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Le communisme est contradictoire et pas logique


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En plus j'ai pas très bien compris le but du communisme. Il s'agit de partager les biens de production ou de supprimer les inégalités sociales, parce que

c'est pas tout à fait pareil. S'il s'agit juste de partager les bien de production rien empêche d'épargner et de fait les inégalités se créées. Après si des

inégalités se créées il peut avoir une tentation des plus riche de prendre en main les outils de production pendant les moments difficiles pour refinancer.

Le communisme n'a pas de but en soi, il est la Fin de l'Histoire, le but ultime du socialisme. Le communisme est une société imaginaire sans classe sociale, et où de ce fait l'exploitation de l'Homme par l'Homme n'existe pas. Les classes sociales se caractérisent :

- par le fait qu'elles sont héréditaires (fils d'artisan = artisan ; fils de patron = patron, etc…),

- et par leur rapports aux autres classes, faits de domination/soumission : la lutte des classes.

Marx observe donc la société comme divisée en classes sociales, les deux plus importantes (en effectifs) étant la classe paysanne et la classe prolétaire. En revanche les deux classes les plus importantes par la place qu'elles occupent dans l'économie sont la classe prolétaire et la classe bourgeoise.

Les prolétaires, contrairement à l'idée répandue, ne se caractérisent pas par les types d'activités exercées (ouvriers, mineurs, etc…), mais par le fait qu'ils ne possèdent aucun capital. Sans terre, ni machine, ni outil, ils doivent vendre leur force de travail pour gagner leur vie.

Ils la vendent à la classe bourgeoise, qui possède le capital. Les prolétaires sont tributaires de la générosité des bourgeois en matière de salaires. Marx ne faisait pas vraiment de distinction entre le patron et l'entrepreneur, les deux travaillant dans l'objectif de faire fructifier le capital investi et non dans l'objectif de percevoir un salaire, ils sont capitalistes.

Marx voit entre le prolétariat et la bourgeoisie un rapport d'exploitation aboutissant à asseoir la position dominante de la classe bourgeoise. Pour se faire, le bourgeois rémunère le salarié juste assez pour qu'il puisse renouveler sa force de travail et nourrir ses enfants, futurs salariés. La différence perçue par le bourgeois s'appelle la "plus value", considérée par Marx comme une spoliation.

Marx constatant l'évolution des techniques et des modes de production, l'industrialisation, il en déduisait que le salariat (= exploitation des prolétaires) allait se répandre, et qu'avec lui augmenterait le ressentiment des prolétaires à l'égard de la bourgeoisie. Il fallait que les prolétaires acquièrent une conscience de classe, pour s'affranchir de l'emprise des bourgeois.

Analysant l'Histoire, Marx trouvait des analogies entre les classes de différentes époques. Ainsi les rapports salarié/employeur sont comparables aux rapports serf/seigneur : un opprimé et un oppresseur. Progressivement, et toujours dans un cadre de lutte des classe, des bourgs se forment, dans lesquelles les habitants (les bourgeois) s'organisent contre les spoliations des seigneurs. Leurs actions peuvent alors s'apparenter à celles de mouvements ouvriers de l’époque de Marx (révoltes, notamment).

Ainsi selon Marx, les bourgeois, au cours de la Renaissance, de plus en plus nombreux et fédérés (ex : corporations) prennent conscience de l'importance de leur rôle dans l'économie. Ils finiront, bien plus tard, par devenir les vrais acteurs de la Révolution française. Ils renversent la monarchie, abolissent les privilèges et instaurent la république et la démocratie, système favorable à la classe bourgeoise.

En s'affranchissant, les bourgeois ont remplacé les aristocrates dans leur rôle de classe dominante, sans abolir l'exploitation. Pour Marx, les prolétaires doivent donc s'affranchir de l'emprise des bourgeois, certes, mais pas n'importe comment. Il faut plusieurs conditions :

- Que les prolétaires du monde entier aient une conscience de classe, qu'ils soient solidaires internationalement,

- Qu'ils agissent de manière organisée et fassent la révolution,

- Qu'ils instaurent une dictature dirigée par eux mêmes.

