Non Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Bon sinon privatisation des océans. Et comment on procède ?
Invité jabial Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Je pense que c'est pour des raisons de sécurité par rapport aux animaux sauvages en particulier les ours. C'est exactement ça. Et bien entendu, avec l'incohérence habituelle de l'État, si par malheur on en tue un, on prend cher au titre de la loi sur la protection des animaux. Il y a un type qui a perdu sa maison comme ça. Les amendes sont, comment dire… dissuasives. Un peu pour les même raisons qu'on oblige les gens à porter la ceinture de sécurité. Ça tombe bien, c'est pas libéral non plus Suppression des legal tender laws (comment on dit en français ?)C'est bon ? c'est Liberhalal Jabial ? ^^ Totalement. Bien. Appelons l'ensemble des propositions précédentes "le métazétisme". Mon unique proposition est donc celle-ci : instaurer le métazétisme Tu triches. libéralisation des règles du jeu ! On est dans un espace privé. La libéralisation des règles du jeu signifie ici en fait que si Métazét ne les respecte pas on efface ses messages ma première proposition libérale c'est de te démettre de tes fonctions de président du jeu, parce que tu commences vraiment à entraver notre libre expression ! C'est une proposition non pas libérale, mais communiste. En effet, tu te comportes en propriétaire de ce qui lui appartient. Une seule proposition ?Laisser les Bouilleurs de cru en paix. Tout le reste suivra. + 10000 La question me semble épineuse car par leurs actions et au travers de l'état et de sa force de coercition, les politiques surtout en haut de la hiérarchie organisent et provoquent parfois des morts, mais des morts par l'économie c'est invisible (cf bastiat). Ça ne suffit pas. La présomption d'innocence est un principe basique du libéralisme, qui ne peut être ignoré. Si on s'arroge le droit de considérer quelqu'un comme coupable sans présenter une victime, un droit violé et des preuves de cette violation, alors on peut fixer toutes les lois qu'on veut, à la fin du compte les juges et non les lois définiront la réalité du régime. Un moratoire de dix ans sur toute nouvelle loi, hors lois de finance annuelles. Mauvaise idée à mon avis : il faut aussi une loi pour relâcher la pression étatique. Disons plutôt que toute nouvelle loi devrait être plus courte que celle qu'elle annule et remplace, non ?
Tremendo Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 J'imagine que, pour la partie soulignée, tu proposes dans le même temps et en parallèle de libérer les esclaves de l'assistanat, ne serait-ce que pour remettre sur le marché du travail les gens qui accompagneront la remontée d'activité. J'ai envie de te dire que ça vient après. La priorité c'est de taper un bon coup tout de suite sur les réglementations vexatoires que j'ai évoqué (code du travail, heures de travail, SMIC, multiples réglementations en entreprises etc…), pour tout de suite permettre une relance de l'activité du côté de l'offre, et augmenter les recettes. Tout ceci accompagné de coupes claires dans les dépenses publiques futiles (frais internes, culture, subvention aux associations etc…), dans les effectifs et les salaires de la fonction publique, et d'une interdiction d'emprunt public. La priorité c'est la réduction des déficits, de la dette et un plan clair tout de suite -sans toucher aux aides sociales et sans toucher aux impôts pour ne pas s'aliéner la population tout de suite dans le plan de réforme- Dans les 100 jours, si rien n'est fait c'est foutu. Il faut mieux être impopulaire tout de suite avec toute cette batterie de mesures, et après lorsque les bons résultats économiques se font sentir, la grogne passe et l'action peut durer. Et là on commence à dérouler le programme, dès la première année au pouvoir, ça peut prendre du temps et faire des etincelles mais il faut en passer par-là obligatoirement: réformer les machines à propagande étatique (fin des privilèges et du financement public aux syndicats, privatisation des médias publics et interdiction de subventionner, chèque éducation et privatisation de l'éducation nationale). Une fois les principaux soutiens de l'Etat aliénés, on réforme le modèle social (retraites, sécu, logement). Ce n'est qu'après tout ça qu'on touche à l'assistanat et qu'on peut enfin penser à faire une réforme de la fiscalité. Les réformes constitutionnelles comme garde-fou aux dérives de l'Etat ça vient en dernier. J'imagine que les seuls demandeurs d'emploi actuels n'y suffiront pas, il va falloir de nouvelles personnes, il n'y a qu'à voir le secteur de la restauration, qui manque apparemment de dizaines de milliers de bras, tout de suite aujourd'hui en 2011. Si tu te réfères à faire appel à l'immigration, je ne sais pas. Les européens ne veulent plus de macjobs ou travailler dans les usines car on les a habitué à un discours dégradant ces emplois, remettons le travail au centre et la nécessité d'une immigration se fera peut-être moins sentir. S'il n'y a pas de jobs, sans Etat-providence, l'immigration ne vient pas, s'il y a des jobs, l'immigration viendra, le critère pragmatique en la matière serait d'accepter sur notre sol tout étranger sans antécédents désirant travailler et point.
