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PJE

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Messages postés par PJE

  1.  

    Paris : enquête ouverte sur le clip de rap violent des collégiens Un clip de rap qui circule sur les réseaux sociaux met en scène des collégiens parisiens mineurs, armés de lames et d'une feuille de boucher. La communauté éducative est en émoi.

    Couteaux et battes de base-ball exhibés, discours de violence et rimes pas aussi riches que les rêves de « billets violets » (500 €) scandés avec des mines de gangsters : le clip de rap mis en ligne le 2 janvier par un producteur nommé Vision Industry est un modèle du genre, défilé de clichés comme il en existe des centaines sur Internet.

     

    A un détail près : les chanteurs et figurants, qui bombent le torse en agitant une feuille de boucher devant la caméra, sont des collégiens mineurs. A la fin des deux minutes trente-sept de vidéo, les deux têtes d'affiche, Resfa et Dimé (surnoms en verlan de Farès et Mehdi), 14 ans, posent avec des enfants encore plus jeunes qu'eux.

    La vidéo, réalisée avec des moyens professionnels pendant les vacances de Noël, a été vue plus de 11 000 fois depuis un mois. Elle a été tournée dans le XVIIIe arrondissement parisien, dans le quartier de la porte de la Chapelle. Une bonne partie des figurants sont scolarisés au collège Daniel-Mayer, un établissement classé en zone d'éducation prioritaire, confronté régulièrement à des problèmes de violence entre les jeunes du quartier et leurs rivaux désignés du XIXe arrondissement tout proche. Il en est question dans la chanson, ode à la baston et à l'argent facile. « Que des coups de machette, ouais, chez nous tout s'achète », rappent les enfants, qui se posent en caïds : « Mes gars sur le rainté (NDLR : terrain en verlan) veulent se faire d'la monnaie sans se faire menotter », scandent-ils. Puis : « Sortez les tarpé (pétards), pas besoin du 9M (arme de calibre 9 mm) pour vous faire cavaler.  »

    Pour la communauté enseignante du secteur, le clip est la cerise sur un gâteau plutôt amer. L'année scolaire dernière, un jeune de 16 ans a été blessé au couteau sur la place située devant le collège...

    Les producteurs « ont fait un prix, parce qu'on est des petits »

    Dans l'affaire du clip, « une enquête a été ouverte par le parquet de Paris », explique une source proche du dossier. La responsabilité de la société de production, Vision Industry, doit notamment être éclaircie. Ce label, qui n'a pas répondu à nos sollicitations d'interviews, publie régulièrement sur les réseaux sociaux d'autres clips de rappeurs franciliens, qui mettent en scène leur ego à grand renfort d'armes, de joints, de roues arrière à scooter et de voitures chères louées pour l'occasion.

    Pour le clip des mini-rappeurs du XVIIIe, les producteurs « ont fait un prix, parce qu'on est des petits », avance un groupe de collégiens, rencontrés lundi à la sortie des cours. Ils évoquent une somme « entre 100 et 200 € » pour la réalisation de la vidéo. Deux d'entre eux y ont participé comme figurants. « Je n'étais pas avec un couteau, moi, je ne risque rien », précise le plus grand, conscient que l'affaire, qui commence à s'ébruiter, pourrait lui valoir quelques soucis avec sa « daronne » (sa maman, en argot). Les autres, tout à leur idée de « tourner un nouveau clip » et de « passer à la télé », semblent moins au fait des répercussions de leur aventure musicale. Pour eux, le clip est avant tout « un délire ».

     

    « Cette vidéo montre ce qui fascine nos élèves »

    Monter un rocher sur la montagne, mètre après mètre... et le voir dégringoler dès la sonnerie de la fin des cours. C'est un peu l'impression de la direction du collège Daniel-Mayer (Paris XVIIIe), qui a alerté le commissariat après avoir découvert ses élèves singeant des dealeurs, lame à la main, sur Internet. « Cette vidéo montre ce qui fascine nos élèves, il faut absolument regarder la réalité en face et travailler dessus, sans quoi on restera avec deux mondes : d'un côté l'école avec un discours angélique sur la pédagogie et les valeurs républicaines, et de l'autre la culture de la société de consommation », prévient la principale, Catherine Donohue-Weill, arrivée depuis un an dans l'établissement. En colère contre les producteurs « qui ont vendu un service à des mineurs, probablement sans aucune autorisation parentale », la principale condamne « une apologie de la violence », apanage selon elle « d'une jeunesse qui s'ennuie » en plein Paris, au milieu d'un tissu d'associations et de lieux culturels dont elle n'a souvent même pas connaissance.

    Le collège, qui a emmené une cinquantaine de ses élèves aux vœux de François Hollande à la jeunesse mi-janvier, multiplie les actions de prévention de la violence, d'insertion par le sport et d'ouverture culturelle. Avec l'espoir que ces gouttes d'eau finissent par détourner les ados de leurs si chères guerres de bandes.

    http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75018/paris-enquete-ouverte-sur-le-clip-de-rap-violent-des-collegiens-02-02-2016-5507431.php

  2.  

    Les hauts magistrats dénoncent l'affaiblissement de la justice CRITIQUE - Les premier président de la Cours de cassation monte notamment au créneau contre l'affaiblissement de l'autorité judiciaire.

    Le ton monte d'un cran.Déjà remontés contre la faiblesse de leurs moyens, les plus hauts magistrats de France - le premier président de la Cour de cassation et des Cours d'appel - publient pour la première fois une déclaration commune très solennelle, pour demander au gouvernement de garantir le rôle de l'autorité judiciaire en cette période d'état d'urgence.

    Une prise de position "assez rare". "C'est assez rare, d'autant plus que là, ce sont les responsables de l'institution judiciaire qui s'expriment, y compris la Cour de cassation, donc c'est un message très, très important", relève Denis Salas, magistrat et directeur de la revue Les Cahiers de la Justice. "En période d'état d'urgence, où les libertés sont menacées, ils disent 'attention, ne continuons pas à développer les pouvoirs de la police, à porter atteinte à nos libertés. Faisons attention à ce que la place du juge soit garantie, notamment dans cette période'", explique-t-il.

    Un transfert de compétences qui passe mal.Toutes les mesures rendues possibles par l'état d'urgence, comme les assignations à résidence ou encore les perquisitions administratives, ne sont pas contrôlées par les juges judiciaires. Ce sont les tribunaux administratifs et, au bout de la chaîne, le Conseil d'Etat qui en sont chargés. Le Conseil d'Etat est composé en grande partie d'énarques, passés parfois par des cabinets ministériels. Ce n'est donc pas la même culture judiciaire.

    "Le recul du juge est toujours dangereux pour les libertés individuelles". "Le premier président envoie un message au président de la République, au gouvernement, aux politiques, en disant 'attention, respectez la Constitution face à un glissement sécuritaire de nos sociétés'. En Pologne, en Hongrie, à qui enlève-t-on les pouvoirs ? Aux juges. Autrement dit, le recul du droit, le recul du juge sont toujours dangereux pour les libertés individuelles", décrypte Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Le communiqué a été voté lundi par une très large majorité. Dans cet univers très feutré de la haute magistrature, il est le signe d'une grande exaspération.

    http://www.europe1.fr/societe/les-hauts-magistrats-denoncent-laffaiblissement-de-la-justice-2661009

  3. Oui, mais ils sont tout de même contents pour eux donc ils répondent "Très bien" ou "Plutôt bien" à toutes les questions, non ? :jesaispo:

     

    Sinon, PJE tu peux nous donner la source de cette image ? Histoire de voir les autres questions qui ont été posées.

     

    Dans les diapos en bas de la page.

     

    http://www.ipsos.fr/decrypter-societe/2016-01-31-perceptions-et-attentes-population-juive-rapport-l-autre-et-aux-minorites

     

  4. J'ai grandi avec le club dorothee puis les minikeums. D'autres ont grandi avec les Simpson, Bob l'éponge, Goldorak, Capitaine Flam...

    Ouais bon ok je lui ai un peu soufflé dans les bronches. Mais c'est bien comme ça, il connaît le décor :D

     

    C'est du chinois ce que tu racontes pour les 92 du forum.

