alex6 Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 En dehors de pas aller bosser, ce qui ne pénalise que le salarié et l'employeur, ça pourrait être de rendre le service gratuit, par exemple, non ? C'est la methode australienne. Pour la greve annuelle du train/metro a Sydney, l'acces est gratuit pour tous les clients. Ca serait impensable qu'il y ait un arret complet des services, le syndicat qui deciderait un truc pareil se ferait massacrer a la premiere occasion. Ce fut le cas lors du clash avec les ferries il y a quelques annees il me semble. Globalement quand le gouvernement local montre qu'il est determine, ca fait reflechir a deux fois avant de se lancer et de flinguer sa carriere...
jlouis Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Ou alors on interdit déjà les grèves pour motif non professionnelle et on coupe les subventions des syndicats. Rien que ça on fait sauter toutes les grèves générales et on coule les trois organismes principaux Surtout qu'ils ne sont pas, à l'inverse de ce qu'ils prétendent, représentant des salariés. Leur légitimité est très discutable. Ce sont des clowns défendant principalement leurs intérêts et servant de relai communicationnel aux partis politiques de gauche.
Corned beef Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Si, c'est un droit, ce n'est pas moi qui l'invente c'est la réalité qui le montre. Des gens mécontents sur leur lieu de travail cesse de travailler pour protester, pour peser dans une négociation. On appelle cela "une grève". Et les gens en ont parfaitement le droit, cela ne choque personne si ce droit n'est pas utilisé de manière abusive. Ce n'est pas la réalité qui fait un droit, pas plus que le fait que des gens soient choqués ou non. Sinon est-ce quelqu'un sait si l'amélioration globale des conditions de travail des salariés dans un pays (ou une amélioration réelle pour une branche, une entreprise...) s'est déjà faite sans que l'État intervienne ? Uniquement par négociation, voire même sans grève ? Bien sûr, je ne parle pas d'une négociation dans des pays où il fait déjà bon de travailler et où l'on décide de passer le prix du café de 30 à 20 centimes.
Chitah Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Je trouve ca pas mal, que dans un pays socialiste comme rarement ailleurs, certains se permettent Attaque personnelle de merde. Tu auras beau retourner dans tous les sens, sur ce sujet de l'emploi que je connais infinimment mieux que toi, le droit de grève existe. Si je commande un sorbet au resto et que je trouve un bout de verre dedans, je ne le paie pas, et j'exige de ne payer que la moitié de mon repas. Toi tu peux t'écraser si tu veux et payer toute l'addition, mais moi non, je ne m'ecrase pas. Et je ne m'écraserai encore moi au nom d'une conception débile du libéralisme et du droit des contrats.
Corned beef Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Si je commande un sorbet au resto et que je trouve un bout de verre dedans, je ne le paie pas, et j'exige de ne payer que la moitié de mon repas. Toi tu peux t'écraser si tu veux et payer toute l'addition, mais moi non, je ne m'ecrase pas. Le restaurateur ne respecte pas sa part du contrat, tu n'as pas à respecter la tienne, là c'est normal.
Tremendo Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Le restaurateur ne respecte pas sa part du contrat, tu n'as pas à respecter la tienne, là c'est normal. Personne ne dit autre chose ici concernant un contrat de travail, néammoins il faut voir aussi ce que le patron ne respecte pas. S'il s'agit de faire grève parce que le salarié doit travailler 2 heures en plus cette semaine parce que c'est la fermeture des comptes mensuels et bien non.
Calembredaine Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Vision farfelue des relations au travail. Il y a bien évidemment un droit de grève, l'entrepreneur capitaliste n'a pas tous les droits sur ses salariés. Je n'ai rien compris. Ça veut dire quoi "avoir tous les droits sur ses salariés"? Quel rapport avec le droit de grève? On dirait de la rhétorique marxiste. Dans un monde libre, le droit de grève n'existe pas. Il n'y a que des rapports de force entre salariés et direction. L'une et l'autre des parties doivent assumer leurs décisions. Il existe un contrat, il est respecté ou il ne l'est pas. Point. En France, il y a toujours eu l'Etat pour s'immiscer dans les relations entre employeurs et salariés. Avant le "droit de grève" l'employeur faisait intervenir l'armée pour faire cesser les grèves dans le sang et maintenant, le pouvoir politique soutient les grévistes dans leurs revendications les plus folles.
poney Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Avant le "droit de grève" l'employeur faisait intervenir l'armée pour faire cesser les grèves dans le sang Ah, quelle belle époque !
poney Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Ah oui, ça peut-être mal interprété. Je ne voulais pas dire que tu voulais faire charger l'armée. Je me disais simplement que les défenseurs de l'Etat oublient souvent aussi qu'à cette époque, l’État envoyait l'armée (parce que ce n'est pas vraiment l'employeur qui envoyait l'armée, il en faisait la demande. Quoi que, combien de patrons étaient en même temps députés ou élus ?).
Calembredaine Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Ah oui, ça peut-être mal interprété. Je ne voulais pas dire que tu voulais faire charger l'armée. Je me disais simplement que les défenseurs de l'Etat oublient souvent aussi qu'à cette époque, l’État envoyait l'armée (parce que ce n'est pas vraiment l'employeur qui envoyait l'armée, il en faisait la demande. Quoi que, combien de patrons étaient en même temps députés ou élus ?). Ha ouf, j'ai eu également peur que mes propos soit mal interprétés. Tu as très bien traduit ce que j'ai écrit de façon si maladroite.
Tramp Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Si je commande un sorbet au resto et que je trouve un bout de verre dedans, je ne le paie pas, et j'exige de ne payer que la moitié de mon repas. Toi tu peux t'écraser si tu veux et payer toute l'addition, mais moi non, je ne m'ecrase pas. Mauvaise analogie, il y a un non respect du contrat de la part du restaurateur donc pas de raison pour toi de respecter la tienne. La bonne analogie aurait été celle de refuser de payer le repas sans bout de verre jusqu'à avoir une ristourne et appeler cela un droit est délirant.
alex6 Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Tu auras beau retourner dans tous les sens, sur ce sujet de l'emploi que je connais infinimment mieux que toi, le droit de grève existe. Si je commande un sorbet au resto et que je trouve un bout de verre dedans, je ne le paie pas, et j'exige de ne payer que la moitié de mon repas. Toi tu peux t'écraser si tu veux et payer toute l'addition, mais moi non, je ne m'ecrase pas. Et je ne m'écraserai encore moi au nom d'une conception débile du libéralisme et du droit des contrats. T'es vraiment a la ramasse comme j'ai rarement vu quelqu'un l'etre. Non seulement tu te cales rien a ce qui est ecrit mais en plus, tu penses tout connaitre*. Ton analogie du sorbet est tellement a cote de la plaque que je pense que tu devrais te pencher dessus pour essayer de comprendre ce qui ne va pas dans ta facon de raisonner. *et au passage, pour que quelque chose soit vrai i.e. "j'ai une bien plus grande connaissance de ci ou de ca", il faut le prouver par les ecrits, pas simplement le repeter en boucle message apres message. Moi de ce que je vois de tes messages, c'est que tu n'y connais pas grand chose a pas grand chose, tu es juste moyen. Et en plus, globalement plutot mediocre pour parvenir a t'exprimer clairement.
Gilles Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Ca, ca me parait indiscutable. Sans avoir verifie, je doute que les syndicats en Nouvelle-Zelande etaient subventionnes donc le probleme ne s'etait probablement pas pose. C'est un scandale absolu ces subventions, Sarko aurait du commencer par ca, s'il avait eu un semblant de matiere dans la culotte. C'est même surtout ça, le problème. Le droit de grève existe dans les autres pays, et tous ne connaissent pas les comportements extrêmes qui sévissent en France. En Allemagne, c'est un dernier recours de négociation, c'est très rare (et je dis ça au moment où Lufthansa connaît une grève ).
Eagle Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 C'est même surtout ça, le problème. Le droit de grève existe dans les autres pays, et tous ne connaissent pas les comportements extrêmes qui sévissent en France. En Allemagne, c'est un dernier recours de négociation, c'est très rare (et je dis ça au moment où Lufthansa connaît une grève ). Exact ! De plus, si je ne me trompe pas, les fonctionnaires n'ont pas le droit de greve en Allemagne...
poney Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Oui. Le droit de grève est totalement encadré en Allemagne. Il est en premier lieu toujours interdit aux fonctionnaires. Même lorsque les fonctionnaires de la Deutsche Bahn (la SNCF allemande) ont été passés sous statut privé, le droit de grève a continué de leur être interdit. En second lieu, la grève n’est légale que si elle porte sur les conditions de travail définies dans les conventions d’entreprise ou de branche. Toute grève « politique » contre des lois votées au Parlement ainsi que toute grève de « solidarité » sont illégales et peuvent être sanctionnées par une mesure de licenciement. En troisième lieu, l’exercice du droit de grève est enserré dans des procédures extrêmement strictes. La grève ne peut intervenir qu’au moment et dans le cadre de la renégociation des conventions d’entreprise ou de branche entre les organisations syndicales et patronales et après un premier cycle infructueux de négociations. Il ne peut s’agir alors que de grèves d’avertissement, pour des durées très limitées et une partie seulement du personnel. La grève générale ne pourra intervenir qu’ultérieurement, sous réserve que 75 % au moins des syndiqués s’y déclarent favorables par référendum, alors qu’il suffit par comparaison que 25 % des syndiqués acceptent les accords négociés. Enfin, les statuts des syndicats prévoient généralement que ceux-ci s’engagent à rémunérer leurs syndiqués grévistes sur les fonds de leurs caisses de grève. Cela explique qu’il n’y ait eu qu’à peine plus de 3 jours de grève en Allemagne en moyenne de 2001 à 2006, contre trente fois plus en France, où en 2008 plus de 1,8 million de journées de travail ont été perdues. Des chiffres de nature à faire rêver les usagers français des services publics. http://www.ifrap.org/Le-droit-de-greve-en-Allemagne,11836.html
Poil à gratter Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 En dehors de pas aller bosser, ce qui ne pénalise que le salarié et l'employeur, ça pourrait être de rendre le service gratuit, par exemple, non ? Non parce que ça serait une faute professionnelle. À la limite c'est possible de faire une grève du zèle, mais rendre un service gratuit c'est pas possible. Le problème en France c'est pas le droit de grève mais les abus qu'il y a eu pendant des années. M'enfin c'est en train de se calmer.
alex6 Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Je ne vois meme pas pourquoi on argumente, il faut etre completement ideologiquement oriente pour croire qu'il existe un droit de greve. Cesser le travail, sauf quand la contre-partie securite n'est pas garantie par l'employeur, est de facto une rupture de contrat unilaterale. Le fait que ca soit tellement complique en France vient de l'interference "code du travail" / "droit des contrats". En aucun cas le premier ne devrait pouvoir prendre le dessus sur le deuxieme.
Eagle Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Je ne vois meme pas pourquoi on argumente, il faut etre completement ideologiquement oriente pour croire qu'il existe un droit de greve. Cesser le travail, sauf quand la contre-partie securite n'est pas garantie par l'employeur, est de facto une rupture de contrat unilaterale. Le fait que ca soit tellement complique en France vient de l'interference "code du travail" / "droit des contrats". En aucun cas le premier ne devrait pouvoir prendre le dessus sur le deuxieme. Evidemment d'accord. Sauf que, dans la logique du modele socialiste a la francaise, il y a egalite entre les "partenaires sociaux" dans le "dialogue social". Ainsi, le chef d'entreprise (proprietaire de celle-ci) est mis sur un pied d'egalite avec des syndicats tres peu representatifs et dont la logique est socialiste ou communiste. Et le tout est mis sous l'autorite d'une loi socialiste qui veille soigneusement a retirer la quasi totalite des libertes a l'entrepreneur. Le Code du Travail (tres marque ideologiquement) a une superiorite de fait sur le Droit des Contrats, et il conteste le fait meme que le contrat prive puisse avoir plus d'importance que la logique politique. Cette logique explique les frequentes derives du droit de greve en France.
Gilles Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Oui. http://www.ifrap.org/Le-droit-de-greve-en-Allemagne,11836.html Ah c'est même mieux que ce que je pensais, merci pour l'info! Honte à moi, j'avais même pas songé à vérifier les détails, je pensais que c'était surtout leur pragmatisme habituel qui jouait.
Nihiliste frustré Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Si je commande un sorbet au resto et que je trouve un bout de verre dedans, je ne le paie pas, et j'exige de ne payer que la moitié de mon repas. Toi tu peux t'écraser si tu veux et payer toute l'addition, mais moi non, je ne m'ecrase pas. Et je ne m'écraserai encore moi au nom d'une conception débile du libéralisme et du droit des contrats. Dans cette histoire, tu représentes plutôt l'employeur (qui paye les employés du restaurant). Imagines maintenant que tu ais plutôt reservé la salle mais qu'à ton arrivé, le restaurant refuse de servir si le prix n'est pas renégocié. C'est ça le droit de grève. Pas besoin d'interdire la grève elle-même, juste de ne pas la favoriser (par un droit positif). Le contrat règle déjà ce genre de problème, tu veux résoudre un non-problème. Et je ne vois absolument pas pourquoi celui qui donne le travail devrait être avantagé par rapport à celui qui donne l'argent. Et je ne vois pas non plus pourquoi un indépendant lui n'y aurait pas le droit. Ou est-ce le fait de mensualiser les versements qui fait qu'on est un exploité-sur-qui-les-capitalistes-ne-doivent-pas-avoir-tous-les-droits ? La durée inderminée du contrat peut-être ? Tu veux t'appuyer sur l'Etat pour résoudre un problème qu'il crée (les conditions de travail des salariés), en négligent qu'il nique autant les indépendants, les patrons, etc... Un droit de grève fiscale pour les patrons alors ! Sinon, j'ai remarqué que quand un ami nous énerve, généralement on lui fait comprendre ; si je suis ton raisonnement il nous faudrait un droit rouspétage.
poney Posté 31 mars 2014 Signaler Posté 31 mars 2014 Ah c'est même mieux que ce que je pensais, merci pour l'info! Honte à moi, j'avais même pas songé à vérifier les détails, je pensais que c'était surtout leur pragmatisme habituel qui jouait. Je me suis dit exactement pareil et puis j'ai pensé que, comme les syndicats sont très puissants là bas, il doit y avoir une astuce. Donc, google, toussa.
ShoTo Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Je me disais simplement que les défenseurs de l'Etat oublient souvent aussi qu'à cette époque, l’État envoyait l'armée (parce que ce n'est pas vraiment l'employeur qui envoyait l'armée, il en faisait la demande. Quoi que, combien de patrons étaient en même temps députés ou élus ?). Donc ça voudrait dire aussi que nous libéraux devrions arrêter d'invoquer le 19e siècle comme un exemple de société libéral ?
Mathieu_D Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Il ne faut pas oublier ce qui ne l'était pas. (Le livret ouvrier...)
ShoTo Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Il me semble que Bastia militait pour le droit de grève
Chitah Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Il me semble que Bastia militait pour le droit de grèveEvidemment.
Malky Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Il me semble que Bastia militait pour le droit de grève Et pour la liberté syndicale, ça a même été le premier à le proposer à l'assemblée. Un dizaine d'années avant que Waldeck-Rousseau (un autre libéral) fasse voter cette loi dont le parti socialiste de l'époque ne voulait d'ailleurs pas.
alex6 Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Le droit de greve de l'epoque n'avait que peu de chose a voir avec celui d'aujourd'hui. Bastiat militait surtout pour la liberte d'association, le droit de greve en tant que reponse a un abus de l'employeur est donc tout a fait logique dans cette optique. D'ailleurs pour ceux qui auraient des difficultes de lecture, personne n'a ecrit qu'il fallait rendre illegales TOUTESles greves mais uniquement les greves abusives depassant le cadre de la securite au travail. Je doute fortement qu'un Bastiat se battre pour proteger ce truc de parasite qu'est le droit de greve moderne a la francaise.
Tremendo Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Il me semble que Bastia militait pour le droit de grève Les corses sont les premiers à militer pour le droit de grève. Blague à part, Bastiat militait pour légaliser a priori la grève qui était purement et simplement interdite. Il y a un monde entre interdire la grève et obliger l'entrepreneur à accepter tous les sabotages que le droit de grève à volonté permet. La grève est justifiée en cas de rupture unilatérale du contrat de travail de la part de l'entreprise, et si l'entreprise l'accepte en général.
neuneu2k Posté 1 avril 2014 Signaler Posté 1 avril 2014 Blague à part, Bastiat militait pour légaliser a priori la grève qui était purement et simplement interdite. Il y a un monde entre interdire la grève et obliger l'entrepreneur à accepter tous les sabotages que le droit de grève à volonté permet. La grève est justifiée en cas de rupture unilatérale du contrat de travail de la part de l'entreprise, et si l'entreprise l'accepte en général. Le droit de grève, c'est tout simplement ça, le droit de faire grève sans conséquences pénales. L'absence de conséquences civiles, c'est un ajout qu'on peut discuter séparément, et je suis d'accord sur le fait que c'est un ajout qui devrait etre contractuel et non conventionnel.
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