Kosher Posté 25 décembre 2013 Signaler Posté 25 décembre 2013 http://www.eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=84569
Nick de Cusa Posté 25 décembre 2013 Auteur Signaler Posté 25 décembre 2013 Dans les derniers Hannan y a du bon. Le PE a vote contre Starsbourg, mais c'est étouffé Staline vs Cromwell Comment osez vous critiquer la NHS (sécu) ?
Largo Winch Posté 25 décembre 2013 Signaler Posté 25 décembre 2013 Celui-là a l'air sympa. Si personne n'est dessus, je vais poursuivre avec. Oui, n'hésite pas !
Bézoukhov Posté 25 décembre 2013 Signaler Posté 25 décembre 2013 Dans les derniers Hannan y a du bon. Staline vs Cromwell Je prends .
Bézoukhov Posté 25 décembre 2013 Signaler Posté 25 décembre 2013 Cromwell, Staline, et le danger des comparaisons historiques « Vous avez laissé les Niveleurs en vie ? A quoi pensiez-vous ? » Olivier Cromwell supprima Noël, ou était du moins à la tête d’un régime qui tenait à l’ouverture des marchés le 25 Décembre (il n’y a pas de preuves de son implication personnelle dans la décision). Plutôt dérisoire, vraiment, quand on voit jusqu’où peuvent aller les persécutions religieuses. Josef Staline, à l’opposé, arrêta pratiquement tout le clergé russe orthodoxe : 130000 hommes, parmi lesquels 95000 furent tués. Les guerres de Cromwell en Irlande tuèrent des dizaines de milliers de personnes, et en envoyèrent des dizaines de milliers d’autres enchaînés de l’autre côté de l’Atlantique. Staline tua au moins 20 millions de personnes (sans compter les 20 millions de soldats et civils soviétiques morts pendant la Seconde Guerre Mondiale), et en fit déporter 14 millions de plus dans les camps de travail de Sibérie et d’Asie Centrale. Cromwell fut porté par les événements, et par le caractère incertain de Charles Ier, vers une issue qu’il n’avait jamais cherchée, ni attendue : le régicide et la mise en place d’une république qui termina en dictature militaire. Staline était un sociopathe qui ordonna le massacre de ses amis proches et de sa famille aussi froidement qu’il ordonnait la liquidation des Koulaks. Cromwell autorisa une ébullition intellectuelle, dans laquelle toutes sortes d’idées, de la fin de la censure au suffrage universel, du pluralisme religieux à l’égalité entre les sexes, furent mises en avant par les pamphlétaires et les radicaux. Staline massacra la liberté de pensée. La comparaison < http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/vladimir-putin/10528230/Vladimir-Putin-Whats-the-difference-between-Oliver-Cromwell-and-Stalin.html > des deux hommes par Vladimir Poutine est trop absurde pour mériter une controverse, en dehors du fait qu’elle a été répétée par une improbable coalition de conservateurs anglais, nostalgiques de l’URSS et nationalistes irlandais. Les comparaisons sont toujours bizarres, bien sûr, tout spécialement quand leurs sujets sont séparés par le temps et la distance. Quand vous écrivez « X était pire que Y », vous pouvez être certains qu’un certain nombre liront « Y n’était pas vraiment si mauvais ». Même comparer Staline à Hitler (une comparaison bien plus aisée, étant donné leur proximité chronologique, idéologique, méthodologique et psychologique) risque de lever des accusations de « banalisation ou relativisation de l’Holocauste », comme Denis MacShane l’a dit < http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100053846/were-stalins-crimes-really-less-wicked-than-hitlers/>. Pour être tout à fait clair, je ne veux pas que l’on oublie les méfaits de Cromwell. Si j’aurais joyeusement soutenu la cause des parlementaires en 1640, les idéaux de cette cause furent oubliés lorsque les Îles Britanniques tombèrent sous la loi autoritaire des défenseurs et milices d’Olivier. Mes sympathies, mes lecteurs réguliers le savent, vont aux Niveleurs < http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100018325/we-have-submitted-ourselves-to-a-new-norman-yoke/ >, et pas à l’homme qui ordonna leur séparation. Comme vous pouvez le deviner avec mon nom, j’ai nombre d’ancêtres irlandais. Mais gardons la mesure des choses, pour l’amour de Dieu. Le règne de Staline doit être reconnu, en termes mathématiques, comme l’un des plus meurtriers dans l’histoire sanguinaire de l’espèce : beaucoup d’historiens disent aujourd’hui que le chiffre de 20 millions de morts est bien trop bas < http://www.ibtimes.com/how-many-people-did-joseph-stalin-kill-1111789 >. Seul le Président Mao est en compétition avec le vieux monstre pour cet affreux record. Les faux procès, les nettoyages ethniques et les Goulags de Staline étaient une présence constante