Revue

[Barem]

Bonjour,

je cherche une ( ou des ) revue(s) paraissant(s) soit 1/semaine ; 2/mois ; 1/mois ; semestrielle, annuelle me permettant de m'informer sur différents sujet d'actualité ( économie, société, … ) via la rédaction d'étude plus englobante que les articles paraissant dans les hebdomadaires.

Pour vous donner un exemple type : la revue Commentaire.

Il y en aurait il d'autres, tout aussi, ou plus intéressante ? ( ou alors vous êtes des fanas d'internet et vous ne lisez plus aucune revue papier )

[Rincevent]

The Economist. Et Reason.

[TODA]

Fidèle depuis plus de 20 ans au POINT…

l'éditorial de Claude Imbert, et quelques voix "libérales", feu Jean François Revel, Jacques Marseille…

Mathieu Laine, le mois dernier…

Frédérique Bastiat est cité environs une fois par an dans un article…

Je lis aussi Challenges, Le revenu, Valeurs actuelles, un peu plus en diagonale…

Mais tout cela n'est que vieilles habitudes, ne dispensant en aucun cas de lire "Contrpoints" et les blogs comme Objectif liberté, ou Hastable….

[Chitah]

Fidèle depuis plus de 20 ans au POINT…

l'éditorial de Claude Imbert, et quelques voix "libérales", feu Jean François Revel, Jacques Marseille…

Mathieu Laine, le mois dernier…

Frédérique Bastiat est cité environs une fois par an dans un article…

Je lis aussi Challenges, Le revenu, Valeurs actuelles, un peu plus en diagonale…

Mais tout cela n'est que vieilles habitudes, ne dispensant en aucun cas de lire "Contrpoints" et les blogs comme Objectif liberté, ou Hastable….

Assez semblable, j'ai commencé quand j'étais petit par Challenges, puis Valeurs Actuelles avant son virage conservato-christiano-occidentaliste, et maintenant c'est le oueb, le oueb, le oueb.

Tiens, et pourquoi on lancerait pas un fil où on partage notre annuaire de sources d'infos (flux RSS, j'utilise google reader). Personnellement, dans le domaine "politique" je dois en avoir une vingtaine en tout et pour tout, une cinquantaine dans tout ce qui est business, et plein de choses diverses.

[(V)]

Bonjour,

je cherche une ( ou des ) revue(s) paraissant(s) soit 1/semaine ; 2/mois ; 1/mois ; semestrielle, annuelle me permettant de m'informer sur différents sujet d'actualité ( économie, société, … ) via la rédaction d'étude plus englobante que les articles paraissant dans les hebdomadaires.

Pour vous donner un exemple type : la revue Commentaire.

Il y en aurait il d'autres, tout aussi, ou plus intéressante ?

Voici quelques titres de revues intellectuelles - qui n'ont que peu à voir avec les magazines mentionnés par Chitah et Toda - :

Commentaire, que tu cites également, excellent > http://www.commentaire.fr/

Diogène, revue internationale des sciences humaines et sociales > http://www.puf.com/wiki/Diog%C3%A8ne

Cités, qui relève davantage de la philosophie > http://www.revue-cites.net/

Esprit > http://www.esprit.presse.fr/

La revue des deux mondes > http://www.revuedesdeuxmondes.fr

Tu trouveras d'autres sources qui te correspondent peut-être mieux en fouillant ces sites :

> http://www.erudit.org/revue/

> http://www.cairn.info/

Les magazines ne sont pas des revues, les premiers sont généralistes et les secondes spécialisées. L'erreur est fréquente, et il n'est pas toujours facile de se plonger dans une revue ou s'en tenir à une lecture assidue, certaines prennent l'allure de véritables ouvrages à ranger dans sa bibliothèque de sciences humaines ou sociales. Ces revues de référence sont normalement toutes consultables en bibliothèques. Plusieurs d'entre elles fonctionnent par thème, comme Cités et Diogène par exemple, ce qui permet de cibler ou sélectionner certains numéros (plutôt que s'y abonner…). Des magazines comme Philo Mag < http://www.philomag.com/ >, Sciences Humaines < http://www.scienceshumaines.com/ > ou encore Books < http://www.booksmag.fr/ >, pour n'en citer que quelques uns pas trop inintéressants et pas trop mal foutus, peuvent se feuilleter plus facilement dans le bus ou le métro, ou aux toilettes… (magazines eux-aussi généralement disponibles en bibliothèque)

[Lancelot]

C'est nul les revues, il faut lire des bouquins.

