Bézoukhov Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 75000 manifestants selon la police, 1 million pour les syndicats et les journaleux incapable de dire vers lequel on est le plus proche. Parfois, je me demande quels seraient les risques à envoyer des drones filmer les cortèges, puis balancer les vidéos sur Kaggle pour compter. En dehors de se faire traiter de fasciste, bien sûr.
Tramp Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Bien faire son travail. Trop dur pour des journalistes.
Bézoukhov Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Ça on est d'accord. Mais si toi, sans carte de journaliste, balance des preuves du combien, est-ce que tu risques quelque chose ?
Tramp Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Ben non, pourquoi ce serait le cas ? Mais la plupart des gens sont occupés à bosser.
Flashy Posté 14 juin 2016 Auteur Signaler Posté 14 juin 2016 Faudrait créer un délit d'exercice illégal de la profession de journaliste.
Tramp Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Faudrait créer un délit d'exercice illégal de la profession de journaliste. L'article L 7111-4, dès l'origine, a établi une incompatibilité en ce qui concerne les agents de publicité, ce qui ne signifie pas que les journalistes ne puissent occasionnellement et en tout cas minoritairement percevoir des commissions d'ordre publicitaire. En revanche, depuis octobre 1964, par arrêté du Ministre de l'Information,les fonctions de chargé de relations publiques et d'attaché de presse sont totalement incompatibles avec le statut de journaliste professionnel, même si celles-ci sont très accessoires au regard des activités journalistiques. Enfin, un troisième cas d'incompatibilité a été ajouté en Mai 1986, par un arrêt du Conseil d'Etat qui a estimé que le statut de fonctionnaire ou d'agent public contractuel est exclusif du bénéfice de tout autre statut professionnel.
Sanson Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Prenez des sacs en papier. http://imgur.com/JJKCSHi
Tramp Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Prenez des sacs en papier. http://imgur.com/JJKCSHi vous êtes prévenus 1
Poil à gratter Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 J'imagine si la Manif pour Tous avait fait le dixième du quart de ces conneries. A l'époque, on nous sortait du "factieux" à tout bout de champ, en référence aux manifestants d'extrême-droite de 1934 (des anciens de la WWI, des couillus). Du coup, là, c'est des ultra-über-néo-nazis, si je garde la même gradation que nos commentateurs d'alors. En 34 ils avaient tiré sur la foule il me semble.
Flashy Posté 14 juin 2016 Auteur Signaler Posté 14 juin 2016 http://www.bfmtv.com/societe/loi-travail-des-casseurs-s-en-prennent-a-l-hopital-necker-984181.html Là ils ont juste attaqué l'hôpital pour enfants.
Poil à gratter Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 J'ai vu ça, apparemment c'est là où l'orphelin des policiers est soigné...
Brock Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 ce sont qui les casseurs exactement? des zanars ou des cailleras?
Brock Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 En 34 ils avaient tiré sur la foule il me semble. quelle bonne idee il faudrait remettre ca
Drake Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Vous allez adorer... http://la-bas.org/les-emissions-258/les-emissions/2015-16/filoche-president-mais-d-abord-tous-a-la-manif
Mister Polark Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Les agents de la Direction des routes du Centre-Ouest sont concernés par cette loi? Non. On marche sur la tête. Tout le monde manifeste par solidarité, à l'exception des intéressés qui ont autre chose à foutre (et ne prennent peut-être pas la chose au drame, s'ils connaissent un peu le droit du travail?) Est-ce qu'il serait liberhalal d'interdire les grèves de solidarité ? Je crois que c'est interdit en allemagne
poney Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Ben justement je pense que ce que Flashy veut dire c'est que c'est contraire au droit à la grève et que ça devrait en théorie être condamné par un tribunal.Mais s'attaquer de front aux syndicats dans nos pays, tu peux oublier.