et terrifiante pour son peuple effrayé. Alors que la loi de Cromwell était dictatoriale, elle ne se fondait pas sur l’horreur systématique. Quand il retourna, accompagné d’un groupe de chevaux, dans la ville où il avait passé son enfance, il rencontra le curé local qui l’avait sauvé de la noyade pendant son enfance, en le sortant d’un ruisseau. Il rappela l’incident au vieux prêtre. « Oui », répondit vaillamment le ministre du culte royaliste, « et je vous y aurais remis plutôt que de vous voir venir ici armé contre votre peuple ». Vous ne pouvez pas imaginer quelqu’un parler comme ça à l’Oncle Jo, n’est-ce-pas ? Une lettre nous est parvenue des années 1650, écrite par l’un des proches d’Olivier. Pourquoi, ce cousin demandait, le Lord Protecteur insiste-t-il sur le nom « Cromwell », qui fut faussement usurpé par un ancêtre ambitieux ? Ses actions en tant que Lord Protecteur faisaient à Cromwell une mauvaise réputation, disait l’écuyer mécontent, et il aurait été son obligé si le vieux cavalier avait adopté le nom qui était réellement le sien : Williams. Maintenant, essayez seulement de vous imaginer un quelconque Djougachvili écrivant les mêmes mots au Secrétaire Général du Parti Communiste pour voir combien le parallèle de Poutine est absurde. L’invasion de l’Irlande par Cromwell était un travail sale, ce n’est pas une question. La Guerre Civile anglaise fut relativement contenue. Il y eu peu de victimes, de nombreux comtés furent à peine touchés, et la pire chose à craindre pour la plupart des gens, lorsque l’autre côté prenait la ville, était la prison. Son prolongement irlandais était plus vicieux, car plus sectaire. Un nom provoque la colère encore trois siècles et demi plus tard : Drogheda, dont la chute en 1649 fut suivie par un bain de sang généralisé, durant lequel les civils furent tués côte à côte avec les soldats anglais et irlandais qui avaient tenu la ville au nom du Roi. Les historiens débâtent quant à l’étendue du massacre. Tom Reilly, lui-même habitant de Drogheda, affirme qu’il n’y a pas eu de morts civils, et que Cromwell a agi selon les lois de la guerre, qui à l’époque était universellement comprises comme l’absence de quartier pour une garnison qui refuserait de se rendre. Le consensus, cependant, est que les civils furent délibérément assassinés, et qu’au moins quelques défenseurs furent exécutés plus tard en prison. Ce qui est frappant, cependant, est que Drogheda choqua les gens honnêtes en Angleterre, Ecosse et Irlande, alors que c’était commun par rapports aux standards européens de l’époque. Pendant la Guerre de Trente Ans, qui s’était achevée l’année précédente, 1500 villes et 18000 villages furent complétement rasés. Les terres allemandes et tchèques perdirent peut-être un tiers de leurs habitants, voire plus dans les zones de guerre les plus intenses. La moitié des habitants du Brandebourg périrent et trois quarts de ceux du Wurtemberg. Ces nombres sont réellement, en termes de proportions, stalinesques. Ce que le parallèle du Président Poutine montre vraiment est le fossé entre les attentes britanniques et les attentes russes. Drogheda a choqué, et il le fait encore, les sensibilités anglo-saxonnes, mais serait passé inaperçu au milieu des massacres de la Moscovie des Tsars. Même trois cents ans plus tard, la plupart des Russes auraient joyeusement échangé leur système de gouvernement pour celui de Cromwell. Ce parallèle nous montre que notre génération est plus touchée par le comportement de soldats anglophones au XVIIème siècle que par le comportement autrement plus monstrueux de la Tcheka de Staline et des escadrons de la mort encore dans la mémoire des hommes. Nous nous considérons tenus à des normes plus élevées. Et le Président Poutine nous renvoie le compliment. Joyeux Noël.
Arturus Posté 26 décembre 2013 Signaler Posté 26 décembre 2013 Slouching Toward BankruptcyThe longer Washington puts off Social Security reform, the worse the shock will be.Veronique de Rugy from the January 2014 issue
Rübezahl Posté 26 décembre 2013 Signaler Posté 26 décembre 2013 http://mises.org/daily/6616/100-Years-Ago-Why-Bankers-Created-the-Fed NB : les articles de mises.org sont réguliers et tous en CC by
Arturus Posté 26 décembre 2013 Signaler Posté 26 décembre 2013 Watched Cops Are Polite Cops Requiring law enforcement to wear video cameras will protect your constitutional rights and improve policing. Ronald Bailey from the December 2013 issue J'apprends le retour du matricule des policiers dès le 1er janvier prochain. La traduction de l'article ci-dessus n'en serait que plus pertinente.
