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Présidentielle 2012, round 2


Messages recommandés

Posté

Et Johny ? Qu'est ce que vous faites de Johny ?

Il a un redressement fiscal aux fesses il est mal.

Posté

Il a mal aux fesses

On parle d'un redressement de 9 millions d'euros.

J'espère qu'il lui restera assez d'argent pour pouvoir se payer un bon proctologue car il en aura besoin. :icon_biggrin:

Posté
Une amie ayant voté Hollande au premier tour envisage de voter Sarkoko au second.

Intéressant. Elle invoque quels prétextes ?

Posté

Intéressant. Elle invoque quels prétextes ?

Apparement c'est une femme, le voilà le prétexte.

Posté

Apparement c'est une femme, le voilà le prétexte.

:lol:

Posté

On a été indirectement écouté (appel massif d'économistes pour faire barrage aux plaidoyers d'économistes pro-Mélanchon/pro-Hollande)

ça fait du bien d'entendre un autre son cloche, a fortiori dans Le monde. Et pas d'un ""illustre inconnu" qui fait sa tirade économique anti-socialiste dans son coin, mais de gens "connus" qui se mettent ensemble pour faire un article qui a plus de chances d'avoir du poids.

Après ils s'assument peut être pas assez " sans parti pris idéologique " c'est assez hypocrite quand tu dénonces à juste titre le keynésianisme fourvoyé de ces dernières années.

Le lien pour les non abonnés : http://www.lemonde.f…94172_3232.html

Posté

Je connais le dessinateur (et même un petit peu le programmeur) qui font ça.

Le programmeur (Kek) : http://blog.zanorg.com/

Le dessinateur (Loïc Sécheresse) : http://www.loicsecheresse.com (+ son blog perso) Il fait ça aussi : http://gauchiste.blogs.liberation.fr/ (C'est de l'anti-UMP assez basique par contre. Voir primaire. Pas ce qu'il a fait de mieux.)

Posté

Je pense pas non.

EDIT : Si en fait apparemment il travaille aussi avec les gens qui font "Humour de droite". Je l'ignorais.

Posté

Tu es bien exigeant. Déjà petit, quand je la voyais dans "Combien ca coûte", je la trouvais vraiment mignonne et pleine de potentiel.

Pujadas a bien une tête d'abruti, face, profil ou même de dos j'en suis sur.

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Tu es bien exigeant. Déjà petit, quand je la voyais dans "Combien ca coûte", je la trouvais vraiment mignonne et pleine de potentiel.

Pujadas a bien une tête d'abruti, face, profil ou même de dos j'en suis sur.

Pujadas sourit tout le temps, c'est étrange.

Quant à Ferrari, elle est franchement mignonne, mais avec le temps on sent qu'elle a besoin de plus de couches de maquillage quand même.

Posté

Laurence Ferrari est franchement commune, voire moche (elle ressemble à une hôtesse d'accueil d'un magasin de téléphonie mobile), et le type à côté d'elle ressemble à un paysan bas-breton endimanché. Ça doit être la coupe qui fait Ça.

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Quant à Ferrari, elle est franchement mignonne, mais avec le temps on sent qu'elle a besoin de plus de couches de maquillage quand même.

Elle a quand même un beau châssis….

Je sors.

Posté

Laurence Ferrari est franchement commune, voire moche (elle ressemble à une hôtesse d'accueil d'un magasin de téléphonie mobile), et le type à côté d'elle ressemble à un paysan bas-breton endimanché. Ça doit être la coupe qui fait Ça.

+1

Dommage qu'Anne-Sophie Lapix ait quitté TF1.

