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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Posté

Oui La Belle Verte je connais ce documentaire. De même j'ai vu l'autre jour un film absolument invraisemblable : l'auteur essaie de nous faire croire qu'il existe un Ordre des Jedis. Franchement, ces histoires de pouvoirs et de sabres laser, j'ai du mal à y croire. Pourquoi cette propagande? Encore un coup des socialistes je pense.

 

EDIT : pour être plus clair, ceux qui dénoncent le message du film de Coline Serreau sont probablement encore plus fanatiques que ceux qui l'ont écrit. C'est juste un film, que d'ailleurs tout le monde a probabement oublié.

 

 

Si tu dis ça c'est que tu n'as pas vu comment elle le présente. 

Posté

 

Ah oui donc ta conversion est très récente.

Je doute "encore" de ton libéralisme. 

 

 

Je m'en tape. 

Et je précise que j'étais déjà très sceptique depuis longtemps. C'est simplement la goutte d'eau, quoi. 

 

Posté

Que les pro-palestiniens et pro-israeliens ne sont pas très nombreux en France au regard de la population française totale et que donc  leurs jugements ne valent pas grand chose, ils pensent ce qu'ils veulent mais ça vaut pas grand chose. Ce serait plus intéressant d'avoir l'opinion globale de tous les français sur la question pour dégager une tendance.

Par contre des français qui vont voir des films français il y en a bien plus, et s'ils disent qu'il y a souvent un biais gauchiste, je me porte à les croire un peu plus.

Voila tout :)

 

Sur tout sujet, prendre l'avis de la foule est bien pire que de ne pas savoir.

Posté

Je ne crois pas qu'il soit affirmé dans le film que tout soit la faute du capitalisme ou du libéralisme. Voici un exemple : 

 

Je suis d'accord avec tout ce qui est écrit là. Et tout cela c'est la faute de l'Etat : les routes sont construites par l'Etat, les trottoirs sont (mal) gérés par l'Etat, etc.

 

Mais non voyons tu sais bien que tout ça est de la faute au capitalisme néo-libéral de nos sociétés post-modernes !

Posté

Je m'en tape. 

 

Je taquinais.

 

Sur tout sujet, prendre l'avis de la foule est bien pire que de ne pas savoir.

 

Certe, la foule n'a pas toujours raison, mais je me limitais justement à décrire la perception du public.

Posté

Je ne crois pas qu'il soit affirmé dans le film que tout soit la faute du capitalisme ou du libéralisme.

 

Mouais :

Mesaje et Mesaul décrivent le mode de vie quotidien de leur planète. Plus assidus au cours d’archéologie que leur mère, ils racontent également comment, à une époque lointaine, leur ère industrielle a débouché sur de grands procès, où « tous les gens qui fabriquaient des produits nocifs pour la santé des humains, des animaux et des plantes ont été jugés coupables de génocide et de crime contre la planète » : l’industrie agro-alimentaire et chimique, les fabricants d’armes, de tabac et d’alcool, les industries pharmaceutiques et nucléaires, les constructeurs d’automobiles, etc. Et peu après, un boycott généralisé de la population contre « tout ce qui était mauvais pour la vie » a entraîné la fin de la société de consommation.
Posté

 

Lorem Salu bissame ! Wie geht's les samis ? Hans apporte moi une Wurschtsalad avec un picon bitte, s'il te plaît. Voss ? Une Carola et du Melfor ? Yo dû, espèce de Knäckes, ch'ai dit un picon !

Hopla vous savez que la mamsell Huguette, la miss Miss Dahlias du messti de Bischheim était au Christkindelsmärik en compagnie de Richard Schirmeck (celui qui a un blottkopf), le mari de Chulia Roberstau, qui lui trempait sa Nüdle dans sa Schneck ! Yo dû, Pfourtz ! Ch'espère qu'ils avaient du Kabinetpapier, Gal !

Yoo ch'ai lu dans les DNA que le Racing a encore perdu contre Oberschaeffolsheim. Verdammi et moi ch'avais donc parié deux knacks et une flammekueche. Ah so ? T'inquiète, ch'ai ramené du schpeck, du chambon, un kuglopf et du schnaps dans mon rucksack. Allez, s'guelt ! Wotch a kofee avec ton bibalaekaess et ta wurscht ? Yeuh non che suis au réchime, je ne mange plus que des Grumbeere light et che fais de la chym avec Chulien. Tiens, un rottznoz sur le comptoir.

Tu restes pour le lotto-owe ce soir, y'a baeckeoffe ? Yeuh non, merci vielmols mais che dois partir à la Coopé de Truchtersheim acheter des mänele et des rossbolla pour les gamins. Hopla tchao bissame ! Consectetur adipiscing elit

 

 

Ha là on ne va pas être nombreux à tout comprendre

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Mouais :

Moi je lis une critique du crony capitalism. Le scandale du Mediator il est dû à une entreprise publique? Les histoires de viande de cheval? Les pollutions de plages par l'industrie pétrolière (pollution uniquement due au laxisme des gouvernements)? Etc.

Posté

Moi je lis une critique du crony capitalism. Le scandale du Mediator il est dû à une entreprise publique? Les histoires de viande de cheval? Les pollutions de plages par l'industrie pétrolière (pollution uniquement due au laxisme des gouvernements)? Etc.

 

 

Tu ne fais que mettre le doigt sur la faille de raisonnement de beaucoup d'antilibéraux en France, à savoir la confusion entre crony capitalism et libéralisme.

il y a en effet énormément de points ou les  constats des libéraux et ceux des gauchos se rejoignent sur les symptômes, mais ils divergent sur les causes. Les uns accusent l'Etatisme (à raison), les autres accusent à tort le capitalisme. Rien de nouveau. 

 

A ce compte là les films de Michel Moore ou les articles du monde diplos sont aussi des critiques du crony capitalism, simplement ils enlève le "crony". C'est là le coeur de leur erreur. Si je te suis on devrait"pardonner"  le monde diplo car ils critiquent le capitalisme de connivence. C'est absurde

 

 

Regarde le et reviens me dire en face que ce n'est pas de la propagande anticapitaliste. 

 

Posté

Moi je lis une critique du crony capitalism. Le scandale du Mediator il est dû à une entreprise publique? Les histoires de viande de cheval? Les pollutions de plages par l'industrie pétrolière (pollution uniquement due au laxisme des gouvernements)? Etc.

Je lis un truc gentiment écolo-libertaro-décroissant tendance totalitaire. Mais il faut aussi comprendre que la dernière référence SF dans mon esprit c'est Stranger in a Strange Land de Heinlein qui est infiniment plus puissant à tous les niveaux que cette merde.
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Regarde le et reviens me dire en face que ce n'est pas de la propagande anticapitaliste. 

Je l'ai déjà vu et je te dis en face que ce n'est pas de la propagande anti-capitaliste, c'est un délire baba cool anti-consumériste et écolo, rien de plus.

Posté

Lorem Salu bissame ! Wie geht's les samis ? Hans apporte moi une Wurschtsalad avec un picon bitte, s'il te plaît. Voss ? Une Carola et du Melfor ? Yo dû, espèce de Knäckes, ch'ai dit un picon !

Hopla vous savez que la mamsell Huguette, la miss Miss Dahlias du messti de Bischheim était au Christkindelsmärik en compagnie de Richard Schirmeck (celui qui a un blottkopf), le mari de Chulia Roberstau, qui lui trempait sa Nüdle dans sa Schneck ! Yo dû, Pfourtz ! Ch'espère qu'ils avaient du Kabinetpapier, Gal !

Yoo ch'ai lu dans les DNA que le Racing a encore perdu contre Oberschaeffolsheim. Verdammi et moi ch'avais donc parié deux knacks et une flammekueche. Ah so ? T'inquiète, ch'ai ramené du schpeck, du chambon, un kuglopf et du schnaps dans mon rucksack. Allez, s'guelt ! Wotch a kofee avec ton bibalaekaess et ta wurscht ? Yeuh non che suis au réchime, je ne mange plus que des Grumbeere light et che fais de la chym avec Chulien. Tiens, un rottznoz sur le comptoir.

Tu restes pour le lotto-owe ce soir, y'a baeckeoffe ? Yeuh non, merci vielmols mais che dois partir à la Coopé de Truchtersheim acheter des mänele et des rossbolla pour les gamins. Hopla tchao bissame ! Consectetur adipiscing elit

Oyéé...

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Je l'ai déjà vu et je te dis en face que ce n'est pas de la propagande anti-capitaliste, c'est un délire baba cool anti-consumériste et écolo, rien de plus.

Tentative de sodomie de diptere détectée

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Eloge des chômeurs

 

 

En choisissant de diviser leur population autour de la question du chômage, les gouvernements des pays européens savent très bien ce qu’ils font : ils désignent ce qu’il est permis d’appeler des boucs émissaires.
social

Lorsque Paul Lafargue décida de prendre la plume pour rédiger "Le droit à la paresse", c’était comme une sorte de pastiche, une espèce de provocation - comme un geste de défi ironique à l’ordre de la production qu’il voyait lentement se consolider autour de lui. Pourtant, cent trente ans après la parution de la seconde édition de son libelle, le geste qu’il avait posé semble bénéficier d’une pertinence, d’une puissance et d’une urgence nouvelles, davantage même que celles qui avaient été les siennes au départ. Car tandis que l’Europe, à cause de l’incurie de gouvernants incapables de comprendre que l’idée même d’austérité est une insulte à l’intelligence (fût-elle celle des économistes l’ayant défendue avant de se raviser), s’enfonce toujours davantage dans la morosité, le droit défendu par Lafargue est devenu l’insulte suprême.

Il est vrai que la cible privilégiée de cette insulte, telle qu’on la retrouve formulée par les citoyens comme par les décideurs, par les éditorialistes comme par les intellectuels, n’a jamais disposé de considérables moyens de défense - puisqu’il ne s’agit de personne d’autre que du chômeur. Aux yeux de l’ethos contemporain de l’austérité, le chômeur est devenu l’incarnation d’une espèce d’obscénité : alors que le reste du monde essaie de se battre pour tenter d’assurer, avec sa survie, celle d’une économie chancelante, celui-ci ne fait rien d’autre que toucher, avec l’impeccable régularité qui est celle de toute administration, une indemnité dont la justification suscite chaque jour davantage de colère. Là où nous devrions unir nos forces et accepter de nous rendre à notre travail comme s’il s’agissait d’une tâche civique visant à la restauration d’on ne sait trop quel idéal économique vermoulu, le chômeur est celui dont les journées sont tout entières structurées autour de ce seul impératif : ne rien faire.

Si l’on peut comprendre que les comptables ayant remplacé nos gouvernants voient d’un mauvais œil l’hémorragie d’indemnités s’écoulant en direction d’une frange toujours plus importante de la société, il est triste de constater qu’il en va de même des travailleurs, à qui l’on fait croire que le sang ainsi versé est directement pompé dans leurs propres veines. Outre que cette explication est fausse, elle se caractérise par la plus hallucinante, la plus nauséabonde et la plus haïssable des mauvaises fois : celle de tous ceux prétendant, pour se dédouaner de leur propre incurie, introduire la division chez ceux qui pourraient s’en rendre compte.

Laisser se propager l’idée que les chômeurs sont des fainéants vivant aux crochets des derniers contributeurs maintenant notre société dans le droit chemin d’un capitalisme devenu synonyme de grand banditisme n’est en effet que cela : une énième variation sur le bon vieux principe voulant qu’il faut diviser pour régner - et qu’il n’y a pas de règne sans division.

Si l’on préfère, présenter les chômeurs comme autant d’occurrences de l’affolement d’une machine de sécurité sociale coûtant chaque jour davantage aux contribuables est une manière de laisser croire qu’il existe, dans la population d’une société, deux catégories différentes de citoyens : ceux qui paient, et ceux qui ne paient pas. Et ceux qui ne paient pas, parce qu’ils coûtent au lieu de rapporter à un moment où l’antienne de la diminution des coûts est devenue de l’ordre du credo, ne semblent plus être en mesure de faire valoir de raison à leur existence, face à l’héroïsme de ceux qui paient.

Ceux qui ne paient pas ne sont plus des véritables citoyens, ni même des véritables individus : ils sont des parasites, des indésirables, des surnuméraires. Ainsi, donc, des chômeurs : ils sont devenus la branche morte qu’il conviendrait de couper pour que ceux qui paient puissent enfin recevoir le fruit de leur travail - comme si un gouvernement avait jamais agi en ce sens.