Rübezahl Posté 27 décembre 2013 Signaler Posté 27 décembre 2013 Whistleblower Edward Snowden 'did the world a favour' by leaking documents, says internet inventor http://mirr.im/JgRpox Sir Tim Berners-Lee Praises Edward Snowden for Help To Protect the open Web http://thenextweb.com/insider/2013/12/26/sir-tim-berners-lee-calls-edward-snowden-important-part-system-helping-protect-open-web/
Vengeusemasquée Posté 27 décembre 2013 Signaler Posté 27 décembre 2013 A priori, ça n'a pas été proposé : Want peace? Promote free-trade, ou comment le capitalisme est plus efficace que la démocratie dans la réduction des conflits armés. C'était finalement un peu aride mais intéressant. Je vous laisse trouver un titre vendeur en français parce que je manque un peu d'inspiration. Le libre-échange et la paix OCTOBER 15, 2013 by JULIAN ADORNEYFrédéric Bastiat l'a dit « Si les marchandises ne traversent pas les frontières, les soldats le feront ». Selon Bastiat, le libre-échange entre les pays pourrait réduire les conflits internationaux parce que le commerce forge des relations entre les nations et crée une incitation pour chacune d'entre elles à éviter la guerre avec ses partenaires commerciaux. Même si chaque nation était une île économique, l'absence d’interaction positive générée par le commerce pourrait laisser davantage de place au conflit. Deux cents ans après Bastiat, les libéraux ont adopté cette idée comme une devise. Malheureusement, ce n'est pas le cas de tout le monde. Cependant, comme une étude récente le montre, les preuves historiques tendent à confirmer la célèbre déclaration de Bastiat. Commercer ou guerroyer Dans « Peace through Trade of Free Trade? », le Professeur Patrick J. McDonald, de l'Université du Texas à Austin, a étudié empiriquement le lien entre le niveau de protectionnisme d'un pays (barrière douanière, quotas...) et la probabilité d'un conflit au sein de cette nation. Il a analysé les relations internationales de chaque pays avec l'outil de la dyade sur la période allant de 1960 à 2000. La dyade est l'interaction entre un pays et un autre de façon binaire. Ainsi, les relations entre l'Allemagne et la France constitueraient une dyade. Celles entre l'Allemagne et la Russie en constitueraient une seconde. Les relations entre la France et l'Australie pourraient en constituer une troisième. Il a ensuite décomposé cette analyse en années-dyades. Par exemple, les relations entre l'Allemagne et la France en 1965 seraient une année-dyade, les relations entre la France et l'Australie en 1973 en seraient une seconde, etc. Avec cet outil de l'année-dyade, McDonald a analysé le comportement de chaque pays du monde sur les quarante dernières années. Il en est ressorti une corrélation négative entre le libre-échange et le conflit : plus un pays commerce librement et moins il s'engage en guerre. Les pays qui s'engagent dans le libre-échange sont, de surcroît, moins susceptibles d'être envahis. La flèche causale Naturellement, cette découverte pourrait donner matière à confusion entre corrélation et causalité. Peut-être que les pays s'engageant dans le libre-échange font moins la guerre pour d'autres raisons, comme par exemple le fait qu'ils tendent à être plus démocratiques. En effet, les démocraties font généralement moins la guerre que les empires. Cependant, McDonald a lissé ces variables. Atténuer l'impact des régimes politiques est en effet important dans la mesure où les démocraties et les républiques tendent à se battre moins fréquemment que les régimes autoritaires. McDonald a également atténué les effets de la croissance économique parce que les pays en récession ont davantage tendance à faire la guerre que ceux qui sont en pleine croissance, souvent pour détourner l'attention du peuple de ses difficultés économiques. McDonald a même pris en compte des facteurs comme la proximité géographique : il est plus facile pour l'Allemagne et la France de se faire la guerre que pour les Etats-Unis et la Chine parce que les soldats français et allemands partagent une frontière commune. La conclusion de l'étude de McDonald est que le protectionnisme peut vraiment mener au conflit. McDonald a découvert qu'un pays parmi les 10 % les moins protectionnistes (c'est-à-dire moins protectionniste que 90 % des autres pays) avait 70 % de moins de chances de s'engager dans un nouveau conflit (que ce soit en tant qu'envahisseur ou en tant que cible) qu'un pays parmi les 10 % les plus protectionnistes. Le protectionnisme et la guerre Pourquoi le protectionniste mène-t-il au conflit et comment le libre-échange parvient-il à le prévenir ? Les réponses, même si elles sont bien connues des libéraux classiques, valent d'être mentionnées. Tout d'abord, le commerce génère de la bonne entente internationale. Si les hommes d'affaires Chinois et Américains commercent de manière régulière, le bénéfice est mutuel. Or le bénéfice mutuel a tendance à disposer les peuples à voir du bon chez l'autre. De surcroît, les échanges de biens promeuvent également les échanges culturels. Pendant des décennies, les Américains ont vu dans la Chine un pays mystérieux aux valeurs étranges, voire même hostiles. Cependant, au 21e siècle, le commerce entre ces nations a connu une croissance très marquée, si bien que les deux pays se connaissent maintenant un peu mieux. Les fans d'iPod en Chine sont comme les adolescents américains, par exemple. Ils ne sont pas terriblement mystérieux. De même, les Chinois comprennent mieux la démocratie et la société de consommation américaines qu'autrefois. Tous les pays ne trouvent pas nécessairement de point commun avec les valeurs de leurs partenaires commerciaux mais l'échange leur a du moins permis d'acquérir une meilleure compréhension mutuelle. De surcroît, le commerce aide à humaniser le peuple avec lequel vous réalisez des échanges. Il est donc plus difficile de vouloir aller faire la guerre à vos partenaires commerciaux