0100011 Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Fin de la conscription, de la journée de sensibilisation citoyenne à la défense et de toute forme de réquisition des personnes de la part de l'état. L'armée est 101% professionnelle et volontaire ou n'est pas, quelle que soit la situation.
(=S=) Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Interner tous les gens qui ont répondu à ce fil débile qui ridiculise le libéralisme. On dirait qu'ils seraient torturés avec une férocité sans borne et un esprit méthodique que même Sade n'a pas eu l'audace d'imaginer dans ses pires délires. Sauf moi, évidemment. … merde, c'est une proposition infrasocialiste, ça !
Chitah Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 J'ai envie de te dire que ça vient après. La priorité c'est de taper un bon coup tout de suite sur les réglementations vexatoires que j'ai évoqué (code du travail, heures de travail, SMIC, multiples réglementations en entreprises etc…), pour tout de suite permettre une relance de l'activité du côté de l'offre, et augmenter les recettes. Tout ceci accompagné de coupes claires dans les dépenses publiques futiles (frais internes, culture, subvention aux associations etc…), dans les effectifs et les salaires de la fonction publique, et d'une interdiction d'emprunt public. La priorité c'est la réduction des déficits, de la dette et un plan clair tout de suite -sans toucher aux aides sociales et sans toucher aux impôts pour ne pas s'aliéner la population tout de suite dans le plan de réforme- Dans les 100 jours, si rien n'est fait c'est foutu. Il faut mieux être impopulaire tout de suite avec toute cette batterie de mesures, et après lorsque les bons résultats économiques se font sentir, la grogne passe et l'action peut durer. Et là on commence à dérouler le programme, dès la première année au pouvoir, ça peut prendre du temps et faire des etincelles mais il faut en passer par-là obligatoirement: réformer les machines à propagande étatique (fin des privilèges et du financement public aux syndicats, privatisation des médias publics et interdiction de subventionner, chèque éducation et privatisation de l'éducation nationale). Une fois les principaux soutiens de l'Etat aliénés, on réforme le modèle social (retraites, sécu, logement). Ce n'est qu'après tout ça qu'on touche à l'assistanat et qu'on peut enfin penser à faire une réforme de la fiscalité. Les réformes constitutionnelles comme garde-fou aux dérives de l'Etat ça vient en dernier. OK. Si tu te réfères à faire appel à l'immigration, je ne sais pas. Les européens ne veulent plus de macjobs ou travailler dans les usines car on les a habitué à un discours dégradant ces emplois, remettons le travail au centre et la nécessité d'une immigration se fera peut-être moins sentir. S'il n'y a pas de jobs, sans Etat-providence, l'immigration ne vient pas, s'il y a des jobs, l'immigration viendra, le critère pragmatique en la matière serait d'accepter sur notre sol tout étranger sans antécédents désirant travailler et point. Non non, pas du tout, je ne propose rien du tout, je ne fais que le constat suivant : des secteurs, et pas composés de macjob du tout, manquent cruellement de main d'oeuvre. A priori, une économie relancée devrait aggraver se problème. Personnellement, je suis contre l'existence même de la notion d'immigration, je ne comprends même pas comment quelqu'un peut se monter la tête avec des droits de propriété imaginaires ("je suis français donc la France est à moi, je décide qui vient ou qui ne vient pas"). Ici, ce qui m'importait, c'était de comprendre, dans ton propos, comment tous ces jobs non pourvus allaient l'être, c'est tout.
Métazét Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Interner tous les gens qui ont répondu à ce fil débile qui ridiculise le libéralisme. On dirait qu'ils seraient torturés avec une férocité sans borne et un esprit méthodique que même Sade n'a pas eu l'audace d'imaginer dans ses pires délires.Sauf moi, évidemment. … merde, c'est une proposition infrasocialiste, ça ! Infra-libérale et ultra-socialiste plutôt. Tiens, je rajoute une proposition (que Jabial peut effacer ainsi que toutes les autres, s'il le juge utile pour me châtier ) : lutter contre ce fléau des temps modernes qu'est l'infra-libéralisme
Tremendo Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Ici, ce qui m'importait, c'était de comprendre, dans ton propos, comment tous ces jobs non pourvus allaient l'être, c'est tout. Comme aujoud'hui, on mécanise, et là-dessus on a du retard en France.
