Bisounours Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je dirais que la dépression c'est comme une voiture sans clé de contact, tout fonctionne mais il manque le petit bordel qui permet de mettre le moteur en route. Et à la longue, l'inertie grippe le moteur, et tout le reste.
Vengeusemasquée Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Free Jazz tu n'as pas tort lorsque tu établis un lien entre féminisme et obésité, même s'il est un peu caricatural. J'ai tout simplement envie de vous inviter à regarder l'emploi du temps d'une famille lambda, ni trop télévore ni trop intello, avec l'homme et la femme qui travaillent et un ou deux gosses dont il faut s'occuper. C'est juste trop. Sans exagérer la situation, dans la plupart des familles, ça reste Madame qui fait à becter, une bonne partie des courses et du ménage. A un moment, la cuisine, ça demande trop de temps. Il faut vraiment avoir beaucoup de blé pour se permettre de payer quelqu'un pour faire tout ça. Déjà une femme de ménage, c'est cher. Lorsque je vois tout simplement comment je suis crevée après une journée de travail à vouloir étrangler la moitié de mes collègues, j'ose à peine imaginer ce que ça serait si j'avais des enfants, ce dont il n'est pas question soit dit en passant. Honnêtement, même faire des pâtes ou du riz est compliqué pour mon conjoint alors si je veux manger quelque chose de correct, faut que je le fasse et je sais que c'est le cas d'une bonne partie des couples. Je regrette mais je n'ai pas la foi pour y passer tout mon week-end et mes soirées donc souvent, l'alimentation paleo que j'aimerais arriver à suivre, elle passe à la trappe. J'adore prendre le temps de mitonner des bons petits plats, y passer des heures puis le savourer avec Chéri mais je n'ai pas très souvent ce courage. Je n'en conçois aucune culpabilité, là n'est point la question, mais je pense ne pas être isolée, voilà tout.
Rübezahl Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je dirais que la dépression c'est comme une voiture sans clé de contact, tout fonctionne mais il manque le petit bordel qui permet de mettre le moteur en route. Et à la longue, l'inertie grippe le moteur, et tout le reste. L'autre jour, je suis tombé par hasard sur l'histoire d'un gars, frappé d'une maladie très rare (vieillissement accéléré). Il est mort à 17 ans. J'ai noté de lui (pardon pour cette citation, de mémoire) : "quels que soit les malheurs qui vous frappent ... there is always room for joy". Bref, voilà un gars qui a les clés, mais dont la bagnole tourne plutôt mal. (en passant ... chapeau très bas quand même). Alors, quand je vois ceux qui ont la chance d'avoir une bagnole en bon état ... mais qui disent avoir des soucis de clés ... comment dire
poney Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Change de conjoint.... Sinon, c'est sur que je ne suis jamais rentré chez moi avant 19, plus souvent il est 20h, ou presque. Si j'avais des gosses...pff... J'avais des parents (j'ai toujours d'ailleurs) qui bossaient le soir. Heureusement que mes grands-parents pouvaient m’accueillir, tous les jours, sinon, c'est certain que j'aurais mangé beaucoup plus de surgelés et de plats préparés. Et il est probable que c'est une habitude que j'aurais pris (ça n'est pas le cas, je réserve les pâtes pour les jours de flemme, sinon je cuisine).
Bisounours Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Ben oui, ça parait con, mais la dépression c'est ça. Comme tu aimes bien les citations 'il a tout pour être heureux', 'tant qu'on a la santé' et blablabla. Et pourtant, ça fonctionne pas. La dépression est une maladie de pays riche, on peut dire aussi. Il n'empêche que la science a inventé des petites pilules pour permettre au cerveau humain de fonctionner mieux, et ça le fait. Cela veut il dire que ce serait une maladie ? J'en sais rien, et je m'en fous un peu. Je faisais réponse à Laurett et Chitah sur ce qui peut démotiver quelqu'un à se taper des heures de cuisine. Cuisiner, pour soi et pour les autres c'est aussi vouloir faire plaisir. Avoir pris du temps pour préparer un plat c'est montrer de l'intérêt pour ceux qui vont le déguster.
