h16 Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 Je ne sais pas si ceci aura l'ampleur que prédit A. Watts : http://wattsupwithth…ing/#more-68235 http://wattsupwithth…ress-release-2/ Je pense que non. D'une part, son article est très mal contextualisé. Ca s'adresse à ceux qui savent déjà (si on ne sait pas ce que c'est que NOAA, BEST et le reste, on est complètement perdu) et le résultat trouvé est finalement celui auquel on pouvait parfaitement s'attendre (à savoir que les stations météo de surface ont tendance à exagérer le réchauffement car situées dans des zones urbaines plus chaudes). D'autre part, ça ne concerne en gros que les US, donc tous les arguments du style "oui mais le reste du monde se réchauffe bien plus en compensation, na d'abord" vont pouvoir sortir en habit du dimanche. Bref : ça fera un peu de bulles en surface, et c'est tout.
neuneu2k Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 C'est fondamental pour le débat scientifique, mais en effet, le débat scientifique, il semblerait que tout le monde s'en tape. Cette publication est surtout utile pour reveiller le scepticisme chez des scientifiques, Watts a eu droit a tout l'arsenal réchauffiste contre lui, et il a quand meme réussi a passer les commités de lecture et a publier (et lol, avec l'aide de meteo-france :-D), ça parle.
h16 Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 Sur HuffPo, on trouve ceci: http://www.huffingtonpost.ca/michel-kellygagnon/cuba-market-decline_b_1406797.html?ref=tw Et franchement, ça le ferait bien sur CP en VF, non ?
Nick de Cusa Posté 30 juillet 2012 Auteur Signaler Posté 30 juillet 2012 C'est fondamental pour le débat scientifique, mais en effet, le débat scientifique, il semblerait que tout le monde s'en tape. Cette publication est surtout utile pour reveiller le scepticisme chez des scientifiques, Watts a eu droit a tout l'arsenal réchauffiste contre lui, et il a quand meme réussi a passer les commités de lecture et a publier (et lol, avec l'aide de meteo-france :-D), ça parle. Non, ce n'est pas publié.
John Loque Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 Je viens de lire la "Platform" du parti libertarien américain et je constate qu'elle n'a jamais été traduite en français. C'est pourtant une exposition très claire et très synthétique de nos idées. Ca tenterait un traducteur d'ici ? Les subdivisions permettraient une publication en série sur Contrepoints. http://www.lp.org/platform
neuneu2k Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 Non, ce n'est pas publié. Anefe, il force la main (et à raison).
ChocolateCookie Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 J'attaque America, the law-crazed. J'aurais probablement besoin d'idée pour trouver une traduction du titre un peu catchy, la je sèche. Je viens de lire la "Platform" du parti libertarien américain et je constate qu'elle n'a jamais été traduite en français. C'est pourtant une exposition très claire et très synthétique de nos idées. Ca tenterait un traducteur d'ici ? Les subdivisions permettraient une publication en série sur Contrepoints. http://www.lp.org/platform S'il n'est pas pris d'ici là, je m'en ferais un plaisir pendant mes vacances (semaine prochaine.)
