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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

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La balise Amazon ? Elle marche chez moi... Le bouquin c'est The Big book of concepts de Murphy que je ne recommande pas vraiment parce que ceux qui s'intéressent à la question le connaissent déjà et les autres le trouveront franchement aride voire soporifique.

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Je veux bien opposer cet argument aux genristes, mais alors ils vont aussitôt me répondre : "si c'est si évident, alors vas-y, définis-le", et c'est pas une réponse à la Lucilio qui risque de les convaincre, on est reparti pour trois ans de débat.

 

 

homme, nom masculin   Sens 1 Être humain. Synonyme hominien Anglais human Sens 2 Individu de sexe masculinContraire : femme. Synonyme gars Anglais man Sens 3 Individu adulte de sexe masculinContraire : enfant. Synonyme adulte Anglais man

 

 

 

 

femme, nom féminin   Sens 1 Être humain adulte du sexe féminin. Anglais woman Sens 2 Épouse. Synonyme légitime Anglais wife

 

 

j'ai peut être raté beaucoup de débats la dessus, mais je ne vois pas très bien comment changer cela.

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Normes environnementales : des salariés 16 % plus productifs !

La mise en place de normes environnementales impacte positivement la productivité des salariés. C'est ce que révèle une étude menée par l'Université Paris-Dauphine avec le groupe Afnor, dont les résultats sont rendus publics ce 13 janvier.

[...]

http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/remuneration/normes-environnementales-des-salaries-16-plus-productifs-59071.php

L'Afnor qui publie une étude démontrant l'efficacité des normes. Je la sens très moyen cette étude...

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L'Afnor qui publie une étude démontrant l'efficacité des normes. Je la sens très moyen cette étude...

 

L'effet norme doit embarquer beaucoup de choses. Et il faut dire que la 14 001 c'est du costaud, il faut être bien organisé pour pouvoir la mettre en place.

Il faudrait que je vois dans le détail des données mais j'ai envie de dire que l'étude montre que les entreprises bien organisées sont plus productives, ce qui n'est pas vraiment un scoop.

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C'est sympa comme concept, ça, on organise une sélection façon Battle Royale puis on se félicite qu'en moyenne ceux qui ont survécu sont les plus bourrins. Finalement c'est pas nous les plus darwinistes.

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C'est sympa comme concept, ça, on organise une sélection façon Battle Royale puis on se félicite qu'en moyenne ceux qui ont survécu sont les plus bourrins. Finalement c'est pas nous les plus darwinistes.

 

+1

 

Le droit du travail permet d'éliminer les combattants les moins productifs en amont.

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Eh oui quelle surprise hein. Pareil avec les sociétés où les femmes sont le plus présentes sont plus efficaces.

Si une société refuse systématiquement l'entrée aux femmes compétentes, elle finira par en payer le prix.

Ensuite, comme les femmes ont souvent des choix de carrières faits de compromis avec la vie de famille, celles qui donnent tout à leurs carrières sont certainement meilleures et plus motivées que les autres, ergo elles en font profiter leurs entreprises. Oh ben ça alors......

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Des barres sur Facebook  :icon_pong:

 

 

 

L'individu, fut tiré de la multitude, du corps (très localisé) auquel il appartenait et qui pouvait parfois être oppressif, je n'en disconviens pas, par une certaine économie de marché et par la démocratie d'assemblée, parlementaire, que d'aucuns nomment bourgeoise. Oui, nous pouvons, à juste titre, nous féliciter des acquis obtenus quant aux libertés fondamentales, aux droits individuels etc. Mais, nous devons aussi nous lamenter, je le crois, sur la perte de ce sens du collectif. 

La démocratie, censée "égaliser " les individus n'a pas éteint les passions, les ambitions et l'envie. Elle les a plutôt mis à nue. On réclama l'égalité juridique car beaucoup disposaient de privilèges, mais dans le même temps, on n'eût de cesse de vouloir dépasser les autres en fortune, en richesse, en supériorité en n'oubliant qu'on ne faisait que perpétuer ou qu'on tentait de perpétuer les inégalités préexistantes, les privilèges. 

L'économie de marché, censée libérer, émanciper l'individu, l’aliéna. En quoi est-ce une évolution si nous vivons dans un état de guerre permanent ? Où l'autre est un potentiel rival économique ? où, la fraternité est niée et seule fait office la concurrence au sein du plus grand nombre, au profit du plus petit nombre ? Tous contre tous ? Frère contre frère ? Comment voulez-vous que puisse demeurer où naître le sentiment d'une destinée commune ? 
 

 

 

 

 

Comment puis-je ETRE en l’absence des autres ? En se réappropriant le « NOUS », nous atteignons le plus haut point, le sommet de notre humanité. Et sans doute, acquerrons-NOUS une particule de la divinité tel qu’exprimé par ce « NOUS » qui s’adresse aux Hommes dans la Bible.

Oui, en se réappropriant le « NOUS », nous prenons part à la formation de l’UN. Car de l’UN nous venons, à l’UN nous retournerons.
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Bac +7 et il faut relire 3x la première phrase pour en comprendre la demi-idée derrière le charabia.

 

Bravo.

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Le blog du gars en question.

Bienvenue sur "réflexions d’un jeune citoyen"

Comme l’intitulé l’indique, cet espace sera réservée aux pensées d’un jeune citoyen, à des années lumières d’un énarque ou politique chevronné, qui regarde juste le pays et le monde dans lequel il vit avec des yeux naïfs, utopistes, assaisonnés d’une pointe de réalisme.

Cet espace est également réservé a tout les citoyens jeunes ou moins jeunes, de toute origine, de toute classe sociale, de toute religion, souhaitant s’exprimer, à travers leurs articles et commentaires sur les différents sujets concernant la cité. La démocratie ne devrait pas se résumer aux choix des représentants donc à la délectation du pouvoir "populaire" mais plutôt à une coproduction entre les citoyens et leurs représentants. Ce blog se veut également une sorte d’espace, de forum, de débat participatif. N’hésitez pas (Je vous y incite fortement) à laisser des commentaires et à partager les articles autour de vous car le but reste tout de même de faire participer et faire réflechir le plus de monde quant à la gestion de la cité. La gestion de la cité est l’affaire de tous et non de quelques élites.

Dans "réflexions d’un jeune citoyen , nul n’incarne la quintessence du savoir car comme le disait si bien le plus célèbre de philosophes grecs, Socrate qui marqua profondément la philosophie occidentale par son influence sur Platon :"je sais que je ne sais rien "

C'est-y pas mignon et insipide ? On se croirait dans une copie du bac de philo.

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Bon, au moins il sait qu'il est naïf et utopiste, et donc qu'il raconte n'importe quoi. C'est un début.

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BRP, le Torquemada du centre gauche qui défendait encore récemment le principe d'une liste noire dans les media, enfonce encore une fois le record du torchon le plus collabo et putassier de la presse écrite. Taddéi, Nabe, E. Lévy sont passés à la question, sur le mode du procès en sorcellerie. Au moins on sait ce qu'il aurait fait sous l'occupation. 

 

Dieudonné utilisé contre Valls ? L'étrange posture d'Elizabeth Levy et Frédéric Taddéï

Publié le 16-01-2014 Par Bruno Roger-Petit, Chroniqueur politique
 
LE PLUS. Dieudonné est-il en passe d'être instrumentalisé parce qu'il est utile pour lutter contre la gauche au pouvoir et une certaine idée de la République ? Pour notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, la question se pose au vu de la manière dont certaines figures médiatiques s'emparent de son cas et de la polémique. 
Deux épisodes incitent de ce point de vue à la vigilance, et si l'on s'y arrête ici, c'est bien parce qu'ils sont peut être les signes avant-coureurs d'un inquiétant mouvement.
 
Premier épisode. Elisabeth Lévy, que l'on ne présente plus, est allée voir Dieudonné au théâtre de la Main d'or et elle s'y est ''plutôt amusée'', comme elle le raconte sur son site internet. Mieux encore, elle est incapable de dire si elle y a entendu des propos antisémites, oubliant au passage que, depuis la semaine passée, Dieudonné a expurgé son spectacle des propos susceptibles de lui valoir (encore) des condamnations pénales.
 
L'humoriste soudainement absous 
 
Elisabeth Lévy n'a vu en scène qu'un gentil comique, Dieudonné, qui ''joue avec la limite en tournant autour du sujet dont il ne parlera plus sur le mode du gamin qui tourne autour du pot de confiture. Il en remet une petite louche sur Patrick Cohen, 'neurologue l’après-midi' – il avait parlé de son cerveau malade. Il frôle la limite quand il campe le patron de la Licra, Alain Jakubowicz, exhortant les spectateurs à quitter le théâtre et rappelant au comique qu’il est sous étroite surveillance''.
 
Et de conclure que tout cela est normal : ''Moi aussi je me paierais volontiers la tête d’un adversaire qui se féliciterait de me placer sous étroite surveillance''.
 
Idem pour le public. Elisabeth Lévy n'a pas vu d'antisémites venus rire de blagues antisémites. Elle a même conversé avec ces gens sympathiques :
 
''Tous les spectateurs qui sont venus nous voir voulaient vraiment nous convaincre qu’ils ne le sont pas. Ce qu’ils aiment, c’est la provocation, la transgression maximale. Le mec qui ne cède pas.''
 
Si Dieudonné et son public disent qu'ils ne le sont pas, c'est qu'ils ne le sont pas. Logique imparable.
 
Et voilà... Dieudonné est ainsi absous par Elisabeth Lévy. Il est "dans les clous". C'est un ''gamin'' qui est à la ''limite'', qui ''tourne autour du pot de confiture'', et dont le public est sympa et pas méchant, juste avide de ''transgression maximale''. Au bout du récit, c'est la conclusion induite qui s'impose, le lecteur de ce récit ne peut que se demander si Manuel Valls n'en a pas fait trop. Tout ça pour un ''gamin'' ?
 
Donc, on s'interroge : pourquoi Elisabeth Lévy, qui avait voulu défier Dieudonné, il y a quatre ans, et avait été ridiculisée par lui, s'en vient aujourd'hui l'absoudre ?
 
Un spectacle sidérant
 
De ce point de vue, un passage du récit peut nous mettre sur la voie. Elisabeth Lévy confesse avoir aimé un ''sketch où deux mariés pour tous se voient proposer toutes sortes d’enfants (tous âges et tous usages) par un maquignon africain qui conclut en leur disant : 'Ici, on n’est pas homophobes, non pas du tout, on est homovores !'" Et elle conclut : ''C’est trash et réjouissant, sans fiel ni ressentiment''.
 
Haro sur le mariage gay : voilà le combat commun Dieudonné/Lévy contre la gauche au pouvoir et ses dérives sociétales. Le sous-texte apparaît alors, pour qui veut bien le voir : Dieudonné n'est pas si méchant que ça, la preuve, on se retrouve ensemble dans le combat contre le mariage gay, donc contre cette gauche au pouvoir qui a permis l'abomination des abominations.
 
La question est posée, et on se gardera bien d'y répondre ici, laissant le lecteur libre d'y répondre : l'essayiste ne serait-elle pas si indulgente avec Dieudonné parce qu'il est le meilleur ennemi de Manuel Valls ? Cette absolution ne serait-elle pas le résultat de la haine viscérale vouée à la gauche au pouvoir, de Manuel Valls à François Hollande en passant par Najat Vallaud-Belkacem, le tout pour cause (entre autres) de mariage gay ?
 
Passons maintenant à notre second épisode relatif à l'instrumentalisation du cas Dieudonné.
 
Il est également permis de se demander, dans un autre registre, si, la semaine passée, l'ex-comique n'a pas aussi servi d'alibi politique au tandem Marc-Edouard Nabe/Frédéric Taddéi lors de la dernière production de l'émission "Ce soir ou jamais", sur France 2.
 
Car ce fut une bien étrange apparition que celle de Nabe, le sous-Céline des années 1980, dans une émission consacrée à Dieudonné, apparition d'autant plus étrange que la venue de l'écrivain n'avait pas été annoncée aux participants déjà présents sur le plateau et que Taddéi s'était arrangé pour l'interviewer à part, sans contradicteur.
 
Le spectacle offert ce soir-là fut sidérant.
 
Un alibi et un prétexte
 
Nabe s'est retrouvé posé en autorité morale suprême, sur le plateau d'une émission de France 2... Oui, Marc-Edouard Nabe, l'auteur de "Au régal des vermines", ouvrage où l'on peut lire, entre autres : ''Les pédés, je les hais'', ''les attentats antisémites ne sont que des rots bruyants'' et ''L’Afrique est pleine de ces nègres, ces sales Noirs mal blanchis''.
 
Et l'on ne citera pas ici, par respect des lecteurs du Plus, d'extrait du livre "L'Enculé", le pire d'entre tous parmi les livres de Nabe.
 
Qu'était venu dire Nabe, par ailleurs parrain de l'un des enfants de Frédéric Taddéi, car les deux hommes sont très liés depuis des années ? Que Dieudonné, et son complice Soral, sont des ''porcs'', des ''conspirationnistes'', qu'ils ont ''moins de conviction que les collaborationnistes pendant la guerre'', et qu'il faut d'abord les combattre pour ''conspirationnisme'' avant de les combattre pour antisémitisme car le second n'est que la conséquence du premier.
 
 
Entretien entre Frédéric Taddeï et Marc-Édouard... par ce-soir-ou-jamais
 
 
Bref, Nabe a poignardé dans le dos ses anciens camarades de combat, le tout par la grâce de la mise en scène orchestrée par Taddéi.
 
Cependant, si l'on se donne la peine de décrypter la séquence de manière objective, en en dévoilant le sous-texte, cette séquence, dont Dieudonné a été l'alibi et prétexte, paraissait poursuivre un triple but :
 
1. Blanchir en une intervention Marc-Edouard Nabe, d'un seul coup autoproclamé ennemi du mal et par là-même blanchir une émission dont l'animateur dont les choix éditoriaux paraissent de plus en plus discutables à mesure que le temps, ce terrible révélateur, passe.
 
2. Transformer l'antisémitisme en avatar du ''conspirationnisme'', donc induire que tout bien considéré, l'antisémitisme, ce n'est pas si grave que cela, surtout quand ceux qui le propagent sont des individus qui ont ''moins d'idéal que les collaborationnistes pendant la guerre''.
 
3. Déplacer le débat sur le ''conspirationnisme'', donc évacuer la question antisémite, et finalement mettre en cause le bien-fondé de la lutte mené par Manuel Valls et défendu par le député PS présent sur le plateau Eduardo Rihan-Cypel. Au bout du bout de la séquence, pointe l'idée que Valls entend d'abord et avant tout défendre les juifs en menant un combat contre l'antisémitisme alors qu'il devrait mener son combat contre le ''conspirationnisme''.
 
In fine, à la fin du show Taddéi/Nabe, comment le téléspectateur ne pouvait-il pas ne pas penser à la formule de Bernanos : ''Hitler a déshonoré l'antisémitisme''.
 
Une mécanique perverse
 
Mais ce soir-là, la belle mécanique dialectique, induite de la séquence construite par le tandem Taddéi/Nabe, a volé en éclat, et ce en deux temps.
 
L'écrivaine Emilie Frèche a commencé par rappeler qui était Nabe, ce qu'il écrit et ce qu'il professe depuis des années, dévoilant aux téléspectateurs le fait que Taddéi n'avait pas révélé aux invités de l'émission que le sulfureux écrivain serait présent.
 
''Quelle est votre responsabilité de terminer un débat sur cette question de la liberté d’expression et d’inviter un antisémite sur ce plateau ? Parce que Marc-Édouard Nabe a publié, il n’a même plus d’éditeur, tellement ses textes sont antisémites ! Et vous donnez la parole et une tribune donc y a une part de responsabilité comme Soral, comme Renaud Camus, tous ces gens-là ! Je peux pas ne pas vous le dire !''
 
L'avocat Alain Jakubowicz a ensuite déconstruit le discours de Nabe, en en révélant le vrai sous-texte :
 
''En fait l’antisémitisme est quelque chose de tout à fait secondaire, qui est parfaitement tolérable, en réalité le vrai problème, le seul vrai problème, c’est le conspirationnisme !''
 
Conséquence de cette double rafale, le missile Nabe, qui visait en fait Valls, donc la gauche au pouvoir, a raté sa cible.
 
Des participants à cette émission ont raconté à l'auteur de ces lignes qu'après le direct, dans les coulisses, Taddéi, en proie à une sorte d'étrange rire nerveux, s'en est pris à Emilie Frèche, lui reprochant d'avoir saboté son émission, plaidant sa bonne fois, se présentant comme un type simple, dénué de toute arrière-pensée et qu'il ne faut pas suspecter de manipulation.
 
Certains d'entre eux ont eu l'impression, aussi, que l'animateur de France 2 n'avait pas anticipé que, pour la première fois dans l'histoire de son émission, des invités la déconstruiraient en direct, en démonteraient la mécanique perverse.
 
Vigilance de rigueur
 
Que retenir de ces deux épisodes ?
 
Que d'un point de vue objectif, et on ne juge ici que du résultat, pas des intentions (que chacun s’arrange avec sa conscience), Nabe/Taddéi et Lévy se rejoignent sur un même objectif.
 
Blanchiment rigolard au premier degré d'un côté, dénonciation indignée au second degré de l'autre pour se blanchir soi-même et détourner le débat, si les moyens diffèrent, si les voies empruntées sont différentes, tout ce petit monde se retrouve pour instrumentaliser le cas Dieudonné afin de mener le combat contre un même adversaire : Manuel Valls, François Hollande, la gauche au pouvoir et finalement une certaine idée de la République.
 
Conclusion (provisoire) : Dieudonné n'est pas seulement dangereux pour ce qu'il réveille et propage. Il l'est aussi parce que certains, plus insidieux, plus pervers encore que lui peut-être, peuvent être tentés de l'instrumentaliser pour de bien mauvaises raisons et à de bien mauvaises fins. France 2014, vigilance de rigueur...

 

 
Posté

Tu devrais, c'est édifiant.

 

Roger Pol-pot Petit n'en est pas son coup d'essai, mais celui là, c'est un sacré texte.

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C'est édifiant au sens où "putain mais y a des gens qui pensent vraiment comme ça". C'est un collabo qui s'affiche en se drapant du Bien.

 

C'est édifiant au sens propre du terme, et bien retenir le nom de l'auteur.

 

 

Posté

[turbolibéral]

Le mec est la pour répondre a un marché. Si il trouve le moyen de continuer a raconter ses conneries, c'est qu'il y a de la demande pour ses conneries.

[/turbolibéral]

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Tu as raison, loin de moi l'idée de le faire taire.

 

Mais une bonne faillite, bien ordonnée et bien capitaliste, ça me ferait plaisir. Mais l'économie journalistique étant socialisée, on ne peut pas être sur qu'il n'aurait pas du déjà être en faillite et est en droit de penser que, comme toute économie socialiste, il répond à une mauvaise demande et provoque une pénurie, mais d'idées.

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Ce qui est drole, c'est que le jour ou l'Etat s'effondrera, ils diront "celafotoliberalimss". Ce en quoi ils ont raison, comme une pomme s'écrase au sol, tu peux construire des gros ventilos, mais un jour les ventilos tombent en panne et la pomme tombera.

Posté

Tu devrais, c'est édifiant.

 

Roger Pol-pot Petit n'en est pas son coup d'essai, mais celui là, c'est un sacré texte.

 

Je viens de lire son article précédent, qui est encore plus ahurissant de servilité. 

 

 

François Hollande/Julie Gayet : Natacha Polony, complice d'une abjecte opération politique

 

Les dégâts politiques de cette publication

 
Qui a écouté à ce moment-là Natacha Polony a pu alors déjà mesurer les dégâts politiques de ce que l'on peut déjà appeler "l'affaire Closer".
 
Ça tombait bien "Closer" pour l'éditorialiste "néocon" ultra-droitière d'Europe 1. "Closer" ! Quelle belle opportunité d'échapper à la nécessité de reconnaître, par confrères et éditoriaux interposés, que Manuel Valls, la gauche, la République, et finalement François Hollande avait remporté la première bataille, la plus décisive, contre Dieudonné.
 
 
Une opération "dégueulasse"
 
Heureusement, il y avait "Closer"... "Closer", "c'est dégueulasse" comme l'a bien dit Daniel Cohn-Bendit sur l'antenne (pluraliste, c'est déjà ça) d'Europe 1, juste avant la revue de presse de Natacha Polony, mais même "dégueulasse", cela offre l'occasion inespérée d'une exceptionnelle diversion à tous ceux qui, comme Natacha Polony, voue à François Hollande et la gauche au pouvoir une haine obsessionnelle.
 
Le procédé de Natacha Polony est exemplaire des dégâts politiques qu'engendre l'affaire "Closer". Les droites et les extrêmes droites françaises, politiques et/ou médiatiques, se ruent fébrilement sur cet os à ronger car il permet, encore une fois, une fois de plus, de saper la crédibilité politique de François Hollande en le posant en héros de vaudeville et en personnage de Courteline. "Le Fil à la patte" à l'Élysée. Pensez donc ! C'était inespéré pour sortir de la séquence Dieudonné.
 
Voilà pourquoi entre Natacha Polony et "Closer", la complicité, même de fait, est totale.
 
Hélas ! C'est aussi parce que François Hollande donne de lui l'image d'un président trop haï, mais pas craint, que le journal "Closer" s'est affranchi du respect de toute règle juridique et morale.
 
Une machination
 
La pratique étant le critère de la vérité, disons les choses comme elles sont : ceux qui à "Closer" (et peut être ailleurs) ont conçu, organisé, monté le coup contre François Hollande ont mené une opération dont ils ne pouvaient pas ne pas estimer le sens et la portée politique. La façon dont cette "information" a été accueilie par Natacha Polony, et bien d'autres à droite, notamment sur les réseaux sociaux, le prouve de manière patente. Et nous n'en sommes qu'au début.
 
Objectivement, cette affaire est une opération politique, une machination redoutable destinée à affaiblir la gauche au pouvoir. Rien de plus, rien de moins. Et si cette opération est bel et bien "dégueulasse", il faut aussi constater qu'elle est, d'ores et déjà, très efficace.
Posté

"néo-con ultra droitière"

 

 

mais putain ou est-ce que ça va s'arrêter cette façon merdique de qualifier les gens ?

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Et aveugle, parce que visiblement il n'est pas foutu de lire un livre avec quelques idées développées dedans.

Posté

Et tout le reste est à l'avenant en fait, c'est une vraie campagne de chasse aux sorcières. 

 

 

Hollande / Gayet : naissance d'une troublante rumeur entre anecdotes et complot sarkozyste

Publié le 14-01-2014 à 12h00 - Modifié le 14-01-2014 à 16h33
 
LE PLUS. Quelqu'un a-t-il suggéré aux paparazzi de "Closer" que Julie Gayet et François Hollande étaient dans une relation présumée ? Si c'est bien de cette manière que ces photos ont été publiées, y a-t-il eu manipulation politique ? Notre chroniqueur Bruno Roger-Petit estime que chaque Français aurait pu donner l'information.
 

 

 

Organiser un débat Dieudonné/Zemmour à la télé : le terrifiant projet d'Eric Naulleau
Publié le 09-01-2014 
 
En une du "Nouvel Obs", cette semaine : Éric Zemmour aux côté de Dieudonné et Soral, avec ce titre : "La Haine". Invité sur le plateau du "Grand Journal" pour la commenter, Éric Naulleau s'est dit prêt à inviter Dieudonné dans l'émission qu'il anime avec Éric Zemmour. Une idée terrifiante pour Bruno Roger-Petit. Décryptage.
 
Au nom de quoi donnerait-on la parole à Dieudonné ?
 
Stupeur du téléspectateur et du citoyen. Il est dommage, mais c'est hélas le travers du "Grand journal" où le prompteur oblige Antoine de Caunes à un timing serré, où les séquences s'enchaînent, qu'Éric Naulleau n'ait pas été poussé à préciser sa pensée.
 
Car enfin, à quoi joue donc Éric Naulleau ? Ce qu'il préconise est tout à la fois insensé et dangereux. Mettre en scène un Dieudonné starisé, face à lui-même et Éric Zemmour, oui, c'est un projet de télévision terrifiant.
 
Applaudir ses blagues revient à le blanchir
 
Éric Naulleau, qui joue les chevaliers blancs de la liberté d'expression et d'opinion (se servant de Dieudonné pour défendre son ami Zemmour, ne soyons pas dupes)  commet la plus grande des erreurs. Dieudonné est un bloc, et il doit être combattu en bloc.
 
Il n'y a pas à distinguer entre le formidable humoriste qu'il faut applaudir quand il est drôle, ce que recommande Naulleau, et celui qui serait un occasionnel antisémite qu'il faut sanctionner, parfois. Ce que recommande l'animateur de Paris Première est de ce point de vue sidérant. Applaudir Dieudonné quand il ne fait pas de blagues antisémites (ce qui est de plus en plus rare) revient à le blanchir, lui accorder une certaine respectabilité, lui offrir des circonstances atténuantes que ses propos antisémites ne méritent plus.
 

 

 

Naulleau commet la même faute qui l'a ainsi poussé à commettre un livre avec Alain Soral.

 

Naulleau ne veut pas comprendre qu'il y a des idéologies qui ne donnent pas lieu à débat.

 

Il n'y pas de débat à avoir avec Dieudonné au sujet du discours tenus durant des meetings présentés comme des spectacles. Il n'y a pas à lui demander s'il souffre de ce qu'il inflige aux autres. Il n'y a pas à lui suggérer de réitérer à la télévision les horreurs qu'il profère dans son théâtre et qu'il entend propager dans toute la France. Il n'y a pas à poser en victime celui qui est un coupable condamné à de multiples reprises et qui par ailleurs ne ne s'est pas acquitté de sa dette envers la République.

 

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