Tramp Posté 14 juin 2016 Signaler Posté 14 juin 2016 Les droit grève liberhallal s'arrête à ne pas pouvoir être obligé de travailler - sauf exception, genre un juge qui force l'exécution d'un contrat. Ça ne protège pas du licenciement pour abandon de poste et les éventuelles poursuites en cas de dommage, du remplacement pour continuer l'activité etc. Tu peux faire grève par solidarité, à tes risques et périls. Mais pas de sanctions pénales. @Poney : tout à fait. C'est certain qu'aucun de ces personnes ne seront poursuivies et que les plaintes des entreprises bloquées seront classées sans suite. Pas besoin de juges rouges quand le gouvernement et les procureurs sont eux-meme complices. 1
Flashy Posté 15 juin 2016 Auteur Signaler Posté 15 juin 2016 Qui a regardé le live de RT hier?Parce que là, sur FB, ça hurle à la manipulation, que les casseurs sont des flics, que c'est la Police qui a commencé etc etc. Est-ce qu'il serait liberhalal d'interdire les grèves de solidarité ? Je crois que c'est interdit en allemagne Les grèves de solidarité est illicite quand elle ne concerne en rien les salariés y participant.J'ignore comment ça fonctionne pour les agents publics, ou si le préavis use un prétexte X ou Y pour manifester, de fait, contre une loi travail qui ne concerne pas les agents publics.
Adrian Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 Des flics avec des drapeaux d'alternative libertaire de partout ?
Marlenus Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 Qui a regardé le live de RT hier? Parce que là, sur FB, ça hurle à la manipulation, que les casseurs sont des flics, que c'est la Police qui a commencé etc etc. Pas regardé, mais les réactions autour de moi ce matin c'était plus: "Aux journaux TV on ne parle que des casseurs. Absolument pas de la manif en elle même. A se demander si ils ne font pas exprès de les laisser casser pour que l'on ne parle que de ça. Si le gouvernement voulait vraiment, il pourrait empêcher que l'on saccage les hôpitaux." Et pas forcément de gens de gauche.
Adrian Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 Si le gouvernement ne fait pas intervenir la police brusquement pour arrêter les casseurs c'est pour décrédibiliser le mouvement social. Si le gouvernement fait intervenir la police brusquement c'est de la répression du mouvement social.
Flashy Posté 15 juin 2016 Auteur Signaler Posté 15 juin 2016 Voilà ce qu'on partage sur mon mur FB : https://lundi.am/Sur-l-instrumentalisation-des-vitres-de-l-hopital-Necker-Un-parent Hier, il y avait des centaines de milliers de manifestants dans les rues de Paris. En tête, des milliers de personnes, cagoulées ou non, syndiquées ou pas, se sont retrouvées pour tenir la dragée haute à un dispositif policier hors norme. Je comprends facilement ce qu’il peut y avoir de désespérant là-dedans pour le gouvernement. Alors que l’on pouvait imaginer qu’au fil des semaines et des mois, la rue se fatigue et la violence soit de plus en plus isolée, c’est tout le contraire qui se passe : la peur de la police ne dissuade pas. Hier, les manifestants ont commis de nombreuses dégradations. Pour celles que j’ai pu constater, elles étaient toutes « ciblées » : banques, assurances et publicités. Je ne suis pas sûr que cela nécessite beaucoup de débat. Il n’est pas certain que le monde de la finance tremble à chaque fois qu’un distributeur de billet est vandalisé mais que la jeunesse y voit un symbole, je le comprends parfaitement. Qu’une assurance doive appeler son assureur et demander le coût de la franchise, je dois avouer que lorsque j’y ai pensé, ça m’a fait rigoler. Ces gens engrangent des milliards en ponctionnant la solidarité. Quant aux publicités détruites, c’est — malgré la méthode—, la meilleure chose qui puisse leur arriver. Au milieu de tout cela, quelques vitres de l’hôpital Necker ont été brisées. Bien que les vitres en question n’aient pas d’autre rôle que celui d’isolant thermique : j’en conviens grandement, ce n’est pas très malin. Certes, briser les vitres d’un hôpital, même par mégarde, c’est idiot ; mais sauter sur l’occasion pour instrumentaliser la détresse des enfants malades et de leurs parents pour décrédibiliser un mouvement social, c’est indécent et inacceptable. Et c’est pourtant la stratégie de communication mise en œuvre depuis hier, par MM. Cazeneuve et Valls. Allègrement reprise par la droite et relayée sur un plateau doré par tous les médias. Je le dis d’autant plus volontiers que l’hôpital Necker, j’y ai passé beaucoup de temps et que la détresse et l’angoisse des parents d’enfants très malades, je vois particulièrement bien ce que c’est. Instrumentaliser cette souffrance à des fins aussi bassement politiciennes est abjecte. Cette indécence est d’autant plus choquante lorsque l’on connaît la situation de l’hôpital public aujourd’hui. MM. Valls et Cazeneuve, « révoltés » du fond du cœur par cinq vitres brisées, le sont-ils autant par les conditions de travail effarantes des personnels hospitaliers ? Lorsqu’un généticien clinique doit travailler 70h par semaine car la direction de son hôpital n’a pas les moyens d’employer un nouveau docteur ni même une secrétaire, qu’elles en sont les conséquences sur tous ces gentils petits enfants malades au chevet desquels nos ministres accourent depuis hier ? Quand les aides-soignantes et les infirmières sont épuisées, usées jusqu’à la moëlle et rémunérées au minimum, qu’en est-il de la qualité des soins et de l’attention nécessaires à ceux qui passent des mois voire des années dans des couloirs d’hôpitaux ? Lorsqu’ils mettent sur le même plan « émotionnel » des plaques de verres cassées et ces centaines de milliers de familles éprouvées, MM. Valls et Cazeneuve, n’ont-ils pas honte ? Et tous ces journalistes qui ont titré sur cet horrible assaut contre l’hôpital des « enfants malades », prennent-ils la mesure du sens de leurs mots ? La palme de l’infamie revient évidemment à M. Cazeneuve qui a tout de même réussi à ajouter à l’équation le fils des deux policiers tués avant-hier. Des centaines de milliers de personnes défient le gouvernement dans la rue. Une ou deux cassent le double vitrage d’un hôpital. Une ordure tue deux policiers à l’arme blanche. Leur fils de trois ans est en soin à Necker. M. Cazeneuve établi un rapport émotionnel, affectif et psychique entre ces deux séries de faits : le lutte contre la Loi Travail et son gouvernement, le choc produit par la brutalité de ce double meurtre et la situation dramatique de cet enfant. Si les jeunes émeutiers qui ont cassé les vitres de Necker ont été idiots, MM. Valls et Cazeneuve, eux, sont obscènes. Plutôt que de courir les plateaux télés pour dire des conneries pareilles, retirez la loi travail, financez correctement les hôpitaux et épargnez aux enfants et à leurs parents votre ignoble instrumentalisation. Merci d’avance. Cette réécriture des faits, c'est incroyable.Sur le live de RT, on les voit, la "jeunesse" caillasser et attaquer la Police directement. On voit un serrurie/vendeur de coffre-fort vers Pasteur/Duroc qui a son magasin ravagé. J'ai crû voir un restaurant aussi. Attaquer un hôpital pour casser du flic, ça va quoique c'est un peu idiot, c'est que du double vitrage.Putain, j'imagine si ça avait été une manif FN. C'est sidérant de bêtise. 2
Tramp Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 C'est dingue comme ils croient à leur million de manifestants.
Flashy Posté 15 juin 2016 Auteur Signaler Posté 15 juin 2016 http://www.liberation.fr/debats/2016/05/26/casseurs-renverser-l-accusation_1455373 W.T.F Chaque paragraphe me donne envie d'hurler. Voilà deux mois que le gouvernement ne sait plus que faire pour venir à bout d’un mouvement auquel il ne comprend rien. Après avoir usé jusqu’à la lie la rhétorique anticasseur, il inaugure depuis la semaine dernière une nouvelle stratégie afin d’écraser ce qui lui résiste. Cette stratégie consiste à isoler, sur les suggestions des services de renseignement, des «groupes organisés» constitués policièrement en «associations de malfaiteurs», puis à les accuser de faits dont on exagère la gravité afin de pétrifier tant la population que ceux qui luttent. Ainsi, on annonçait jeudi 19 mai l’arrestation à Rennes d’un groupe de 20 «casseurs», jeunes «radicalisés» appartenant à la «mouvance anarcho-autonome», une «association de malfaiteurs» qui s’apprêtait à «saboter» le métro de la ville. Renseignements pris, le sabotage en question était une action de blocage économique décidée en assemblée générale interprofessionnelle et menée de concert avec la CGT-Route qui bloquait les axes routiers en périphérie de la ville. L’«association de malfaiteurs» se réunissait dans les locaux de Sud-Solidaires et s’apprêtait, en fait, à coller des autocollants sur les composteurs de billets, voire, pour les plus extrémistes, à y introduire de la mousse expansive. Ah bah oui, y a pas de casseurs à Rennes, c'est une invention gouvernementale. Idem pour la manif hier, point de casseurs, c'est du pipeau, on exagère, lolilol.Heureusement que j'ai vu le live, avec des journalistes comme ça, j'aurais pas pu croire que nos gentils manifestants ont tiré au feu d'artifice sur les forces de l'ordre. C’est une manœuvre identique qui a été déployée à Paris le 18 mai suite à l’attaque d’une voiture sérigraphiée de la police par des manifestants. Alors que le syndicat de police Alliance privatisait la place de la République et faisait des «selfies» aux côtés de Marion Maréchal-Le Pen, d’Eric Ciotti et de Gilbert Collard, une contre-manifestation sauvage, repoussée à coups de gaz lacrymogènes, s’élançait dans les rues de Paris. C’est dans ces conditions qu’une voiture de police prise dans la circulation a dû essuyer un concentré de cette colère que l’on voit éclater depuis deux mois, à chaque manifestation. Qu’à force de se faire brutaliser, les plus pacifiques des manifestants en soient venus à entonner les slogans «Tout le monde déteste la police», «Même la police n’aime pas son travail», «Que fait la police, ça crève les yeux», devrait à tout le moins interroger. Ah bah oui, pauvres antifas brutalisés, pour ça qu'ils sont devenus violents.Et puis la Police qui "privatise" la place de la République quelques heures, quelle horreur. Vous imaginez, vous, un groupuscule qui se réunit place de la République et en chasse les importuns? Ce serait fasciste. Suite à l’incendie du véhicule, le gouvernement allumait un contre-feu en gonflant l’incident en «tentative d’homicide volontaire». A cet effet, on occultera opportunément qu’à la vue des premiers manifestants, le policier a sorti son arme de service, voulant les repousser, et que ces mêmes manifestants ont aidé la policière à sortir du véhicule ; on transformera le bout de plastique dont se défend le policier en «barre de fer», des manifestants en «association de malfaiteurs» et on ira chercher des coupables présélectionnés par les services de renseignement parmi les militants de l’Action antifasciste Paris-Banlieue (AFA), que l’on essayait depuis une bonne semaine d’interdire de manifester. Et tous les