  5. Guardiola en Angleterre, c'est bien ce que je pensais, le niveau de cet entraineur est en train de s'écrouler

     

    J'espère que José va signer dans l'autre club de la ville histoire de mettre de l'ambiance.

     

    Ca bruisse pas mal pour la vente de l'OM. Milliardaire suisse ou mystérieux investisseur du golfe, du coté de la commanderie, on ne prend plus la peine de démentir...

     

    On a bien un prince saoudien sorti de nul part qui a investi à Nice la semaine dernière. Tout est possible.

  6.  

    Allemagne-Ryanair met la pression sur Eurowings et Lufthansa
    * Débuts difficiles pour Eurowings, filiale low-cost de Lufthansa     * Ryanair veut quadrupler sa part de marché en Allemagne en 5 ans      par Victoria Bryan     BERLIN, 1er février (Reuters) - Ryanair  RYA.I  devrait transporter plus de passagers que la Lufthansa  LHAG.DE  cette année pour la première fois, mettant la pression sur la compagnie allemande qui peine à imposer sa nouvelle filiale Eurowings sur le marché du low-cost.     Lufthansa a déjà commencé à pénétrer ce segment du marché avec sa marque Germanwings, dont le nom va disparaître avec son intégration à Eurowings.     Germanwings, dont la réorganisation était programmée avant même la catastrophe aérienne de mars dernier due au suicide d'un copilote, devrait réaliser un bénéfice cette année pour la première fois de son histoire. Mais ses coûts restent trop élevés pour concurrencer sérieusement easyJet  EZJ.L  ou Ryanair, qui a transporté 101 millions de passagers l'an dernier contre 108 millions pour la Lufthansa.     Lufthansa espère ramener ses coûts au niveau de ceux d'easyJet en imposant des contrats de travail plus flexibles à son personnel, en remplaçant ses avions de transport régional par des Airbus A320 à plus grande capacité et en limitant les services à bord.     "Eurowings est crucial pour Lufthansa. L'expérience Germanwings n'a pas marché parce que ce n'était pas assez low-cost, mais Eurowings devrait avoir une plus grande flexibilité en matière sociale et des coûts unitaires plus bas", déclare Jonathan Wober, analyste au CAPA-Centre for Aviation.     Les enjeux sont importants alors que le marché allemand du low-cost, longtemps à la traîne, semble sur le point de décoller enfin grâce à la croissance robuste de l'économie et au bas niveau des prix du pétrole.     Avec Eurowings, Lufthansa espère imposer des réductions de coûts à son personnel comme a réussi à le faire IAG  ICAG.L , la maison mère de British Airways, dans un marché hautement concurrentiel.     Mais les débuts d'Eurowings ont été gâchés par une série de contretemps, notamment un retard de 68 heures pour un vol de Cuba, qui ont contraint la compagnie à indemniser des clients furieux.     "Pour être honnête cela ne s'est pas bien passé mais nous faisons maintenant tout notre possible pour stabiliser la situation", a dit un porte-parole, en soulignant que l'avenir d'Eurowings n'était pas remis en question.          CULTURE D'ENTREPRISE     Les compagnies low-cost ne détiennent que 25% du marché allemands des court-courriers, contre 50% dans des pays comme le Royaume-Uni, l'Espagne ou l'Italie.     Les frais élevés demandés par les aéroports allemands et la domination traditionnelle de Lufthansa et d'Air Berlin  AB1.DE , qui contrôlent environ 60% du segment des vols court-courriers dans le pays, ont jusqu'ici contenu les ardeurs de Ryanair et d'easyJet.     Mais Air Berlin supprime des liaisons dans le cadre de sa restructuration et la réorganisation de Lufthansa se fait aussi au détriment de certains aéroports, qui du coup se montrent plus coopératifs envers les compagnies étrangères.     "Des aéroports (...) travaillent activement avec nous et d'autres, nous demandant de venir", a déclaré Michael O'Leary, le directeur général de Ryanair, en marge d'une conférence à Amsterdam le mois dernier.     La compagnie irlandaise vise une part de marché de 15-20% en Allemagne sur les cinq prochaines années, contre 5% actuellement.     Outre Ryanair et easyJet, les deux premières compagnies low-cost en Europe, d'autres concurrents plus petits veulent aussi leur part du gâteau comme Vueling (groupe IAG), Transavia (groupe Air France-KLM  AIRF.PA ), Wizz Air  WIZZ.L  ou l'islandais Wow Air.     Pour Jonathan Wober, l'analyste de CAPA, Lufthansa devra réussir avec Eurowings à imprimer une nouvelle culture d'entreprise comme a su le faire Willie Walsh, le patron d'IAG, en regroupant Iberia et British Airways puis en leur ajoutant Vueling, acquise en 2013.     "Vueling nous a apporté une nouvelle dimension, (...) une culture du low-cost. Cela apporte énormément à IAG", a dit ce dernier lors d'un déplacement à Dublin en janvier.     Lufthansa, qui a essuyé une série de grèves de ses pilotes et de son personnel de cabine ces deux dernières années, compte embaucher 4.000 nouveaux collaborateurs cette année, dont 240 pilotes -- parmi lesquels 140 voleront sur Eurowings.     "C'est un moyen de dire au personnel en place que la direction ira jusqu'au bout de son projet et prendra d'autres personnes avec des contrats plus flexibles", veut croire Jonathan Wober.     Mais d'autres mettent en doute la stratégie de Lufthansa consistant à proposer des vols long-courriers à des prix imbattables en plus de son offre traditionnelle. "Les avions d'aujourd'hui sont encore trop chers pour ce modèle économique", dit Philipp Goedeking, du cabinet de conseil Avinomics.     Norwegian Air  NWC.OL  propose également des vols longue distance mais avec des Boeing 787  BA.N  neufs, quand Eurowings utilise des Airbus A330 d'occasion.     "On ne peut pas faire un service long-courrier profitable avec de vieux avions", a déclaré à Reuters Bjørn Kjos, le directeur général de la compagnie norvégienne.   (avec la contribution de Peter Maushagen, Véronique Tison pour le service français) 

    http://www.boursorama.com/actualites/allemagne-ryanair-met-la-pression-sur-eurowings-et-lufthansa-e3f8dd3b8bf43422494f19c553d4c7d7

     

     

    Air France-KLM : la facture carburant pourrait chuter de 2 milliards de dollars en 2016 Avec un prix moyen du baril autour de 30 dollars sur l'année, la réduction de la facture kérosène pourrait atteindre jusqu'à 2 milliards de dollars en 2016 selon des sources internes. Mais une partie de ces économies sera absorbée par une baisse du prix des billets.

    Près de 2 milliards de dollars ! C'est, selon des sources internes, le montant colossal de la baisse de la facture carburant dont bénéficierait en 2016 Air France-KLM si les cours du prix restaient sur l'année au niveau observé ces derniers jours, autour de 30 dollars (ils sont repassés au-dessus de 30 dollars depuis jeudi). Un chiffre qui tient compte des niveaux de couverture du groupe pour l'année, moins importants que l'an dernier, et de la parité actuelle entre l'euro et le dollar.

    Baisse de la recette unitaire

    De fait, sauf retournement brutal de tendance, l'année 2016 sera l'une des deux meilleures années du groupe depuis sa création en 2004. Le résultat d'exploitation sera en effet soit proche du record enregistré à l'issue de l'exercice 2007/2008 (1,4 milliard d'euros), soit au-dessus.

    Tout dépendra en fait de la capacité d'Air France à conserver le maximum de ces économies après avoir rendu une partie de cette manne aux clients sous forme de baisse de prix. Ce gain net s'ajoutera ainsi au montant des profits engrangés en 2015, soit plus de 700 millions d'euros de bénéfices d'exploitation, selon nos sources. Les résultats seront publiés le 18 février.

    La part des économies nettes est très compliquée à prévoir. La baisse du prix du baril va entraîner celle des prix et de la recette unitaire. Certains analystes estiment le gain net à 600 millions d'euros. Ce qui porterait du coup le résultat d'exploitation en 2016 aux alentours de 1,4 milliard d'euros.

    Les négociations avec les syndicats au point mort

    De quoi permettre à Air France-KLM, en théorie, de préparer l'avenir dans la sérénité. Car le baril ne restera pas à ce niveau éternellement. Si KLM a réussi l'an dernier à négocier avec les syndicats des accords d'amélioration de la productivité du personnel, l'affaire est mal emboîtée à Air France.

    Mardi dernier, l'intersyndicale a rejeté le dernier projet présenté par la direction le 15 janvier, lequel prévoyait une hausse des capacités (en sièges kilomètres offerts) de 2 à 3% par an entre 2017 et 2020, après une baisse de 3% en 2016 par rapport à 2015. En contrepartie, la direction demande toujours une hausse de la productivité du personnel, dont une partie des syndicats ne veut visiblement pas entendre parler. L'affaire est en effet compliquée, car il est évidemment beaucoup plus difficile de demander des efforts aux salariés quand les résultats sont bons que l'inverse.

    Un précédent entre 2004 et 2008

    C'est pourtant l'un des points qui fut l'origine des difficultés d'Air France entre 2008 et 2014. Faute d'avoir pris de mesures de baisse de coûts suffisantes durant les années fastes 2004-2008, Air France est entrée dans la crise de 2008 la moins bien préparée (en 2008, une hausse salariale de 3% a été accordée et le contrat fixant les conditions de travail et de rémunération des PNC a fortement augmenté les coûts de la compagnie) avant d'être celle qui, une fois dans la crise, a été la plus longue à réagir.

    En 2004 et 2008, les gains de productivité étaient essentiellement réalisés par la croissance des capacités (environ de 5% par an) avec un effectif quasi constant. Une stratégie que cherche à l'évidence à dupliquer aujourd'hui les syndicats en demandant une croissance supérieure à celle envisagée par la direction (2 à 3% par an d'ici à 2020). Cela permettrait effectivement de réduire les coûts unitaires. En revanche, sans de nouvelles mesures d'amélioration de la productivité, une telle stratégie risquerait de mettre l'entreprise à nouveau en difficulté lors du prochain retournement de cycle. Comme le rappelle un syndicaliste, l'amélioration des comptes d'Air France et d'Air France-KLM ne signifie pas en effet que l'écart de compétitivité avec ses concurrents se réduit.

    Dans ce débat, Lufthansa n'entend pas baisser la garde malgré des bénéfices confortables (1,8 milliard de bénéfices d'exploitation). Pas sûr en effet qu'à défaut d'accord avec les pilotes pour baisser leurs coûts, la croissance se fasse en son sein. Si elle ne devait concerner que les autres compagnies du groupe (Swiss, Austrian, Eurowings), le coût de cette attrition naturelle pourrait être considérable pour Lufthansa.  Près de 150 avions sur 10 ans, estime même un expert.

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/air-france-klm-la-facture-carburant-pourrait-chuter-de-2-milliards-de-dollars-en-2016-546747.html

  7. L'Espanyol n'a jamais habitué à jouer face au Real. Contre le Barça ils mettent des semelles, contre le Real  et les 18 autres équipes ils leur montrent les fesses. C'est un peu l'équipe la plus inutile de la liga.

     

     

    C'est le derby de Barcelone, il est donc normal que la petite équipe sorte la boîte à gifle et monte la barre de coupe à hauteur des genoux. C'est une question de fierté.

    C'est comme le derby de Madrid qui ressemble souvent à duel de voyous plus qu'à un match de foot malgré le talent des deux cotés.

     

    J'ai aussi vu la très belle prestation de bouchers de l'Atletico face à Barcelone ce week-end avec des tacles très sales.

     

  8. Belle première mi-temps des Verts!

     

    Ça fait vraiment plaisir de voir une équipe tenter des choses face au PSG en L1.

     

     

    Dans le même temps, le Real s'amuse face à l'Espanyol Barcelone (4 à 0 pour le moment).

     

    Ronaldo a déjà inscrit un doublé, dont ce but magnifique :

     

     

    http://www.beinsports.com/france/la-liga/video/le-superbe-but-de-ronaldo/188684

     

     

    On se croirait sur FIFA 16.

     

    J'ai regardé les 30 premières minutes du Real avant le PSG. L'affaire était pliée en 15 minutes comme lors des matchs précédents à domicile. Ils attaquent pied au plancher en début de match avec un gros pressing et des latéraux placés très haut qui pressent dans le camps adverse à la perte du ballon. C'est irrespirable pour l'équipe visiteuse si elle n'a pas les qualités techniques pour ressortir proprement les ballons.

  9. Tu dis ça, mais ton billet sur betclic, tu l'as quand même pas mis sur l'ASSE? :D

     

    Contre Lyon, l'ASSE avait fait un match merdique en étant dominé dans le jeu et avait gagné 1-0 sur un but de raccroc. Cette équipe de bûcherons qui a du mal à se faire 3 passes peut l'emporter ce soir.

     

  10. Ce soir Saint-Etienne peut taper le PSG. Le PSG joue avec une charnière expérimentale jeune et un milieu de terrain pas du tout complémentaire. On a tellement d'absents qu'on a juste pu inscrire 17 joueurs sur la feuille de match au lieu de 18.

     

     

    PSG : Trapp – Maxwell, Kimpembe, Marquinhos, Aurier – Matuidi, Motta, Stambouli – Di Maria – Lucas, Ibrahimovic ©.
    Remplaçants : Douchez, Rimane, Nkunku, Verratti, Augustin, Cavani.

     

  11. J'ai aussi des echos qu'a chaque nouvelle assemblee nationale elue (notamment celle qu'on a en ce moment) il y a toute une farandole de nouveaux deputes completement allumes qui veulent imposer des amendements, taxes & co et que les hauts fonctionnaires de Bercy qui sont etatistes mais pas demeures court-circuitent a tour de bras.

     

    Quand tu vois ceux qui sont considérés comme les cerveaux du groupe, tu prends peur.

     

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  12. Brandao, un mec détestable, pas très intelligent, avec une technique proche du néant mais qui ne marque presque que des buts importants.

    Ce mec reste un mystère pour moi.

     

    Un attaquant "physico-physique" parfait pour les équipes qui ne jouent pas au foot en L1. Il suffit de balancer des grands ballons devant sur sa tête.

     

    L'entraînement de l'Inter Milan avant le derby. Les types sont bouillants.

     

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  13. Il faudrait que Lyon profite de la lourde défaite de Monaco à Angers pour remonter vers le podium.

    Mais face à Bastia Lyon domine stérilement, cafouille toujours devant le but adverse et n'arrive pas à cadrer ses tirs durant toute la première mi-temps.

    Je crains qu'on le paie cash d'ici la fin du match. Une fois encore..

    .

     

    But de Brandao au moment où je commençais à m'endormir. Pierre-Yves André au commentaire, j'ai rarement vu pire.

     

  14. Je suppose que le terme fonds infinis se rapporte à cette fameuse caverne d'Ali-Baba qui fait fantasmer joueurs,agents, cadres, journaleux, supporters etc...

     

    A mon avis, avec le cours du brut à 32 dollars le baril, c'est la fin de l'Open-Bar.

     

    Ils vont juste prendre leurs bénéfices.... s'il y a; puis on va pas tarder à revoir un Sébastien Bazin ou un Vincent Bolloré au PSG

     

     

    Le fonds souverain du Qatar pèse 260 milliards de dollars, tu peux toujours prendre ton rêve pour la réalité.

  15. Vous réalisez que ce dont il est question d'après l'article est la possibilité de faire ce qu'une boite de nuit fait normalement, à savoir refuser l'entrée à ceux qu'elle juge indigne d'obtenir le sésame?

    Après on pourrait peut être arguer que dans la mesure où les clubs sont subventionnés, les contribuables nets devraient avoir leur mot à dire, mais c'est autre chose que "ouh le fichage c'est mal".

     

    De mémoire, si tu es interdit de stade tu dois pointer au commissariat les jours de matchs. Ça m'avait choqué quand j'avais lu le texte.

  16. Brice Hortefeux et Nicolas Sarkozy avaient montré le chemin en fracassant les associations de supporters du PSG. Cette année, les préfets refusent les déplacements de supporters adverses même pour des matchs sans risque. Tout va bien dans le foot français à quelques mois de l'euro 2016...

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