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José

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Tout ce qui a été posté par José

  1. Qu'est-ce que cela veut dire "un peu friqué" ? C'est bien du dernier mauvais goût. Ce sur quoi il ne faut jamais transiger, ce sont les matières (coton, laine, lin, soie et cuir) et les mensurations (épaulettes qui prennent exactement ta largeur, pan de du veston qui tombe à la moitié de ta paume, pantalon qui fait un seul pli souple sur ta chaussure, chemise dépassant d'un centimètre col et manches du veston, etc.) Le reste, on s'en bat l'oeil et surtout les marques. Si tu as la chance d'être bien conformé et de ne pas être obligé de passer par le tailleur, tu peux, sans rougir, monter ta garde-robe chez Marx & Spencer (chose que je faisais jusqu'à ce que la chaîne disparaisse de Belgique).
  2. C'est incompatible. C'est comme ça, c'est la vie. Le seul dandy élégant fut le Beau Brummel, qui établit les canons définitifs de l'élégance masculine moderne : porter avec discrétion le vêtement approprié à la circonstance.
  3. Tu rêves d'être un dandy ? Ou élégant ?
  4. Un article intéressant qui tendrait à montrer que la démagogie et l'alarmisme écocondriaque ne provoquent qu'indifférence. Les gens seraient-ils finalement moins sots que ne le veulent les étatistes de tous les partis ? http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/6655449.stm
  5. D'où vient-il précisément ton papounet ?
  6. Ben rien, voyons ! C'est aux autres de se serrer la ceinture. Surtout les plus pauvres, surtout ceux du Tiers-monde. Autant dire zéro. Merde, t'as pas honte.
  7. Tu voudrais nous dire que les États-Unis auraient signé le protocole de Kyoto ? Yep, dont, au minimum, autant de climatologues que dans le GIEC. Se refusent à se soumettre au diktat de Kyoto. Non, une prise de conscience contre la pollution en général. Sans se prononcer sur la réalité du lien entre l'activité humaine et le supposé réchauffement climatique. C'était quoi encore ton pseudo ?
  8. Sauf les États-Unis, le Canada, l'Australie, la Chine, l'Inde, le Japon, la Corée du Sud, etc. Pas mal le groupuscule : des dizaines de milliers de scientifiques, les gouvernements de pays parmi les plus puissants de la Terre, etc. Entre ne rien faire et courir telle une poule à qui l'on aurait coupé la tête, comme le font les écocondriaques, il y a une autre solution, plus libérale, mais surtout plus réaliste : celle de l'APPCDC, le nouvel accord volontaire qui concerne des pays qui émettent 40% des gaz à effet de serre (États-Unis, Canada, Australie, Chine, Inde, Japon,Corée du Sud, etc.) L'APPCDC prévoit le transfert de technologies propres des pays développés vers les pays qui le sont moins et qui utilisent, par conséquent des technologies obsolètes et plus polluantes. C'est un pari sur la technologie et le développement économique. Exactement l'opposé de la philosophie du Protocole de Kyoto. http://en.wikipedia.org/wiki/Asia_Pacific_…ent_and_Climate Non. Et personne ne le sait car c'est simplement impossible à calculer de manière scientifique.
  9. Non ? C'est vrai ? Ah oui, c'est marqué : "We urge the United States government to reject the global warming agreement that was written in Kyoto…" C'était quoi encore ton pseudo ? Dites donc, ils ont les moyens, les pétroliers : arroser des dizaines de milliers de scientifiques dans le monde. Ceci dit, pourquoi tellement accuser à tort les 99% des scientiques sceptiques quant au réchauffement climatique d'être soudoyés par les pétroliers, et ne pas protester du fait que l'écrasante majorité des scientifiques qui essaient de nous vendre ce délire écocondriaque vivent, eux, des subsides de l'État ou d'organisations écologistes. Oui : c'est la marque de l'honnête homme.