Vengeusemasquée Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Change de conjoint.... I est très bien mon conjoint, il fait juste pas à bouffer et je n'ai pas le courage de le faire tous les soirs non plus. Je pense qu'en termes de participation aux tâches ménagères, il est meilleur que bien des mecs. J'aimerais attirer votre attention sur le fait que ce n'est pas parce que vous faites autant le ménage, les courses, la lessive et le repassage que vos nanas (...) que c'est le cas de tout le monde, et il n'y a pas besoin d'être un gros blaireau sans culture pour ne se donner aucun mal en matière d'entretien de la maison. Du coup, quand on ajoute tout ça à une journée de travail, je vous assure de Mme Lambda, elle n'a pas le courage de faire à becter.
free jazz Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Free Jazz tu n'as pas tort lorsque tu établis un lien entre féminisme et obésité, même s'il est un peu caricatural. J'ai tout simplement envie de vous inviter à regarder l'emploi du temps d'une famille lambda, ni trop télévore ni trop intello, avec l'homme et la femme qui travaillent et un ou deux gosses dont il faut s'occuper. C'est juste trop. Sans exagérer la situation, dans la plupart des familles, ça reste Madame qui fait à becter, une bonne partie des courses et du ménage. A un moment, la cuisine, ça demande trop de temps. Il faut vraiment avoir beaucoup de blé pour se permettre de payer quelqu'un pour faire tout ça. Déjà une femme de ménage, c'est cher. Lorsque je vois tout simplement comment je suis crevée après une journée de travail à vouloir étrangler la moitié de mes collègues, j'ose à peine imaginer ce que ça serait si j'avais des enfants, ce dont il n'est pas question soit dit en passant. Honnêtement, même faire des pâtes ou du riz est compliqué pour mon conjoint alors si je veux manger quelque chose de correct, faut que je le fasse et je sais que c'est le cas d'une bonne partie des couples. Je regrette mais je n'ai pas la foi pour y passer tout mon week-end et mes soirées donc souvent, l'alimentation paleo que j'aimerais arriver à suivre, elle passe à la trappe. J'adore prendre le temps de mitonner des bons petits plats, y passer des heures puis le savourer avec Chéri mais je n'ai pas très souvent ce courage. Je n'en conçois aucune culpabilité, là n'est point la question, mais je pense ne pas être isolée, voilà tout. Dans la bourgeoisie éduquée, on ne s'abrutit pas devant les grosses bouses de la télé, et on prend le temps de cuisiner. Je l'ai observé autour de moi. Et même quand on rentre crevé du taf en semaine, le chemin du moindre effort est de sortir une assiette de bons produits du terroir, fromages, charcuterie, une salade. Ce n'est pas une question de temps, mais de capital culturel. Cela ne prend pas de temps de réchauffer quelques tranches de rôti préparé le w.e, c'est une question d'organisation (préparer des plats à l'avance que l'on congèle), donc d'intelligence culturelle et pratique. Un bocal de ratatouille, cela prend deux minutes à réchauffer. Les ploucs ne vont pas au marché le dimanche-matin, ils ne savent pas choisir les produits individuellement. Le problème réside dans l'augmentation des parents célibataires, des femmes peu éduquées (perte de la transmission et des savoirs), isolées et désocialisées, qui sont des effets indirects du féminisme et du socialisme. L'alimentation paléo, c'est un gadget pour geeks (comme il y a de la psychologie pour geeks), mais ça au moins l'avantage de consommer des produits sains.
