Marlenus Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Tant qu'elle ne dit pas "non" ou "arrête", […], ça vaut consentement. Ben non. En matière de sexualité on doit partir du principe de non-consentement de l'autre. On ne doit pas partir du fait que l'autre est consentant à la base.
Calembredaine Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Il y a énormément de viols ou le violeur est intimement convaincu du consentement, C'est quoi ce délire?
Marlenus Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 C'est quoi ce délire? Un fait. Une ex à moi s'est faites sodomisée contre son gré (elle était d'accord pour un rapport vaginal mais pas anal), violée donc suivant une définition claire. Le type était persuadé qu'en lui forçant la main, elle aimerait ça. Il n'a pas eu l'impression d'un viol vu qu'elle était consentante pour un rapport sexuel. Il ne l'a d'ailleurs toujours pas. (Mon ex n'a pas porté plainte pour plein de raison).
Calembredaine Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Un fait. Une ex à moi s'est faites sodomisée contre son gré (elle était d'accord pour un rapport vaginal mais pas anal), violée donc suivant une définition claire. Le type était persuadé qu'en lui forçant la main, elle aimerait ça. Il n'a pas eu l'impression d'un viol vu qu'elle était consentante pour un rapport sexuel. Il ne l'a d'ailleurs toujours pas. (Mon ex n'a pas porté plainte pour plein de raison). Si elle n'a pas dit non et ne s'est pas débattu, elle était consentante. Peut-être à contre coeur mais consentante. Faut arrêter de dénaturer le terme de viol, je trouve cela assez dégueulasse pour les victimes. Les vraies.
Marlenus Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Si elle n'a pas dit non et ne s'est pas débattu, elle était consentante. Peut-être à contre coeur mais consentante. Faut arrêter de dénaturer le terme de viol, je trouve cela assez dégueulasse pour les victimes. Les vraies. Elle a dit non. Clairement. Mais lui a dit: "Mais si tu vas aimer ça, tu vas voir."
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Si elle n'a pas dit non et ne s'est pas débattu, elle était consentante.Peut-être à contre coeur mais consentante. Faut arrêter de dénaturer le terme de viol, je trouve cela assez dégueulasse pour les victimes. Les vraies. Moi ce que je trouve dégeulasse c'est de considérer que toute personne trop faible pour dire non est consentante.
Tremendo Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Je ne pense pas, précisément. Je pense que c'est un principe moral plusieurs fois millénaires qui provient de l'interdiction juive de la "mauvaise langue" : il est interdit de colporter des rumeurs négatives sur quelqu'un sans preuve, et recommandé de ne pas les croire. Je suis d'accord avec toi mais c'est le principe de la diffamation or tu étais bien contre la pénalisation de la diffamation me semble-t-il? Moi ce que je trouve dégeulasse c'est de considérer que toute personne trop faible pour dire non est consentante. Je suis assez d'accord, une personne faible n'osant pas dire non n'est pas consentante, et beaucoup de personnes violées sont dans ce cas.
Invité jabial Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Principe de bons sens que tu devrais appliquer au bénéfice de Diallo Je n'ai fait que rétablir l'équilibre, sachant que dans une telle affaire, défendre l'un c'est attaquer l'autre. Ben non. En matière de sexualité on doit partir du principe de non-consentement de l'autre. On ne doit pas partir du fait que l'autre est consentant à la base. Si par "à la base" tu veux dire avec une inconnue dans la rue, oui. Moi honnêtement je ne vois pas comment il peut y avoir doute. Une fille ne prend pas naturellement une position corporelle qui permet ne serait-ce que de l'embrasser. Si tu atteins le stade du baiser, tu vas constater qu'elle participe, ou pas. Si elle ne participe pas à ce stade c'est déjà bizarre. Ensuite, tu ne sautes pas sur une fille pour sauvagement la pénétrer, si ? Il y a quelques petites choses avant, non ? Déjà au départ, si tes mains sont partout et les siennes nulle part, il y a un souci, clairement. Elle a dit non. Clairement. Mais lui a dit: "Mais si tu vas aimer ça, tu vas voir." Ben bien sûr que c'est un viol. Moi ce que je trouve dégeulasse c'est de considérer que toute personne trop faible pour dire non est consentante. Donc les femmes sont une sous-espèce de l'humanité où le nombre de personnes "trop faibles pour dire non" est significatif et ne relève pas d'une psychothérapie plutôt que d'une loi générale ? On ne doit pas connaître les mêmes femmes alors. Une baffe dans la gueule c'est tout à fait clair pour dire "non" même si ça fait pas bien mal.