qu'à un pays que vous ne voyez que comme des lignes sur une carte. En second lieu, le commerce crée une incitation économique à éviter la guerre. Si la nation X vend son meilleur acier à la nation Y et que ses hommes d'affaires récoltent un bon profit en échange, les hommes d'affaires des deux côtés vont vouloir s'opposer à la guerre. C'était précisément le cas entre l'Allemagne et la France juste avant la première guerre mondiale. L'Allemagne vendait de l'acier à la France et les hommes d'affaires allemands étaient fermement opposés à la guerre. Ils en sont venus à la soutenir à contre-cœur lorsque les ministres allemands leur ont annoncé que la guerre ne durerait que quelques mois. L'acier allemand représentait une très forte incitation à s'opposer à la guerre et si la situation avait évolué un peu différemment, ou si le gouvernement allemand avait été un peu plus réaliste sur les perspectives de durée de la guerre, cette incitation aurait pu tenir l'Allemagne éloignée de la première guerre mondiale. En troisième lieu, le protectionnisme fait la promotion de l'hostilité. C'est pourquoi le libre-échange, pas simplement le commerce agrégé (qui pourrait être accompagné de fortes barrières douanières et de quotas) mène à la paix. Si les Etats-Unis imposent un tarif douanier sur les voitures japonaises, ces taxes nuisent au commerce japonais. Cela crée de l'hostilité de la part du Japon à l'égard des Etats-Unis. Le Japon pourrait même réagir avec une taxe à l'importation d'acier américain, touchant négativement les producteurs américains et créant de la rancœur de la part du gouvernement. Les deux pays auraient alors un prétexte pour encourager le sentiment nationaliste de leur peuple, ce qui rendrait donc franchement plus facile la vente d'une guerre contre ce pays, le cas échéant. Dans les cercles académiques socio-économiques, ce phénomène est appelé le processus de Richardson d'hostilité réciproque croissante ; les Etats-Unis nuisent au Japon qui exerce des représailles, impliquant de nouvelles représailles de la part des Etats-Unis. L'histoire montre que le processus de Richardson peut aisément s'appliquer en cas de protectionnisme. Par exemple, dans les années 1930, les pays développés ont augmenté les taxes à l'importation et les barrières douanières. Les pays se sont détournés du multilatéralisme et se sont repliés sur eux-mêmes. Ces décisions ont mené à l'augmentation de l'hostilité, ce qui a contribué à la mise en mouvement de la seconde guerre mondiale. Ces facteurs aident à comprendre pourquoi le libre-échange mène à la paix et pourquoi le protectionnisme mène au conflit. Le libre-échange et la paix En conclusion, l'analyse de McDonald montre que prendre un pays parmi les 10 % les plus protectionnistes et le faire entrer parmi les 10 % les moins protectionnistes réduira sa potentialité d'entrer dans un conflit armé de 70 %. Il a effectué la même analyse avec le critère démocratique et a montré que faire évoluer un pays parmi les 10 % les moins démocratiques vers les 10 % les plus démocratiques ne réduira la potentialité de conflit que de 30 %. La démocratie est un dissuasif bien documenté. Plus un pays devient démocratique et moins il est susceptible d'être au cœur d'un conflit international. Toutefois, la réduction du protectionnisme, selon McDonald, est plus de deux fois plus efficace dans la réduction des conflits que le fait de devenir démocratique. Ici aux Etats-Unis, on parle beaucoup de répandre la démocratie. Nous avons envahi l'Irak en partie pour cela. Un édito du New-York Times par le Professeur Dov Ronen de Harvard déclarait que les Etats-Unis avaient déclaré une campagne idéologique pour propager la démocratie dans le monde depuis 1989. Une des justifications pour nos croisades internationales est la volonté de rendre le monde plus sûr. Peut-être devrions-nous plutôt consacrer un peu plus de temps à propager le libre-échange. Nous pourrions ainsi réellement rendre le monde plus sûr.
Lexington Posté 28 décembre 2013 Signaler Posté 28 décembre 2013 Merci Bézoukhov pour la traduction de l'excellent article sur l'école. Il est prévu demain avec quelques petits changements de forme. Restent donc à publier les deux dernières traductions
Arturus Posté 28 décembre 2013 Signaler Posté 28 décembre 2013 Ugly Climate ModelsThe Intergovernmental Panel on Climate Change can't explain the last 15 years.Ronald Bailey from the January 2014 issue
Arturus Posté 28 décembre 2013 Signaler Posté 28 décembre 2013 The Death of Obama's "Noble Lie"The disastrous ObamaCare rollout unmasks liberalism's paternalistic dishonesty.Matt Welch from the January 2014 issue
Lexington Posté 28 décembre 2013 Signaler Posté 28 décembre 2013 C'était finalement un peu aride mais intéressant. Je vous laisse trouver un titre vendeur en français parce que je manque un peu d'inspiration. Le libre-échange et la paix OCTOBER 15, 2013 by JULIAN ADORNEYFrédéric Bastiat l'a dit « Si les marchandises ne traversent pas les frontières, les soldats le feront ». Selon Bastiat, le libre-échange entre les pays pourrait réduire les conflits internationaux parce que le commerce forge des relations entre les nations et crée une incitation pour chacune d'entre elles à éviter la guerre avec ses partenaires commerciaux. Même si chaque nation était une île économique, l'absence d’interaction positive générée par le commerce pourrait laisser davantage de place au conflit. Deux cents ans après Bastiat, les libéraux ont adopté cette idée comme une devise. Malheureusement, ce n'est pas le cas de tout le monde. Cependant, comme une étude récente le montre, les preuves historiques tendent à confirmer la célèbre déclaration de Bastiat. Commercer ou guerroyer Dans « Peace through Trade of Free Trade? », le Professeur Patrick J. McDonald, de l'Université du Texas à Austin, a étudié empiriquement le lien entre le niveau de protectionnisme d'un pays (barrière