john_ross Posté 24 février 2009 Signaler Posté 24 février 2009 Ah donc tu lis l'Express. Je croyais que c'était de la merde ? C'est pour comparer le traitement de l'information avec la presse étrangère.
Zax Posté 24 février 2009 Auteur Signaler Posté 24 février 2009 Quelle est le pays étranger dont la presse est la meilleure ?
john_ross Posté 24 février 2009 Signaler Posté 24 février 2009 Quelle est le pays étranger dont la presse est la meilleure ? Le Vatican.
Tortue joviale Posté 24 février 2009 Signaler Posté 24 février 2009 En ce qui concerne Bastiat, vaut mieux peut être commencer par lire les sophismes économiques en premier, histoire de briser quelques idées reçues avant d'aborder le reste. Pour les liens : Tome quatrième - Sophismes économiques Petits pamphlets Première série Introduction I. Abondance, disette II. Obstacle, cause III. Effort, résultat IV. Égaliser les conditions de production V. Nos produits sont grevés de taxes VI. Balance du commerce VII. Pétition des fabricants de chandelles, etc. VIII. Droits différentiels IX. Immense découverte!!! X. Réciprocité XI. Prix absolus XII. La protection élève-t-elle le taux des salaires? XIII. Théorie, pratique XIV. Conflit de principes XV. Encore la réciprocité XVI. Les fleuves obstrués plaidant pour les prohibitionistes XVII. Un chemin de fer négatif XVIII. Il n'y a pas de principes absolus XIX. Indépendance nationale XX. Travail humain, travail national XXI. Matières premières XXII. Métaphores Conclusion http://bastiat.net/fr/oeuvres/
Zax Posté 24 février 2009 Auteur Signaler Posté 24 février 2009 Justement je lis le sophisme 3 du tome 4 en ce moment même. Mais finalement, avant la crise de 1929, la France était un pays libéral comment ? ultra libéral ou minarchiste ? Je pense ultra libéral.
john_ross Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Vive l'EdNat. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20…ur-college-.php
José Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Je pense ultra libéral. C'est quoi être "ultra libéral" ? Et quelle est la différence avec libéral ?
Zax Posté 25 février 2009 Auteur Signaler Posté 25 février 2009 C'est quoi être "ultra libéral" ? Et quelle est la différence avec libéral ? Selon moi, être ultra libéral, c'est appliquer les règles du libéralisme d'une manière stricte, et y déroger le moins possible.
José Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Selon moi, être ultra libéral, c'est appliquer les règles du libéralisme d'une manière stricte, et y déroger le moins possible. Nimportenawak. Bref, un libéral reste libéral seulement s'il ne pratique pas trop le libéralisme. Alors, ouiche, le Sarko, avec une nouvelle taxe par semaine, serait bien un "libéral". Et même Ségogo, tiens. Ou Keynes.
Krissou Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Quand on chante la liberté, on n'en chante pas la moitié, ne vous déplaise camarades. La liberté n'est pas un club de foot. Il n'y a pas d'ultras qu'on peut parquer dans le virage nord. On aime la liberté, ou pas. On la respecte, ou pas. On est libéral, ou pas.
Jiplasse Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 La liberté n'est pas un club de foot. Il n'y a pas d'ultras qu'on peut parquer dans le virage nord.On aime la liberté, ou pas. On la respecte, ou pas. On est libéral, ou pas. On est facho ou anarcap en gros, c'est ca ?
José Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 On est facho ou anarcap en gros, c'est ca ? Il y a aussi ces petites tarlouzes de minarchistes ; mais en gros, c'est bien ça.
Pandi Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 On est facho ou anarcap en gros, c'est ca ? Non, non, ça se divise pas comme ça. On est soit pour le suicide, soit contre…
Pandi Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 je croyais que c'etait l'avortement? On peut voir l'avortement comme un suicide partiel.
Krissou Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 On est facho ou anarcap en gros, c'est ca ? Curieuse manière de traduire le fait d'être libéral ou de ne pas l'être. L'exagération est un procédé classique de dénigrement. Je n'ai jamais prétendu que les fachos avaient le monopole des atteintes à la liberté comme je n'ai jamais prétendu que les anarcaps représentaient l'alpha et l'oméga de la pensée libérale. Il y a aussi ces petites tarlouzes de minarchistes ; mais en gros, c'est bien ça. Sinon, à part une prétendue orientation sexuelle dont je devrais avoir honte, tu me reproches quoi ?
José Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Sinon, à part une prétendue orientation sexuelle dont je devrais avoir honte, tu me reproches quoi ? Te formalises pas : je répondais connement à une connerie de Jiplasse.
Zax Posté 25 février 2009 Auteur Signaler Posté 25 février 2009 Il y a aussi ces petites tarlouzes de minarchistes ; mais en gros, c'est bien ça. T'es toujours aussi cru dans tes termes ? Toujours aussi désagréable ?
Lancelot Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 On peut voir l'avortement comme un suicide partiel. … ou pas.
Pandi Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 … ou pas. Je savais que j'aurais dû mettre un smiley…
Krissou Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Oserais-je souligner que le droit français nous a gratifié d'une superbe distinction entre suicide volontaire ou conscient et suicide involontaire ou inconscient, lequel serait pas mal dans le rôle du suicide partiel.
José Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 T'es toujours aussi cru dans tes termes ? Toujours aussi désagréable ?
Jesrad Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 C'est pour comparer le traitement de l'information avec la presse étrangère. Les services de renseignement américains aussi lisent la presse française et la comparent avec celles des autres pays. parmi les quelque 37 000 journalistes français, nombreux sont ceux qui se considèrent comme des intellectuels plutôt que comme des reporters. Au lieu de simplement rapporter des faits, ils essaient souvent d'influencer les lecteurs à travers leur propre parti pris. En même temps, de nombreux journalistes politiques et économiques ont reçu une éducation élitiste et fréquenté les mêmes établissements universitaires que les hommes politiques dont ils couvrent l'actualité… Par conséquent, ces reporters n'ont guère tendance à considérer leur rôle comme celui d'un chien de garde ou d'un contrepoids aux pouvoirs politique et économique en place
Rincevent Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 On peut voir l'avortement comme un suicide partiel. On pourrait aussi moins voir d'opinions aussi bizarres que celle-ci. Si, si, ça ne dépend que de toi.
DiabloSwing Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Les services de renseignement américains aussi lisent la presse française et la comparent avec celles des autres pays. Ca c'est énorme, et ça confirme les intuitions de tout le monde ici. Et ce qu'il faut dire aussi, c'est que ça peut bien taper sur Sarkozy, celui qui occupe le trône donc (indice : Marianne), que ça reste pas moins inféodé au pouvoir, et à son mode d'organisation.
h16 Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 T'es toujours aussi cru dans tes termes ? Toujours aussi désagréable ?
Hidalgo Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 T'es toujours aussi cru dans tes termes ? Toujours aussi désagréable ? C'est notre (H)bar(t)man(n) préféré.
Zax Posté 25 février 2009 Auteur Signaler Posté 25 février 2009 C'est un sadique ce mec là…le sergent Hartman.
Ash Posté 25 février 2009 Signaler Posté 25 février 2009 Les services de renseignement américains aussi lisent la presse française et la comparent avec celles des autres pays. Très intéressant ce qu'ils écrivent. Par exemple : The French press is also culturally affected by an exaggerated respect for politicians, who can easily use the media for their political agendas, especially in the provinces. Governmentsubsidies to newspapers through state advertising campaigns, for instance, also explain why some editors may have second thoughts before agreeing to investigate a town hall or a local assembly. In addition, French journalists have traditionally been reluctant to report stories harmful to key politicians for fear of losing access to government sources. The executive branch is able to influence the media by such means as direct and indirect subsidies, allocation of the advertising budgets of state-owned companies, and cronyism in the banking sector or in the conglomerates which have invested in the press. When President Nicolas Sarkozy did his first interview on 20 June 2007, aired by TF1, the private channel's top anchor presented the evening newscast from the Elysee Palace. Media observers saw this as an illustration of French journalism's submission to political power. But the same commentators were less negative when Sarkozy announced in a radio interview that his government would be directly involved in helping the printed press to recover from its structural crisis (RTL, 27 May 2008). http://www.fas.org/irp/dni/osc/france-media.pdf
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