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Tiens d'ailleurs, je trouve assez paradoxal de dire que l'impôt est du vol (ou de l'extorsion, ou même de l'esclavage) même pour l'immense majorité qui ne dit pas 'non' sans même parler de résistance violente, alors qu'il ne s'agit que de fric, mais que pour une violation majeure du périmètre personnel, le consentement est 'implicite'.
Tremendo Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Donc les femmes sont une sous-espèce de l'humanité où le nombre de personnes "trop faibles pour dire non" est significatif et ne relève pas d'une psychothérapie plutôt que d'une loi générale ? On ne doit pas connaître les mêmes femmes alors. Une baffe dans la gueule c'est tout à fait clair pour dire "non" même si ça fait pas bien mal. Un type excité qui veut envoyer la purée à tout prix, une baffe ne lui fait rien. La supériorité physique du violeur plein d'adrénaline est pour moi évidente. Mais je suis d'accord que là on aborde les cas borderline, il faut quand même différencier les cas où la femme ne veut pas faire ceci ou cela mais accepte tout de même après s'être laissée persuader, elle ne se sent ni agressée ni violée sur le moment sans pour autant apprécier. Dans ces cas-là elle ne peut pas accuser a posteriori l'homme de l'avoir violé, elle était consentante, vous imaginez sinon, on serait tous en tolle. Evidemment le raisonnement est différent avec une mineure, elle ne peut être consentante et responsable de sa décision.
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Donc les femmes sont une sous-espèce de l'humanité où le nombre de personnes "trop faibles pour dire non" est significatif et ne relève pas d'une psychothérapie plutôt que d'une loi générale ? On ne doit pas connaître les mêmes femmes alors. Une baffe dans la gueule c'est tout à fait clair pour dire "non" même si ça fait pas bien mal. C'est significatif et la psychothérapie ne ferait pas de mal, mais ne suffit pas. Les gens qui n'ont pas une notion nette des limites de leur zone 'intime' et qui n'ont pas d'assertivite élevée sont légion, surtout chez les adolescents. Nous sommes dans une culture qui (comme la plupart des cultures) a protégé les femmes, surtout jeunes, cette protection familiale a été détruite et rien, aucune institution naturelle mature, aucune tradition, ne leur apprends a gérer cette nouvelle donne sauf les féministes, malheureusement cooptées par le marxisme culturel. Y a t'il des femmes qu'on ne peut pas violer sans usage de la force, oui, il y en a même qu'on ne peut pas violer du tout (de leur vivant), mais c'est une 'elite', des gens avec une frontière personnelle nette, une volonté forte et une assertivite élevée, si tu ne côtoie que ce genre de personnes, tes règles sont valides, mais non universalisables, et n'oublie pas que tu peut te tromper sur une femme, la prudence incite a présumer moins de consentement que tu ne le perçoit, de par tes habitudes et la tendance naturelle (des hommes de bonne volonte) a projeter sur l'autre ses propres qualités. PS: il ne s'agit pas de pénaliser tous les viols, il est évident que par cette définition, il y en a des tonnes qui ne peuvent pas être prouvés dans les critères de qualité nécessaires pour punir un homme, il s'agit de s'astreindre personnellement a ne pas commette de viol et des règles d'action qui permettent de limiter le risque au maximum.
Calembredaine Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Moi ce que je trouve dégeulasse c'est de considérer que toute personne trop faible pour dire non est consentante. N'importe quoi. Soit il s'agit d'une folle à lier, soit le type est potentiellement très violent et terrorise sa victime, alors là, oui il s'agit d'un viol. Mais tu ne peux pas généraliser comme tu le fais.
LaFéeC Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Un fait. Une ex à moi s'est faites sodomisée contre son gré (elle était d'accord pour un rapport vaginal mais pas anal), violée donc suivant une définition claire. Le type était persuadé qu'en lui forçant la main, elle aimerait ça. Il n'a pas eu l'impression d'un viol vu qu'elle était consentante pour un rapport sexuel. Il ne l'a d'ailleurs toujours pas. (Mon ex n'a pas porté plainte pour plein de raison). Elle a dit non. Clairement. Mais lui a dit: "Mais si tu vas aimer ça, tu vas voir." Ca reste pas évident, avant un rapport, les protagonistes ne savent pas vraiment ce sur quoi ils sont d'accord, un rapport c'est vaste, fellation, sodomie, jeux… On ne sait pas forcément jusqu'où on va aller, dans l'excitation on peut dépasser ses propres limites, sans même l'avoir pensé avant. Il peut aussi arriver que le chéri, dans son élan, se trompe, si, si. Là, ce n'est pas le cas, mais j'ai du mal à imaginer un homme réussir à passer par la porte de derrière si vraiment je ne suis d'accord (oaow l'image) il faut vraiment forcer et là, ça mérite une grosse baffe dans sa gueule, ou un bon coup dans les testicules, accessibles et très sensibles dans de tels moments. il faut quand même différencier les cas où la femme ne veut pas faire ceci ou cela mais accepte tout de même après s'être laissée persuader, elle ne se sent ni agressée ni violée sur le moment sans pour autant apprécier. Dans ces cas-là elle ne peut pas accuser a posteriori l'homme de l'avoir violé, elle était consentante, vous imaginez sinon, on serait tous en tolle. Effectivement, il y aurait des tas de "viols par surprise". Comme le dit Jabial, dans ce moments, on sent bien si le/la partenaire est plutôt consentant ou non, avant toute pénétration, il y a des baisers et des caresses, ça permet de prendre la "température" (hum, chérie tu es toute chaude/mouillée et hum chéri tu es tout dur )
fryer Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Jsais pas pour les autres mecs, mais tu le sens tout de suite quand la nana se force pendant le coït. Surtout quand tu connais bien ta partenaire, je vous l'accorde. Après viens la problématque des jeux en tout genre, là c'est vrai que la frontière est tenu. Mais bon, tu fais pas ça avec la passante du coin de la rue.
john_ross Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Donc les femmes sont une sous-espèce de l'humanité où le nombre de personnes "trop faibles pour dire non" est significatif et ne relève pas d'une psychothérapie plutôt que d'une loi générale ? On ne doit pas connaître les mêmes femmes alors. Une baffe dans la gueule c'est tout à fait clair pour dire "non" même si ça fait pas bien mal. Car bien sûr ça ne concerne que les femmes?
LaFéeC Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Un homme a plus de chance de pouvoir se défendre et moins de chance de se faire violer non ? On peut parler d'individus, comme ça, pas de soucis.
Tremendo Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Comme le dit Jabial, dans ce moments, on sent bien si le/la partenaire est plutôt consentant ou non, avant toute pénétration, il y a des baisers et des caresses, ça permet de prendre la "température" (hum, chérie tu es toute chaude/mouillée et hum chéri tu es tout dur ) Arrête donc, tu vas exciter Chitah.
LaFéeC Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Désolée, faut pas me lancer sur ces sujets
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Un homme a plus de chance de pouvoir se défendre et moins de chance de se faire violer non ? Pas seulement, statistiquement, les hommes sont plus assertifs, ca ne signifie en rien qu'un homme ne peut pas se faire violer, juste que c'est généralement dans l'autre sens que ca se passe et que le langage s'en ressent, je ne vais pas m'amuser a neutraliser mes mots comme un trotskiste :-)
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Un homme a plus de chance de pouvoir se défendre et moins de chance de se faire violer non ? Pas seulement, statistiquement, les hommes sont plus assertifs, ca ne signifie en rien qu'un homme ne peut pas se faire violer, juste que c'est généralement dans l'autre sens que ca se passe et que le langage s'en ressent, je ne vais pas m'amuser a neutraliser mes mots comme un trotskiste :-)
yiggles Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 +1, j'irai plus loin, en l'absence de "oui" non ambigu, ça veut dire "non" il ne faut pas oublier le langage non verbal
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 il ne faut pas oublier le langage non verbal Tout a fait, et entre personnes qui se connaissent bien et/ou du même milieu, matures et de la même education, ce n'est pas bien difficile a interpréter, mais le biais d'interpretation favorable existe, et cumulé avec des cultures différentes (tout simplement la distance d'intimité différente selon l'origine sociale/géographique), l'erreur est facile.