médias de reprendre en chœur cette construction grotesque. Qu’importe qu’après deux jours de garde à vue, le ministère de l’Intérieur lui-même concède dans les pages du Monde qu’il n’y a, en l’état, aucun élément permettant de lier ces quatre militants à l’incendie de la voiture. Mon dieu. Les gentils antifas ont attaqué pour se défendre du méchant policier qui sortait son arme. Sur l'échelle du mensonge, on se situe où, là? On comprend mieux à présent le sens de la déclaration de Manuel Valls au Sénat mardi 17 mai : «Ces Black Blocs, ces amis de monsieur Coupat, toutes ces organisations qui au fond n’aiment pas la démocratie, qui la contestent, qui en contestent les principes, trouveront la plus grande détermination de l’Etat, de la police et de la justice.» Ce qui était alors en préparation, à Rennes comme à Paris, était une manœuvre identique à celle qu’avaient tentée Michèle Alliot-Marie et Alain Bauer à l’époque du raid antiterroriste de Tarnac : cibler sur les conseils des services de renseignement un groupe d’opposants à éliminer, leur imputer des faits controuvés, construire sur cette base une «association de malfaiteurs» et tabler sur le suivisme et la lâcheté médiatiques pour faire passer l’accusation dans l’opinion. Les black blocks, ça existe pas, ils ont jamais été présents dans les défilés, même pas hier.Mythomane, va. Si, à l’époque, cette manœuvre a fini par piteusement échouer, c’est parce que nombreux furent celles et ceux qui, derrière le discours policier et gouvernemental, devinaient l’opération politique. Ce qui se prépare en ce moment, ce sont des «affaires de Tarnac» en série. C’est pourquoi nous appelons à soutenir les mis en examen de Rennes ou de Paris, ainsi que les lycéens, étudiants et manifestants mis en examen et qui parfois attendent en préventive leur comparution. Nous appelons à déjouer toute tentative de les isoler et de les instrumentaliser et à lutter pour l’abandon des charges extravagantes pesant sur eux : bref, à renverser l’accusation. Dans le tas, il y a certainement des innocents : la hâte en matière de Justice est toujours une mauvaise chose. Mais là, avec ce qui précède, ça donne nettement l'impression qu'il n'y a que de pauvres innocents, victime d'un complot de la Police, de la Justice, du Gouvernement. Bande de bouffons, quand ça attaque des commissariats, des préfectures, un ministère, un hôpital, de très nombreux biens privés, c'est normal que certains soient arrêtés et jugés. Ils veulent quoi? Une immunité pour cause de lutte des classes? Jean-Claude Amara Droits devant !, Loïc Artiaga Maître de conférences, Ludivine Bantigny Historienne, Emmanuel Barot Philosophe, Nicolas Bautès Universitaire, Daniel Blondet Militant anti-impérialiste, Christophe Bonneuil Historien, Simon Borja Chercheur en science politique, Ali Boulayoune Sociologue, Jérôme Bourdieu Economiste, Houria Bouteldja Militante politique, Jean-Pierre Bouyxou Ecrivain et journaliste, Eric Brun Sociologue, Joël Cabalion Sociologue, Vanessa R. Caru Chercheuse au CNRS, Manuel Cervera-Marzal Sociologue, Grégoire Chamayou CNRS, Déborah Cohen Historienne, Dominique Connan Chercheur, Simon Cottin-Marx Corédacteur en chef de la revue Mouvements, François Cusset Historien et écrivain, Christine Delphy Sociologue et féministe, Gérard Delteil Ecrivain, Emmanuel Deronne Enseignant-chercheur, Nathalie Desquenes Journaliste, Béatrice Dezy Enseignante, Paul Dirkx Sociologue, Elsa Dorlin Philosophe, Joss Dray Photographe, Julien Dufour Doctorant en sociologie, Cédric Durand Economiste, Annie Ernaux Ecrivaine, Jean-Baptiste Eyraud Militant associatif, Samantha Faubert Hispaniste, Alain Frappier