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Je Raconte My Life 2Π-1 Résurrection


José

Messages recommandés

Posté

Vous êtes de petits chatons sérieusement. N'oubliez pas que dans votre vie professionnelle vous allez avoir besoin d'au moins afficher un masque de sociabilité.

Bon étape 1 : forcez vous à sourire à tous ceux qui vous adressent la parole.

Posté

Il est possible de savoir le nom ici ?

Je vais probablement aller sur Rome les derniers jours d'août vu que mon ancien coloc y retourne faire ses études et qu'une pote sarde y passe ses vacances.

 

http://www.osteriadaangelino.it/ C'est juste à côté de la place Victor Emmanuel (je préfère prévenir, le quartier est crasseux - comme tout quartier proche d'une gare)

Attention, c'est fermé jusqu'au 28 août. Tu peux parler en français au patron sans aucun problème.

 

Alors très intéressé par les infos sur la ville. Pour l'instant j'ai déjà prévu de faire si je part: St Pierre de Rome et les Musées du Vatican, le Forum, le Colisée et le Panthéon, le tout agrémenté de balades pour voire les places. J'aimerai savoir ce qui vaut le coup en terme d'églises et de palais.

 

Je viens de t'envoyer un (long) MP.

Posté

Bon étape 1 : forcez vous à sourire à tous ceux qui vous adressent la parole.

 

Non. Ca ne sert à rien et ça demande trop d'efforts.

Posté

Trampstamp tu n'es pas introverti mais chochotte.

Ça ne me plaît pas non plus de voir des gens (sobre), mais il faut bien avoir des interactions sociales pour avoir des clients.

Tu ne peux pas tout simplement n'en avoir rien à foutre ? Ça ne semble pas être le cas car tu semble regretter que l'ensemble de la population ne soit pas comme toi.

Enfin tu n'as pas l'air d'être au niveau des japonais cloîtrés dans leur chambre.

Posté

Il faut vous mettre un peu au théâtre, les amis. C'est quand même très pratique de savoir gérer un public. Et je dis ça alors que vous trouverez difficilement quelqu'un de plus introverti que moi.

 

C'est pas faux. J'y ai pensé il y a quelques années pour développer mes facultés oratoires, mais je ne me suis jamais lancée. Autant en société je ne suis pas du tout quelqu'un de timide ou de craintif, autant parler devant une assemblée (dans le domaine pro notamment) me pétrifie complètement.

 

 

Vous êtes de petits chatons sérieusement. N'oubliez pas que dans votre vie professionnelle vous allez avoir besoin d'au moins afficher un masque de sociabilité.

Bon étape 1 : forcez vous à sourire à tous ceux qui vous adressent la parole.

 

Je ne sais pas à qui s'adresse ce vous, mais personnellement je suis très sociable (et particulièrement lorsque j'y suis contrainte).

J'aime bien me définir comme un chatméléon en fait. Tempérament placide, mais facultés mimétiques hors normes.

 

Ah, et au sujet du sourire, on excelle à ça : 

 

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Posté

Mathieu_D n'a, peut-être, pas tort. Il pose cette question : faut-il se complaire éternellement dans la posture de l'adolescent ?

 

:facepalm:

 

ça n'a rien à voir avec une posture et faire ce genre de réflexion c'est le meilleur moyen de dire qu'on a rien compris au problème et qu'on s'en fout.

Posté

Mathieu_D n'a, peut-être, pas tort. Il pose cette question : faut-il se complaire éternellement dans la posture de l'adolescent ?

Adolescent je passais toutes mes journées avec mes potes, je sortais tous les soirs et je parlais aussi bien de politique que de mes expériences sexuelles ou de ragots. La bonne question, c'est : doit-on tous être également sociables pour que les uns arrêtent de juger les autres ?
Posté

C'est pas faux. J'y ai pensé il y a quelques années pour développer mes facultés oratoires, mais je ne me suis jamais lancée. Autant en société je ne suis pas du tout quelqu'un de timide ou de craintif, autant parler devant une assemblée (dans le domaine pro notamment) me pétrifie complètement.

Figure-toi que moi aussi ça me pétrifiait, et pas qu'à moitié. Et puis j'ai fini par trouver ce qui me pétrifiait : ce n'était pas la partie public, mais la partie improvisation. Résultat, aujourd'hui, je parle en public avec un support et je sais exactement ce que j'ai à dire. Je donne des conférences, je joue dans des pièces de théâtre (bon, une pièce, et écrite par moi qui plus est), je prononce des discours, je mène des présentations, et le tout avec plus de 90 % de franc succès.

 

9064445ba1d228fdeffca52bcf0d93627ca221.j

Oh, que je connais ça... ;) Bon, à un détail près, INTP inside oblige : j'évalue d'abord l'intérêt théorique de ce qu'on me dit, puis je ferme les écoutilles dans 90 % des cas ('cause 90 % of everything is crap).
Posté

Adolescent je passais toutes mes journées avec mes potes, je sortais tous les soirs et je parlais aussi bien de politique que de mes expériences sexuelles ou de ragots. La bonne question, c'est : doit-on tous être également sociables pour que les uns arrêtent de juger les autres ?

 

Tu veux dire que tu étais plus ouvert aux autres lorsque tu étais adolescent?

Posté

Les extravertis idéalisent leur modèle et le pensent universel. Ce sentiment est renforcé par la culture moderne qui le présente comme le modèle vers lequel il faudrait tendre.

Introversion et sociabilité sont parfaitement compatibles.

Posté

Il ne s'agit pas d'être sociable ou pas. Il s'agit d'interagir avec des gens sans se plaindre.

Ou de choisir de vivre en ermite dans sa grotte mais sans se plaindre.

Vous pouvez vous plaindre du temps, du millésime ou de vos stocks de bière mais pas de la difficulté de parler à des gens.

Posté

Et pourquoi on ne parlerait pas du fait que c'est chiant de parler aux gens, je te prie ?

Et d'abord, le dire n'est pas se plaindre !

Posté

Il ne s'agit pas d'être sociable ou pas. Il s'agit d'interagir avec des gens sans se plaindre.

Ou de choisir de vivre en ermite dans sa grotte mais sans se plaindre.

Vous pouvez vous plaindre du temps, du millésime ou de vos stocks de bière mais pas de la difficulté de parler à des gens.

Les interactions sociales épuisent l'introverti, là où les extravertis se ressourcent.

Posté

Peut-être que ce sont des lieux communs. Imaginez un monde où tous seraient introvertis parce que "les gens sont chiants".

 

Je comprends pourquoi l'on parle à raison d'adulescence.

Posté

Oui je sais, je suis introverti, la solitude me ressource.

C'est pénible en effet de ne pas avoir de l'argent magique qui m'arrive du ciel dans ma grotte, mais bon, faut faire avec, hein ?

Posté

Tu veux dire que tu étais plus ouvert aux autres lorsque tu étais adolescent?

Oui. Maintenant, je n'ai aucun problème à être souriant ou à parler de la météo si j'y ai intérêt (situation professionnelle, drague ou simplement d'humeur sociable). Reste qu'il m'arrive régulièrement de me sentir piégé quand je me retrouve obligé alors que ça ne m'intéresse pas (maintenant je n'hésite plus à quitter une soirée qui ne me plait pas mais les repas de famille par exemple sont parfois délicats). Je ne jette la pierre à personne, et puis ça arrive aussi parfois aux extroverti, c'est juste le jugement un peu rapide de certains qui peut froisser (personnellement je m'en accommode très bien).
Posté

Oui je sais, je suis introverti, la solitude me ressource.

C'est pénible en effet de ne pas avoir de l'argent magique qui m'arrive du ciel dans ma grotte, mais bon, faut faire avec, hein ?

On est d'accord. C'est pareil pour moi.

Posté

Peut-être que ce sont des lieux communs. Imaginez un monde où tous seraient introvertis parce que "les gens sont chiants".

 

Je comprends pourquoi l'on parle à raison d'adulescence.

 

Les gens ne sont pas chiants, ça n'a rien à voir. ça ne fait pas chier de leur parler, ça n'est pas du mépris ou de la lassitude.

Posté

Je crois qu'il existe autant d'introversion que d'introvertis : pour ma part, animer un cours, être formateur, parler devant une assemblée, aucun problème, mais dès qu'il s'agit de sociabiliser lors d'événements communs (pots, formations, etc.) où il faut arriver à se greffer à un groupe de personnes pour pas être seul dans son coin c'est le bout du monde, surtout si je connais peu les gens, et/ou que les discussions restent plates...

Posté

Il ne s'agit pas d'être sociable ou pas. Il s'agit d'interagir avec des gens sans se plaindre.

Ou de choisir de vivre en ermite dans sa grotte mais sans se plaindre.

Vous pouvez vous plaindre du temps, du millésime ou de vos stocks de bière mais pas de la difficulté de parler à des gens.

Bien entendu, il me semble que la plainte portait plutôt sur l'incompréhension des intro par les extro. La réciproque me parait toute aussi vraie, par exemple la difficulté de comprendre les réactions d'extro à un "non, je n'ai pas envie". Personnellement je ne me plaint pas plus de cette incompréhension mutuelle que de celle entre hommes et femmes ou entre aventuriers et casaniers. Une telle discussion me parait donc utile dans une démarche de compréhension mutuelle, si tant est qu'on évite de se traiter d'adolescent ou que sais-je. My 2 cents.
Posté

Je crois qu'il existe autant d'introversion que d'introvertis : pour ma part, animer un cours, être formateur, parler devant une assemblée, aucun problème, mais dès qu'il s'agit de sociabiliser lors d'événements communs (pots, formations, etc.) où il faut arriver à se greffer à un groupe de personnes pour pas être seul dans son coin c'est le bout du monde, surtout si je connais peu les gens, et/ou que les discussions restent plates...

C'est ce que j'évoquais plus haut, la différence entre milieu pro (but, mission) et la vie privée (small talk). Ça n'a rien à voir.

Posté

Peut-être que ce sont des lieux communs. Imaginez un monde où tous seraient introvertis parce que "les gens sont chiants".

 

Je comprends pourquoi l'on parle à raison d'adulescence.

 

J'ai dit "c'est chiant de parler aux gens", pas "les gens sont chiants".

Quand tu sauras lire on en reparlera...

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