Surtout, pour ne pas reproduire le système d'exploitation d'une classe par une autre, cette dictature doit avoir pour but l'abolition de la propriété privée des moyens de production, qui est vue par Marx comme la base même de tous les rapports de domination/exploitation entre les Hommes.

A partir de là : POUF ! Communisme ! Grâce à l'abolition de la propriété privée des moyens de production, plus de classes, donc plus d'exploitation de l'Homme par l'Homme, plus de méchants. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. FIN (générique)

J'ai quelques fois essayé de lire quelques trucs marxiste au hasard mais j'ai toujours l'impression qu'il s'agit d'une description détaillée à l'extrême de

l'économie (c'est comme s'il fallait trois pages de définition et de description pour aller chercher du pain) avec des conclusions douteuses et des solutions

violentes.

(…)

Ce n'est pas qu'une impression. Le marxisme, ou plutôt Marx, peut faire des observations justes, mais les analyses qu'il en tire montrent qu'il cherche à lutter contre la réalité pour valider une pensée préétablie.

Posté
(…)

si cette théorie débile avait le moindre fondement, cela signifierait qu'un gâteau à la merde aurait la même valeur qu'un gâteau au chocolat pour autant que le boulanger aurait mis le même temps pour les confectionner.

2° N'oublie pas le coùt des matières 1ère ainsi que le déterminant demande mais si les boulangers en fabriquaient sans prendre en compte le cout des matières oui le prix serait le même.

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Posté
2° N'oublie pas le coùt des matières 1ère ainsi que le déterminant demande mais si les boulangers en fabriquaient sans prendre en compte le cout des matières oui le prix serait le même.

:icon_up:

goutez le delicieux gateau au caca marxiste

gateau-au-chocolat-_2501.jpg un gout unique pour le prix d'un simple gateau au chocolat

Posté

Coluche

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Posté
Du reste, comment Marx pouvait-il connaître la nature humaine sachant qu'il ne sortait presque jamais de chez lui : il n'avait même pas de pantalon…

…qui a passé toute sa vie en empruntant de l'argent sans jamais le rendre. L'archétype au cube de ce qu'il dénonçait : fainéant, sans-gêne, égoïste, sans morale aucune qui vécut aux crochets de son entourage durant toute sa vie. D'une saleté incroyable, phobique à l'hygiène élémentaire jusqu'à ce qu'il termine souffrant de furoncles purulents - dont il ne cessera de se plaindre dans sa correspondance - sur tout le corps depuis le visage jusqu'au pénis en passant par le dos et le cul. D'après ses archives, on a pu calculer qu'il disposait d'en moyenne de 200 livres par an (entre 80.000 et 90.000 euros actuels) - quatre fois le salaire des ouvriers anglais qu'il prétendait défendre et qui étaient les mieux payés du monde à l'époque. Tout cela sans avoir jamais travaillé de sa vie. D'abord, il vécut en tapant sa famille vivant à Trèves et traîna ses gêtres à l'université devenant le typique révolutionnaire de salon. Qui jamais ne verra un ouvrier de ses propres yeux - il rejetta même une invitation d'Engels qui voulait lui faire visiter ses ateliers textiles. Et exigeant avec ça : si l'argent des parents tardait à venir, il n'hésitait pas à le réclamer par courrier express. À la mort de son père, en 1838, il dilapida son héritage, 6.000 francs-or. Il fera de même à la mort de sa mère - mais l'héritage sera moindre car il avait déjà réclamé une avance sur héritage du vivant de sa mère. Mangé l'argent des parents, il entreprit de dévaliser ses amis ou des correligionnaires politiques et d'autres exilés allemands. Il dépensa également toute la dot de sa femme - fille de baron prussien - et tapa régulièrement sa belle-famille. Enfin, les 40 dernières années de sa vie, Marx, saigna soigneusement son ami Engels, multimillionnaire du textile, qui lui versera un pension à vie à partir de 1869. Marx, l'exemple parfait et l'image vivante de ce qu'est le socialiste : un parasite du capitaliste.