Illustrateur, Désirée Frappier Scénariste, Bernard Friot Sociologue et économiste, Franck Gaudichaud Politologue, Vincent Gay Syndicaliste et enseignant, François Gèze Editeur, Pierre-Henri Gouyon Professeur au Muséum national d’histoire naturelle, Nacira Guénif Sociologue et anthropologue, Nicolas Haeringer Militant associatif, Hugo Harari-Kermadec Economiste, Eric Hazan Editeur, Hervé Huntzinger Historien, Nicolas Jaoul Chercheur au CNRS, François Jarrige Historien, Francis Juchereau Responsable associatif, Leslie Kaplan Ecrivaine, Razmig Keucheyan Sociologue, Stathis Kouvelakis Philosophe, Jean-Sébastien Kroll-Rabotin Enseignant-chercheur en école d’ingénieurs, Rose-Marie Lagrave Sociologue, Patrice Lardeux Militant CGT, Mathilde Larrère Historienne, Michelle Lecolle Linguiste, Olivier Le Cour Grandmaison Universitaire, Marius Loris Historien et poète, Pascal Maillard Universitaire et militant, Philippe Marlière Politiste, Guillaume Mazeau Historien, Daniel Mermet Journaliste et écrivain, Fabienne Messica Consultante, Bénédicte Monville-De Cecco Conseillère régionale Ile-de-France (EE-LV), Olivier Neveux Historien d’art, Nicolas Oppenchaim Sociologue, Yves Pagès Ecrivain et éditeur, Ugo Palheta Sociologue, Eugénia Palieraki Historienne, Luca Paltrinieri Philosophe, Willy Pelletier Sociologue, Irène Pereira Sociologue, Christine Poupin Porte-parole du NPA, Serge Quadruppani Ecrivain, Thierry Ramadier Directeur de recherches au CNRS, Manuel Rebuschi Enseignant-chercheur en philosophie, Marie Rivière Comédienne, Olivier Roueff Chercheur en sociologie au CNRS, Alexandre Rosenstein Etudiant en sociologie, Kristin Ross Historienne, Catherine Samary Economiste, Pierre Sauvêtre Chercheur en sociologie, Guillaume Sibertin-Blanc Philosophe, Jacques Testart Biologiste, Sylvie Tissot Sociologue, Marc Tomczak Enseignant-chercheur, Rémy Toulouse Editeur, Enzo Traverso Historien,Patrick Vassort Sociologue, Anne-Laure Vernet Enseignante-chercheure en arts plastiques, Nicolas Vieillescazes Editeur, Olivier Vinay Agrégé de biologie et vétérinaire, Sophie Wahnich Directrice de recherches au CNRS, Willem Dessinateur, Philippe Zarka Astrophysicien. 1
Flashy Posté 15 juin 2016 Auteur Signaler Posté 15 juin 2016 Non mais les mecs se prévalent de leur qualité d'historien, de leurs titres universitaires, pour nous pondre une merde pareille. "Aaaah Valls est méchant, il dit qu'on est ambigu avec les casseurs pour casser le mouvement sociaaaâââl ! On est pas ambigu, la violence c'est mal, mais bon, elle a pas vraiment eu lieu, et puis elle est justifiée, et puis c'est la Police qui a commencé etc etc" Le mépris de certains types de gauche est trop drôle, sur Nuit Debout ou dans les commentaires de Libé.Par exemple, en réponse à un type disant que les intellectuels n'avaient visiblement pas peur pour leurs biens : Ben, les intellectuels, mon bon gars, se fichent de posséder une vitrine, un magasin ou une bagnole, alors... Ils ont d'autres "possessions" qu'évidemment vous ne pouvez comprendre... Continuez à cumuler et protéger vos petits soucis matériels mon petit gars...
Tortue joviale Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 Ils veulent quoi? Une immunité pour cause de lutte des classes? Ca a toujours ete une revendication des partisans de la lutte des classes. C'est l'idee meme derriere la revolution. I.e le meurtre c'est mal, mais si c'est pour la lutte, alors c'est ok.
Tramp Posté 15 juin 2016 Signaler Posté 15 juin 2016 Ben pas besoin d'immunité : c'est de la légitime défense face à la violence sociale du patronat capitaliste. Ils ne sont donc pas responsables. 1
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant