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Comité des relecteurs/correcteurs de Contrepoints

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Par (V)
dans Action !

Messages recommandés

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Vous n'écrivez pas pour Contrepoints, mais vous le lisez ? Vous aussi vous pouvez participer :

Sur ce fil mentionnez toutes les coquilles, fautes d'orthographes ou fautes de frappe, erreurs de mise en page ou erreurs d'infos que vous pouvez relever au fil de votre lecture. Certaines personnes s'en chargent déjà, mais c'est mieux de multiplier les yeux.

**Attention, il ne s'agit pas de lancer des débats sur les sujets abordés, les remarques doivent concerner la pure forme et non le fond**

Par exemple :

Le résumé de cet article : http://www.contrepoints.org/2011/06/12/29597-savez-vous-ce-quest-le-subjectivisme'>http://www.contrepoints.org/2011/06/12/29597-savez-vous-ce-quest-le-subjectivisme

soit il n'existe pas soit il est mal fait, car il décale toute la page d'accueil : http://www.contrepoints.org/

"Parmi les concepts fondamentaux de l’école autrichienne d’économie, il y a le subjectivisme. Cette thèse, initiée par le grand sociologue Ludwig Lachmann, s’inscrit dans le prolongement de l’individualisme méthodologique et considère, comme ce dernier, que seul l’individu…"

On pourrait mettre à la place : "Seul l’individu concret fait des choix et agit, aucune notion englobante ne peut l'appréhender entièrement. "

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Excellente initiative (V), une de plus :)

merci, cela dit je ne fais ici qu'ouvrir un nouveau fil, et tandis qu'il s'agissait de gagner en lisibilité, la démultiplication des fils pourrait elle-même sembler un beau fouillis…

A vrai dire ce qu'il faudrait faire, plutôt que pulluler dans le forum Action, c'est carrément créer un nouveau sous-forum Contrepoints !

Est-ce que ce serait utile ?

Antoninov

Antoninov

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Trois raisons de ne pas subventionner les artistes

Je trouve personnellement que la mention "Traduit du site Reason avec leur aimable autorisation" devrait apparaître en tête de l'article et pourrait même être allongée avec la date originale de publication.

Cela éviterait une drôle d'impression: j'ai commencé à lire l'article pensant qu'il était "français" ou au moins générique, mais au fil de la lecture, on se rend compte qu'il est très orienté société US. Ce n'est pas un problème en soi, si on le sait, mais quand on atteint l'exemple du contribuable qui paie pour Dr Who, on est perdu et on réalise alors seulement le contexte. (les autres références dans l'article sont plus compréhensibles).

"my 2 cents" comme on dit.

Chitah

Chitah

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A vrai dire ce qu'il faudrait faire, plutôt que pulluler dans le forum Action, c'est carrément créer un nouveau sous-forum Contrepoints !

Est-ce que ce serait utile ?

Je pense que le moment où créer un tel sous-forum serait utile approche à grands pas.

Lexington

Lexington

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Ayn Rand, la bande dessinée

l’auteur de la biographie Margaret Thatcher --> l’auteur de la biographie de Margaret Thatcher

Done

Rübezahl

Rübezahl

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"Risk", par Dan Gardner

et que cela renforci leur opinion --> et que cela renforcE leur opinion

Des scientifique ont réalisé --> Des scientifiqueS ont réalisé

la peine de remontRer à la source --> la peine de remonter à la source

on se rend compte que celle-ci A n’est qu’une vague estimation --> on se rend compte que celle-ci n’est qu’une vague estimation

Saddam Hussein a réussi à développer une arme nucléaire, à LES remettre à des terroristes, qui ont réussi à LES faire entrer aux États-Unis et à LES faire sauter dans une grande ville.

-->

Saddam Hussein a réussi à développer une arme nucléaire, à LA remettre à des terroristes, qui ont réussi à LA faire entrer aux États-Unis et à LA faire sauter dans une grande ville.

cette suite d’événement -- > cette suite d’événementS

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Esperluette

Esperluette

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Allez, je m'offre un caprice.