  10. Le GIEC n'a jamais apporté une seule preuve du supposé lien entre l'activité humaine et le réchauffement climatique. Il se borne seulement à dire qu'il existe une forte probabilité que ce lien existe. Chose que conteste des dizaines de milliers de scientifiques à travers le monde.
  11. Mauvaise foi. Quand tu nous tiens… Tu nous a fait état d'un soi-disant consensus scientifique. Je te signale simplement que celui-ci n'a jamais existé et t'en donne la preuve. Faire des calculs sur un phénomène imprévisible et improbable relève plus de la haute voltige que de la démarche scientifique. Pallier aux insuffisances des industries polluantes ? Que veut dire ce charabia ? Avec le réchauffement climatique, on ne pourra donc plus produire de peinture, de pâte à papier, d'aluminium… N'importe quoi, donc. Sinon, ici, nous avons tous compris parfaitement que l'épouvantail du réchauffement climatique sera instrumentalisé par l'État pour lui permettre de spolier encore plus les gens.
  12. Justement non. Comme le rappelent les 20.000 scientifiques qui ont signé la pétition d'Oregon : Et elles ont bien raison. Ruiner l'économie pour satisfaire des délires d'éconcondriaques, on comprend qu'elles résistent.
  13. Peut-être en France, pays où le droit passe après l'État. Mais aux États-Unis, c'est une autre question. Déjà entendu parler des class action ? Aux États-Unis, ils auraient été dédommagés. (Mais, évidemment, c'est un pays où les droits des gens veulent encore dire quelque chose). Pour te distraire : Tragédie des biens communs : http://www.quebecoislibre.org/000122-3.htm http://www.quebecoislibre.org/000205-3.htm Tout à fait : un tribunal qui règlera le problème du dédommagement par autrui de la propriété d'une personne. Et pourquoi donc ? Si personne ne s'y oppose. Et ceux qui s'y opposent ont la solution : acheter le terrain pour éviter la construction de la tour ou prouver devant un tribunal que cette tour leur porte un préjudice à leur propriété.
  14. Il est des plus courant de voir des assemblées d'actionnaires s'autoriser à bénéficier de certaines des installations de l'entreprise. Pas forcément. Mais un propriétaire peut réclamer des dommages - si l'air transporte sur sa propriété des produits dangeureux et toxiques - à la personne qui est à l'origine de cette pollution. C'est d'ailleurs ainsi que cela fonctionne aujourd'hui.
  15. C'est simplement faux : tu ne peux pas utiliser à ta guise les biens de l'État, ni les louer, ni les vendre, ni rien. L'État te tolère éventuellement sur son bien. Il ne s'agit pas là de "propriété commune" mais bien de copropriété privée. Rien à voir avec les propriétés étatiques : tu n'es pas copropriétaire des parcs nationaux, de la mer territoriale, du Musée du Louvre, etc. Non, parce que le salarié tire bien son salaire du fruit de l'exploitation bénéficiaire de l'entreprise. Il sait bien que s'il salope le boulot, à terme son job et son salaire sont menacés. Mais surtout, l'entreprise a toujours un propriétaire qui lui veillera sur son bien et si un salarié merde vraiment trop, il le virera pour protéger son bien. Chose que ne fait et ne fera jamais l'État. Hypothèse d'école dans nos contrées. Aucune espèce d'importance dès lors que l'agent n'a aucun intérêt pécuniaire à bien gérer le domaine de l'État. Il sait que son salaire vient d'ailleurs. Et quand ce salaire ne vient pas, comme on le voit dans certains pays du Tiers-monde, l'agent n'est pas plus motivé que cela à la bonne gestion du domaine de l'État. Tout ce qu'il fait, c'est racketter la population (pots-de-vin, bakchichs, etc.)
  16. Si, d'une certaine manière, puisqu'il l'a laissé entrer dans les eaux territoriales sans le contrôler suffisament. On peut imaginer sans peine qu'un propriétaire privé contrôlerait mieux ce qui passe sur sa propriété. Mais là n'est pas vraiment le point que je soulevais. La question est de savoir pourquoi ces sont justement les propriétés étatiques qui sont les plus polluées. Simplement parce que l'État est un mauvais gestionnaire et parce que les agents de l'État n'ont aucune raison de se fouler pour faire respecter un bien qui n'appartient à personne, alors que leur salaire sera de toute manière payé via l'impôt et non pas sur base des fruits de la saine gestion du patrimoine de l'État. Pire, les agents de l'État, contrairement à un propriétaire privé, sont toujours susceptibles d'être corrompus. Il ne pollue pas lui-même, mais il est bien responsable. Pour prendre un exemple illustratif, prenons la gestion forestière dans deux pays différents, le Brésil et la France. En France, la majorité des forêts sont privées. Ce qui fait que le domaine forestier français ne fait que croître et prospérer depuis des décennies. De l'autre côté de l'Atlantique, le Brésil est propriétaire de la forêt amazonienne et donne des permis d'exploitation. Et la forêt amazonienne dépérit car les exploitants forestiers, avec leur permis provisoires en poche, n'ont aucun intérêt à bien gérer le domaine forestier, mais bien à couper un maixum d'arbres le plus rapidement possible. Quelques libéraux… et près de 20.000 scientifiques : http://www.oism.org/pproject/s33p37.htm Tout à fait. Et pourquoi donc cela ? Simplement parce que le droit en général et le droit de propriété en particulier sont bien mieux protégés aux États-Unis qu'au Libéria. Encore une fois, compare et tu verras que les pays les moins pollués sont ceux où les doits de propriété sont les mieux respectés. Actuellement, personne. C'est bien là la tragédie des communs. La solution passe par la propriété privée de la rivière.
  17. C'est-à-dire à personne. Le droit de propriété commun n'existe pas. Existe par contre des propriétés de l'État (où les particuliers ne sont pas particulièrement les bienvenus), le plus mauvais gestionnaire qui puisse exister. Encore une fois, une foultitude de cas démontre l'inverse. Allez, hop, encore un exemple : on ne manquera jamais de porcs, ni de moutons, ni de boeufs car ils appartiennent tous à un propriétaire privé. Par contre, les réserves halieutiques (biens communs, de tous, mais de personne) sont toujours menacées. Tout à fait. Cela a toujours été ainsi et cela le sera toujours, car les agents de l'État censés faire respecter non pas le droit, mais la loi, ne sont aucunement motivés à la conservation de la propriété de l'État, leur salaire venant de l'impôt et non pas du fruit de la bonne gestion de la propriété étatique. Certes les intérêts sont contradictoires, mais le droit est facile à déterminer et il n'est nullement contradictoire : celui qui porte atteinte à la propriété d'autrui doit dédommager le propriétaire lésé. Tous les jours des millions de conflits entre propriétaires se règlent ainsi dans le monde. Et cela depuis des milliers d'années.
  18. Vision étatique. La loi n'est pas le droit. Dans une société libérale, le tribunal fait respecter le droit. En l'occurence, le droit de propriété, qui s'applique très simplement : celui qui pollue ma propriété doit payer. Justement, la vie et l'expérience nous démontrent que cela n'est pas vrai : la mer, les rivières, propriétés publiques sont polluées sans cesse. Par contre, le domaine forestier français ne cesse de croître et prospérer car il est essentiellement privé. L'éléphant d'Afrique est menacé d'extinction car il n'appartient à personne, alors que jamais son cousin indien ne disparaîtra (alors même que la pression démographique humaine est des dizaines de fois supérieure) parce qu'il est toujours la propriété de quelqu'un. Etc., etc.
  19. Encore une fois, comme tu le constates toi-même, les principaux moteurs de la pollution sont l'État, la tragédie des communs et l'absence de protection de la propriété. Il saute aux yeux que les plus grandes catastrophes écologiques et les plus haut taux de pollution concernent des biens dont le droit de propriété est des plus faibles. Les accidents maritimes se produisent en mer, sous contrôle de l'État. De même, le déversements contaminants dans les eaux souterraines ou de surface (propriétés de l'État). Par contre, il est beaucoup plus rare de constater des pollutions significatives dans des terrains privés. De fait, la propriété privée est le meilleur allié de l'environnement. Ainsi, tout bêtement, il ne viendra jamais à quelqu'un l'idée de jeter un papier gras dans un maison où l'on aurait été invité. Mais que dire, lorsque l'on se trouve dans une propriété publique comme la rue. D'un côté nous avons un propriétaire qui veille sur son bien et cherche à le protéger et qui n'épargnera pas ses efforts, son temps et son argent pour lui conserver sa valeur. De l'autre, nous avons l'État dont nous connaissons tous la gestion calamiteuse des biens sous sa tutelle. Et même si un propriétaire acceptait une compensation pour voir sa propriété polluée, ses voisins pourraient lui réclamer également une compensation si cette pollution devait déborder sur d'autres propriétés. Au final, la pollution se révélant trop onéreuse, le pollueur original se verra bien forcé par les propriétaires l'entourant à assainir sa production. Voilà donc bien la meilleure solution pour combattre la pollution : droit de propriété et tribunal.
  20. Dans 7 cas sur 10, l'État, le premier et le plus grand pollueur qui ait jamais existé.
  21. Non, il passe par la liberté d'information. Ainsi, les premières associations de défense des consommateurs (et les plus puissantes) sont apparues aux États-Unis. Figure-toi que c'est bien au McDonald's ou au Quick que l'on a le plus d'information sur ce que l'on mange (calories, lipides, glucides, etc.). Contrairement au resto de province qui sent si bon le terroir. C'est là un problème qui concerne les parents, pas l'État. À part trois tarés congénital que même l'État ne pourra pas sauver, tout le monde sait que bouffer trois fois par jour tous les jours aux MacDo n'est pas sain.
  22. Comment ça à quel prix ? On te l'a dit : plus une société se développe économiquement, plus elle prend soin de la nature. Pour rappel, liste des dix endroits les plus pollués du monde : Tchernobyl, Ukraine Dzerzhinsk, Russie Haina, République dominicaine Kabwe, Zambie La Oroya, Pérou Linfen, Chine Maiuu Suu, Kirghizstan Norilsk, Russie Ranipet, Inde Rudnaya Pristan/Dalnegorsk, Russie http://www.blacksmithinstitute.org/ten.php 7 lieux sur 10 se trouvent dans des anciens pays socialistes à économie gérée par l'État. Et les 3 derniers se situent dans le Tiers-monde. Aucun de ces points noirs ne se situent dans des pays développés. Une preuve supplémentaire que le développement ne s'accompagne pas nécessairement de la pollution. Au contraire, il apparaît qu'au fur et à mesure qu'augmente le développement, après une réelle augmentation de la pollution (jusqu'au alentours des 8.000 à 10.000 dollars de PIB par habitant), la pollution diminue car l'économie permet le développement d'industries plus propres, sans renoncer aux gains de productivité. Ne dis pas les, mais des industriels. Une petite recherche te fera découvrir l'interminable liste des entreprises qui sont bien soucieuses de l'environnement. (Légo, Nokia, etc.)
  23. C'est simplement faux. L'histoire nous a justement démontré que les entrepreneurs sont naturellement économes des ressources. Chose déjà observée par Marx. Et surtout que c'est la recherche du profit qui a permis les améliorations technologiques permettant la conservation écologique. Ainsi, pour prendre un exemple entre mille la surface boisée en France n'a cessé d'augmenter en parallèle avec l'industrialisation de l'agriculture car il est désormais possible de produire plus de nourriture avec beaucoup moins de terre.
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