[(V)]

Je pense qu'il ne faut rien lire. Ni même dire.

[Barem]

C'est nul les revues, il faut lire des bouquins.

Sincèrement, les deux sont bons à prendre.

Encore dernièrement, j'ai lu deux articles sur la démocratie de Boudon et Rosanvallon vraiment intéressant dans la revue commentaire.

Les revues intellectuelles relèvent la pensée actuelle quand les bouquins nous révèles la pensée ancienne.

Tu trouveras d'autres sources qui te correspondent peut-être mieux en fouillant ces sites :

> http://www.erudit.org/revue/

> http://www.cairn.info/

Difficile de faire le tri sur ces sites, trop de noms, de références…

Je vous remercie, toi et les autres, pour vos suggestions.

Cités, qui relève davantage de la philosophie > http://www.revue-cites.net/

Quand on voit les titres précédentes : socialisme : y revenir ? ou encore capitalisme : en sortir ? sa donne moyennement envie de lire le contenu.

[pipo]

Difficile de faire le tri sur ces sites, trop de noms, de références…

Je vous remercie, toi et les autres, pour vos suggestions.

Sur cairn.info, hérodote pour la géopolitique, c'est la revue de référence en français.

Questions internationales est potable aussi comme magazine.

En anglais : foreign affairs et foreign policy qui font partie des publications les plus prestigieuses en restant accessibles.

Sinon, newseek, the economist, et time magazine comme hebdomadaires

Comme publications annuelles : ramses, l'année stratégique et l'annuaire français des relations internationales (les anciens sont trouvable sur le web), éviter à tout pris "l'état du monde" qui est une vrai bouse.

[Chitah]

Le site nonfiction.fr est pas mal en général non plus.

[Johnnieboy]

C'est nul les revues, il faut lire des bouquins.

Beaucoup de livres furent des articles dans des revues.

[TODA]

J'oubliais: j'écoute Olivier Delamarche très régulièrement….Actu bourse

Ce n'est pas une revue, mais sa petite analyse hebdomadaire m'est devenue indispensable…

[Aurel]

J'oubliais: j'écoute Olivier Delamarche très régulièrement….Actu bourse

Ce n'est pas une revue, mais sa petite analyse hebdomadaire m'est devenue indispensable…

TODA me surprendra toujours…

[Astha]

The Economist. Et Reason.

Reason est disponible en France ?

[José]

Reason est disponible en France ?

Tu le reçois par courrier international plus vite que par la poste française.

Sinon via Kindle.

[TODA]

TODA me surprendra toujours…

Pourtant simple: il suffit d'être le meilleur,

( pour de vrai, selon mes propres critères de jugement)

et d'avoir de l'humour, pour me plaire….

[Astha]

Tu le reçois par courrier international plus vite que par la poste française.

Sinon via Kindle.

Merci, cela revient à environ combien avec le transport ?

[José]

Merci, cela revient à environ combien avec le transport ?

Pour la première année, promo : $19,95 + transports. Après, $23,50 par an. Compte donc, avec les frais de transport, +/- €25 pour 11 numéros. Peanuts.

https://www.reason.com/subscribe

[Astha]

Pour la première année, promo : $19,95 + transports. Après, $23,50 par an. Compte donc, avec les frais de transport, +/- €25 pour 11 numéros. Peanuts.

https://www.reason.com/subscribe

[Lancelot]

Beaucoup de livres furent des articles dans des revues.

Raison de plus.

[(V)]

Difficile de faire le tri sur ces sites, trop de noms, de références…

Un moyen de fouiller peut être d'entrer des mots au hasard dans les moteurs de recherche, des expressions ou des thèmes, ou encore des noms d'auteurs, par exemple "libéralisme", libertariannisme", "libertarien", "anarcho-capitalisme", "rothbard", "henry george", "bioéthique", et voir vers quels articles tu es renvoyé, et de quelles revues ceux-ci sont tirés. En fonction de l'orientation de l'article, de son ton, sa clarté, sa longueur, son style, tu sentiras se démarquer des revues rassemblant des contributions qui te plaisent ou te parlent davantage que d'autres.