john_ross Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Pas seulement, statistiquement, les hommes sont plus assertifs, ca ne signifie en rien qu'un homme ne peut pas se faire violer, juste que c'est généralement dans l'autre sens que ca se passe et que le langage s'en ressent, je ne vais pas m'amuser a neutraliser mes mots comme un trotskiste :-) Etes vous sur que c'est cela ou est-ce le fruit du féminisme et du progressisme qui comme dans le cas des violences conjugales, va jusqu'à quasiment nier leur existence et en rendre l'homme responsable? Je ne pense que cela soit à cause d'un biais statistique que l'on ne parle jamais d'homme violé, ou victime de violences conjugales physiques mais surtout psychologiques. Nous sommes dans le mite de la femme être pure et parfaite et de l'homme violent, salaud, …
Invité jabial Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Tiens d'ailleurs, je trouve assez paradoxal de dire que l'impôt est du vol (ou de l'extorsion, ou même de l'esclavage) même pour l'immense majorité qui ne dit pas 'non' sans même parler de résistance violente, alors qu'il ne s'agit que de fric, mais que pour une violation majeure du périmètre personnel, le consentement est 'implicite'. Enorme saut lacantique. Le sexe volontaire représente l'immense majorité des rapports, l'impôt volontaire l'infime minorité des contribuables. S'il suffisait de dire non pour ne pas payer d'impôts ça se saurait, hein. Un type excité qui veut envoyer la purée à tout prix, une baffe ne lui fait rien. La supériorité physique du violeur plein d'adrénaline est pour moi évidente. Je n'ai jamais dit que la baffe permet d'arrêter un violeur, j'ai dit qu'elle exprime très clairement une absence de consentement. Un type qui se prend une baffe et qui continue, hors jeux spéciaux, c'est un viol sans aucune ambiguïté possible. Mais je suis d'accord que là on aborde les cas borderline, il faut quand même différencier les cas où la femme ne veut pas faire ceci ou cela mais accepte tout de même après s'être laissée persuader, elle ne se sent ni agressée ni violée sur le moment sans pour autant apprécier. Dans ces cas-là elle ne peut pas accuser a posteriori l'homme de l'avoir violé, elle était consentante, vous imaginez sinon, on serait tous en tolle. Attention quand même, persuader n'est pas la même chose que forcer. Forcer dans le cadre du sexe, ça n'est acceptable que, exclusivement, strictement (oui j'insiste) dans le cadre de jeux bien particuliers qui nécessitent un luxe de précautions dont la plus connue est le safeword. Evidemment le raisonnement est différent avec une mineure, elle ne peut être consentante et responsable de sa décision. Attention aussi à la notion de minorité. On parle bien de minorité sexuelle là, pas de minorité politique. Si à 16 ans on n'est pas encore capable de consentir valablement, on ne le pourra pas à 30. Ca reste pas évident, avant un rapport, les protagonistes ne savent pas vraiment ce sur quoi ils sont d'accord, un rapport c'est vaste, fellation, sodomie, jeux… On ne sait pas forcément jusqu'où on va aller, dans l'excitation on peut dépasser ses propres limites, sans même l'avoir pensé avant. Il peut aussi arriver que le chéri, dans son élan, se trompe, si, si. Là, ce n'est pas le cas, mais j'ai du mal à imaginer un homme réussir à passer par la porte de derrière si vraiment je ne suis d'accord (oaow l'image) il faut vraiment forcer et là, ça mérite une grosse baffe dans sa gueule, ou un bon coup dans les testicules, accessibles et très sensibles dans de tels moments. Et en sus, ça mérite surtout une plainte au pénal. Comme le dit Jabial, dans ce moments, on sent bien si le/la partenaire est plutôt consentant ou non, avant toute pénétration, il y a des baisers et des caresses, ça permet de prendre la "température" (hum, chérie tu es toute chaude/mouillée et hum chéri tu es tout dur ) Là je suis obligé de te contredire pour deux raisons. La première c'est que le viol n'est pas exclusif de l'excitation physique. Et psychologiquement c'est encore pire pour les victimes, qui se sentent doublement coupables. La seconde, c'est que bien avant d'en arriver aux parties intimes, il est clair que si la fille ne prend aucune initiative et reste là comme une demeurée il y a un problème. Ça peut être simplement qu'elle a été élevée dans une culture où on lui a appris que le sexe c'est sale, ou bien ça peut être qu'elle n'est pas consentante et qu'elle a peur. Dans les deux cas il y a malaise et ça vaut la peine de faire son neuneu2k : "heu chérie, tu as pas envie là ?". Un homme a plus de chance de pouvoir se défendre et moins de chance de se faire violer non ? D'un pur point de vue statistique, un homme a beaucoup moins de chances de se faire violer. Je ne parle même pas de se faire violer par une femme. Les agressions non sexuelles de femmes sur des hommes sont beaucoup plus courantes qu'on le croit, y compris conjugales et parfois gravissimes (casserole, fer à repasser, etc). Les viols de femmes sur des hommes sont absolument rarissimes. L'un dans l'autre un homme a bien peu de chances de se faire violer. Tout ceci change fortement si on entre dans le milieu carcéral, où 90% des viols d'hommes ont lieu. Il y a plusieurs raisons de se faire violer en prison, la plus courante étant simplement la domination brutale des bandes sur ceux qui n'en font pas partie. Plus un homme est mal traité et plus on peut obtenir de lui en le menaçant de pire encore, parce que la menace est crédible. Par ailleurs, la disparité de force physique et plus encore de capacité technique de combat varie très fortement d'un homme à l'autre. Face à un type qui s'est battu toute sa vie dans la rue, un comptable n'a pas la moindre chance. Ce même type n'a lui-même aucune chance de l'emporter contre un ex-commando, mais contrairement à celui-ci qui se retrouvera isolé, il pourra venir à 10 pour le battre quand même.
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Il est clair que si la fille ne prend aucune initiative et reste là comme une demeurée il y a un problème. Ah, tout de même ! Ça peut être simplement qu'elle a été élevée dans une culture où on lui a appris que le sexe c'est sale, ou bien ça peut être qu'elle n'est pas consentante et qu'elle a peur. Le cumul n'est pas interdit. Dans les deux cas il y a malaise et ça vaut la peine de faire son neuneu2k : "heu chérie, tu as pas envie là ?". Voila, et mon insistance est là pour que les gens se disent "eu, y'a peut être un malaise" et si on ne se le dit pas a froid sur un forum, c'est sur que dans l'excitation du moment, ce n'est pas le bon moment pour se remettre en question et apprendre a être a l'écoute de l'autre (qui ne se limite pas a écouter si elle dit non ou si on ressent une baffe…)
Marlenus Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Comme le dit Jabial, dans ce moments, on sent bien si le/la partenaire est plutôt consentant ou non, avant toute pénétration, il y a des baisers et des caresses, ça permet de prendre la "température" (hum, chérie tu es toute chaude/mouillée et hum chéri tu es tout dur ) Tu viens de casser le marché des spams "ayez une super érection" en 2 lignes. Sans rire, les équations: Erection = envie Pas d'érection = pas d'envie est l'une des plus courante dans les fausses idées qui courent sur la sexualité.
