Aller au contenu

Syndrome métabolique, diabète, résistance à l'insuline : les cibles préférées du coronavirus


Nick de Cusa

Messages recommandés

Posté
  Le 26/11/2020 à 17:53, Sekonda a dit :

Pourquoi ? Effet négligeable ? 

Expand  

Non c'est surtout qu'encore une fois je suis prêt à parier que son "sugar" diet c'est juste de la junk food en fait. Toujours la même confusion.

  • Yea 1
  • 1 month later...
  • 2 weeks later...
Posté

Petit à petit, on se rend compte que, parallèlement à la vitamine D dont l'effet régulateur dans l'inflammation et dans la réponse immunitaire est maintenant assez évident, le rôle du zinc a été très sous estimé ; hasard, coïncidence et caramels mous, l'ivermectine, la colchicine, l'hydroxychloriquine ont un point en commun : ce sont des ionophores du zinc (en plus d'effets sur les interférons pour certaines de ces molécules).

  • Yea 1
Posté
  Le 29/11/2020 à 15:23, Boz a dit :

Non c'est surtout qu'encore une fois je suis prêt à parier que son "sugar" diet c'est juste de la junk food en fait. Toujours la même confusion.

Expand  

C'est globalement le problème que j'ai avec tout ces MD des US sur youtube. J'aimerais bien savoir à quoi ressemble un régime classique pour eux.

Posté
  Le 25/01/2021 à 11:30, Nick de Cusa a dit :

le glutathione:

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7263077/

 

Comment en avoir plus? Une piste (a verifier et recouper les amis, bien entendu)

https://mostlymeatiswhatieat.blogspot.com/2013/12/boosting-glutathione.html

Expand  

Glutathion, en français. Et une bonne méthode pour s'en assurer un niveau correct, me semble-t-il, c'est d'avoir un niveau correct de vitamine C (détail oublié dans cet article de blog).

  • Yea 1
Posté

Merci.

 

Possible, pour la vitamine C, sachant qu'il me semble que le besoin de chacun varie, entre autres du fait de l'antagonisme glucose ascorbate.

 

Une des innombrables question pour lesquelles rien ne me satisferait plus que de trouver un medecin digne de ce nom 

Posté

on va en apprendre. C'est tragique qu'on apprenne via SARS Cov-2, pourvu que ca serve pour des remedes pour bien plus, a terme 

 

 

  • Yea 2
Posté

J'imagine bien que ces études sont compliquées à faire, les données difficiles à collecter et comparer.

Mais avec l'impact global du Covid, c'est dommage / bizarre, une étude que n'a que 150 sujets, tous dans 1 hopital de Rome (ou plusieurs? ce n'est pas clair).

Il n'y a pas un risque que ça reflète bien d'autres facteurs..?

 

Posté
  Le 28/01/2021 à 10:49, Nick de Cusa a dit :

on va en apprendre. C'est tragique qu'on apprenne via SARS Cov-2, pourvu que ca serve pour des remedes pour bien plus, a terme

[...] post twitter sur la schizophrénie comme prédicteur de mortalité du COVID

 

Expand  

 

Les schizophrènes sont traités avec des anti psychotiques (rispéridone, olanzapine...) qui sont connus pour faire grossir. Et donc, sans étude pour le prouver, je dirais qu'on a beaucoup de schizophrènes qui sont en diabète ou syndrome métabolique, menant ensuite à une surmortalité au covid.

Posté

Sujet qui meriterait tres fort d'etre creuse par la recherche. Il y a des cas d'amelioration en ceto https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0920996419301136?via%3Dihub

 

Et des signes de soucis de metabolismes d'acides gras du cerveau https://medicalxpress.com/news/2020-04-schizophrenia-abnormal-fatty-metabolism-brain.html

 

Enfin, on sait que ceto est acti neurologiquement puisque pour le coup, la seule maladie pour laquelle c'est un remede estampille, c'est l'epilepsie (c'est pour ca que des psychiatres l'essaient "off label" sur d'autres troubles)

 

Voila, c'est tenu mais c'est ce que nous avons

Posté
  Le 01/02/2021 à 17:20, Antoninov a dit :

J'imagine bien que ces études sont compliquées à faire, les données difficiles à collecter et comparer.

Mais avec l'impact global du Covid, c'est dommage / bizarre, une étude que n'a que 150 sujets, tous dans 1 hopital de Rome (ou plusieurs? ce n'est pas clair).

Il n'y a pas un risque que ça reflète bien d'autres facteurs..?

 

Expand  

possible si on ne prend que ca isolement

 

Nous avons aussi une accumulation de signes de plus grande vulnerabilite au SARS Cov-2 en diabete, en surpoids (or, ce qui est un vrai danger sante dans le surpoids, c'est les graisses viscerales), le syndrome metabolique (ajouter la tension arterielle aux autres symptomes) et meme, on ne peut plus simplement, le glucose dans le sang https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1550413120302382?via%3Dihub

 

Ca me parait ose de dire qu'il n'y a rien

 

Apres, que les cherheurs ne cherchent pas plus que ca, la, je n'ai pas de commentaire a faire la dessus 

Posté

Ah mais j'ai en effet vu passer pas mal de choses à ce sujet.

Mon commentaire était plus une observation (donc je n'ai certainement ni pensé ni écrit "qu'il n'y a rien")

 

 

  • Yea 1
Posté
  Le 01/02/2021 à 20:00, Antoninov a dit :

Ah mais j'ai en effet vu passer pas mal de choses à ce sujet.

Mon commentaire était plus une observation (donc je n'ai certainement ni pensé ni écrit "qu'il n'y a rien")

...

Expand  

Certes. D'autre l'ont tente en ces lieux

  • 4 weeks later...
Posté

En supposant que le grand public soit convaincu par l'argument qu'il peut fortement limiter ses risques face au Covid-19 et d'autres maladie, combien de temps faut-il à, par exemple, un quinquagénaire moyen prêt à faire un effort mais pas trop pour revenir à une bonne situation métabolique ?

  • Yea 1
Posté
  Le 05/03/2021 à 20:54, Sekonda a dit :

En supposant que le grand public soit convaincu par l'argument qu'il peut fortement limiter ses risques face au Covid-19 et d'autres maladie, combien de temps faut-il à, par exemple, un quinquagénaire moyen prêt à faire un effort mais pas trop pour revenir à une bonne situation métabolique ?

Expand  

Ça dépend de la situation de départ. Ah, ça t'aide ça hein ? 

 

D'où part la personne, la masse corporelle d'une part, mais également le fonctionnement métabolique. Tout le monde n'est pas logé à la même enseigne, et l'idée que tout est une question de volonté est fausse, surtout après cinquante ans. Le corps a ses habitudes, et les changer requiert de nécessairement un effort. La volonté, ou avoir un objectif clairement défini, c'est bien, mais le plus important c'est la rigueur, et c'est un effort réel (ça, c'est plus pour répondre à ton "mais pas trop"). 

 

Puisqu'il s'agira principalement du poids, ce qui fonctionne réellement, c'est l'hypocal, et ça aussi, c'est un effort. Une perte peut se faire sur les premières semaines ; Maintenant pour quelque chose de visible et réellement significatif, j'aurai envie de te dire de 3 à 4 mois : c'est généralement vers là dans les études où le plateau principal est atteint. Durée qui pourrait également correspondre à la soutenabilité de telle ou telle diète.  Parce que ça aussi, c'est un effort (promis, j'arrête).

 

 

  • Yea 1
Posté
  Le 05/03/2021 à 20:54, Sekonda a dit :

En supposant que le grand public soit convaincu par l'argument qu'il peut fortement limiter ses risques face au Covid-19 et d'autres maladie, combien de temps faut-il à, par exemple, un quinquagénaire moyen prêt à faire un effort mais pas trop pour revenir à une bonne situation métabolique ?

Expand  

 

Le problème ici c'est de faire face à des habitudes installées depuis des dizaines d'années, et qui pour le quinquagénaire en question sont associées au bien être et à la satisfaction.

La réaction classique lorsqu'on leur parle de se mettre à faire du sport, à renoncer au vin à table, au pain... : à quoi bon vivre dans ce cas ? Autant mourir tout de suite !

Le plus compliqué reste probablement de réaliser une conversion mentale qui sera ensuite le support à un nouveau mode de vie....mais à quoi bon au fond ?

  • Yea 1
Posté

Dans bien des cas, pas la majorite mais bien des cas, quelques semaines.

 

Nous avons deja eu 1 an. La medecine deverait se regarder dans le miroir. 

Posté
  Le 06/03/2021 à 05:19, POE a dit :

 

Le problème ici c'est de faire face à des habitudes installées depuis des dizaines d'années, et qui pour le quinquagénaire en question sont associées au bien être et à la satisfaction.

La réaction classique lorsqu'on leur parle de se mettre à faire du sport, à renoncer au vin à table, au pain... : à quoi bon vivre dans ce cas ? Autant mourir tout de suite !

Le plus compliqué reste probablement de réaliser une conversion mentale qui sera ensuite le support à un nouveau mode de vie....mais à quoi bon au fond ?

Expand  

C'est vrai.

 

Ne perdons pas de vue un gain qui vaut la peine : proteger les autres, ne pas tuer mamie. Nous avons vu que les gens sont sinceres sur ce point et prets a faire beaucoup d'efforts pour. Comme deja partage plus haut, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7130453/

 

Tout gain dans la population, meme 10% des gens, aiderait, comme contribution a l'effort global. Et c'est bien plus scientifique que les confinements, les masques et les fermetures d'ecoles et de commerces. 

 

 

Posté
  Le 05/03/2021 à 20:54, Sekonda a dit :

En supposant que le grand public soit convaincu par l'argument qu'il peut fortement limiter ses risques face au Covid-19 et d'autres maladie, combien de temps faut-il à, par exemple, un quinquagénaire moyen prêt à faire un effort mais pas trop pour revenir à une bonne situation métabolique ?

Expand  

 

Je trouve mes camarades un peu optimistes. Tous les régimes marchent en quelques mois, mais 95% échouent à un horizon de trois ans. Si on parle d'améliorer durablement sa santé à travers une perte de poids, sans attaquer le processus comme un fou furieux et vu l'état moyen des quinquagénaires, je passerais à l'ordre de grandeur du dessus et je dirais 5 ans (chiffre totalement fantaisiste sorti du chapeau).

  • Yea 1

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...