Invité jabial
Posté
Les classes sociales se caractérisent :

- par le fait qu'elles sont héréditaires (fils d'artisan = artisan ; fils de patron = patron, etc…),

Ça, ça n'était vrai que dans l'ancien régime. Et encore : tous les fils d'un noble n'héritent pas du titre ni du domaine qui va avec.

- et par leur rapports aux autres classes, faits de domination/soumission : la lutte des classes.

La seule vraie domination est celle du pouvoir politique. Celui qui veut vivre hors du capitalisme peut élever des chèvres dans le Larzac, mais si l'État décide que c'est plus permis, hop au goulag les bergers.

Les prolétaires, contrairement à l'idée répandue, ne se caractérisent pas par les types d'activités exercées (ouvriers, mineurs, etc…), mais par le fait qu'ils ne possèdent aucun capital. Sans terre, ni machine, ni outil, ils doivent vendre leur force de travail pour gagner leur vie.

Comme par exemple les traders :icon_up:

Ils la vendent à la classe bourgeoise, qui possède le capital. Les prolétaires sont tributaires de la générosité des bourgeois en matière de salaires.

Ben non. Les entreprises aussi sont en concurrence pour acheter le travail. Les gens compétents forment un oligople qui se vend bien. Même les ouvriers et employés non qualifiés, qui sont en position de faiblesse sur le marché du travail, sont loin de "dépendre de la générosité des bourgeois". J'en veux pour preuve le niveau de vie des premiers ouvriers qui, s'il paraît bas à notre époque, était bien supérieur à celui de leurs pères paysans. L'exode rural ne s'est pas produit parce qu'il n'y avait pas de la terre pour tout le monde - sans quoi le nombre de paysans n'aurait pas baissé ; il n'est produit parce qu'on pouvait gagner plus en travaillant moins en étant ouvrier.

Marx ne faisait pas vraiment de distinction entre le patron et l'entrepreneur, les deux travaillant dans l'objectif de faire fructifier le capital investi et non dans l'objectif de percevoir un salaire, ils sont capitalistes.

Et pourtant, les revenus d'un patron dépendent largement de la qualité de son travail. Prétendre que les bourgeois oisifs font partie de la même classe que les bourgeois qui travaillent, c'est du grand n'importe quoi.

A partir de là : POUF ! Communisme ! Grâce à l'abolition de la propriété privée des moyens de production, plus de classes, donc plus d'exploitation de l'Homme par l'Homme, plus de méchants. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. FIN (générique)

Ouais, ils avaient un peu oublié que ce que l'argent demande, le pouvoir l'exige. Aussi riche que soit mon interlocuteur, il ne peut m'obliger à acheter ce dont je ne veux pas et à vendre ce que je veux conserver.

Ce n'est pas qu'une impression. Le marxisme, ou plutôt Marx, peut faire des observations justes, mais les analyses qu'il en tire montrent qu'il cherche à lutter contre la réalité pour valider une pensée préétablie.

Une montre arrêtée donne l'heure exacte 2 fois par jour ; une montre qui tourne à l'envers très vite, plusieurs fois par seconde.

Posté
* Et bien donne une période de l'Histoire qui n'a pas connu cette lutte des classes. Les travailleurs et leurs employés ont des objectifs opposés. Enfin celà dépends de la taille de l'entreprise ainsi que de son directeur mais dans une vision libéraliste, les 2 sont formellement opposés non seulement par le partage de la valeur ajoutée mais aussi par la place du travail au sein de la vie.

* Il y a bien des classes étant donné que des groupes de personnes ont des objectifs opposés à d'autres

Ton boulanger et toi avez chacun un objectif opposé. Et, dans l’absolu, sur 60 millions de personne, tu ne trouveras pas deux personnes ayant exactement le même objectif ; et les moyens d’atteindre ces objectifs étant rares, il y a donc 60 millions de classes qui luttent entre elle. Et la propriété n’est que le moyen découvert par l’humanité pour pacifier cette lutte, en la limitant par des règles égales pour toutes.

Posté
Les prolétaires, contrairement à l'idée répandue, ne se caractérisent pas par les types d'activités exercées (ouvriers, mineurs, etc…), mais par le fait qu'ils ne possèdent aucun capital. Sans terre, ni machine, ni outil, ils doivent vendre leur force de travail pour gagner leur vie.