Quand on voit les titres précédentes : socialisme : y revenir ? ou encore capitalisme : en sortir ? sa donne moyennement envie de lire le contenu.

Ne te laisse pas avoir par ces titres paradoxalement voulus accrocheurs, qui rebutent en effet tout libéral normalement constitué, mais qui peut-être visent d'abord à flatter la majorité de la population. Cités est une bonne revue, toujours intéressante, et plaisante à lire, suffisamment claire et accessible pour un grand nombre. Par ailleurs, à propos de ces deux titres rédhibitoires, le point d'interrogation recèle une ambiguïté, laisse ouvert le débat et déstabilise l'opinion commune qui tient la réponse pour évidente, négligeant même la question.

Les éditos sont dispos, par exemple le numéro sur le capitalisme :

> http://droitdecites1.free.fr/spip.php?article164

Des passages intéressants peuvent y être relevés. Peut-être s'insèrent-ils dans une argumentation plus vaste visant à critiquer le capitalisme ou son approche libérale, mais au moins révèlent-ils que ce qui est dit à ce propos n'est pas pure fantaisie (à la différence, par exemple, du contenu de publications telles Manière de voir ou Alter Eco…) :

…

Le premier fondement tient à ce que le capitalisme n’est pas seulement un mode de production, d’échange et de consommation économique, il est aussi en même temps une dynamique du désir qui sous-tend la production, l’échange et la consommation. Son principal ressort est le désir individuel qu’il active, stimule, accroît. L’initiative individuelle, le goût du risque, course à la réussite, l’esprit d’entreprise, la volonté d’accumuler sont fondés sur cette dynamique du désir. Allons plus loin, c’est parce qu’il chatouille le désir individuel en l’excitant et le canalisant sur certains objets, puis sur d’autres, que le capitalisme requiert la plus grande liberté possible des individus et des groupes. Or désir et liberté sont des réalités positives qui nous définissent et auxquelles nous sommes attachés. Dans la mesure où il forme et accompagne le désir plutôt qu’il ne le réprime, dans la mesure où il laisse également du jeu à la liberté plutôt qu’il ne la contredit, le capitalisme s’appuie sur deux dimensions fondamentales de notre condition. Par opposition, une économie dirigiste et planificatrice est inévitablement une économie de la frustration qui finit toujours par s’appuyer sur un régime politique autoritaire. Ce n’est pas seulement une possibilité, c’est une loi de l’anthropologie et de la politique. On s’en est encore une fois aperçu avec la manière débridée et quasi-anarchique avec laquelle les pays de l’ex-Union soviétique se sont lancés dans un capitalisme sans règles et sans frein quand le pouvoir politique de fer s’est décomposé.

…

le capitalisme est d’abord un facteur très puissant d’égalisation. C’est en particulier lui qui a détruit la société d’ordre de l’Ancien Régime. Il a, en ce sens, égalisé les conditions, pour parler comme Tocqueville. Il a sapé les bases de la société aristocratique. L’argent, comme équivalent universel, n’est pas un simple opérateur d’échange, il homogénéise toutes les valeurs et les rend substituables les unes aux autres. La transformation des biens immobiliers, en particulier de la terre, en valeurs mobilières et particulièrement en capital, est l’un des facteurs majeurs de la destruction de l’aristocratie. Simplement cette égalisation engendre une nouvelle inégalité, qui n’est plus une inégalité d’ordre, de privilèges, mais une inégalité fondée sur l’argent et les possibilités que celui-ci ouvre dans la structure économique et sociale.

…

Le site nonfiction.fr est pas mal en général non plus.

Je découvre, intéressant, merci pour le lien. Pourquoi ne pas également lister ici diverses revues intellectuelles électroniques dignes de ce nom? Peut-être pourrait y figurer Telos > http://www.telos-eu.com/

A suivre…

[Barem]

Hum, comme quoi, il ne faut pas s'arrêter sur des apparences…

Pourquoi ne pas également lister ici diverses revues intellectuelles électroniques dignes de ce nom?

http://www.laviedesidees.fr/

Pas mal du tout comme site.

[eclipse]

http://www.culturevisuelle.org

[Théo31]

Commentaire : pas mal comme revue, même si certains auteurs n'apprécient pas toujours les libertariens.