Migue Edu Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Voilà je propose un petit jeu. Sur cette file, chacun propose une mesure libérale à faire adopter au pays pour un programme imaginaire aux présidentielles, par exemple.UNE SEULE MESURE par intervenant. Choisissez celle qui vous tient le plus à coeur. Regardez bien plus haut si quelqu'un ne la pas déjà formulée. Si c'est le cas, choisissez en une autre. Faites vraiment très libéral. No limit, no tabou. Je commence: libéralisation de l'éducation. On licencie tout le personnel de l'éducation nationale. On vend crèches, écoles primaires, collèges, lycées, universités, grandes écoles et autres instituts au privé, sans même obliger les acquéreurs à recycler les batiments pour en faire des centres privés d'éducation. On les laisse en faire ce qu'ils veulent. Voilà, à vous. De machines d'auto-élimination pour les suicides, comme ça ils ont leur droit à faire son affaire sans gêner les autres et sans être gênés par les autres (état, église, etc)
Invité Arn0 Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 Mauvaise idée à mon avis : il faut aussi une loi pour relâcher la pression étatique. Disons plutôt que toute nouvelle loi devrait être plus courte que celle qu'elle annule et remplace, non ? Disons qu'il est très improbable que dans les dix ans on progresse globalement vers plus de libéralisme en France, donc l'inertie est préférable : primum non nocere. (Ceci étant dit je tiens quand même à préciser que ce n'était pas une proposition à prendre au sérieux. )
Rincevent Posté 7 avril 2011 Signaler Posté 7 avril 2011 il s'agit de remettre le contrat au centre de la relation. J'aime. J'aimerais penser à le reprendre dans un débat.
Ilmryn Posté 8 avril 2011 Signaler Posté 8 avril 2011 Supprimer le status des fonctionnaires. La Suisse l'a fait en 2000, ses comptes sont légèrement excédentaire la dette est à 33% et le chômage à 4.5%. Résultat des votations: 67% des citoyens pour: http://www.efd.admin.ch/dokumentation/gese…ex.html?lang=fr Le statut des fonctionnaires en vigueur ne satisfait plus aux exigences d’une administration moderne et proche des citoyens. C’est pour remédier à cette situation que la loi sur le personnel de la Confédération […] La loi complète: http://www.admin.ch/ch/f/rs/172_220_1/index.html Les disposition concernant la fin de contrat qui est très proche du droit privé. http://www.admin.ch/ch/f/rs/172_220_1/a12.html Entre autre: "Après le temps d’essai, il y a motif de résiliation ordinaire par l’employeur dans les cas suivants:a. violation d’obligations légales ou contractuelles importantes; b. manquements répétés ou persistants dans les prestations ou dans le comportement, malgré un avertissement écrit; c. aptitudes ou capacités insuffisantes pour effectuer le travail convenu dans le contrat ou mauvaise volonté de l’employé à accomplir ce travail; d. mauvaise volonté de l’employé à accomplir un autre travail pouvant raisonnablement être exigé de lui; e. impératifs économiques ou impératifs d’exploitation majeurs, dans la mesure où l’employeur ne peut proposer à l’intéressé un autre travail pouvant raisonnablement être exigé de lui; f. disparition de l’une des conditions d’engagement fixées dans la loi ou dans le contrat de travail. 7 Il y a motif de résiliation immédiate par l’une ou l’autre partie en toute circonstance lorsque les règles de la bonne foi ne permettent plus d’exiger de celui qui donne le congé la continuation des rapports de travail."
Yul Posté 8 avril 2011 Signaler Posté 8 avril 2011 j'hésite entre: – supprimer l'aide publique aux syndicats sous forme de mises à disposition, locaux et subventions. – obliger les fonctionnaires à démissionner s'ils veulent briguer un mandat électif tels que maire ou député, ou s'ils veulent participer à un gouvernement. je pense cela dit que la mère des réformes libérales c'est couper les vivres aux syndicats. Ensuite il faut dégager les fonctionnaires, et en particulier les énarques, de la sphère politique. A partir de là tout est possible, on aura fait sauter l'embâcle. le soutien étatique aux syndicats, fondamental, est en plus largement illégal ou d'une légalité médiocre, comme les mises à disposition sur plusieurs décennies. Attaquer frontalement les syndicats est le plus facile: comme ils n'ont pas de militants et qu'ils sont largement méprisés au quotidien, ils auront beau sortir une avalanche de prétextes et de solidarité blabla, il est peu probable qu'ils arrivent à mobiliser pour leur gueule à eux et elle seule. S'attendre à une épidémie de sabotages à EDF, à la SNCF, dans les raffineries, dans les aéroports et les ports. Donc: dire clairement la vérité sur leur compte en insistant bien, sanctionner toutes leurs actions illégales sans faillir, et poser ses grosses couilles sur la table.
Invité jabial Posté 8 avril 2011 Signaler Posté 8 avril 2011 Non non, pas du tout, je ne propose rien du tout, je ne fais que le constat suivant : des secteurs, et pas composés de macjob du tout, manquent cruellement de main d'oeuvre. A priori, une économie relancée devrait aggraver se problème. Je n'appelle pas ça un problème en soi. Si l'offre devient suffisante, des gens viendront d'ailleurs ou se reconvertiront. Très franchement, on se posera ce "souci" le jour où il sera d'actualité. Personnellement, je suis contre l'existence même de la notion d'immigration, je ne comprends même pas comment quelqu'un peut se monter la tête avec des droits de propriété imaginaires ("je suis français donc la France est à moi, je décide qui vient ou qui ne vient pas"). Sauf pour le jabial, qui, lui, possède la France à titre personnel Plus sérieusement, c'est bien dit, d'autant que ça rejoins ce que je disais moi sur le rapport entre socialisme de gauche et de droite, privilèges et droits de propriété.
Filibert Posté 20 avril 2011 Signaler Posté 20 avril 2011 Il faut pas seulement le légaliser, il faut l'imposer. Port d'arme obligatoire. Comme ça la population fait office de police. Non. De quel droit tu obligerais ton voisin à s'armer ? Je suis désolé mais ce n'est pas libéral. A noter que ça existe : au Canada, il y a au moins une province où le port de la carabine de chasse d'un calibre minimum fixé est obligatoire hors des espaces urbains. En fait, ce n'est pas au Canada, c'est en Alaska. C'est si tu voyages dans ton avion sur une distance d'au moins 50 miles, tu dois au moins avoir "one pistol, revolver, shotgun, or rifle, and ammunition". http://www.legis.state.ak.us/basis/get_bil…&session=22 Depuis 2001, l'obligation ne s'applique pas si tu passes par le Canada car le Canada a limité le droit de port d'armes. Le but de la loi n'est pas de se protéger des prédateurs humains ou animaux, mais de pouvoir se nourrir. La loi date de 50 ans et à l'époque les secours mettaient du temps à arriver. La loi n'est concrètement pas appliquée.
tout38 Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 Je commencerai par une réforme monétaire de très grande ampleur, préalable indispensable à mon sens à toute réforme libérale . Celle-ci serait inspirée des idées de Philippe Simmonot avec retour à l'étalon-or: sortie de l'EURO, puis adoption de l'EUROR en coordination avec les rescapés de la zone Euro qui accepteraient de constituer une Europe libérale . Le tout bien entendu associé à une saine gestion des deniers publics (de toute façon obligatoire en régimes d'étalon or): pas de déficits, remboursement de la dette…
Messer Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 Un copier/coller du 1er Amendement de la constitution des USA et son application avec la même fermeté.
Invité jabial Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 En fait, ce n'est pas au Canada, c'est en Alaska.C'est si tu voyages dans ton avion sur une distance d'au moins 50 miles, tu dois au moins avoir "one pistol, revolver, shotgun, or rifle, and ammunition". http://www.legis.state.ak.us/basis/get_bil…&session=22 Depuis 2001, l'obligation ne s'applique pas si tu passes par le Canada car le Canada a limité le droit de port d'armes. Le but de la loi n'est pas de se protéger des prédateurs humains ou animaux, mais de pouvoir se nourrir. La loi date de 50 ans et à l'époque les secours mettaient du temps à arriver. La loi n'est concrètement pas appliquée. Il y a peut-être une loi telle que tu le dis en Alaska, mais il en existe bien une au Canada : vu à la télé. Il ne s'agit pas d'une loi fédérale mais locale. La possession d'une arme de poing, outre le fait qu'elle est grosso modo interdite au Canada, ne suffit pas à y satisfaire : il faut un fusil de chasse. Quant à la limitation du port d'arme, elle ne s'applique absolument pas aux armes de chasse, qui sont très répandues au Canada.
TODA Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 Ca va encourager la pêche aux thons. Bizarrement personne n'a parlé de supprimer des impôts. Alors je commence : tout ce qui a trait au patrimoine et et à sa transmission. parce que c'est interdit….La loi à bien prévu son coup: Personne n'a le droit de prôner l'abolition totale de tout impôt, taxes, et autres contributions imposées Si j'osais, si je n'avais pas peur, pour moi et pour l'association, donc; je ferai LA proposition absolue, efficace à 100%: Abolition absolue de toute fiscalité,et remplacement par des contributions libres et volontaires, à toutes structures à inventer, destinées, selon principe de subsidiarité, a organiser les "services aux groupes organisés en fonction des priorités locales"…
Librekom Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 Ma proposition est de supprimer toute forme de licence, accès à la profession, droit d'exercer, ….
Porcinet Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 La suppression pure et simple du statut de personne morale de droit public, quelle faisabilité ?Il suffit de commencer par un passage à la flat-tax et la libéralisation de la protection sociale. (…) Et à chaque fois tu répètes le même modèle : tu dégages une taxe, tu abroges une loi liberticide, et tu profites de l'euphorie pour libéraliser le secteur sous-jacent. Ca serait à mon avis la priorité : les impôts ne doivent plus être considérés comme un outil de redistribution et un outil de moralisation mais simplement comme le moyen d'assurer les services publics restants, ni plus, ni moins. Donc une flat-tax à taux modéré (les taux peuvent diminuer au fur et à mesure de la diminution du train de vie de l'Etat), couplée à une interdiction des déficits publics, serait un pas en avant énorme. Il faut également et bien évidemment redonner la liberté de choix de la protection sociale. Dans un premier temps, la Sécurité Sociale peut être gardée en l'état, mais rendue facultative : ceux qui le souhaitent auront la possibilité de s'assurer dans le privé et de ne plus payer les cotisations sociales. C'est très loin d'être suffisant, mais cela serait très positif dans un premier temps.
Lameador Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 Personnellement je proposerais une mesure modeste. N'autoriser l'emprunt par toute entité publique que sous la forme exclusive de crédit de durée 20 ans et à échéances fixes (tout comme les prêts immobiliers). C'est un pas modeste, mais à même de représenter pour tout un chacun le coût de la démagogie.
john_ross Posté 21 avril 2011 Signaler Posté 21 avril 2011 – obliger les fonctionnaires à démissionner s'ils veulent briguer un mandat électif tels que maire ou député, ou s'ils veulent participer à un gouvernement. Ok pour les députés mais pas pour les maires. Les maires sont élus par le conseil municipal et non par les citoyens, il faudrait donc obliger à démissionner après le dépôt de la liste et avant le premier tour pour les communes d'une certaine taille. Pour les petites communes je trouverai la mesure pas très heureuse car l'indemnité est tellement faible que l'on pourrait voir certains maire ne pas se représenter alors qu'ils sont compétents, sans parler du fait que vous seriez dans l'obligation de refuser un poste de conseiller municipal si vous y êtes élu sans avoir été candidat. Et vous comprendrez que les gens élus sans être candidat ont toute ma sympathie.
ikichi Posté 25 avril 2011 Signaler Posté 25 avril 2011 Je propose le droit à la fraude fiscale et aux paradis fiscaux.
Filibert Posté 25 avril 2011 Signaler Posté 25 avril 2011 Il y a peut-être une loi telle que tu le dis en Alaska, mais il en existe bien une au Canada : vu à la télé. Il ne s'agit pas d'une loi fédérale mais locale. La possession d'une arme de poing, outre le fait qu'elle est grosso modo interdite au Canada, ne suffit pas à y satisfaire : il faut un fusil de chasse. Quant à la limitation du port d'arme, elle ne s'applique absolument pas aux armes de chasse, qui sont très répandues au Canada. ok, je veux bien te croire, pardon d'avoir douté (j'ai passé 20 min à chercher cette loi pour le Canada, en français et en anglais, sans aucun résultat..).
Invité jabial Posté 25 avril 2011 Signaler Posté 25 avril 2011 Les journalistes peuvent se tromper aussi, mais en tout cas je suis sûr de l'avoir vu à la télé. Maintenant, trouver une loi strictement locale, ça ne doit pas être facile-facile.
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