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Circulaire Guéant et réduction de l'immigration professionnelle


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Je viens d'en découvrir une bonne via un ami concerné:

Une discrète circulaire ne cesse de provoquer des remous. Ce mardi, la région Ile-de-France, dirigée par la gauche, a réclamé dans un communiqué le retrait de la circulaire Guéant qui, en empêchant des étudiants étrangers diplômés de rester travailler en France, les menace d'expulsion.

Lundi, des étudiants étrangers récemment diplômés de grandes écoles (HEC, Polytechnique, Sciences Po), réunis dans le «collectif 31 mai», en avaient déjà réclamé le «retrait».

Une circulaire visant à réduire l'immigration professionnelle

La région demande le retrait de la circulaire Guéant-Bertrand, écrivent Isabelle This Saint-Jean et Abdelhak Kachouri, vice-présidents de la région, chargés respectivement de l'Enseignement supérieur et de la Citoyenneté. La région «apporte son soutien aux étudiants, aux enseignants et aux présidents d'université qui ont mis en garde contre les conséquences graves de cette circulaire», car «la politique du chiffre et des arrière-pensées électoralistes ne justifient pas de détourner de nos universités des étudiants qui contribuent au rayonnement culturel et scientifique de notre pays», ont-ils détaillé.

En raison de cette circulaire des ministres de l'Intérieur, Claude Guéant, et du Travail, Xavier Bertrand, visant à réduire l'immigration professionnelle, de nombreux diplômés étrangers de niveau master ayant eu des propositions d'embauche se sont vu refuser depuis cet été l'autorisation de travailler.

[…]

http://www.leparisien.fr/societe/video-etudiants-etrangers-polemique-autour-de-la-circulaire-gueant-04-10-2011-1639177.php

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Je viens d'en découvrir une bonne via un ami concerné:

http://www.leparisie…011-1639177.php

Je suis assez d'accord avec cette demande de retrait de circulaire.

Ce gouvernement est vraiment un gouvernement d'analphabètes, pensant lutter pour l'emploi des fraônçais il va décourager la création de richesses dans le futur que pourraient générer nos entreprises grace à cette immigration professionnelle qualifiée.

L'arrivée de cerveaux ferait un bien fou à notre économie et permettrait de compenser seulement en partie la fuite de nos cerveaux, mais Claude Guéant préfère encourager l'arrivée de parasites sociaux censés occuper les emplois peu qualifiés que les français délaissent, et qui vont nous coûter encore un bras vivant aux crochets de nos systèmes sociaux.

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C'est pas pour dire mais si on forme des étudiants étrangers (et notamment africain), c'est à la base pour qu'ils retournent dans leur pays d'origine pour aider à son développement.

Si ils veulent rester en France ils n'on qu'à se marier.

Aux USA c'est pareil, si vous n'avez pas de travail donc un visa accordé par l'administration pour occuper le poste pour lequel on veut vous recruter à la sortie de votre formation ou le statut de résident vous avez 10 jours pour partir.

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C'est pas pour dire mais si on forme des étudiants étrangers (et notamment africain), c'est à la base pour qu'ils retournent dans leur pays d'origine pour aider à son développement.

Si ils veulent rester en France ils n'on qu'à se marier.

Aux USA c'est pareil, si vous n'avez pas de travail à la sortie de votre formation ou le statut de résident vous avez 10 jours pour partir.

Il manque un smiley dry.gif

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si vous n'avez pas de travail donc un visa à la sortie de votre formation ou le statut de résident vous avez 10 jours pour partir.

Ici, on parle de diplômés de très grandes écoles, qui trouvent un stage ou un emploi en claquant des doigts, et qui n'ont globalement comme problème que de choisir la boîte où ils veulent bosser. Typiquement, les boites de conseils viennent faire des numéros de claquettes dans toutes les écoles de ce type, en offrant stages et emplois.