Posté

Il y aurait encore des libéraux à l'UMP :

Le blues des libéraux de l'UMP

DROITE - En mettant la «frontière» au coeur de sa campagne, Nicolas Sarkozy s'est détourné d'eux…

Depuis plus d’une semaine, bon nombre de responsables UMP expriment des réserves sur la stratégie droitière de Nicolas Sarkozy. Mais un autre malaise est moins médiatisé. Celui des libéraux. A l’heure où Nicolas Sarkozy remet «la frontière» au cœur de son programme, les tenants du libre échange se sentent orphelins. En juin 2011, le président de la République disait encore que «refuser la mondialisation n'a pas de sens, on resterait seul dans notre coin, à bouder. Mais qui le paierait? Les Français, qui perdraient des emplois».

Moins d’un an et un premier tour marqué par la progression du FN plus tard, le ton a bien changé : «je ne veux pas laisser la France se diluer dans la mondialisation».

«En pleine démagogie»

«C’est évident qu’il est en pleine démagogie», raille un député UMP de la famille libérale. Mais comme d’autres, il temporise: «la bataille est perdue et comme vous le savez, il y aura une recomposition de la droite». Les règlements de compte interviendront donc après le 6 mai. En attendant, la solidarité de camp prévaut. «Est-ce que j’aurais préféré que Nicolas Sarkozy porte d’autres options dans la campagne? Oui. Mais il est le candidat de l’ensemble de la droite, je le soutiens», confirme un autre député, poids lourd de la majorité. Pour lui, la proposition d’un buy european act, qui consiste à préserver l’accès des marchés publics aux entreprises qui produisent en Europe, «c’est du pipeau». «Ce n’est pas d’un caractère opérationnel évident.» Mais si Nicolas Sarkozy l’a mis au cœur de son programme, c’est à cause «de l’influence des idées anti-européennes dans la campagne». «Il y a une volonté illusoire de concilier la France du oui et du non.»

Le député Hervé Mariton, lui, veut croire qu’on «peut être à la fois favorable à la liberté des échanges et patriote du point de vue économique». Car on peut être «libéral sans être naïf pour autant». Comprendre ne pas se laisser voler de parts de marchés sans en prendre chez les autres. Pourtant Nicolas Sarkozy lui-même a reconnu dimanche à Toulouse que «pendant 30 ans, nous avons trop cédé. L’Europe a trop cédé à la religion du libre-échange et de la dérèglementation». Y aurait-il donc une prise en compte tardive à droite des risques liés à la mondialisation ? «Ce n’était pas assez exprimé», concède Hervé Mariton, «la réciprocité a du bon sens».

La crise justifie plus de régulation

Concrètement, quant on en vient aux propositions du candidat UMP, l’élu de la Drôme se montre pourtant plus réservé. Est-il favorable au buy european act ? «Sous réserve de précision, l’idée ne me choque pas.» Quid d’un small business act qui accorde une part des commandes publiques aux seules PME européennes? «Je ne récuse pas le thème mais le réglage est compliqué.» D’une façon générale, Hervé Mariton estime qu’il n’est «pas absurde qu’il y ait plus de règles dans une période de tension». Oui donc à ces mesures de protection si «elles sont transitoires et tendent vers plus de réciprocité et de transparence». «Nous sommes dans une phase de conclusion de période électorale. Tout cela demande à être précisé, amendé.» Pour l’enthousiasme, on repassera.

«Sarkozy n’a jamais été un vrai libéral, je comprends ses positions, assure pour sa part le député des Yvelines Jean-Michel Fourgous. Il faut des mesures adaptées à la crise. Si vous me demandez ce que j’en pense une fois la crise terminée, ma réponse sera différente.» Bref, chez les libéraux, la crise semble justifier les moyens. Mais aussi l’urgence électorale. «Nous n’avons pas réussi à nous imposer dans la campagne, constate, amer, le député Elie Aboud, fondateur du club «Génération libérale». Notre combat pour distinguer libéralisme financier et esprit d’entreprise va être encore plus compliqué aujourd’hui. Ca me chagrine. Mais je peux tout excuser à Nicolas Sarkozy. Parce qu’il y a urgence à ne pas laisser la clé de la voiture France à François Hollande qui nous conduira dans le mur.»

http://www.20minutes…es-liberaux-ump

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