ChocolateCookie Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 (modifié) "L' Amérique en pince pour le droit". Hmm non. "Une Amérique ivre de législation". Un peu mieux. Ah ouais pas mal… Je dois avouer que je misère un peu plus sur celui là, probablement parce qu'il est vachement mieux écrit (que l'article sur le maïs j'entend, j'aime bien le ton, et le niveau d'anglais est carrément pas mal) Je vous soumets une première mouture, c'est plutôt brut, je pense prendre quatre à six heures de plus (+/- deux jours) pour arriver à quelque chose de satisfaisant. EDIT: vous arrêtez par sur des cochonneries comme "Je ne dis pas que cette Amérique" (je m'auto-balance des mandales en ce moment même ^^) America, the law-crazed Le zèle législatif de l’Amérique nous transforme tous en criminels d’un nouveau genre Durant les dernières décennies, l’Amérique a mis derrière les verrous de plus en plus de gens. Notre population carcérale a triplée. Nous emprisonnons de nos jours un plus grand pourcentage de notre population que les plus répressifs des pays : La chine mets sous les verrous 121 personnes sur 100,000 ; la Russie 511. En Amérique ? 730. The Economist annonce, « Jamais dans le monde civilisé autant de gens n’ont été emprisonné pour si peu ». Et cependant nous continuons de rajouter encore plus de lois et de plus longues peines. On attribue cette phrase à Lavrentiy Beria, dirigeant de la police secrète Stalinienne de l’ancienne Union Soviétique, « Montrez-moi l’homme, et je vous montrerais le crime. » Staline a exécuté quiconque représentait une menace, et il n’en fallait pas beaucoup pour ça. Beria arrivait toujours à trouver une quelconque loi que la personne visée avait enfreinte. C’est bien facile quand les livres sont remplis de tonnes de lois bien vagues. Staline a ainsi « légalement » exécuté près d’un million de personnes. Je ne dis pas que cette Amérique est comparable à la Russie Stalinienne, mais considérons un instant nos lois fédérales. Les règles qui nous entravent maintenant compte plus de 160,000 pages. Le Service de Recherche du Congrès a annoncé qu’il était incapable de dénombrer les crimes inscrit dans le code juridique. Cependant, la semaine dernière « les fédéraux » (NTD : « feds » dans le texte) ont rajouté ou proposer un millier de pages de plus. Les avez-vous toutes lues ? Vos « représentants » les ont-ils toutes lues ? Vous connaissez la réponse. Quand un grave crime est commis, les législateurs exigent dans l’instant que les criminels voient prononcé à leur encontre des sentences encore plus longues et des « peines plancher » (NTD : « mandatory minimums » dans le texte) à l’attention des récidivistes. C’est électoralement pertinent, mais cela détruit le pouvoir discrétionnaire de la justice et brise les malchanceux. Dans l’Iowa, un homme avec un passé judiciaire trouva une balle, la rangea dans un tiroir et l’oublia. Un policier la vue en cherchant autre chose. Les criminels n’ont pas le droit de posseder de munition de quelque sorte que ce soit, et ce « crime » fit de cet homme un récidiviste. Il purge maintenant une « peines plancher » pour possession de munition. Oui, vraiment. Il fût fait appel de cette longue sentence, mais la Cour d’Appel des Etats-Unis du Huitième Circuit du la maintenir, expliquant qu’elle avait les mains liées par la présence de la « peine plancher » inscrite dans les textes. La majeure partie d’entre nous ne serons jamais victime de ces « peines plancher » ou des innombrable ambiguïtés de notre code judiciaire contemporain, mais si vous êtes le genre d’individu dont l’Amérique a le plus besoin – un inventeur qui crée quelque chose ou quelqu’un qui monte une entreprise – il y a une plus grande chance que vous soyez victime d’un dédale inpéntrable. Les lois qui encombrent les affaires et la finance sont déconcertantes -- tout au plus un ramassis des articles du Dodd-Frank . Et même les entreprises dotées de services comptable et juridique bien armés feraient bien de faire attention. Et puis il y aussi la soi-disant war-on-drugs (NDT : littéralement « guerre contre les drogues », voir article), une guerre contre les peuples en vérité. Nombre de politiciens admettent qu’ils ont consommé des stupéfiants dans leur jeunesse – même les présidents. Dans ses mémoires « Dreams from my father » (NDT : en France « Les Rêves de mon père : L’histoire d’un héritage en noir et blanc »), Barack Obama a écrit : « L’herbe aidait… ; et peut-être un petit peu de poudre (de la cocaïne) quand on pouvait se le permettre. » Et pourtant, une fois dans le bureau oval, ces mêmes politiques gouvernent un système injuste qui emprisonne des millions d’américains pour des faits identiques. Et ils ne trouvent pas ça hypocrite ? Non mais s’il vous plait… Penn Jillette, un artiste libertaire mets le doigt dessus : « Si Obama s’était fait prendre avec cette marijuana qu’il dit avoir consommée et « peut-être un petit peu de poudre »… s’il s’était fait coffré dans ce cadre légal, il se serait pris de la put*** de tôle… de la tôle dans une prison fédérale, de la tôle pour son « herbe » et sa « poudre », il ne serait pas président… ne serait pas allé dans sa fac pour cul-pincés, n’aurait pas vendu de bouquins, ni gagné des millions de dollars. Il se serait retrouvé dans une put*** de prison, et c’est pas une foutue blague. » J’attends de mon gouvernement qu’il arrête de vrais criminels, des gens qui violent nos droits, et qu’il les enferme de manière à ce que nous soyons protégés. Mais nos politiciens sont allés bien au-delà. Les gouvernements à tous les niveaux se sont escrimés à interdire des comportements qui ne violent les droits de personne et à entasser des lois pour diriger les comportements qui pourraient causer du tort au gens. Et ils en rajoutent encore. Ils ont créé un inextricable labyrinthe de lois d’une telle incompréhensibilité que mêmes les spécialistes du droit n’arrivent pas se mettre d’accord sur leurs interprétation. Pendant ce temps d’ambitieux juristes brisent des vies en les mettant en application. Ces procureurs et législateurs nous disent que c’est pour notre propre bien. C’est faux. (P.S.: je vous ai pas encore dit que je déteste le droit hein ^^) Modifié 31 juillet 2012 par h16
Rincevent Posté 30 juillet 2012 Signaler Posté 30 juillet 2012 On a des accords avec Reason ? J'aimerai beaucoup traduire le long article de Rugy et Gillespie sur la guerre des générations. Ca ferait une excellent week-end read de fin de dimanche, bavant sur le Lundi.
Largo Winch Posté 31 juillet 2012 Signaler Posté 31 juillet 2012 On a des accords avec Reason ? Oui. Go, go !
ChocolateCookie Posté 31 juillet 2012 Signaler Posté 31 juillet 2012 Proposition d'article à traduire : America, the Law-crazed - America's zeal for legislating has turned us all into criminals of one type or another. Help! Le site me demande un MDP !!!
Nick de Cusa Posté 31 juillet 2012 Auteur Signaler Posté 31 juillet 2012 L'Espagne veut contrôler l'immigration de citoyens UE : http://openeuropeblog.blogspot.be/2012/07/is-spain-tougher-than-uk-on-eu.html
José Posté 1 août 2012 Signaler Posté 1 août 2012 Proposition d'article à traduire : Why London Is Yawning Over the Olympics - Have Western countries finally outgrown the sports socialism of the Olympic Games?
Nick de Cusa Posté 1 août 2012 Auteur Signaler Posté 1 août 2012 La confiance en l'UE est au plus bas : http://openeuropeblog.blogspot.be/2012/07/trust-in-in-eu-at-all-time-low.html
NicolasB Posté 3 août 2012 Signaler Posté 3 août 2012 Proposition d'article à traduire : Why London Is Yawning Over the Olympics - Have Western countries finally outgrown the sports socialism of the Olympic Games? Je veux bien traduire celui-ci… mais sous deux jours. Pas de violence, c'est les vacances!
NicolasB Posté 5 août 2012 Signaler Posté 5 août 2012 Je veux bien traduire celui-ci… mais sous deux jours. Pas de violence, c'est les vacances! Oups je suis à la bourre : j'essaye de finir cette après midi.
José Posté 7 août 2012 Signaler Posté 7 août 2012 Proposition d'article à traduire : America’s Olympic Athletes Should Be Taxed on Their Winnings (but Not by the IRS).