En choisissant de diviser leur population autour de la question du chômage, les gouvernements des pays européens savent très bien ce qu’ils font : ils désignent, en recourant à un langage moral (paresse !), ce qu’il est permis d’appeler des boucs émissaires. C’est là, pour eux, une manière de se dédouaner de leur propre incapacité à susciter ce que, dans leurs discours, ils ne cessent pourtant d’appeler de leurs vœux - à savoir de quoi renflouer les caisses qu’ils ont vidées de manière consciencieuse au cours des dernières décennies. Mais, surtout, c’est une manière de réaffirmer leur pouvoir sur les vies de ceux dont ils ont la charge; et, surtout, de réaffirmer leur pouvoir sur les choix par lesquels il est laissé à un individu de conduire cette vie - c’est-à-dire de réaffirmer leur pouvoir contre la liberté des individus en question.

Travailler devrait, dans une société digne, être un choix laissé à tout un chacun, de même que devraient l’être les modalités dudit travail (ou bien de son absence), plutôt qu’être une épée posée sur le cou de tout un chacun, assortie de la menace latente d’être un jour traité en indésirable. Considérer les chômeurs comme des indésirables, cela revient en effet à considérer que la vie n’est pas une question de choix - ou que si elle est une question de choix, celui-ci ne peut s’opérer que parmi les items d’un catalogue mince comme une feuille de papier : celui définissant ce qu’est un bon contribuable.

Que nous disposions de richesses suffisantes pour assurer à tout le monde une véritable liberté de choix, plutôt que pourchasser ceux qui en sont le symbole, aurait dû depuis longtemps faire réfléchir les gouvernants, si la réalité du problème du chômage était bien une réalité financière. Mais l’on s’en rend compte à présent : il s’agissait plutôt d’une réalité de pouvoir - le pouvoir de décider de la vie de tout un chacun, sans que son propre point de vue ne mérite d’être pris en compte.

 

 

Laurent de Sutter

 

Professeur de théorie du droit (Vrije Universiteit Brussel), visiting honorary research fellow (Benjamin N. Cardozo School of Law, New-York), directeur de collection Presses Universitaires de France.

 

 

Posté

 

"Professeur de théorie du droit (Vrije Universiteit Brussel), visiting honorary research fellow (Benjamin N. Cardozo School of Law, New-York), directeur de collection Presses Universitaires de France."

 

J'ai lu "professeur de théorie du troll".

Posté

Je relis le texte et je me dis que, en fin de compte, je ne me sens absolument pas visé. Je n'ai rien contre les chomeurs, je ne leur rue jamais dans les brancards, je ne passe pas mon temps à les traiter de parasites, ...

De manière générale, ce n'est pas quelque chose qu'on lis ou qu'en entend souvent dans les milieux libéraux. C'est plutôt un truc de socialiste de droite. Et c'est tout à fait normal. Nous, on veut changer le système, on a rien contre les chômeurs, mais contre tout ce fatras de lois qui forment la Secu, et son principe. Au contraire, on pense même que la plupart de ces chômeurs sont victimes de toutes ses lois qui freinent l'économie et donc créent du chômage. Les socialistes de droite, par contre, y voient des parasites de leur système. C'est plus eux que ça emmerde que nous.

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Au contraire, on pense même que la plupart de ces chômeurs sont victimes de toutes ses lois qui freinent l'économie et donc créent du chômage. Les socialistes de droite, par contre, y voient des parasites de leur système. C'est plus eux que ça emmerde que nous.

 

Clairement.

Avec des taux de chômage supérieurs à 10% on est bien loin d'un chômage d'ordre structurel. Les chômeurs incarnent aujourd'hui l'échec de tout un système, de tout un écosystème, basé sur la régulation de l'économie par l’État.

 

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Clairement.

Avec des taux de chômage supérieurs à 10% 20% on est bien loin d'un chômage d'ordre structurel. Les chômeurs incarnent aujourd'hui l'échec de tout un système, de tout un écosystème, basé sur la régulation de l'économie par l’État.

 

Corrigé

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Un autre approche serait de s'adresser à ceux qui refusent les allocs (notamment le RSA qui n'est pas demandé par pas mal de bénéficiaires potentiels). 

JE connais pas mal de gens de tendance "goche un peu paumés" qui refusent le RSA par principe, car ils refusent d'être fliqués par l'administration et préfèrent se débrouiller seuls (autosuffisance alimentaire, boulots au black etc). 

Ces gens sont des libéraux qui s'ignorent. 

 

Posté

Les chômeurs sont des victimes et devraient être un des segments marketings des libéraux. Les gens ne sont pas au chômage parce qu'ils le veulent (bon, il y en a mais c'est surement une décision rationnelle) mais parce que les insiders font tout pour les conserver hors du marché du travail pour continuer à profiter de leur rente (CDI ultra-protégé et statut de la fonction publique). Tous les jeunes qui ne peuvent pas entrer sur le marché du travail, tout ces chômeurs qui ne peuvent pas concurrencer les actifs, c'est autant de salaire en plus pour les insiders. La grande majorité des chômeurs préféreraient avoir un job "mal payé" plutôt que de continuer de vivoter en ayant l'impression d'être des parasites et des incapables (bonjour le coup au moral quand tu passe ton temps à entendre qu'on ne veut pas de toi pour bosser).

Posté

Les chômeurs sont des victimes et devraient être un des segments marketings des libéraux. Les gens ne sont pas au chômage parce qu'ils le veulent (bon, il y en a mais c'est surement une décision rationnelle) mais parce que les insiders font tout pour les conserver hors du marché du travail pour continuer à profiter de leur rente (CDI ultra-protégé et statut de la fonction publique). Tous les jeunes qui ne peuvent pas entrer sur le marché du travail, tout ces chômeurs qui ne peuvent pas concurrencer les actifs, c'est autant de salaire en plus pour les insiders. La grande majorité des chômeurs préféreraient avoir un job "mal payé" plutôt que de continuer de vivoter en ayant l'impression d'être des parasites et des incapables (bonjour le coup au moral quand tu passe ton temps à entendre qu'on ne veut pas de toi pour bosser).

 

J'ai essayé de tenir ce discours ce midi justement à des collègues de gauche et ça semble avoir marché.

De manière générale je disais que les lois du travail protégeaient ceux qui avaient déjà un travail et excluaient les chômeurs, protégeait les plus âgés et excluait les jeunes.

On commentait aussi la fermeture d'une chaine publique régionale en Espagne (canal 9), qui s'était vue refuser le droit de licencier 10% de la masse salariale par un tribunal et qui donc avait dû fermer (le truc débile que même mes collègues admettaient que les syndicats avaient déconné). Bon certe, c'est une chaine publique on ne va pas pleurer, mais j'expliquais que cela arrivait en permanence à des entreprises privées aussi.

 

Je suis persuadé que c'est par ce genre de discours que l'on peut arriver à séduire certains "de gauche".

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Je pense que les chômeurs sont notre armée de réserve et que si la droite n'était pas bête comme ses pieds à les traiter de parasites et d'assistés, ils ne se jetteraient pas dans les bras des gauchistes. Il faut montrer aux chômeurs que les socialistes sont leurs ennemis, qu'ils ne leur promettent que la misère et les vexations (dans les entretiens d'embauche et dans les administrations).

Posté

J'ai essayé de tenir ce discours ce midi justement à des collègues de gauche et ça semble avoir marché.

De manière générale je disais que les lois du travail protégeaient ceux qui avaient déjà un travail et excluaient les chômeurs, protégeait les plus âgés et excluait les jeunes.

On commentait aussi la fermeture d'une chaine publique régionale en Espagne (canal 9), qui s'était vue refuser le droit de licencier 10% de la masse salariale par un tribunal et qui donc avait dû fermer (le truc débile que même mes collègues admettaient que les syndicats avaient déconné). Bon certe, c'est une chaine publique on ne va pas pleurer, mais j'expliquais que cela arrivait en permanence à des entreprises privées aussi.

 

Je suis persuadé que c'est par ce genre de discours que l'on peut arriver à séduire certains "de gauche".

Il y a plus de salariés que de chomeurs, à eux tu dis quoi? Que si ils étaient employés de canal 9 ils auraient pu perdre leur boulot avec en plus ta bénédiction et tes applaudissements? Mais tu es un monstre!

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