Mais d'après l'idéologie marxiste tout se joue uniquement par exploitant/exploité et donc on peut être riche et être en accord avec le marxisme. Dans la réalité on a toujours visé que les riches sans aucune distinction. Lenine tuait les paysans qui épargnaient sans être exploitants, il appelait ça des koulak si je ne me trompe pas…

Invité jabial
Posté
Mais d'après l'idéologie marxiste tout se joue uniquement par exploitant/exploité et donc on peut être riche et être en accord avec le marxisme. Dans la réalité on a toujours visé que les riches sans aucune distinction. Lenine tuait les paysans qui épargnaient sans être exploitants, il appelait ça des koulak si je ne me trompe pas…

Koulak signifie poing de façon littérale en russe. La meilleure traduction serait probablement "avare". Les paysans on été accusés de garder pour eux une partie des récoltes, on a donc "désavarisé", "dékoulakisé", en déportant et en affamant massivement.

Posté
…qui a passé toute sa vie en empruntant de l'argent sans jamais le rendre. L'archétype au cube de ce qu'il dénonçait : fainéant, sans-gêne, égoïste, sans morale aucune qui vécut aux crochets de son entourage durant toute sa vie. D'une saleté incroyable, phobique à l'hygiène élémentaire jusqu'à ce qu'il termine souffrant de furoncles purulents - dont il ne cessera de se plaindre dans sa correspondance - sur tout le corps depuis le visage jusqu'au pénis en passant par le dos et le cul. D'après ses archives, on a pu calculer qu'il disposait d'en moyenne de 200 livres par an (entre 80.000 et 90.000 euros actuels) - quatre fois le salaire des ouvriers anglais qu'il prétendait défendre et qui étaient les mieux payés du monde à l'époque. Tout cela sans avoir jamais travaillé de sa vie. D'abord, il vécut en tapant sa famille vivant à Trèves et traîna ses gêtres à l'université devenant le typique révolutionnaire de salon. Qui jamais ne verra un ouvrier de ses propres yeux - il rejetta même une invitation d'Engels qui voulait lui faire visiter ses ateliers textiles. Et exigeant avec ça : si l'argent des parents tardait à venir, il n'hésitait pas à le réclamer par courrier express. À la mort de son père, en 1838, il dilapida son héritage, 6.000 francs-or. Il fera de même à la mort de sa mère - mais l'héritage sera moindre car il avait déjà réclamé une avance sur héritage du vivant de sa mère. Mangé l'argent des parents, il entreprit de dévaliser ses amis ou des correligionnaires politiques et d'autres exilés allemands. Il dépensa également toute la dot de sa femme - fille de baron prussien - et tapa régulièrement sa belle-famille. Enfin, les 40 dernières années de sa vie, Marx, saigna soigneusement son ami Engels, multimillionnaire du textile, qui lui versera un pension à vie à partir de 1869. Marx, l'exemple parfait et l'image vivante de ce qu'est le socialiste : un parasite du capitaliste.

sympatique personnage

Invité jabial
Posté
sympatique personnage

"sa femme" -> mais qui est assez folle pour accepter d'épouser ça ? :icon_up:

Posté
(…)

Ben non.

(…)

Houla, attention : je n'accorde aucun crédit à ces propos, je rapporte, juste (je dis ça au cas où).

…qui a passé toute sa vie en empruntant de l'argent sans jamais le rendre. L'archétype au cube de ce qu'il dénonçait : fainéant, sans-gêne, égoïste, sans morale aucune qui vécut aux crochets de son entourage durant toute sa vie. D'une saleté incroyable, phobique à l'hygiène élémentaire jusqu'à ce qu'il termine souffrant de furoncles purulents - dont il ne cessera de se plaindre dans sa correspondance - sur tout le corps depuis le visage jusqu'au pénis en passant par le dos et le cul. D'après ses archives, on a pu calculer qu'il disposait d'en moyenne de 200 livres par an (entre 80.000 et 90.000 euros actuels) - quatre fois le salaire des ouvriers anglais qu'il prétendait défendre et qui étaient les mieux payés du monde à l'époque. Tout cela sans avoir jamais travaillé de sa vie. D'abord, il vécut en tapant sa famille vivant à Trèves et traîna ses gêtres à l'université devenant le typique révolutionnaire de salon. Qui jamais ne verra un ouvrier de ses propres yeux - il rejetta même une invitation d'Engels qui voulait lui faire visiter ses ateliers textiles. Et exigeant avec ça : si l'argent des parents tardait à venir, il n'hésitait pas à le réclamer par courrier express. À la mort de son père, en 1838, il dilapida son héritage, 6.000 francs-or. Il fera de même à la mort de sa mère - mais l'héritage sera moindre car il avait déjà réclamé une avance sur héritage du vivant de sa mère. Mangé l'argent des parents, il entreprit de dévaliser ses amis ou des correligionnaires politiques et d'autres exilés allemands. Il dépensa également toute la dot de sa femme - fille de baron prussien - et tapa régulièrement sa belle-famille. Enfin, les 40 dernières années de sa vie, Marx, saigna soigneusement son ami Engels, multimillionnaire du textile, qui lui versera un pension à vie à partir de 1869. Marx, l'exemple parfait et l'image vivante de ce qu'est le socialiste : un parasite du capitaliste.

Il avait aussi une domestique (!) avec qui il couchait, et qu'il a fini par mettre enceinte. Ne pouvant assumer cette paternité, il a - c'est le cas de le dire - refilé le bébé, à son copain Engels. Ça a été mentionné dernièrement dans un autre fil.

Posté
Mais d'après l'idéologie marxiste tout se joue uniquement par exploitant/exploité

(…)

Voilà.

(…)

donc on peut être riche et être en accord avec le marxisme.

(…)

Le piège est là : qu'est ce qu'un "moyen de production" ? C'est vague, on peut décider que toute richesse est un moyen de production potentiel. La suite, tu la connais, et comme tu dis si bien :

(…)

Dans la réalité on a toujours visé que les riches sans aucune distinction.

(…)

:icon_up:

Alors comme ça Karl Marx était un gros porc?

Un gros porc qui manquait d'objectivité.

Posté
Gagner sa vie oui sauf que le partage de la valeur ajoutée implique que ce qui est donné à l'un est retiré à l'autre.

Lucilio a déjà dit à quel point ce passage était une connerie. Mais je vais en rajouter une couche, parce que je pense que c'est le mensonge fondateur du communisme.

Dans une logique libérale, si ton patron t'emploie ce n'est pas pour t'exploiter, mais parce qu'il considère que ensemble vous pouvez CREER plus de de richesse que de ton salaire. Il échange ton travail contre ton salaire, parce que 'il estime que pour lui ton travail vaut plus que l'argent, et que toi tu penses le contraire. Donc il pense créer de la richesse. Pas l'accaparer, la voler ou quoi que ce soit. Juste la CREER. Le travail productif produit de la richesse.

Dans une logique communiste, la richesse n'est pas créée, elle est prise. Les communistes ne sont à ce titre que des parasites, qui voient l'économie comme un jeu à somme nulle où la richesse ne s'obtient qu'en la prenant à ceux qui la possèdaient. Qu'il s'agisse de la nature (Karl Marx insiste beaucoup sur le rôle négatif de la nature à laquelle il arrache la richesse) ou des patrons.

De ceci je tire trois conclusions :

* L'idée que le travail produit de la richesse est évidente pour toute personne ayant travaillé et s'étant impliqué dans son travail. Ce qui implique que les communistes ne sont pas des travailleurs mais des théoriciens, des menteurs ou des fonctionnaires (ou les 3). Etrange pour un système qui passe son temps à exalter les travailleurs. Tien, un bel exemple socialiste et français

http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=638186

* La logique communiste d'obtention de richesse repose sur l'appropriation de ce que possédaient les autres. Dans cette logique, la richesse est prise (de force) aux autres, où à la rigueur, dans l'oeuvre de Marx (qu'un prof d'économie nous a forcé à étudier en seconde) à la nature. Le communisme c'est donc la guerre (Staline, Mao), la rente (Chavez, Ho Chi Minh) ou l'esclavage (Pol Pot, Lenine). Un mix des 3 est possible.