Chitah Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Ben oui, ça parait con, mais la dépression c'est ça. Comme tu aimes bien les citations 'il a tout pour être heureux', 'tant qu'on a la santé' et blablabla. Et pourtant, ça fonctionne pas. La dépression est une maladie de pays riche, on peut dire aussi. Absolument pas, les taux de dépressifs en Afghanistan dans la population par exemple sont très élevés (faut dire que depuis 30 ou 40 ans c'est la castagne en continu dans ce pays) : http://www.alarabiya.net/articles/2012/01/28/191006.html Voici une carte de la dépression dans le monde : http://www.washingtonpost.com/blogs/worldviews/wp/2013/11/07/a-stunning-map-of-depression-rates-around-the-world/
Chitah Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Dans la bourgeoisie éduquée, on ne s'abrutit pas devant les grosses bouses de la télé, et on prend le temps de cuisiner. Je l'ai observé autour de moi. Et même quand on rentre crevé du taf en semaine, le chemin du moindre effort est de sortir une assiette de bons produits du terroir, fromages, charcuterie, une salade. Ce n'est pas une question de temps, mais de capital culturel. Cela ne prend pas de temps de réchauffer quelques tranches de rôti préparé le w.e, c'est une question d'organisation (préparer des plats à l'avance que l'on congèle), donc d'intelligence culturelle et pratique. Un bocal de ratatouille, cela prend deux minutes à réchauffer. Les ploucs ne vont pas au marché le dimanche-matin, ils ne savent pas choisir les produits individuellement. Le problème réside dans l'augmentation des parents célibataires, des femmes peu éduquées (perte de la transmission et des savoirs), isolées et désocialisées, qui sont des effets indirects du féminisme et du socialisme. L'alimentation paléo, c'est un gadget pour geeks (comme il y a de la psychologie pour geeks), mais ça au moins l'avantage de consommer des produits sains. Je like tout cela. Et évidemment le coup des plats préparés le ouikène et congelés, je pratique pas mal tout cela. Vengeusemasquée : tu te fais livrer par les supermarchés parfois ou pas? C'est quand même diablement pratique pour l'épicerie, tout ce qui est fond de garde-manger.
José Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 ...il n'y a pas besoin d'être un gros blaireau sans culture pour ne se donner aucun mal en matière d'entretien de la maison. Il faut savoir partager les tâches. Mon père, par exemple, il défend le foyer contre les attaques extérieures (et il fait ça super bien !) Ma mère s'occupe du reste.
poney Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Dans la bourgeoisie éduquée, on ne s'abrutit pas devant les grosses bouses de la télé, et on prend le temps de cuisiner. Je l'ai observé autour de moi. Et même quand on rentre crevé du taf en semaine, le chemin du moindre effort est de sortir une assiette de bons produits du terroir, fromages, charcuterie, une salade. Ce n'est pas une question de temps, mais de capital culturel. Cela ne prend pas de temps de réchauffer quelques tranches de rôti préparé le w.e, c'est une question d'organisation (préparer des plats à l'avance que l'on congèle), donc d'intelligence culturelle et pratique. Un bocal de ratatouille, cela prend deux minutes à réchauffer. Les ploucs ne vont pas au marché le dimanche-matin, ils ne savent pas choisir les produits individuellement. Le problème réside dans l'augmentation des parents célibataires, des femmes peu éduquées (perte de la transmission et des savoirs), isolées et désocialisées, qui sont des effets indirects du féminisme et du socialisme. L'alimentation paléo, c'est un gadget pour geeks (comme il y a de la psychologie pour geeks), mais ça au moins l'avantage de consommer des produits sains. FJ, je ne te savais pas admirateur de Bourdieu et de La Distinction
POE Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je dirais que la dépression c'est comme une voiture sans clé de contact, tout fonctionne mais il manque le petit bordel qui permet de mettre le moteur en route. Et à la longue, l'inertie grippe le moteur, et tout le reste. Je ne crois pas que l'analogie soit valide. D'abord, il y a plusieurs types de dépression. Ensuite, la vision mécaniste est toujours restreinte dans l'explication d'un phénomène psychique.
free jazz Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 FJ, je ne te savais pas admirateur de Bourdieu et de La Distinction Il s'est beaucoup fourvoyé, mais il a des constats objectifs dans la partie descriptive. La reproduction sociale s'explique mieux avec une grille d'analyse libérale, y compris sur les questions d'éducation. Et je n'ai jamais caché être un marxiste de droite conséquent, contrairement à la plupart des libertariens.
DiabloSwing Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 FJ, je ne te savais pas admirateur de Bourdieu et de La DistinctionDe fait FJ a puissamment raison.