douanière, quotas...) et la probabilité d'un conflit au sein de cette nation. Il a analysé les relations internationales de chaque pays avec l'outil de la dyade sur la période allant de 1960 à 2000. La dyade est l'interaction entre un pays et un autre de façon binaire. Ainsi, les relations entre l'Allemagne et la France constitueraient une dyade. Celles entre l'Allemagne et la Russie en constitueraient une seconde. Les relations entre la France et l'Australie pourraient en constituer une troisième. Il a ensuite décomposé cette analyse en années-dyades. Par exemple, les relations entre l'Allemagne et la France en 1965 seraient une année-dyade, les relations entre la France et l'Australie en 1973 en seraient une seconde, etc. Avec cet outil de l'année-dyade, McDonald a analysé le comportement de chaque pays du monde sur les quarante dernières années. Il en est ressorti une corrélation négative entre le libre-échange et le conflit : plus un pays commerce librement et moins il s'engage en guerre. Les pays qui s'engagent dans le libre-échange sont, de surcroît, moins susceptibles d'être envahis. La flèche causale Naturellement, cette découverte pourrait donner matière à confusion entre corrélation et causalité. Peut-être que les pays s'engageant dans le libre-échange font moins la guerre pour d'autres raisons, comme par exemple le fait qu'ils tendent à être plus démocratiques. En effet, les démocraties font généralement moins la guerre que les empires. Cependant, McDonald a lissé ces variables. Atténuer l'impact des régimes politiques est en effet important dans la mesure où les démocraties et les républiques tendent à se battre moins fréquemment que les régimes autoritaires. McDonald a également atténué les effets de la croissance économique parce que les pays en récession ont davantage tendance à faire la guerre que ceux qui sont en pleine croissance, souvent pour détourner l'attention du peuple de ses difficultés économiques. McDonald a même pris en compte des facteurs comme la proximité géographique : il est plus facile pour l'Allemagne et la France de se faire la guerre que pour les Etats-Unis et la Chine parce que les soldats français et allemands partagent une frontière commune. La conclusion de l'étude de McDonald est que le protectionnisme peut vraiment mener au conflit. McDonald a découvert qu'un pays parmi les 10 % les moins protectionnistes (c'est-à-dire moins protectionniste que 90 % des autres pays) avait 70 % de moins de chances de s'engager dans un nouveau conflit (que ce soit en tant qu'envahisseur ou en tant que cible) qu'un pays parmi les 10 % les plus protectionnistes. Le protectionnisme et la guerre Pourquoi le protectionniste mène-t-il au conflit et comment le libre-échange parvient-il à le prévenir ? Les réponses, même si elles sont bien connues des libéraux classiques, valent d'être mentionnées. Tout d'abord, le commerce génère de la bonne entente internationale. Si les hommes d'affaires Chinois et Américains commercent de manière régulière, le bénéfice est mutuel. Or le bénéfice mutuel a tendance à disposer les peuples à voir du bon chez l'autre. De surcroît, les échanges de biens promeuvent également les échanges culturels. Pendant des décennies, les Américains ont vu dans la Chine un pays mystérieux aux valeurs étranges, voire même hostiles. Cependant, au 21e siècle, le commerce entre ces nations a connu une croissance très marquée, si bien que les deux pays se connaissent maintenant un peu mieux. Les fans d'iPod en Chine sont comme les adolescents américains, par exemple. Ils ne sont pas terriblement mystérieux. De même, les Chinois comprennent mieux la démocratie et la société de consommation américaines qu'autrefois. Tous les pays ne trouvent pas nécessairement de point commun avec les valeurs de leurs partenaires commerciaux mais l'échange leur a du moins permis d'acquérir une meilleure compréhension mutuelle. De surcroît, le commerce aide à humaniser le peuple avec lequel vous réalisez des échanges. Il est donc plus difficile de vouloir aller faire la guerre à vos partenaires commerciaux qu'à un pays que vous ne voyez que comme des lignes sur une carte. En second lieu, le commerce crée une incitation économique à éviter la guerre. Si la nation X vend son meilleur acier à la nation Y et que ses hommes d'affaires récoltent un bon profit en échange, les hommes d'affaires des deux côtés vont vouloir s'opposer à la guerre. C'était précisément le cas entre l'Allemagne et la France juste avant la première guerre mondiale. L'Allemagne vendait de l'acier à la France et les hommes d'affaires allemands étaient fermement opposés à la guerre. Ils en sont venus à la soutenir à contre-cœur lorsque les ministres allemands leur ont annoncé que la guerre ne durerait que quelques mois. L'acier allemand représentait une très forte incitation à s'opposer à la guerre et si la situation avait évolué un peu différemment, ou si le gouvernement allemand avait été un peu plus réaliste sur les perspectives de durée de la guerre, cette incitation aurait pu tenir l'Allemagne éloignée de la première guerre mondiale. En troisième lieu, le protectionnisme fait la promotion de l'hostilité. C'est pourquoi le libre-échange, pas simplement le commerce agrégé (qui pourrait être accompagné de fortes barrières douanières et de quotas) mène à la paix. Si les Etats-Unis imposent un tarif douanier sur les voitures japonaises, ces taxes nuisent au commerce japonais. Cela crée de l'hostilité de la part du Japon à l'égard des Etats-Unis. Le Japon pourrait même réagir avec une taxe à l'importation d'acier américain, touchant négativement les producteurs américains et créant de la rancœur de la part du gouvernement. Les deux pays auraient alors un prétexte pour encourager le sentiment nationaliste de leur peuple, ce qui rendrait donc franchement plus facile la vente d'une guerre contre ce pays, le cas échéant. Dans les cercles académiques