* Le communiste est un parasite pour le producteur puisqu'il ne produit rien et ne vit que du travail des autres. Comme tous les organismes parasites (VIH, pirate, moustique, bacille de Koch, envahisseur barbare, …) le communiste doit être neutralisé ou éradiqué.

Posté
Dans une logique communiste, la richesse n'est pas créée, elle est prise.

C'est plus compliqué que ça, pour Marx de la richesse est crée, elle est prise par le capitaliste exclusivement.

Posté
Il avait aussi une domestique (!) avec qui il couchait, et qu'il a fini par mettre enceinte. Ne pouvant assumer cette paternité, il a - c'est le cas de le dire - refilé le bébé, à son copain Engels. Ça a été mentionné dernièrement dans un autre fil.

Y en a même qui disent qu'il l'ont vu voler.

Invité jabial
Posté

Vous avez des sources pour tous ces trucs ? Je veux dire, c'est pas un secret que Marx était à l'ouest de la réalité, mais à ce point là, ça m'étonne que ça ne soit pas plus connu.

Posté
Vous avez des sources pour tous ces trucs ? Je veux dire, c'est pas un secret que Marx était à l'ouest de la réalité, mais à ce point là, ça m'étonne que ça ne soit pas plus connu.

Les amours ancillaires de Marx sont connus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Helene_Demuth

Voir aussi : (badurl) http://www.marxists.org/archive/marx/bio/family/demuth/index.htm (badurl)

Posté
Vous avez des sources pour tous ces trucs ? Je veux dire, c'est pas un secret que Marx était à l'ouest de la réalité, mais à ce point là, ça m'étonne que ça ne soit pas plus connu.

Il y a un podcast du LvMI sur ce thème, par Gary North.

Posté
Vous avez des sources pour tous ces trucs ? Je veux dire, c'est pas un secret que Marx était à l'ouest de la réalité, mais à ce point là, ça m'étonne que ça ne soit pas plus connu.

Il se plaignait régulièrement à Engels de ses furoncles. Exemple, au cul et sur le pénis : http://www.marxists.org/archive/marx/works…rs/67_04_02.htm

Nor did I wish to bore you by explaining the further delay, viz., carbuncles on my posterior and near the penis, the final traces of which are now fading but which made it extremely painful for me to adopt a sitting (hence writing) posture.

http://www.google.be/search?hl=fr&safe…q=&gs_rfai=

Invité jabial
Posté

Et les sources au sujet du fait qu'il n'a jamais travaillé, refusé de rencontrer des ouvriers, etc ?

Posté
Et les sources au sujet du fait qu'il n'a jamais travaillé…

On ne peut pas apporter de preuve négative : c'est aux cocos à prouver que Marx gagné sa vie en travaillant une seule fois dans sa vie. :icon_up:

Le seul travail qu'il a jamais fait, c'est 2 mois comme rédac' chef du journal Rheinische Zeitung en fin 1842. Puis il épouse sa femme en 1843 et vivra à ses crochets. En 1844, il rencontre Engels et commencera à le taper.

Notons aussi que Engels cessa de travailler en 1869 et vivra comme un bon capitaliste de ses rentes jusqu'à sa mort en 1895. Ah oui : et plus d'une fois, Marx spécula en bourse au moment de plusieurs booms économiques en Grande-Bretagne.

Posté
c'est aux cocos à prouver

doit on dire "de prouver" au lieu de "à" ou peut-on ecrire les deux? la question me tarabuste depuis des millenaires.

Invité jabial
Posté
Ah oui : et plus d'une fois, Marx spécula en bourse au moment de plusieurs booms économiques en Grande-Bretagne.

Là aussi, je veux des preuves :icon_up:

Posté
Là aussi, je veux des preuves :icon_up:

Ca, il a dû l'écrire dans sa correspondance, sur le ton "poussons le capitalisme à sa ruine en jouant son jeu", de mémoire.

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