Skit Posté 7 août 2012 Signaler Posté 7 août 2012 Quelqu'un pour traduire ce communiqué? European Students For Liberty: Local Coordinator Program Recently, European Students For Liberty, an organization that aims to build a network of support for libertarian and classical liberal students and student groups across Europe has launched a program for students motivated to defend liberty. After an application process, they are extensively trained in student organizing, networking and use of media to help ESFL support and start new student groups in their region. European Students For Liberty is an organization that started out in 2011, run entirely by students and for students, to unite the student movement for liberty in Europe into one network. Currently its network contains over 100 student groups spanning from Lithuania to Spain and everything in between. Specifically it offers material support in the form of free books and training manuals to empower students to take action, and also organizes conferences to bring together liberty-loving students. Its first conference in Leuven, Belgium in 2011 was attended by 220 students from 25 countries. It is also integrated into a broader international network of international Students For Liberty, a global organization that now represents over 600 groups across the world. Currently ESFL is run by 14 board members, students that have experience with activism, and want to help grow the movement. Through hard work, motivation and the right training we have known explosive growth. However, 14 board members are not enough for all of Europe. That is why ESFL launched the Local Coordinator Program. To help grow the movement, it is necessary to engage and train the right students who have the necessary local knowledge to help us grow the movement in their own region. Often hard-working and dedicated pro-liberty students lack the experience or support network to run campus groups or conferences. The Local Coordinator Program exists to turn passionate students into effective leaders for liberty on their campus and in their region. This is a perfect opportunity for French students to become part of a larger organization and be empowered to change things. Recently in Paris, “Libre Campus”, a one-day event centered around motivating and training a few French students has proven that with the right support, it is possible to turn students from frustration and idly resenting the existing system to activism. The event resulted in the founding of an ESFL-group in Paris, and perhaps even more student groups to come. Similarly, a Regional ESFL conference in Lithuania that was attended by French students as well motivated a student to start building two student groups in his region. So this is a call to all French students! Are you tired of not knowing what to do with your passion for liberty? Do you want to start changing the intellectual culture at your campus or in your region? Then apply now, and help us make France a more liberty-loving place. You should apply soon, the deadline is 10 August, but we will accept applications that are a few days late. The application process exists of filling in an online application. If the application is deemed good enough, you may be interviewed through Skype by ESFL Board Members. If you are selected after this process, you will receive extensive training through an online webinar program, and finally at a seminar near Cologne, Germany (28th October – 1 November). All costs for travel or other will be covered by ESFL. More information at: http://studentsforliberty.org/esfl-local-coordinators/ Application Form: http://www.tfaforms.com/246330 Students For Liberty Paris: http://studentsforliberty-paris.fr/
John Loque Posté 7 août 2012 Signaler Posté 7 août 2012 OK Je prends, pour Gilles. Ajoute une ligne pour la Belgique francophone, il a oublié.
ChocolateCookie Posté 7 août 2012 Signaler Posté 7 août 2012 Pof pof pof, pardon pour le retard, derniers exams blancs, veille de vacances toussa… Voilà la version finale, je la mail à la rédac, Pour le titre jésuite encore, du coup je vous le passe avec mon "Amérique, l'hyper-législative" (ça fait un peu trop penser au élécs en france mais bon…). Sinon je suis plutôt d'accord avec la suggestion de raf pour "Une Amérique ivre de législation" Donc: Amérique, l'hyper-législative Le zèle législatif de l’Amérique nous transforme tous en criminels d’un nouveau genre Durant les dernières décennies, l’Amérique a mis derrière les verrous de plus en plus de gens. Notre population carcérale a triplée. Nous emprisonnons de nos jours un plus grand pourcentage de notre population que les plus répressifs des pays : la Chine met sous les verrous 121 personnes sur 100,000 ; la Russie, 511. En Amérique ? 