Tramp Posté 2 avril 2014 Signaler Posté 2 avril 2014 Les 3 gros ministères (Ednat, Bercy, Budget) ont été filé à l'aile gauche du PS et à un ami de 30 ans d'Hollande. Tout est bien parti pour cocufier les socialistes. Pas forcément si mauvais ce remaniement.
Chitah Posté 2 avril 2014 Auteur Signaler Posté 2 avril 2014 Merci, je récupère. Marisol, elle a l'air d'avoir sniffé un truc sur la photo. Du costaud. Rabsamen a l'air parfaitement goguenard. Et Filipetouille, elle a un petit sourire carnassier. Elle me fait penser à l'alien dans Alien. Putain h16... je me suis donné comme mission de défendre ces gens-là. Parfois chuis un peu découragé. Ils me facilitent pas la tâche il faut dire... Non mais les photos quoi. Un directeur artistique de la maison Harcourt, ça se convoque bordel. Série sobre, nickel, en souplesse clic clac on a les belles photos en 10 minutes par tête max.
Malky Posté 2 avril 2014 Signaler Posté 2 avril 2014 Et Filipetouille, elle a un petit sourire carnassier. Elle me fait penser à l'alien dans Alien. J'aurais plutôt pensé à un gremlin
PABerryer Posté 2 avril 2014 Signaler Posté 2 avril 2014 http://www.gouvernement.fr/ Les photos des membres du gouvernement... Mairsol touraine, on dirait l'avatar de Freezbee. Celui qui me fait flipper vous savez. Euh h16, dépêche toi de les sauvegarder ces photos, je sauvegarde la page, il y a des trucs corsés quand même. Oréliflipeti. OMG et elle ne sont même pas passé par le logiciel de H16...
Rincevent Posté 2 avril 2014 Signaler Posté 2 avril 2014 C'était aux funérailles de Stéphane Hessel. Quel sens de l'à-propos, ce Hollande. Et l'article sur les cinquante milliards? Vous en pensez quoi?J'en pense que, hélas, l'article ne mentions que guère plus de la moitié de cinquante milliards. Il en manque encore plus de vingt pour arriver au compte. Et en plus c'est sur trois ans, et pas sur une année. Quelques mesures judicieuses (la fin de la clause de compétence générale, yeah), d'autres qui vont faire gueuler pour rien (cesser d'augmenter les fonctionnaires, alors qu'il faudrait en diminuer le nombre). Le logiciel énarque reste en place, le moule conceptuel n'est pas encore brisé. Parce que ça crée des obstacles à la transformation de la SS en service public de la santé, financé par l'impot et non par les contributions sociales. Il faut bien voir que dans ce domaine, il est facile de trouver bien pire que la France, bien plus socialisé que le système de sécu. Notons surtout que c'est cette distinction entre cotisations et impôt qui permet aux évadés de la Sécu de plaider leur cause. Le jour où la Sécu devient officiellement un truc d'Etat, un régime "légal" au sens de financé par l'impôt, tout l'argumentation des évadés tombe en miettes. Les déficits de la sécu sont en plus largement inférieurs a ceux de l'état français.Avant ou après transferts ? Je me demande souvent pour Le canard, qui semble friand de révéler certaines turpitudes de nos élites, pour quelles raisons certains gros trucs bien pourris et connus ne sont pas relayés par leur journalistes. Bon, j'ai une idée, mais je trouve décevant pour une presse qui se veut un peu redresseuse de torts.Ils ont leurs chouchous, sur lesquels ils sortent les casseroles moins vite et moins fort, pour dire le moins. Notamment, ils aimaient bien Rocard. Ha ha ha, je viens d'avoir une vision de Chitah déguisé en NVB, you made my day.Tu me fais peur. Ajoute à ça tes posts où tu répètes "Si y a gazon, y a match", tu me fais PEUR. http://www.gouvernement.fr/ Les photos des membres du gouvernement... Mairsol touraine, on dirait l'avatar de Freezbee. Celui qui me fait flipper vous savez. Euh h16, dépêche toi de les sauvegarder ces photos, je sauvegarde la page, il y a des trucs corsés quand même. Oréliflipeti. Ah, ils ont gardé Sylvia Pineuse. Avec une photo montrable. Je suis content.
Neuron Posté 3 avril 2014 Signaler Posté 3 avril 2014 Parce que les militants PS n'ont pas voulu quelqu'un de compétent et rassurant. Ils ont voulu quelqu'un qui promettait monts et merveilles. Car en 2006, il n'y avait pas de crise. Il y avait du pognon à gogo à distribuer.De plus Ségolène représentait l'ordre à la différence de DSK. Sur ce point, Zemmour a raison. Son analyse sur DSK, Ségolène, François et Sarkozy est la bonne car comme tous les français, il ne connait rien au libéralisme.
Hayek's plosive Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Pour changer, je vais faire le connard de base qui attaque le président sur la forme: http://www.lefigaro.fr/politique/2014/04/04/01002-20140404ARTFIG00087-valls-au-travail-pour-le-premier-conseil-des-ministres-de-son-gouvernement.php Il a encore sa cravate de traviole.
Calvin Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Ben, non, elle pointe à gauche. (Ou à l'opposé de Sego, c'est selon...)
NoName Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Bah dis donc il est 'achement grand montebourg.
Calvin Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Bah dis donc il est 'achement grand montebourg.Oui, grand par la taille...
glandon Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 . Si tu es dans une ville moyenne ou grande, va à la bibliotheque municipale pour le lire, c'est gratos, Il n'y a plus qu'eux non, comme journal, a refuser l'insertion de publicité ? Donc le prix au numéro est forcément beaucoup plus cher que le prix moyen chez les autres
Chitah Posté 4 avril 2014 Auteur Signaler Posté 4 avril 2014 Hollande, l'ultime troll de la gauche politique et syndicale : http://social.blog.lemonde.fr/2014/04/03/confusion-a-la-cgt-autour-de-la-marche-contre-lausterite-du-12-avril/#xtor=RSS-32280322 Des responsables de fédérations, comme les finances, l'agroalimentaire, les spectacles, qui sont souvent dans l'opposition à la direction confédérale, s'inscrivent dans cette démarche (NDCHitah : consistant à renouer avec le PCF en allant manifester avec ce parti) sur fond de sourde contestation de Thierry Lepaon. Le 6 mars, l'union départementale CGT de Paris s'est alarmée après des propos du "patron" de la CGT au Nouvel économiste où il assurait qu'"il n'existe à la CGT aucune opposition de principe face au patronat. L'entreprise est une communauté composée de dirigeants et de salariés. Ces deux populations doivent pouvoir réfléchir et agir ensemble dans l'intérêt de leur communauté". Oui, la phrase soulignée a été prononcée par... le dirigeant actuel de la CGT. Celui de maintenant, pas un candidat ou un életron libre. Le Boss.
NoName Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Ouh. Quand même. Il connaît l'historique de la cgt celui la ? Ça vaudrait pas mieux de créer directement une scission de la cgt ?
Hayek's plosive Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Le pire c'est que t'en as tout un tas qui va sortir ca de leur manche pour dire "voyez? On est pas des vieux cons réacs, on est parfaitement objectif et on lutte pour les interets des travailleurs", meme si au fond ce qu'ils veulent, c'est pendre le patron par les tripes. Surtout si il est américain.
Chitah Posté 4 avril 2014 Auteur Signaler Posté 4 avril 2014 Ouh. Quand même. Il connaît l'historique de la cgt celui la ? Ça vaudrait pas mieux de créer directement une scission de la cgt ? Je te la fais courte : la CGT a toujours eu un siège au comité central du PCF. Après la guerre ça en a saoulé certains qui ont splitté pour créer FO-CGT devenu plus tard FO (et devenu surtout un soutien du RPR ). Puis le PCF de Thibault s'est "modernisé" et a quitté le PCF. Maintenant Lepaon veut encore plus quitter le PCF.
neuneu2k Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Oui, la phrase soulignée a été prononcée par... le dirigeant actuel de la CGT. Celui de maintenant, pas un candidat ou un életron libre. Le Boss. Ha ha ha, à la fois magnifique et inquietant, magnifique parce que la CGT pourrait bien devenir un syndicat des travailleurs et un syndicat des communistes qu'ils travaillent ou pas. Inquietant parce que la partie extrème de la base et les cadres bien atteints vont possiblement former un mouvement alternatif qui ne sera plus canalisé par l'organisation CGT, organisation qui à tout de mème l'aventage de l'expérience et d'une certaine prudence dans les actes sinon dans les paroles.
Hayek's plosive Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Inquietant, non, ils vont se bouffer le nez entre eux, se décrédibiliser davantage, s'affaiblir encore un peu plus. Mieux vaut un ennemi désorganisé et en proie a des luttes intestines.
neuneu2k Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Inquietant, non, ils vont se bouffer le nez entre eux, se décrédibiliser davantage, s'affaiblir encore un peu plus. Mieux vaut un ennemi désorganisé et en proie a des luttes intestines. Bof, un ennemi désorganisé est un berceau de milliers d'actions, de selection naturelle, et d'émergence des plus dangereux. Un ennemi discipliné et organisé, c'est impressionnant, mais c'est forcément un colosse aux pieds d'argile.
Neuron Posté 4 avril 2014 Signaler Posté 4 avril 2014 Ouh. Quand même. Il connaît l'historique de la cgt celui la ? Ça vaudrait pas mieux de créer directement une scission de la cgt ? C'est une phrase passe partout qui ne dit rien de ce que le patront de la CGT entent par "chacun à sa place". Un marxiste et un libéral ont cela en commun. Chacun pense que chacun est à sa place.
Chitah Posté 4 avril 2014 Auteur Signaler Posté 4 avril 2014 Le 05 février dernier, j'écrivais : Sur un tout autre sujet, il existe apparemment un grave problème de concertation interministérielle au sein du gouvernement. En gros, tous les ministres concernés faisaient la réunion interministérielle à Matignon sur tel sujet, puis repartaient sans relevé de décisions. Résultat : cacophonies et épuisement de Matignon. Valls voudrait fonctionner différemment : les ministres se concertent entre eux, et viennent à Matignon pour écouter les arbitrages finaux une fois les dossiers ficelés. Gain de temps pour tout le monde attendu.
free jazz Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 Franchement, comparer les vieux éléphants et les bras cassés du PS français au gouvernement avec ce que fait Renzi en Italie, c'est pas sérieux. D'ailleurs il y a fort à parier que, malgré leurs appels du pied insistants pour obtenir une ristourne des allemands et de Bruxelles, Renzi refusera de s'allier avec les socialistes français, tant ceux-ci se sont discrédités et affaiblis sur la scène européenne. Matteo Renzi poursuit ses réformes à tous crins Le président du Conseil italien s'apprête à boucler la nouvelle loi électorale et la suppression des provinces. Avec une détermination louable et l'allure d'un TGV, Matteo Renzi maintient le cap sur ses réformes. Lors de son investiture le 24 février, le nouveau président du Conseil avait promis de faire une réforme majeure par mois. Moins de cinq semaines plus tard, il s'est déjà assuré des votes décisifs au Parlement sur la nouvelle loi électorale et sur l'abolition des 110 provinces, problème dont les précédents gouvernements ont débattu pendant quinze ans, sans jamais conclure. Et il n'entend pas s'arrêter là. Mardi, le gouvernement présentera à la Chambre des députés le «document de programmation financière» (DEF) contenant le tableau de marche détaillé qu'exige Bruxelles pour respecter le pacte de stabilité. La semaine suivante, il indiquera avec quelles ressources il financera le cadeau fiscal de 80 euros qu'il veut faire aux dix millions de foyers déclarant moins de 25.000 euros par an. Dans la foulée, il met en chantier un vaste programme de simplification administrative, une réforme du marché du travail sur laquelle syndicats et patronat promettent de livrer bataille, une réduction drastique des dépenses de la fonction publique, des privatisations et une refonte des lois sur le conflit d'intérêt. «Nous avons fait un grand pas vers une réorganisation de l'État qui rendra le pays plus moderne et plus simple», s'est réjouie Maria Elena Boschi, ministre des relations avec le Parlement, après l'adoption, mercredi, de l'ordre du jour gouvernemental transformant la Chambre haute en un «Sénat des autonomies». La nouvelle assemblée perdra les fonctions législatives qui incombaient au Sénat depuis la proclamation de la République en 1947. À savoir le vote de confiance sur le nouveau gouvernement et le vote de chaque loi, qui faisait doublon avec celui de la Chambre des députés. Ses prérogatives sont limitées à l'approbation des révisions constitutionnelles et aux élections du chef de l'État, du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et des membres du Conseil constitutionnel, conjointement avec la Chambre. En outre, le nombre de sénateurs sera ramené de 315 (plus sept sénateurs à vie) à 148 membres, élus parmi les maires et les conseillers régionaux. Plus aucun ne percevra salaire ou indemnité de quel que type que ce soit, autre rupture avec les pratiques actuelles. http://www.lefigaro.fr/international/2014/04/04/01003-20140404ARTFIG00344-matteo-renzi-poursuit-ses-reformes-a-tous-crins.php
PJE Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 Franchement, comparer les vieux éléphants et les bras cassés du PS français au gouvernement avec ce que fait Renzi en Italie, c'est pas sérieux. D'ailleurs il y a fort à parier que, malgré leurs appels du pied insistants pour obtenir une ristourne des allemands et de Bruxelles, Renzi refusera de s'allier avec les socialistes français, tant ceux-ci sont se discrédités et affaiblis sur la scène européenne. http://www.lefigaro.fr/international/2014/04/04/01003-20140404ARTFIG00344-matteo-renzi-poursuit-ses-reformes-a-tous-crins.php Si Renzi fait tout ce qu'il a annoncé ça risque de vraiment bouger en Italie. J'ai un peu discuté de l'Italie l'année dernière avec un économiste qui me disait que le marché du travail manquait énormément de flexibilité et que c'était un énorme problème. Si seulement F.H pouvait appliquer la conclusion de cet article... Plutôt qu'une course effrénée aux financements permettant d'assurer la viabilité d'un système exsangue, ou qu'une chasse aux économies dont le résultat ne pourra qu'être éloigné des enjeux, il y aurait une alternative à explorer. Faire payer le coût réel de nombreux services publics, quitte à le subventionner pour une partie de la population. Réduire leur champ là où des mécanismes privés seraient au moins aussi efficaces et permettraient de dégonfler la sphère publique lorsqu'elle est sans valeur ajoutée. Redonner des marges pour que ceux qui se plaignent, souvent à raison, d'un poids écrasant des prélèvements et des circuits publics, puissent effectuer librement et en responsabilité des choix qui ne concernent qu'eux : se protéger contre des risques de l'existence, dès lors qu'ils ont les moyens de le faire, avec moins de prélèvements sur leurs revenus pour y subvenir. En somme, une remise en cause conceptuelle de notre modèle social pour l'adapter à une époque bien différente de celle qui l'a vu naître. http://www.latribune.fr/blogs/le-blog-du-contrarian/20140401trib000822991/depenses-publiques-pas-de-solution-sans-un-autre-modele.html
Jesrad Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 Faire payer le coût réel de nombreux services publics, quitte à le subventionner pour une partie de la population.+aleph1 Cela revient in fine à privatiser tous les services publics. Le problème c'est qu'après avoir entendu Renzi et surtout l'avoir vu à l'œuvre, la CE va prendre le contraste d'avec Hollande en pleine gueule. Ça va clasher.
Chitah Posté 5 avril 2014 Auteur Signaler Posté 5 avril 2014 Si seulement F.H pouvait appliquer la conclusion de cet article... On n'aurait qu'à inventer un truc qu'on appelerait la SNCF et la RATP, et on dirait que les gens en général paient plein pot et on réserverait des tarifs spéciaux (voire la gratuité) aux titulaires de minima sociaux. Et on dirait qu'à la SNCF on ferait une carte Famille Nombreuse. Non?
PJE Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 On n'aurait qu'à inventer un truc qu'on appelerait la SNCF et la RATP, et on dirait que les gens en général paient plein pot et on réserverait des tarifs spéciaux (voire la gratuité) aux titulaires de minima sociaux. Et on dirait qu'à la SNCF on ferait une carte Famille Nombreuse. Non? On laisse la SNCF tranquille mais on laisse des compagnies étrangères allemandes, italiennes et espagnoles le droit de concurrencer la SNCF en France. C'est pas comme si la RATP était implanté en Angleterre et en Amérique du Nord.
Gilles Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 On n'aurait qu'à inventer un truc qu'on appelerait la SNCF et la RATP, et on dirait que les gens en général paient plein pot et on réserverait des tarifs spéciaux (voire la gratuité) aux titulaires de minima sociaux. Et on dirait qu'à la SNCF on ferait une carte Famille Nombreuse. Non? Et du coup tous les gens sont maintenant bien conscient que oui, la SNCF c'set cher. Et encore oublie t-on les quelques milliards planqués sous le tapis de RFF. Alors que la Sécu, l'Ednat &Cie...
Jesrad Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 On n'aurait qu'à inventer un truc qu'on appelerait la SNCF et la RATP, et on dirait que les gens en général paient plein pot et on réserverait des tarifs spéciaux (voire la gratuité) aux titulaires de minima sociaux. Et on dirait qu'à la SNCF on ferait une carte Famille Nombreuse.Et on leur couperait toute subvention, qu'ils se démerdent seuls pour financer le régime spécial de retraite de leurs employés
Vengeusemasquée Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 Le 05 février dernier, j'écrivais : En gros, tous les ministres concernés faisaient la réunion interministérielle à Matignon sur tel sujet, puis repartaient sans relevé de décisions. Résultat : cacophonies et épuisement de Matignon. Valls voudrait fonctionner différemment : les ministres se concertent entre eux, et viennent à Matignon pour écouter les arbitrages finaux une fois les dossiers ficelés. Gain de temps pour tout le monde attendu. Ils peuvent aussi utiliser un de leurs chargés de mission pour rédiger des relevés de décision. C'est une pratique qui s'installe doucement dans l'administration. Vous pouvez penser que ça va de soi mais il n'en est rien. J'ai moi-même vécu la mise en place du relevé de décision dans une équipe de fonctionnaires qui n'en avait jamais utilisé, ça leur a fait tout bizarre. Mais ça a bien fonctionné.
Rincevent Posté 5 avril 2014 Signaler Posté 5 avril 2014 Ah oui, genre des réunions avec un compte-rendu de réunion. Trop fou.
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