J'ai pas relu ma bafouille (après celle de Nick). C'est le week-end et je bouffe déjà de la traduction-relecture à longueur de semaine. :mrgreen:

***

http://www.contrepoi…on-sur-la-grece

Je me suis pris une giclée de gaz lachrymogène il y a quelques instants. Il y avait une manif* devant le parlement européen, avec des centaines de jeunes gauchistes en colère - (typo : espace) on ne peut pas vraiment les appeler des anarchistes, puisque la plupart d’entre eux dépendent de l’état pour leur pain quotidien (typo : espace)- hurlant et baragouinant comme des singes blessés. La réponse de l’UE à la crise grecque est une disgrâce [faux ami], criaient-ils. Les travailleurs d’Europe sont sacrifiés pour appaiser les spéculateurs. Et vous savez quoi ? Ils ont raison.

Quand la crise du crédit a frappé en 2008, les gouvernements du monde entier se sont tournés vers un [the one set of people : LE = celui par excellence, le seul, sens exclusif comme dans : here is the very book I am looking for] groupe de personnes qui, par définition, ne pouvait pas leur donner de conseil désintéressé, à savoir (typo :deux points ou rien) les banquiers.Sans surprise, ces derniers ont solennellement assuré (aux) les ministres, que, à moins qu’on leur donne des sommes colossales, toute l’économie allait s’effondrer. Je suis sûr que, si les gouvernement confiaient aux boulangers leurs politiques dans le domaine des subventions à la boulangerie, ils se verraient dire que ces paiements sont vitaux. Les boulangers pourraient même le croire à moitié, eux-mêmes (gaffe aux répétitions, ça passe mal en français). Mais ils auraient tort, tout comme les banquiers ont tort. Le La preuve d’à (hum) quel point ils ont tort est à trouver en Islande, qui n’était pas en position d’assumer le passif de ses banques privées et qui, en conséquence -(typo : espace) même si elle était bien plus durement frappée par l’effondrement que tout état de l’UE (typo : espace)- est désormais en bien meilleure santé que de nombreux pays de la zone euro.Ne me croyez pas sur parole, même Paul Krugman, le gourou des étatistes et des keynésiens du monde entier, l’a remarqué.

Le cycle de sauvetages de 2008 a spectaculairement (l'anglais supporte très bien les adverbes en -ly, en français on évite) échoué dans son objectif déclaré, à savoir éviter la récession. La grande Bretagne, les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux ont donné des sommes sans précédent à leurs banques. Nous savons d’où venait cet argent mais, trois ans plus tard, nous n’avons que très peu d’idée où il est allé, ou dans quelles poches il se trouve. L’idée commence à germer dans l’esprit de certains de nos chefs politiques, (pourquoi une virgule ?) que peut-être ils se sont laissés gagner par la panique au point de prendre une mauvaise décision. Et pourtant, aussi incroyable que ça puisse paraître, ils proposent maintenant de répéter leur erreur. Les sauvetages de la zone euro sont, par essence, un nouveau transfert de moyens des pauvres vers les riches. Comme ce blog ne se fatigue jamais de le pointer du doigt, l’argent des sauvetages ne va pas aux Grecs, aux Irlandais ou aux Portugais; il va aux banquiers et aux détenteurs d’obligations qui ont fait de mauvais investissements. Le remboursement, lui, par contre, viendra bien des habitants de ces malheureux pays. Pas étonnant qu’ils soient dans la rue. (c'est équivoque : SDF ou manifestants ? faut expliciter)

Les gauchistes ont tort sur plein de choses. Leur refus de comprendre que les dépenses et l’emprunt excessifs sont la cause de la crise, et ne seront pas sa solution, en fait des têtes de mules presqu’héroïques. Mais ils ont absolument raison sur une chose : les politiques menées par les chefs de l’UE sont effet une forme de guerre de classe contre les travailleurs, dans les faits sinon dans les intentions. Comme le dit Brian Denny au journal Marxiste (typo : pas de maj en français) britannique le Morning Star,

Des pays en difficultés comme la Grèce, l’Irlande et le Portugal sont dans une spirale infernale menant à toujours plus de crises, du fait des politiques de l’UE. Aucun montant de sauvetages et de prêts ne changera quoi que ce soit au fait qu’ils ne peuvent pas dévaluer leurs monnaies tant qu’ils sont prisonniers de la zone euro.

En plein dans le mille, camarade. Brian fait campagne pour un référendum pour ou contre rester dans l’UE, et je conjure tout le monde de le soutenir. Nul n’est besoin d’être marxiste pour voir que la critique marxiste de l’UE l'Europe (attention aux répétitions en français) - (typo : espace)à savoir que c’est intrinsèquement un système d’oppression, prenant au plus grand nombre pour donner à quelques uns (typo : espace) - est exacte. Tôt ou tard, la révolution viendra.

***

De mon cru :

Je viens de recevoir une giclée de gaz lacrymogène. Aux portes du Parlement Européen, se tenait une manif composée de jeunes gauchistes par centaines - il est impossible de les qualifier d'anarchistes, vue leur dépendance à l'Etat. Braillant comme des singes blessés, ils clamaient que la réponse de l'UE à la crise grecque est scandaleuse et que les travailleurs d'Europe sont sacrifiés pour rassurer les spéculateurs. Et vous savez quoi ? Ils ont raison.

Lorsque, en 2008, la crise du crédit a éclaté, les gouvernements du monde entier se sont adressés aux seuls groupes qui, par définition, ne pouvaient leur formuler d'opinion désintéressée : les banquiers. Sans surprise, ceux-ci ont affirmé avec aplomb aux ministre qu'ils avaient besoin de fonds pour éviter un effondrement total de l'économie. Je ne doute pas que si les dirigeants sollicitaient les boulangers sur la meilleure stratégie à suivre dans ce secteur, ils entendraient qu'il est vital de subventionner les boulangeries. Après tout, peut-être même que les boulangers s'en convaincraient. Néanmoins, ils auraient tort au même titre que les banquiers. On peut constater l'étendue de cette erreur en observant l'Islande : ne pouvant absorber les déficits bancaires, malgré la gravité de la crise, elle s'est finalement mieux relevée et désormais elle est plus stable que maints pays de la zone euro. Vous n'avez pas besoin de me croire sur parole : en effet, même Paul Krugman, gourou universel des étatistes et des keynésiens, l'a relevé.

L'allocation de fonds pour résorber la crise de 2008 était censée protéger de la récession ; l'échec de cette mesure fut spectaculaire. La Grande-Bretagne, les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux ont versé des sommes inouïes à leurs banques. Nous savons d'où venaient ces fonds ; trois ans après, nous ne savons guère ce qu'ils ce sont devenus ni qui les possède. Certains de nos dirigeants commencent à s'interroger sur la pertinence de cette décision prise sous l'effet de la panique. Et pourtant, si incroyable qu'il paraisse, ils proposent de récidiver.

Les sauvetages dans la zone euro se constituent, par essence, d'un transfert supplémentaire de richesse depuis les pauvres vers les riches. Comme ce blog ne manque jamais de le souligner, les fonds pour corriger la crise ne s'acheminent pas vers les foyers grecs, irlandais ni portugais ; cet argent finit dans les coffres des banquiers et des détenteurs d'obligations ayant choisi des investissements douteux. Néanmoins, ce sont les individus de ces pays en détresse qui devront rembourser. Il n'y a donc rien d'étonnant à voir défiler ces malheureux dans les rues.

Les gauchistes se trompent sur maintes questions. Ils deviennent presque héroïques dans leur refus opiniâtre d'attribuer la crise aux excès de dépenses et d'emprunts et d'admettre que la solution ne réside pas dans cette méthode. Ils n'en demeurent pas moins sensés sur un point : les stratégies des dirigeants européens correspondent bel et bien à une forme de guerre des classes contre les travailleurs - si ce n'est dans les intentions, les conséquences y mènent. Comme l'indique Brian Denny au journal britannique marxiste The Morning Star :

L'UE entraîne les pays en difficulté, comme la Grèce, l'Irlande et le Portugal, vers des crises plus graves encore. Aucune subvention ni aucun emprunt ne pourra enrayer ce processus ; en effet, ils sont piégés dans la zone Euro et ne peuvent donc dévaluer leur monnaie.

En plein dans le mille, camarade. Brian mène une campagne en faveur d'un référendum sur l'intégration ou la sortie de notre pays dans l'UE et je ne saurais trop inviter chacun à lui apporter son appui. Il n'est pas besoin d'être marxiste pour constater à quel point sont fondées leurs critiques envers l'Europe - système oppressif par nature, spoliant la majorité au profit d'une minorité. Tôt ou tard, viendra la révolution.

***

Sur ce, Oblivion m'attend. :wub:

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