730. The Economist annonce, « Jamais dans le monde civilisé autant de gens n’ont été emprisonné pour si peu ». Et cependant nous continuons de rajouter encore plus de lois et de plus longues peines. On attribue cette phrase à Lavrentiy Beria, dirigeant de la police secrète Stalinienne de l’ancienne Union Soviétique, « Montrez-moi l’homme, et je vous montrerais le crime. » Staline a exécuté quiconque représentait une menace, et il n’en fallait pas beaucoup pour ça. Beria arrivait toujours à trouver une quelconque loi que la personne visée avait enfreinte. C’est bien facile quand les livres de droit sont remplis de tonnes de lois bien vagues. Staline a ainsi « légalement » exécuté près d’un million de personnes. Je ne dis pas que l’Amérique est comparable à la Russie Stalinienne, mais considérons un instant nos lois fédérales. Les règles qui nous entravent maintenant compte plus de 160,000 pages. Le Service de Recherche du Congrès a annoncé qu’il était incapable de dénombrer les crimes inscrit dans le code juridique. Cependant, la semaine dernière « les fédéraux » (NdT : « feds » dans le texte) ont rajouté ou proposé un millier de pages de plus. Les avez-vous toutes lues ? Vos « représentants » les ont-ils toutes lues ? Vous connaissez la réponse. Quand un grave crime est commis, les législateurs exigent dans l’instant que les criminels voient prononcé à leur encontre des sentences encore plus longues et des « peines plancher » (NdT : « mandatory minimums » dans le texte) à l’attention des récidivistes. C’est électoralement pertinent, mais cela détruit le pouvoir discrétionnaire de la justice et brise les malchanceux. Dans l’Iowa, un homme avec un passé judiciaire trouva une balle, la rangea dans un tiroir et l’oublia. Un policier l’a vue en cherchant autre chose. Les criminels n’ont pas le droit de posséder de munitions de quelque sorte que ce soit, et ce « crime » fit de cet homme un récidiviste. Il purge maintenant une « peine plancher » pour possession de munition. Oui, vraiment. Il fût fait appel de cette longue sentence, mais la Cour d’Appel des Etats-Unis du Huitième Circuit dû la maintenir, expliquant qu’elle avait les mains liées par la présence de la « peine plancher » inscrite dans les textes. La majeure partie d’entre nous ne sera jamais victime de ces « peines plancher » ou des innombrables ambiguïtés de notre code judiciaire contemporain, mais si vous êtes le genre d’individu dont l’Amérique a le plus besoin – un inventeur qui crée quelque chose ou quelqu’un qui monte une entreprise – il y a une plus grande chance que vous soyez victime d’un dédale impénétrable. Les lois qui encombrent les affaires et la finance sont déconcertantes -- tout au plus un ramassis des articles du Dodd-Frank . Et même les entreprises dotées de services comptable et juridique bien armés feraient bien de faire attention. Et puis il y aussi la soi-disant war-on-drugs (NdT : littéralement « guerre contre les drogues », voir article), une guerre contre les peuples en vérité. Nombre de politiciens admettent qu’ils ont consommé des stupéfiants dans leur jeunesse – même les présidents. Dans ses mémoires « Dreams from my father » (NdT : en France « Les Rêves de mon père : L’histoire d’un héritage en noir et blanc »), Barack Obama a écrit : « L’herbe aidait… ; et peut-être un petit peu de poudre (de la cocaïne) quand on pouvait se le permettre. » Et pourtant, une fois dans le bureau ovale, ces mêmes politiques gouvernent un système injuste qui emprisonne des millions d’américains pour des faits identiques. Et ils ne trouvent pas ça hypocrite ? Non mais s’il vous plait… Penn Jillette, un artiste libertaire mets le doigt dessus : « Si Obama s’était fait prendre avec cette marijuana qu’il dit avoir consommée et « peut-être un petit peu de poudre »… s’il s’était fait coffré dans ce cadre légal, il se serait pris de la putain de tôle… de la tôle dans une prison fédérale, de la tôle pour son « herbe » et sa « poudre », il ne serait pas président… ne serait pas allé dans sa fac pour cul-pincés, n’aurait pas vendu de bouquins, ni gagné des millions de dollars. Il se serait retrouvé dans une putain de prison, et c’est pas une foutue blague. » J’attends de mon gouvernement qu’il arrête de vrais criminels, des gens qui violent nos droits, et qu’il les enferme de manière à ce que nous soyons protégés. Mais nos politiciens sont allés bien au-delà. Les gouvernements à tous les niveaux se sont escrimés à interdire des comportements qui ne violent les droits de personne et à entasser des lois pour diriger les comportements qui pourraient causer du tort au gens. Et ils en rajoutent encore. Ils ont créé un inextricable labyrinthe de lois d’une telle incompréhensibilité que même les spécialistes du droit n’arrivent pas se mettre d’accord sur leurs interprétation. Pendant ce temps, d’ambitieux juristes brisent des vies en les mettant en application. Ces procureurs et législateurs nous disent que c’est pour notre propre bien. C’est faux.
NicolasB Posté 7 août 2012 Signaler Posté 7 août 2012 Enfin… Pourquoi Londres baille-t-elle après les Jeux Olympiques? Est-ce que les pays occidentaux ont enfin dépassé le socialisme des Jeux Olympiques ? Shikha Dalmia | 31 Juillet 2012 Londres — À la veille des 30èmes Olympiades d’été, la chose la plus frappante dans la ville est l’absence totale d’enthousiasme dans la rue. Par rapport aux J.O. de Pékin en 2008, quand toute la Chine était mobilisée pour les Jeux, il n’y avait pas d’excitation décelable dans l’air À Londres. Les commerces ne plantent pas de nouvelles fleurs ou ne ravalent pas leurs façades pour impressionner les hôtes étrangers. Il n’y a pas d’écrans géants dans les places publiques pour rendre l’atmosphère plus enthousiaste. Les rues ne sont pas tapissées avec des affiches des athlètes britanniques. Parmi le peu de signaux que quelque chose se passe – mise À part les rondes de troupes armées – est la présence de coureurs en plastique collés autour des clôtures des parcs publics (une décoration plus À même lors de la remise des diplômes d’école qu’un évènement international). Beaucoup de Londoniens À qui j’ai parlé – chauffeurs de taxi, tenanciers de pressing, résidents – considèrent le tout comme une “foutue nuisance” qu’ils comptent le suivre d’autres cités européennes loin des embouteillages et des foules déchaînées. Aucun doute que la grande confusion régnant lors des phases préparatoires a refroidi l’enthousiasme du public. Mais la principale raison pour laquelle les londoniens sont indifférents est que l’ère de la ferveur nationaliste montante À travers des mégas projets est terminée en Occident. L’Occident, tout simplement, a peut-être dépassé les jeux olympiques. Les Olympiades londoniennes, comme chaque Olympiade auparavant, sont désespérément en dépassement de budget. Le budget prévisionnel de 4 milliards de dollars de la cité a déjÀ explosé. Les dépenses ont atteint plus de 16 milliards de dollars, multipliant par 4 le budget initial pour les nouveaux stades obligatoires et le village olympique. Dans le même temps, G4S, la société qui a remporté le marché de la sécurité des Jeux, n’a pas réussi À embaucher assez de personnel, forçant l’armée À intervenir. Les autorités britanniques ont également monté des missiles sol-air sur les toits d’appartements privés, effrayant au plus haut point les résidents alentour. Comme si cela ne suffisait pas, un plan pour gagner des billets via une loterie a échoué, laissant des gens ayant payés des milliers de dollars attendre des semaines avant de savoir s’ils faisaient partie des chanceux gagnants. Quand même, tout ceci aurait fait partie du parcours vers l’apogée des J.O., quand aucune dépense était trop large et que les inconvénients n’était pas si importants. Les J.O. de 1976 À Montréal ont été remboursés en 30 ans. Les Olympiades À Munich en 1972 se sont transformées en cauchemars quand des terroristes palestiniens ont kidnappés et tués des athlètes israéliens. Mais l’esprit olympique est revenu. Cela a beaucoup changé. De nombreux sites Internet montrent des Britanniques mécontents, appelant les Jeux un gaspillage complet d’argent. Un festival de musique pop sponsorisé par la BBC a du rédiger une note en coulisse suppliant les artistes de s’abstenir « de faire référence aux J.O. de manière négative ou dénigrante ». Encore plus frappant sont les résultats d’une enquête d’opinion de Janvier demandée par la BBC qui montrent que 48% des britanniques ont déclaré que les performances de leurs athlètes importait « peu » ou « pas du tout » dans la fierté nationale. Aucun doute que les Britanniques sont de mauvaise humeur parce qu’il leur est demandé de payer la facture des jeux durant une période d’austérité, quand l’économie anglaise fait un double plongeon. Mais le même sondage montre que les Français et les Espagnols sont un tout petit peu moins blasés À propos de la performance de leurs athlètes, suggérant que l’ennui des britanniques fait partie d’un plus large changement d’humeur. Ce n’est pas étonnant. Avec la fin de la Guerre Froide, les J.O. ne sont plus une plateforme pour l’Occident et le bloc soviétique servant À mettre en valeur les performances de leurs systèmes rivaux. Les Jeux sont dorénavant plus une histoire d’excellence individuelle et moins À propos de la fierté nationale. Tout cela signifie que l’amplificateur occidental des Jeux ne peut justifier leurs attitudes de panier percé dans les « bénéfices impalpables » comme l’honneur national. Contrairement aux économies dites émergentes comme l’Inde et la Chine, la problématique pour les contribuables occidentaux n’est pas de savoir si leurs gouvernements sont capables de réaliser un événement raffiné et compliqué, mais si cela en vaut le coût. Les citoyens occidentaux ne sont pas spécialement tolérants aux excès et aux fiascos et de plus en plus sceptiques sur le tapage mené À propos des bénéfices des Jeux. Cela signifie que même si les J.O. de Londres se déroulent sans anicroches, les prochains Jeux auront de grandes difficultés À conserver l’appui du public sans changements majeurs dans leurs business model. Les J.O. sont un gigantesque exercice de socialisme dans le sport – ou le capitalisme de connivence, si vous préférez. Les profits sont privatisés et les coûts socialisés. Les Jeux ne paient pas pour eux-mêmes car ils n’ont pas été créés ainsi. C’est parce que le Comité International Olympique (une organisation « non gouvernementale » opaque et bureaucratique composés de richards de différents pays) empoche la majorité des revenus des sponsors et les droits de diffusions médiatiques (prétendument pour financer le sport mondial), demandant dans le même temps aux pays organisateurs de payer la majeure partie des coûts. Parmi les rares fois où les jeux n’ont pas laissé une ville mortellement endettée était après les Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984, quand les électeurs, ayant retenu la leçon de Montréal, ont empêché l’utilisation de fonds public, forçant le CIO À utiliser les infrastructures en place et À ramasser l’addition pour la plupart des nouvelles infrastructures À construire. Même si c’est loin d’être juste. Pour plus de justice, le CIO devrait compenser la ville hôte pour les tracas et les dérangements, pas l’inverse. Ils ne le font pas car la Guerre Froide a auparavant exacerbé les ferveurs nationalistes, cachant habilement au monde le contrat existant. Les Londoniens montrent que cela ne peut plus durer.
NicolasB Posté 8 août 2012 Signaler Posté 8 août 2012 Pour demain donc Lol en espérant que ce ne soit pas un délai comme moi!
NicolasB Posté 8 août 2012 Signaler Posté 8 août 2012 Proposition d'article à traduire : America’s Olympic Athletes Should Be Taxed on Their Winnings (but Not by the IRS). si personne ne l'a pris, je veux bien le faire pour dans deux jours. (réellement)
Nick de Cusa Posté 9 août 2012 Auteur Signaler Posté 9 août 2012 Grexit : pour quand, la sortie de la Grèce de l'euro ? http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83025
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