Et même sans parler de ces chanceux : dans ta ville, il y a certainement une zone industrielle où sont concentrés des entreprises du type La Plateforme du Bâtiment et compagnie, fournisseurs de matériel pour artisans du BTP. Va jeter un oeil n'importe quand, avant l'ouverture, vers 6h00 du matin. Tu trouveras sur le parking des gens qui attendent, pour voir si un artisan ne peut pas leur refiler une ou deux journées de travail, probablement au black. Tu n'y verras pratiquement que des étrangers, beaucoup de ressortissants de pays de l'est.

En France, on marche sur la tête. Tous ces types dont je parle, on cherche à les expulser.

Enfin, sur ton argument "il faut développer les pays pauvres", je te propose d'éviter de dire que le problème vient de ceux qui cherchent une vie meilleure, mais plutôt de réfléchir à pourquoi ces gens cherchent à se barrer. Deux diplômés de mon école vers 2000, tunisiens de nationalité, cherchaient à monter une boîte dans ce pays, dans le domaine de l'énergie. Confrontés à la kleptocratie de Ben Ali, ils ont fini par se résoudre à envisager de monter l'entreprise non pas en Tunisie, mais en Libye, car la sécurité juridique y était supérieure pour les entreprises privées. Tu as bien lu, en Libye. Ils ont bien entendu fini par abandonner, et sont devenus salariés en France. Eux ont envisagé de monter une boîte pour développer leur pays comme tu dis, mais ont fini par abandonner.

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Il manque un smiley dry.gif

Non, il y a des étudiants qui viennent étudier en France en fonction d'accords bilatéraux entre le France et le pays d'origine de l'étudiant, pays qui espèrent le retour de l'étudiant à la fin de la formation.

C'est un programme signé entre deux états notamment pour le financement des études et donc en rentrant dans ce genre de programme l'étudiant doit savoir qu'il n'y a aucune raison pour qu'à la fin de sa formation on lui accorde un visa de travail dans le pays ou il a suivi sa formation.

Dans un monde idéal étatique les universités françaises et les grandes écoles recruteraient les étudiants sur des critères "scolaires" et l'administration accorderait un visa de travail aux non résidents dès lors qu'ils ont une offre d'emploi

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Virer les mecs qui sont là pour bosser et laisser entrer ceux qui sont trop vieux pour ce faire ou ceux qui viennent palper la monnaie des allocs (ne me dites pas que ça n'existe pas, c'est légion), c'est à se taper la tête contre les murs…

Posté

Non, il y a des étudiants qui viennent étudier en France en fonction d'accords bilatéraux entre le France et le pays d'origine de l'étudiant, pays qui espèrent le retour de l'étudiant à la fin de la formation.

C'est le choix des individus qui m'importe, pas celui des pays.

Vous virez étatiste?

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Vous virez étatiste?

Non, mais ce n'est pas une raison pour se voiler la face sur le fonctionnement du monde actuel.

Ces étudiants ne viennent en France que parce qu'il y a accord entre les états.

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:online2long: La logique de raisonnement m'échappe. C'est probablement faux.

Sinon pourquoi viennent-ils en France plutôt que d'aller aux USA dans des universités bien mieux cotées et avec perspective de rester aux USA.

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Sinon pourquoi viennent-ils en France plutôt que d'aller aux USA dans des universités bien mieux cotées et avec perspective de rester aux USA.

Parce que, pour parler des nord-africains, ils parlent couramment le français depuis des années, que c'est moins loin (deux heures d'avion), qu'il y a une proximité culturelle, et parce que, tout de même, les écoles françaises sont très bien cotées, ne te fie pas au classement de Shangaï, purement quatitatif, qui favorise les universités qui ont 20 000 élèves plutôt que l'Ecole Polytechnique qui en a environ 2000. Les prochains regroupements d'écoles d'ingénieurs françaises vont mécaniquement les faire remonter au classement.

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Attention, parce que certaines grandes écoles publiques (je pense à l'INRA/IRC Institut des Régions Chaudes - par ex. puisque c'est un fait avéré - dépend du Ministère de l'Agriculture) donnent des bourses d'études à de étudiants venant des pays chauds..

De fait, c'est bien l'état qui rémunère des étudiants étrangers pour suivre un cursus.. Je suppose qu'il doit bien exister des accords avec les gouvernements d'origine (ou des mallettes qui circulent).

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Attention, parce que certaines grandes écoles publiques (je pense à l'INRA/IRC Institut des Régions Chaudes - par ex. puisque c'est un fait avéré - dépend du Ministère de l'Agriculture) donnent des bourses d'études à de étudiants venant des pays chauds..

De fait, c'est bien l'état qui rémunère des étudiants étrangers pour suivre un cursus.. Je suppose qu'il doit bien exister des accords avec les gouvernements d'origine (ou des mallettes qui circulent).

Oui, c'est le cas pour l'ENA, de St Cyr également je crois, des accords pour former les élites étrangères existent. Mais globalement, de ce que je sais des écoles d'ingénieur, les élèves passent un concours et sont acceptés ou non, l'Etat étranger verse parfois des bourses à ses ressortissants étudiants, mais son implication s'arrête là.

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Ce que dit John Ross est juste : ces gens sont entrés en France pour étudier, pas pour immigrer. En faisant de ces études un mode informel d'immigration, on corrompt le système : on pousse ces filières à subir des inscriptions opportunistes, on va dès lors en fermer l'accès, sans même parler des effets pervers qu'il y a à absorber les jeunes cerveaux étrangers sur les économies et sociétés d'origine. On peut raisonnablement penser que l'émigration est une soupape de sécurité des régimes maghrébins autoritaires, qui leur a longtemps permis de ne pas se moderniser en expulsant les éléments perturbateurs.

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Sinon pourquoi viennent-ils en France plutôt que d'aller aux USA dans des universités bien mieux cotées et avec perspective de rester aux USA.

Pourquoi des étudiants Français vont en échange en Allemagne, en Angleterre, au Japon etc. plutôt qu’aux USA ?

Posté

Ce que dit John Ross est juste : ces gens sont entrés en France pour étudier, pas pour immigrer. En faisant de ces études un mode informel d'immigration, on corrompt le système : on pousse ces filières à subir des inscriptions opportunistes

Ce que tu dis est intéressant, mais ne s'applique pas du tout au cas qui nous occupe. J'imagine que tu sais qu'entrer à l'X, à HEC, c'est pas comme s'inscrire en Fac de sciences de l'éducation.

On peut raisonnablement penser que l'émigration est une soupape de sécurité des régimes maghrébins autoritaires, qui leur a longtemps permis de ne pas se moderniser en expulsant les éléments perturbateurs.

Au contraire, c'est le régime benaliste qui est à l'origine des consignes données aux préfectures de ne pas délivrer de titre de séjour aux tunisiens diplômés en France.

Posté

Je crois que le cas du polytechnicien, de l'étudiant d'HEC n'est pas visé par cette circulaire

A l'exception de certaines catégories d'étrangers (jeunes professionnels, stagiaires, titulaires du visa

vacances-travail) rien n'interdit à un étranger présent régulièrement sur le territoire, de demander un

changement de statut, qui lui est accordé dès lors qu'il en remplit les conditions de droit.

De fait, une grande part du flux migratoire à caractère professionnel provient de changements de

statut demandés par les étudiants.

Il convient toutefois de rappeler que les étudiants étrangers ont prioritairement vocation, à l'issue de

leur séjour d'études en France, à regagner leur pays pour y mettre en œuvre les connaissances

acquises.

Vous veillerez à examiner avec une particulière attention l'adéquation du diplôme avec

l'emploi proposé. Vous éviterez de donner une suite favorable au maintien dans un emploi occupé

lors des années d'études en tant qu'étudiant, dès lors que cet emploi n'exige aucune qualification

particulière et peut être pourvu soit par un demandeur d'emploi français ou étranger résidant

régulièrement en France, soit par un autre étudiant.

Posté

Je crois que le cas du polytechnicien, de l'étudiant d'HEC n'est pas visé par cette circulaire

:online2long: Bien sûr que si! Pourquoi s'est créé le collectif du 31 mai alors?

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Posté

:online2long: Bien sûr que si! Pourquoi s'est créé le collectif du 31 mai alors?

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Je dois être complétement idiot car j'ai lu la circulaire en entier et je n'y vois aucun motif d'inquiétude pour les étudiants GE, sauf peut-être la réduction du délai de recherche de 1an à 6 mois .

Posté

Ce que dit John Ross est juste : ces gens sont entrés en France pour étudier, pas pour immigrer.

C'est totalement faux ce que tu dis, puisque l'article montre bien que beaucoup de ces étudiants avaient commencé les démarches pour intégrer une entreprise au sortir de leurs études et avaient même déjà des accords, cette circulaire leur coupe juste l'herbe sous les pieds et les entreprises concernées vont devoir revoir tout leur processus de recrutement, leur faisant perdre du temps et de l'argent, merci l'Etat.

Je ne comprends pas qu'on puisse sortir l'argument selon lequel les cerveaux migrant ici sont une catastrophe pour les économies de leur pays d'origine, d'abord le patriotisme étudiant ça n'existe pas, chaque individu va là où il trouve des opportunités (de travail, d'étude etc…). Mais surtout, mettre une telle circulaire ne va pas empêcher ce phénomène, au lieu de travailler en France ils iront en Grande-Bretagne, en Espagne (plus près) ou aux Etats-Unis, du coup c'est génial on a laissé filer ces cerveaux à la concurrence, fantastique comme idée! Merci l'Etat.

Quant à l'argument selon lequel ils ont été attirés par l'Etat pour venir étudier, on peut toujours regretter le tripatouillage de l'Etat dans l'Education, mais enfin quelque part nous avons tous (ou presque) été subventionnés dans notre cursus par l'Etat puisque nous sortons tous de l'Ednat, ce n'est donc pas un argument décisif.

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Ce que dit la loi :

Article L311-11

Une autorisation provisoire de séjour d'une durée de validité de six mois non renouvelable est délivrée à l'étranger qui, ayant achevé avec succès, dans un établissement d'enseignement supérieur habilité au plan national, un cycle de formation conduisant à un diplôme au moins équivalent au master, souhaite, dans la perspective de son retour dans son pays d'origine, compléter sa formation par une première expérience professionnelle participant directement ou indirectement au développement économique de la France et du pays dont il a la nationalité. Pendant la durée de cette autorisation, son titulaire est autorisé à chercher et, le cas échéant, à exercer un emploi en relation avec sa formation et assorti d'une rémunération supérieure à un seuil déterminé par décret. A l'issue de cette période de six mois, l'intéressé pourvu d'un emploi ou titulaire d'une promesse d'embauche, satisfaisant aux conditions énoncées ci-dessus, est autorisé à séjourner en France pour l'exercice de l'activité professionnelle correspondant à l'emploi considéré au titre des dispositions du 1° de l'article L. 313-10 du présent code, sans que lui soit opposable la situation de l'emploi sur le fondement de l'article L. 341-2 du code du travail.

Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article.

Le seuil est fixé à 1,5 fois le SMIC.

Posté

Ce que tu dis est intéressant, mais ne s'applique pas du tout au cas qui nous occupe. J'imagine que tu sais qu'entrer à l'X, à HEC, c'est pas comme s'inscrire en Fac de sciences de l'éducation.

Le cas qui nous occupe c'est la circulaire de Guéant et non le collectif du 31 mai. Le cas des élèves des grandes écoles est donc un cas à la marge.

Au contraire, c'est le régime benaliste qui est à l'origine des consignes données aux préfectures de ne pas délivrer de titre de séjour aux tunisiens diplômés en France.

Et c'est le premier à avoir sauté cqfd.

C'est totalement faux ce que tu dis, puisque l'article montre bien que beaucoup de ces étudiants avaient commencé les démarches pour intégrer une entreprise au sortir de leurs études et avaient même déjà des accords, cette circulaire leur coupe juste l'herbe sous les pieds et les entreprises concernées vont devoir revoir tout leur processus de recrutement, leur faisant perdre du temps et de l'argent, merci l'Etat.

Je ne comprends pas qu'on puisse sortir l'argument selon lequel les cerveaux migrant ici sont une catastrophe pour les économies de leur pays d'origine, d'abord le patriotisme étudiant ça n'existe pas, chaque individu va là où il trouve des opportunités (de travail, d'étude etc…). Mais surtout, mettre une telle circulaire ne va pas empêcher ce phénomène, au lieu de travailler en France ils iront en Grande-Bretagne, en Espagne (plus près) ou aux Etats-Unis, du coup c'est génial on a laissé filer ces cerveaux à la concurrence, fantastique comme idée! Merci l'Etat.

Quant à l'argument selon lequel ils ont été attirés par l'Etat pour venir étudier, on peut toujours regretter le tripatouillage de l'Etat dans l'Education, mais enfin quelque part nous avons tous (ou presque) été subventionnés dans notre cursus par l'Etat puisque nous sortons tous de l'Ednat, ce n'est donc pas un argument décisif.

Il ne faut pas dire que quelque chose est faux si on ne peut pas à le montrer. Montres-tu qu'il est faux que ces étrangers aient été accueillis en France dans la seule perspective d'obtenir une formation ? Non.

Posté

Le cas qui nous occupe c'est la circulaire de Guéant et non le collectif du 31 mai. Le cas des élèves des grandes écoles est donc un cas à la marge.

[..]

Et c'est le premier à avoir sauté cqfd.

Dire deux choses à Apollon, c'est lui donner deux occasions au moins d'être de mauvaise foi. :lol:

Posté

Il ne faut pas dire que quelque chose est faux si on ne peut pas à le montrer. Montres-tu qu'il est faux que ces étrangers aient été accueillis en France dans la seule perspective d'obtenir une formation ? Non.

En raison de cette circulaire des ministres de l'Intérieur, Claude Guéant, et du Travail, Xavier Bertrand, visant à réduire l'immigration professionnelle, de nombreux diplômés étrangers de niveau master ayant eu des propositions d'embauche se sont vu refuser depuis cet été l'autorisation de travailler.

http://www.leparisie…011-1639177.php

Et avant toute chose, il faut lire l'article.

Posté

Ici, on parle de diplômés de très grandes écoles, qui trouvent un stage ou un emploi en claquant des doigts, et qui n'ont globalement comme problème que de choisir la boîte où ils veulent bosser. Typiquement, les boites de conseils viennent faire des numéros de claquettes dans toutes les écoles de ce type, en offrant stages et emplois.

:icon_boire2:

Sinon +1 sur le reste du message

Posté
de nombreux diplômés étrangers de niveau master ayant eu des propositions d'embauche se sont vu refuser depuis cet été l'autorisation de travailler.

Pour que ce refus soit légal, il faut que la rémunération soit inférieure à 1,5 fois le smic , ou que l'emploi proposé soit sans rapport avec le diplôme, sinon ce serait en contradiction avec la loi, et une circulaire ne peut contredire la loi, si un ministre était tenté de le faire le conseil d'état annulerai tout pour vice d'incompétence. Donc soit le ministre fait des choses illégales, soit les articles ne nous disent pas tout.

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