neuneu2k Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Sans rire, les équations:Erection = envie Pas d'érection = pas d'envie est l'une des plus courante dans les fausses idées qui courent sur la sexualité. +1, un homme normalement constitué bande a vue de pas mal de nanas, ça ne signifie en rien qu'il consent a un rapport. En meme temps, un homme normalement constitué, c'est un peu difficile de l'empecher de fuir si il a pas envie…
LaFéeC Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 Etes vous sur que c'est cela ou est-ce le fruit du féminisme et du progressisme qui comme dans le cas des violences conjugales, va jusqu'à quasiment nier leur existence et en rendre l'homme responsable? Je ne pense que cela soit à cause d'un biais statistique que l'on ne parle jamais d'homme violé, ou victime de violences conjugales physiques mais surtout psychologiques. Nous sommes dans le mite de la femme être pure et parfaite et de l'homme violent, salaud, … En 2004, j'avais fait un billet sur un site mensongefeministe.ca, site qui n'existe malheureusement plus, mais en cherchant on trouve des stats presques récentes au Canada et même des articles en France ici ou là Les faits divers mettent eux aussi le mythe de la femme parfaite à mal : mères infanticides, femmes qui participent à des séquestrations avec violence pour des histoires de fesses… Perso, ej connais un homme qui a été maltraité. En même temps, on peut pas s'attendre des féministes qu'elles reconnaissent que les individus femelles sont comme les individus mâles : y'a du bon et du mauvais. Il faudrait d'autres féministes en face, capables de tenir un autre discours, mais le féminisme libéral est qqpeu raillé. Là je suis obligé de te contredire pour deux raisons. La première c'est que le viol n'est pas exclusif de l'excitation physique. Et psychologiquement c'est encore pire pour les victimes, qui se sentent doublement coupables. La seconde, c'est que bien avant d'en arriver aux parties intimes, il est clair que si la fille ne prend aucune initiative et reste là comme une demeurée il y a un problème. Ça peut être simplement qu'elle a été élevée dans une culture où on lui a appris que le sexe c'est sale, ou bien ça peut être qu'elle n'est pas consentante et qu'elle a peur. Dans les deux cas il y a malaise et ça vaut la peine de faire son neuneu2k : "heu chérie, tu as pas envie là ?". Tu vas chercher loin là, si tu veux pas aller jusqu’aux caresses, tu peux partir, ne pas ouvrir ta braguette, à moins que tu ne sois séquestrée et là, c'est on ne peut plus clair. Si le sexe c'est sale ben tu t'en approche pas. Tu vas pas chercher les problèmes, tu discutes un minimum avant le rapport. (ça se fait pour les 1ères fois, j'ignore si le taux de viols de vierges est plus élevé ou non). Enfin, un homme qui n'a aps envie ne bande pas, une femme sera sèche comme un désert, aucun des 2 cas ne facilite le rapport. L'idéal pour limiter tous ces risques reste de ne pas partir avec un inconnu, d'apprendre à dire non etc.. Parce qu'un homme normal ne continue pas quand il a à faire à une planche. J'aimerais pas être un homme des fois. Il n'y avait pas un système fut un temps qui remettait mes aps en pas, et ce, de manière automatique, où est passé mon privilège de sex symbol ?
Invité jabial Posté 6 septembre 2011 Signaler Posté 6 septembre 2011 +1, un homme normalement constitué bande a vue de pas mal de nanas, ça ne signifie en rien qu'il consent a un rapport. En meme temps, un homme normalement constitué, c'est un peu difficile de l'empecher de fuir si il a pas envie… Pour être plus précis, le poison est l'outil utilisé par les meurtrières pour l'assassinat. Et c'est un peu pareil pour certains des rares cas de viols d'hommes par des femmes : lorsque le viol est prémédité, il est généralement commis en utilisant une drogue. Tu vas chercher loin là, si tu veux pas aller jusqu’aux caresses, tu peux partir, ne pas ouvrir ta braguette, à moins que tu ne sois séquestrée et là, c'est on ne peut plus clair. Ouais enfin bon moi une fille qui bouge pas un sourcil je vais aussi me demander si elle s'emmerde et ça va pas être bon pour mon propre désir, hein. Enfin, un homme qui n'a aps envie ne bande pas, une femme sera sèche comme un désert, aucun des 2 cas ne facilite le rapport. Je vais redire ce qu'a dit neuneu2k : un homme bandera pour 90% des femmes ayant entre 20 et 35 ans (je suis politiquement correct là hein, je me suis arrêté à 20 ans ) si elle prend une attitude sexuelle. Ce n'est pas pour autant qu'il aura envie de faire quelque chose avec. En bref, c'est pas parce que je salive instinctivement en sentant une odeur de bouffe que je vais bouffer ce qui se révèle être du chien. L'idéal pour limiter tous ces risques reste de ne pas partir avec un inconnu, d'apprendre à dire non etc.. Parce qu'un homme normal ne continue pas quand il a à faire à une planche. Voilà. J'aimerais pas être un homme des fois. Ça tombe bien, tu n'en es pas un Il n'y avait pas un système fut un temps qui remettait mes aps en pas, et ce, de manière automatique, où est passé mon privilège de sex symbol ? Ça a dû sauter à la dernière migration. Le problème avec ça, c'est que si on veut parler d'appareil photo APS… Ah zut.
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