socio-économiques, ce phénomène est appelé le processus de Richardson d'hostilité réciproque croissante ; les Etats-Unis nuisent au Japon qui exerce des représailles, impliquant de nouvelles représailles de la part des Etats-Unis. L'histoire montre que le processus de Richardson peut aisément s'appliquer en cas de protectionnisme. Par exemple, dans les années 1930, les pays développés ont augmenté les taxes à l'importation et les barrières douanières. Les pays se sont détournés du multilatéralisme et se sont repliés sur eux-mêmes. Ces décisions ont mené à l'augmentation de l'hostilité, ce qui a contribué à la mise en mouvement de la seconde guerre mondiale. Ces facteurs aident à comprendre pourquoi le libre-échange mène à la paix et pourquoi le protectionnisme mène au conflit. Le libre-échange et la paix En conclusion, l'analyse de McDonald montre que prendre un pays parmi les 10 % les plus protectionnistes et le faire entrer parmi les 10 % les moins protectionnistes réduira sa potentialité d'entrer dans un conflit armé de 70 %. Il a effectué la même analyse avec le critère démocratique et a montré que faire évoluer un pays parmi les 10 % les moins démocratiques vers les 10 % les plus démocratiques ne réduira la potentialité de conflit que de 30 %. La démocratie est un dissuasif bien documenté. Plus un pays devient démocratique et moins il est susceptible d'être au cœur d'un conflit international. Toutefois, la réduction du protectionnisme, selon McDonald, est plus de deux fois plus efficace dans la réduction des conflits que le fait de devenir démocratique. Ici aux Etats-Unis, on parle beaucoup de répandre la démocratie. Nous avons envahi l'Irak en partie pour cela. Un édito du New-York Times par le Professeur Dov Ronen de Harvard déclarait que les Etats-Unis avaient déclaré une campagne idéologique pour propager la démocratie dans le monde depuis 1989. Une des justifications pour nos croisades internationales est la volonté de rendre le monde plus sûr. Peut-être devrions-nous plutôt consacrer un peu plus de temps à propager le libre-échange. Nous pourrions ainsi réellement rendre le monde plus sûr. Merci à toi. Je le publie demain (Pas de paix durable sans libre-échange). Le texte de Bézoukhov avait déjà été publié hier donc on est à jour, plus de traduction en attente..
Bézoukhov Posté 28 décembre 2013 Signaler Posté 28 décembre 2013 Merci Bézoukhov pour la traduction de l'excellent article sur l'école. Il est prévu demain avec quelques petits changements de forme. Restent donc à publier les deux dernières traductions De rien ! The Death of Obama's "Noble Lie" The disastrous ObamaCare rollout unmasks liberalism's paternalistic dishonesty. Matt Welch from the January 2014 issue Je devrais pouvoir le faire dans la soirée .
Bézoukhov Posté 29 décembre 2013 Signaler Posté 29 décembre 2013 La fin du "mensonge honorable" d'Obama En 2009, accuser le Président Barack Obama de mensonge sur la loi Patient Protection and Affordable Care Act (loi sur la protection des malades et les soins abordables), c’était grimper sur une branche un peu solitaire. En Décembre de cette année-là, lorsque j’affirmais que le président savait que les projections du Congressional Budget Office sur son projet de loi phare étaient erronées, le blogger/reporter des libertés civiles Glenn Greenwald, respecté avec raison, ne dit de moi rien d’autre que « malhonnête de façon flagrante ». En Novembre 2012, plus de deux ans après que l’administration a promulgué les règlements infantilisants de ses lois de santé, en ridiculisant la promesse réitérée du président de : « si vous appréciez votre assurance santé, vous pourrez la garder », une grande partie des commentateurs de gauche parlaient de la course entre Obama et le Républicain Mitt Romney comme d’un référendum sur l’honnêteté politique. Le seul moyen pour la vérité de vaincre, disaient-ils, était de voter pour les démocrates. « Nous allons savoir si un candidat ‘post-vérité’ peut être élu président », prévenait le Greg Sargent, du blog « Plum Line » du Washington Post, juste avant l’élection. « Si il y a une constante dans cette campagne, c’est que Romney a étonné beaucoup d’observateurs en présupposant qu’il n’y a absolument aucune limite à suivre quant à la véracité de ses assertions ». Un an plus tard, alors que la presse mainstream se remplissait petit à petit de compte-rendus du déploiement brutal et inepte de l’ObamaCare, et de promesses spectaculairement brisées, les diseurs de vérité comme Sargent, autrefois conquérants, se retrouvèrent dans la position surprenante et cocasse de minimiser la duplicité du président. « La Maison Blanche aurait pu être plus claire en jetant les bases de cette controverse politique : ce n’était pas suffisant de dire que ceux qui appréciaient leurs plans pourraient le garder, ce qui n’est, au sens propre, pas vrai », écrivait Sargent. Puis il se retourna contre les coupables réels, en déclarant que « l’indignation du GOP au sujet des Américains qui seraient en train de ‘perdre’ leur couverture est, au sens large, toujours liée à la même vieille erreur. C’est un sous ensemble du refus plus large des Républicains d’avoir un véritable débat autour des compromis de la loi, tout en reconnaissant sérieusement les bénéfices de la loi pour des millions d’Américains. » Un tel euphémisme dans les excuses, puis un changement de sujet, était commun en Octobre et en Novembre, quand les lettres d’annulation des assureurs étaient postées par centaines de milliers. L’éditorialiste du New York Times David Firestone, dans un article au titre méprisant : « La gronde des ‘annulations’ d’assurance », parlait du mensonge d’Obama comme « la malheureuse affirmation générale du Président Obama. » Le comité de rédaction du journal déclara qu’Obama s’était « clairement mal exprimé », puis affirmait que les contrats annulés « ne valaient pas la peine d’être gardés ». Le chef de la minorité à la