Cela indique donc que l'information est de faible valeur. Il suffirait que ces agences vendent une assurance leur permettant de couvrir les éventuelles bêtises qu'ils pourraient écrire, et le tour est joué, car du coup la prestation change de nature.
vincponcet Posté 27 avril 2010 Auteur Signaler Posté 27 avril 2010 Cela indique donc que l'information est de faible valeur. Il suffirait que ces agences vendent une assurance leur permettant de couvrir les éventuelles bêtises qu'ils pourraient écrire, et le tour est joué, car du coup la prestation change de nature. Il existe des milliers de lettres d'investisseurs. Poor's en était une, elle a juste obtenu un privilège étatique en cours de route.
Chitah Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 C'est quoi une lettre d'investisseurs? Greece's debt has been downgraded to junk status by Standard & Poor's amid concern it was not able to take steps needed to tackle its economic crisis.
artemis Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 "L'agence de notation financière Standard & Poor's a abaissé de trois crans la note de la Grèce, de "BBB+" à "BB+", la reléguant dans la catégorie des investissements spéculatifs. Peu de temps auparavant, l'agence avait abaissé de deux crans la note souveraine du Portugal, de "A+" à "A-", l'assortissant également d'une perspective négative, du fait de craintes sur la situation budgétaire du pays" http://www.trader-forex.fr/actualite-forex…160306.jjxe137q Il temps de préparer les popcorns et d'assister au spectacle, les taux d'intérêt vont s'envoler, les PIIGS et la France vont s'effondrer comme un château de cartes. The party is over. Edit : l'euro a dévissé de 200 pips face au dollar EPIC.
vincponcet Posté 27 avril 2010 Auteur Signaler Posté 27 avril 2010 C'est quoi une lettre d'investisseurs? Les journaux qui te disent qu'il faut investir dans ceci cela ? tu n'en reçois pas des tonnes dans tes boites emails ? je suis inondé de ces saloperies. http://en.wikipedia.org/wiki/Standard_%26_Poor%27s Standard & Poor's traces its history back to 1860, with the publication by Henry Varnum Poor of History of Railroads and Canals in the United States. This book was an attempt to compile comprehensive information about the financial and operational state of U.S. railroad companies. Henry Varnum went on to establish H.V. and H.W. Poor Co with his son, Henry William, and published updated versions of this book on an annual basis.In 1906 Luther Lee Blake founded the Standard Statistics Bureau, with the view to providing financial information on non-railroad companies. Instead of an annually published book Standard Statistics would use 5" x 7" cards, allowing for more frequent updates.
Rincevent Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Clôture du CAC40 à -3,82% aujourd'hui Bof. Ca fait depuis septembre-octobre 2009 que le CAC hésite et fait en gros du sur-place.
Tremendo Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 J'ai lu les liens de Vince,chitah et la contribution de Rincevent et je reste avec la sensation que le business model inicial où une agence de notation vendait ses informations à un investisseur était rentable mais évolua sous l'effet de la réglementation américaine dans les années 70. Les autorités de régulation financières imposèrent aux grands investisseurs de posséder des actifs obligatoirement non risqués, ce qui obligea aux émetteurs de prouver la fiabilité des produits qu'ils émettaient à travers une notation, ce qui provoqua une hausse très soudaine de la demande en notation et donc des coûts additionnels très importants que seuls les émetteurs de produits pouvaient financer - étant eux-mêmes fortement incités à les financer s'ils voulaient voir leurs produits émis sur le marché -. Dans le même temps la SEC imposa des conditions très strictes pour pouvoir noter, ce qui instaura des barrières très contraignantes à l'entrée du marché des notations, limitant le marché à trois acteurs ou presque et n'incitant donc pas ceux-ci à améliorer leur expertise. On se retrouve donc avec un nouveau business model où l'agence de notation fait payer l'émetteur de produit pour le noter, d'où les problèmes de conflits d'intérêt.
POE Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Bof. Ca fait depuis septembre-octobre 2009 que le CAC hésite et fait en gros du sur-place. Exact, et -3.87% ne reflète plus une hésitation, mais plutôt un retournement de tendance. On se retrouve donc avec un nouveau business model où l'agence de notation fait payer l'émetteur de produit pour le noter, d'où les problèmes de conflits d'intérêt. …qui pourraient être résolus par une transparence du système de notation, mais qui détruirait peut être le businness model s'il est basé sur le secret.
POE Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 http://www.institutmolinari.org/faut-il-da…er-les,151.html Où l'on s'aperçoit que la réglementation visant à contrôler les agences de notation était destinée au départ à protéger les investisseurs ! C'est toujours la même histoire : lorsqu'une réglementation est créée sur un marché, elle crée également l'illusion d'une sécurité absolue qui fait que les acteurs du marché abdiquent leur sens critique, leur jugement.
Astha Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Tout.Va. Bien. Franchement, je vous trouve pessimistes. Dire que mon prof de macro parle de "faux problème" à propos de la dette des États
Rincevent Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Exact, et -3.87% ne reflète plus une hésitation, mais plutôt un retournement de tendance. On reste dans les mêmes eaux. Dans la période dont je parle, on a eu plusieurs baisses supérieures à 2,5 %, sans renversement de tendance.
SilenT BoB Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 AHAHA state = 0 markets = 1 The markets revenge against the state! OH YEAH!
h16 Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Te réjouis pas trop vite. Quand l'empire est attaqué, the empire strikes back et ça le fait de pire en pire.
Ash Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 …qui pourraient être résolus par une transparence du système de notation, mais qui détruirait peut être le businness model s'il est basé sur le secret. C'est le nœud du problème mais c'est à eux d'y réfléchir.
artemis Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Indeed Trichet exclut un défaut de la Grèce ou d'autres pays de la zone euro La seule chose qui va pouvoir faire survivre ces larves sur-endettés serait que la BCE autorise les banques de second rang d'utiliser des obligation d'Etats mal notés (autre que AAA il me semble) en contrepartie. Mais bon il me semble que cela a été fait pour la Grèce avec le résultat que l'on connait…
pierreyves Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Où l'on s'aperçoit que la réglementation visant à contrôler les agences de notation était destinée au départ à protéger les investisseurs !C'est toujours la même histoire : lorsqu'une réglementation est créée sur un marché, elle crée également l'illusion d'une sécurité absolue qui fait que les acteurs du marché abdiquent leur sens critique, leur jugement. On reste dans les mêmes eaux. Dans la période dont je parle, on a eu plusieurs baisses supérieures à 2,5 %, sans renversement de tendance. La "tendance" de la bourse n'est d'aucun intérêt ces temps-ci : nous sommes dans une phase transitoire où les marchés "absorbent" les volumes considérables de liquidité créée par les BCs. Savoir si ça monte ou si ça baisse est juste une histoire de timing. Au final, les index auront monté … mais la valeur -réelle- globale aura diminué. Pour dire cela autrement: les variations de prix en bourse sont complètement faussés par les actions politiques (ici l'inflation). C'est le nœud du problème mais c'est à eux d'y réfléchir. idem pour le business modèle des banques … IndeedTrichet exclut un défaut de la Grèce ou d'autres pays de la zone euro La seule chose qui va pouvoir faire survivre ces larves sur-endettés serait que la BCE autorise les banques de second rang d'utiliser des obligation d'Etats mal notés (autre que AAA il me semble) en contrepartie. Mais bon il me semble que cela a été fait pour la Grèce avec le résultat que l'on connait… Tu oublies son principal outil: l'inflation. La seule façon pour Trichet de réaliser ce qu'il dit est d'imprimer de l'euro en masse … La question c'est "est-ce qu'il en a le pouvoir ?" (vu la configuration particulière de la BCE). Quels sont les intérêts des uns et des autres pays de l'Euro à imprimer ? La source de la dérégulation étant la malhonnêteté. Oui, à l'origine de la création de la BC par exemple, il y a de la malhonnêteté.
Fenster Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Tu oublies son principal outil: l'inflation. La seule façon pour Trichet de réaliser ce qu'il dit est d'imprimer de l'euro en masse …La question c'est "est-ce qu'il en a le pouvoir ?" (vu la configuration particulière de la BCE). Mouais, pas convaincu. On se rappellera que l'impression de monnaie n'a pas marché pour les niaks.
pierreyves Posté 27 avril 2010 Signaler Posté 27 avril 2010 Mouais, pas convaincu. On se rappellera que l'impression de monnaie n'a pas marché pour les niaks. Les politiciens ne font pas ce type de raisonnement. Ils préfèreront ruiner l'économie pour longtemps et tenter de sauver l'euro.
Rincevent Posté 28 avril 2010 Signaler Posté 28 avril 2010 La "tendance" de la bourse n'est d'aucun intérêt ces temps-ci : nous sommes dans une phase transitoire où les marchés "absorbent" les volumes considérables de liquidité créée par les BCs. Savoir si ça monte ou si ça baisse est juste une histoire de timing. Au final, les index auront monté … mais la valeur -réelle- globale aura diminué.Pour dire cela autrement: les variations de prix en bourse sont complètement faussés par les actions politiques (ici l'inflation). Vrai. Ce serait d'ailleurs intéressant de publier un indice boursier large et défalqué de l'inflation de la masse monétaire.
teabag Posté 28 avril 2010 Signaler Posté 28 avril 2010 Quelqu'un connait-il le taux de chômage en France ? nan parce que les derniers chiffres viennent d'êtres publiés, mais parmi tous les articles de presse que j'ai pu lire, aucun ne mentionne le taux réel de la population active et tous préfèrent évoquer un petit 0,2% de baisse histoire de ne pas apeurer le peuple qui dort encore.
Chitah Posté 28 avril 2010 Signaler Posté 28 avril 2010 Quelqu'un connait-il le taux de chômage en France ? nan parce que les derniers chiffres viennent d'êtres publiés, mais parmi tous les articles de presse que j'ai pu lire, aucun ne mentionne le taux réel de la population active et tous préfèrent évoquer un petit 0,2% de baisse histoire de ne pas apeurer le peuple qui dort encore. 5 millions environ, still counting.
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