Rübezahl Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je ne crois pas que l'analogie soit valide. D'abord, il y a plusieurs types de dépression. Ensuite, la vision mécaniste est toujours restreinte dans l'explication d'un phénomène psychique. indépendamment des causes objectives et intrinsèques, il y a aussi un aspect économique. La dépression est (parmi d'autres) une magnifique industrie. Et en plus, une industrie encore pleine de promesses vu qu'on a toujours pas trouvé la limite haute au nombre de petites pilules tri-quotidiennes qu'il est possible de faire avaler à un être humain (enfin, du moins tant que c'est la collectivité qui raque).
Noob Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Lorsque je vois tout simplement comment je suis crevée après une journée de travail à vouloir étrangler la moitié de mes collègues, j'ose à peine imaginer ce que ça serait si j'avais des enfants, ce dont il n'est pas question soit dit en passant. Honnêtement, même faire des pâtes ou du riz est compliqué pour mon conjoint alors si je veux manger quelque chose de correct, faut que je le fasse et je sais que c'est le cas d'une bonne partie des couples. T'as déjà essayer de lui apprendre deux trois trucs ? C'est quand même un truc sympa à faire en couple, non ? En plus je veux pas dire, mais l'art de manier un couteau avec dextérité c'est pas spécialement un truc de nana, donc c'est pas là où il jouera sa virilité. Sinon il existe aussi des sortes d'ateliers pour apprendre à faire à bouffer, tel que atelier des chefs à Paris. C'est peut-être un peu cher pour dire qu'on fait la bouffe soit même, mais bon on y va pour apprendre. Mais ils ont une pelletée de trucs sur le web pour apprendre à faire mille et un petit plat, c'est plutôt utile. Sans rire, rien qu'en connaissant les bonnes astuces pour tailler des légumes, on gagne facilement 10-15 minutes sur un débutant qui sait à peine tenir un couteau.
José Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je sens que ce topic va avorter dans pas longtemps.
Malky Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Je sens que ce topic va avorter dans pas longtemps. Heureusement qu'on est pas en Espagne... ici les topics ont encore le droit d'avorter.
POE Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 indépendamment des causes objectives et intrinsèques, il y a aussi un aspect économique. La dépression est (parmi d'autres) une magnifique industrie. Et en plus, une industrie encore pleine de promesses vu qu'on a toujours pas trouvé la limite haute au nombre de petites pilules tri-quotidiennes qu'il est possible de faire avaler à un être humain (enfin, du moins tant que c'est la collectivité qui raque). On sait bien que la France arrive dans les premiers pays en terme de consommation d'antidépresseurs, cela dit la corrélation avec son système de santé ne me semble pas évidente. La limite haute des pilules est bien connue par contre. La dépression c'est plutôt à mon sens une voiture sans pilote. Où est le pilote ? Qui est le pilote ? Que doit il faire ? Il ne sait pas lui même.
Rincevent Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Elle est venue hier, je fais pizza (maison) et soupe (maison). On parle cuisine (on adore tous les deux cuisiner), puis elle me dit qu'elle s'était fait des scampis comme ci, comme ça hier. Je bondis, non pas parce que c'est un animal et qu'elle en mange, mais parce que la plupart des crevettes et assimilés sont élevés au Vietnam dans des conditions écologiques très douteuses. Pas mieux que nos poulets de batterie et dans un pays avec des conditions moins drastiques que les nôtres (donc, probablement "pire"). Je lui fais la remarque, et elle me répond "oui mais bon, je fais attention un maximum mais je fais des écarts sinon je mangerai plus rien, j'essaye de faire de mon mieux". Bon, elle est pas totalement foutue. Elle est piercée et tatouée : elle est donc déjà partiellement foutue, de manière irrémédiable. si j'avais des enfants, ce dont il n'est pas question soit dit en passant.[ThreadHijacking] Ah bon ? Pourquoi donc ? [/ThreadHijacking]
poney Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Il s'est beaucoup fourvoyé, mais il a des constats objectifs dans la partie descriptive. La reproduction sociale s'explique mieux avec une grille d'analyse libérale, y compris sur les questions d'éducation. Et je n'ai jamais caché être un marxiste de droite conséquent, contrairement à la plupart des libertariens. Il s'est fourvoyé sans doute parce que, d'un côté, c'était précurseur. Le premier post-marxiste à dire aux marxistes qu'ils se gouraient et que, non, tout n'est le résultat d'une classe sociale. Ça s'est nettement affiné par après (pas chez lui, se remettre en question, toussa).
Hayek's plosive Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 On sait bien que la France arrive dans les premiers pays en terme de consommation d'antidépresseurs, cela dit la corrélation avec son système de santé ne me semble pas évidente. La limite haute des pilules est bien connue par contre. La dépression c'est plutôt à mon sens une voiture sans pilote. Où est le pilote ? Qui est le pilote ? Que doit il faire ? Il ne sait pas lui même. Les anti-depresseurs et les taux de suicide, je serais curieux de voir les corrélations avec les pourcentages de croyants. Et avec le pourcentage d'ensoleillement.
Vengeusemasquée Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Il faut savoir partager les tâches. Mon père, par exemple, il défend le foyer contre les attaques extérieures (et il fait ça super bien !) Ma mère s'occupe du reste. Pour un moment, j'ai cru que tu avais raté ces derniers échanges Je ne vous demandais pas de conseils les gars, c'est gentil mais je me démerde et je sais à peu près cuisiner. Maman m'a transmis un capital précieux en la matière. Quand je ne fais rien, c'est plus par manque de volonté en fin de journée du fait de mon boulot déprimant. Je vous disais ça à titre d'illustration plus qu'autre chose. Je vous propose qu'on revienne au sujet de base avant de tourner en rond sur les explications du recours à la malbouffe.
NicolasB Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 La base du sujet, c'est manger sain et la plupart des maladies modernes disparaissent comme par magie, non?
Chitah Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Les anti-depresseurs et les taux de suicide, je serais curieux de voir les corrélations avec les pourcentages de croyants. Et avec le pourcentage d'ensoleillement. Tu as vu la carte que j'ai posté plus haut? C'est le taux de dépressifs par pays.
Malky Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Tu as vu la carte que j'ai posté plus haut? C'est le taux de dépressifs par pays. D'ailleurs si je vois bien : Belgique <4%, Pays-Bas > 7% ... c'est les flamiches qui dépriment tout le temps ?
Rübezahl Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 La base du sujet, c'est manger sain et la plupart des maladies modernes disparaissent comme par magie, non? Que ton aliment soit ta seule médecine ! Hippocrate (escuses etc) Que ton ensoleillement soit ta seule médecine ! ?
free jazz Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Pour un moment, j'ai cru que tu avais raté ces derniers échanges Je ne vous demandais pas de conseils les gars, c'est gentil mais je me démerde et je sais à peu près cuisiner. Maman m'a transmis un capital précieux en la matière. Quand je ne fais rien, c'est plus par manque de volonté en fin de journée du fait de mon boulot déprimant. Je vous disais ça à titre d'illustration plus qu'autre chose. Je vous propose qu'on revienne au sujet de base avant de tourner en rond sur les explications du recours à la malbouffe. C'est bien ça, préviens quand tu seras célibataire. Le seul truc qui peut me rendre vraiment dépressif, c'est de mal manger pendant trop longtemps.
Hayek's plosive Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Tu as vu la carte que j'ai posté plus haut? C'est le taux de dépressifs par pays. Ah non, merci pour le rappel. J'ai pas internet a la maison (viens de demenager, toussa) du coup j'arrive pas a suivre tous les fils.
POE Posté 20 février 2014 Signaler Posté 20 février 2014 Pour un moment, j'ai cru que tu avais raté ces derniers échanges Je ne vous demandais pas de conseils les gars, c'est gentil mais je me démerde et je sais à peu près cuisiner. Maman m'a transmis un capital précieux en la matière. Quand je ne fais rien, c'est plus par manque de volonté en fin de journée du fait de mon boulot déprimant. Je vous disais ça à titre d'illustration plus qu'autre chose. Je vous propose qu'on revienne au sujet de base avant de tourner en rond sur les explications du recours à la malbouffe. TPQuand une vénusienne échange ce n'est pas pour avoir un conseil, mais pour se sentir soutenue. Tandis que sur Mars, les hommes parlent de leur pb lorsqu'ils cherchent une solution.
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