Chambre des Représentants, Steny Hoyer (Démocrate – Maryland), dit aux journalistes : « Je ne pense pas que le message était mauvais. Je pense qu’il était exact. Il n’était pas assez précis. » Le 30 Octobre, le président lui-même essaya de faire porter l’erreur sur « les brebis galeuses de l’assurance » et suggéra que les annulations de ce que son administration appelait les contrats « poubelle » touchaient « moins de 5% des américains ». Le jour avant, le proche conseiller du président Valerie Jarrett twittait : « FAIT : Rien dans l’#Obamacare ne sort les gens de leur assurance santé. Aucune modification n’est requise à moins que les assureurs ne changent leurs polices existantes. » Le 4 Novembre, deux jours après que The Wall Street Journal a publié un compte-rendu dévastateur sur les débats des conseillers de la Maison Blanche concernant la manière d’atténuer les affirmations irréfutables d’Obama, qui disaient possible de conserver son assurance santé et son médecin, le président cherchait à se débarrasser de l’hameçon en réécrivant ses propres discours : « Maintenant, si vous aviez l’une de ces polices avant que la loi sur les soins abordables ne soit promulguée, et que vous l’appréciez vraiment, ce que nous avons dit est que vous pourriez le garder si il n’a pas changé depuis que la loi est passée. » Les italiques sont de moi, pour faire ressortir le mensonge sur le mensonge. A ce moment-là, même ceux qui défendaient le président classaient la duplicité d’Obama au mieux comme « un ‘mensonge honorable’ au sens platonicien du terme, » écrivait Brian Beutler de Salon le 7 Novembre. Mais même aussi tardivement, « les vrais menteurs qui mentent » (comme Beutler l’écrit) étaient bien sûr de l’autre côté : « Les mensonges honorables ont de nombreuses manière défini le débat autour de la loi sur les soins abordables, mais la grande majorité de ces mensonges sont ceux que les conservateurs ont raconté dans l’objectif raté de faire échouer la réforme. » Toute cette escroquerie devint caduque le soir du 7 Novembre, quand le président s’excusa cahin-caha pour avoir trompé le pays. Le journaliste de NBC Chuck Todd demanda à Obama « Pensez-vous que vous devez des excuses à ces gens pour les avoir trompé ? » Le président, avec beaucoup d’hésitations, et se perdant dans les ellipses, dit ceci : « Je regrette vraiment beaucoup que… nous n’ayons pas été aussi clair qu’il était nécessaire en ce qui concerne les changements qui se mettaient en route… Même si c’est une petite proportion des gens qui peuvent être désavantagés, vous savez, ça veut dire beaucoup pour eux. Et ça les effraie. Et je suis désolé que, vous savez, ils se trouvent dans cette situation, sur la foi de mes garanties. » Comme Peter Suderman, de reason, le montrait à l’époque, l’excuse elle-même n’était pas techniquement vraie. « Ce n’est pas que les gens ’se trouvent dans cette situation’, la situation d’avoir des polices d’assurances qu’ils appréciaient annulées à cause des ‘garanties’ d’Obama », Suderman écrivit sur reason.com. « Ils se trouvent dans cette situation à cause la législation que son parti a forgée, des règles que son administration a établies, et d’une loi qu’il a défendue avec énergie puis signée. Ses garanties ont trompé les gens sur ce qu’il adviendrait avec cette loi, mais n’ont pas causé la fin de ces contrats d’assurance. » Les projections estimées des millions d’annulations éventuelles auxquelles les américains feront bientôt face ne sont pas une conséquence bizarre et inattendue de l’ObamaCare. Elles sont fondamentales pour le fonctionnement de la loi telle qu’elle est. La loi sur les soins abordables compte que les jeunes, auparavant non assurés, payent plus cher une couverture dont ils n’ont pas besoin, et que les adultes qui n’étaient pas assurés payent pour des maladies auxquelles ils ne seront jamais exposés, que ce soit la maternité pour les hommes ou les soins dentaires pédiatriques pour les grands-parents. C’est ce que l’on suppose pour permette à plus de monde d’être couverts et pour garder les taux globaux dans la cible. Puisque faire des assurances santé plus chères n‘est pas vraiment populaire, Obama a menti, et pas seulement quand il a déclaré que vous pourriez garder votre contrat et votre docteur. En fait, le président a promis au moins 15 fois pendant sa campagne de 2008 que sa réforme de la santé réduirait les primes d’en moyenne 2500$ par famille. En Mai 2009, il dit que la loi « aboutira à deux milliards de dollars d’économie », menant à « des primes plus faibles ». Le blog de la Maison Blanche, en Novembre 2009, avait des titres comme : « Une analyse objective montre que la réforme aidera les petites entreprises, fera baisser les primes pour les familles américaines », et « CBO confirme que les familles gagneront de l’argent avec la réforme de la santé ». Comme Suderman l’écrivait en Juin 2013, il on ne pouvait pas « ne pas comprendre le message que la Maison Blanche d’Obama vendait à qui le voulait : les primes diminueraient, les bénéfices augmenteraient, et que si les primes arrivaient à monter, ce serait seulement le résultat de choix individuels pour une couverture plus large. » Plus encore, « c’est le débat auquel assistaient même cette portion congrue des Américains qui suivent les experts bancals : pas celui des compromis, mais celui des conséquences principalement positives de l’ObamaCare sur les primes, et de la modération des éventuels effets négatifs ». Pendant des années, les commentateurs de gauche ont accusé les conservateurs de vivre dans une « bulle » intellectuelle de leur création, imperméable à la réalité. Mais à travers leurs intentions officielles, et leur paresse intellectuelle, les Démocrates ont créé une bulle de déception autour de l’ObamaCare, qui affectera des millions d’américains dans les années à venir. Un mensonge aussi ignoble devrait ternir la crédibilité de tous ceux qui l’ont répandu.
Lexington Posté 29 décembre 2013 Signaler Posté 29 décembre 2013 http://mises.org/daily/6618/In-Trusting-Politics-and-Politicians-It-Is-the-Pope-Who-Is-Na239ve
Rübezahl Posté 30 décembre 2013 Signaler Posté 30 décembre 2013 It Was Never About The Money, Stupid: The Similarities Between Copyright Monopoly Madness & Boston Tea Taxes http://torrentfreak.com/it-was-never-about-the-money-stupid-the-similarities-between-copyright-monopoly-madness-boston-tea-taxes-131229/
Arturus Posté 30 décembre 2013 Signaler Posté 30 décembre 2013 Obamacare : les mensonges de l’administration Obama en pleine lumière "En mai 2009, il a dit que la loi « aboutira à deux mille milliards de dollars d’économie »" J'ai rajouté "mille" : 1 billion = 1 milliard 1 trillion = 1000 milliards
Rübezahl Posté 30 décembre 2013 Signaler Posté 30 décembre 2013 Paul Krugman is scared. He says “Bitcoin is evil.” Undermines central banks. http://www.againstcronycapitalism.org/2013/12/paul-krugman-is-scared-he-says-bitcoin-is-evil-undermines-central-banks/#.UsGpd8SKQUU.twitter via @AgainstCronyCap court et avec un passage savoureux : Paul Krugman and technology don’t mix very well. For instance in 1998 the esteemed economist had this to say about the Internet; ”The growth of the Internet will slow drastically, as the flaw in “Metcalfe’s law”–which states that the number of potential connections in a network is proportional to the square of the number of participants–becomes apparent: most people have nothing to say to each other! By 2005 or so, it will become clear that the Internet’s impact on the economy has been no greater than the fax machine’s.”
the_student Posté 30 décembre 2013 Signaler Posté 30 décembre 2013 heu... comment a t'il put passer de ça : "which states that the number of potential connections in a network is proportional to the square of the number of participants" a ça : "most people have nothing to say to each other!" ? la phrase a t'elle été coupée ? il manque une étape dans le résonnement.
Bézoukhov Posté 31 décembre 2013 Signaler Posté 31 décembre 2013 Obamacare : les mensonges de l’administration Obama en pleine lumière "En mai 2009, il a dit que la loi « aboutira à deux mille milliards de dollars d’économie »" J'ai rajouté "mille" : 1 billion = 1 milliard 1 trillion = 1000 milliards Oups :s ! J'ai confondu et suis passé un peu vite dessus...
Rübezahl Posté 31 décembre 2013 Signaler Posté 31 décembre 2013 (modifié) Advancing Pharmaceutical and Medical Technology Does Not Depend on Patents - Nathan Nicolaisen - Mises Daily: http://mises.org/daily/6625/Advancing-Pharmaceutical-and-Medical-Technology-Does-Not-Depend-on-Patents Crony Capitalism in America 2008-2012, Chapter 16, Vaccines: A Crony Capitalist’s Dream http://www.againstcronycapitalism.org/2013/12/crony-capitalism-in-america-2008-2012-chapter-16-vaccines-a-crony-capitalists-dream Modifié 31 décembre 2013 par Vincent Andrès
Nick de Cusa Posté 1 janvier 2014 Auteur Signaler Posté 1 janvier 2014 Bonne année la belle et fine équipe des traducteurs Un peu de positif, ça fait du bien. Et pourtant les choses continuent d'aller mieux : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100251972/snap-out-of-it-life-keeps-getting-better/
Nick de Cusa Posté 1 janvier 2014 Auteur Signaler Posté 1 janvier 2014 5 choses à comprendre sur le complexe étato-industriel. http://thoughtsonliberty.com/5-things-progressives-should-understand-about-the-government-industrial-complex
Arturus Posté 1 janvier 2014 Signaler Posté 1 janvier 2014 Can the Libertarian Republican and the Non-Libertarian Republican Be Friends?Scott Shackford|Dec. 30, 2013 11:30 am
a455bcd9 Posté 2 janvier 2014 Signaler Posté 2 janvier 2014 Dans le même genre que L’essor du Rwanda mais pour la Géorgie : Rose Revolution shows the results of freeing markets
Nick de Cusa Posté 2 janvier 2014 Auteur Signaler Posté 2 janvier 2014 Démocrates contre l'Agenda 21 de l'ONU. http://www.democratsagainstunagenda21.com/
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant