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Jérôme

Yabon Nonosse
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À propos de Jérôme

  • Date de naissance 14/04/1979

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  1. Heureusement, Rick Scott, Gouverneur de Floride a la solution : Florida Officials Were Barred From Using The Term 'Climate Change' Once Rick Scott Took Power
  2. Voilà un fil qui m'intéresse au plus haut point. 1) Concernant le rôle des pouvoirs publics dans le système ferroviaire, en lisant certains messages, j'ai l'impression qu'il y a une confusion entre les rôles d'arbitre, d'autorité de contrôle ou de gestionnaire d'infrastructure. Or ces différents rôles n'ont rien à voir. Le terme de "chef d'orchestre" employée dans un message est trompeur et dangereux. L'Etat est un très mauvais gestionnaire, producteur et entrepreneur. Ce n'est absolument pas à l'Etat d'entretenir les infrastructures ferroviaires, pas plus que fabriquer des moteurs d'avions ou de cultiver des tomates. A la rigueur, si on lui confère un rôle d'aménagement du territoire, il pourrait construire des infrastructures pour les confier par la suite à des prestataires privés. Je ne vois absolument pas en quoi un organisme public serait nécessaire pour coordonner l'exploitation du réseau. La coordination entre de multiples acteurs aux intérêts différents est très bien assurée par le marché et le processus de concurrence. L'Etat doit se limiter à définir et à faire respecter la réglementation (par exemple en matière de sécurité). 2) Ce qui m'intéresse avant tout c'est la manière transformer un monopole public déficitaire vérolé et paralysé par les syndicats en système concurrentiel efficace. Quelle approche faut-il privilégier ? Une stricte séparation entre gestionnaires d'infrastructures ferroviaires et exploitants, comme en Grande-Bretagne (les gestionnaires d'infrastructures étant bien entendu privatisés), des concessions avec appels d'offres sur chaque ligne, un découpage et une vente de la SCNF ? Que pensez-vous du scénario proposé par Tremendo ?
  3. J'ai été "nonossé" parce n'étant pas anarcap j'accepte l'existence de l'Etat et de l'impôt. Inutile de dire que je n'ai pas trop apprécié... J'ai longtemps hésité à revenir sur le forum... Oui, ce message était ironique.
  4. Bonjour, Les viticulteurs de la côte de Beaune ont été victimes de la grêle, et protestent à juste titre. Comment l'Etat, si bon et si généreux, peut-il laisser la grêle détruire des vignes ? Vous conviendrez tous que c'est inadmissible ? Il faut absoluement aider les viticulteurs. C'est pourquoi je propose d'instaurer une nouvelle taxe exceptionnelle de 0,3%, pardon 0,6% sur les boissons, au nom de la solidarité envers les viticulteurs. C'est une faible taxe, qui ne ruinera personne. Cette taxe, intitulée TSVVCN (Taxe de Solidarité envers les Viticulteurs Victimes de Catastrophes Naturelles) servira notamment à financer une nouvelle commission, la CESCNS (Commission d'Etude et de Surveillance des Catastrophes Naturelles Saisonnières), rassemblant 60 fonctionnaires, qui travaillera afin d'aider les viticulteurs à mieux anticiper et à gérer ce type de catastrophe.
  5. Il faut toujours essayer de prouver ce qu'on affirme, en confrontant une théorie avec la réalité. Comparons la France avec l'Allemagne, où les réglementations concernant l'environnement sont beaucoup plus strictes. Dans quel pays le PIB est-il le plus élevé ? Regardons le Danemark qui applique une taxation beaucoup plus élevée sur l'énergie, la pollution, etc… Où est le taux de chômage le plus bas ? Lorsque l'État intervient pour fournir un bien public ou corriger une externalité négative (pollution…), ce n'est pas une perte. Attention : s'il me semble dans certains cas souhaitable d'appliquer d'appliquer des taxes sur une activité polluante (ou considérée comme nocive pour l'environnement), il est bien évident que subventionner massivement des emplois "verts" constitue un gaspillage. Dans le cas du réchauffement climatique et du CO2, il y a un problème de taille: contrairement aux pollutions classiques pour lesquelles on peut assez facilement estimer les dommages, il existe une forte incertitude sur l'ampleur du problème et sur le niveau optimal de la taxe à appliquer. Ce problème est difficile à résoudre et pourrait justifier au final l'abandon des taxes carbone. Mais il n'autorise pas à faire preuve de malhonnêteté intellectuelle en niant un problème admis par l'écrasante majorité des scientifiques.
  6. Attention: j'estime que le principe de l'impôt est légitime pour financer les missions obligatoires et nécessaires de l'État (justice, sécurité, biens collectifs). En revanche les impôts à leur niveau actuel constituent bien une spoliation et sont illégitimes car l'État outrepasse largement son rôle, gaspille l'argent du contribuable et effectue une redistribution au profit d'intérêts particuliers, sous couvert de "justice sociale" et d'actions économiques. Ajoutons que l'impôt progressif redistributif en vigueur en France est parfaitement illégitime en plus d'être inefficace. Une question intéressante: si l'Etat se recentrait sur ses véritables missions (sécurité, justice, défense, diplomatie, infrastructures de transport, enseignement de base à la limite) quel serait alors le taux de prélèvements obligatoires ?
  7. Je n'ai pas dit que l'impôt était justifié par un dommage. J'ai contesté la définition du vol comme étant un transfert de propriété sous contrainte, avec l'exemple de l'indemnité. Un contrat n'est pas obligatoirement écrit. Lorsqu'on achète des pommes au marché, on ne signe rien. Mais juridiquement il s'agit bien d'un contrat. En droit français de nombreux contrats sont considérés comme valides de fait suite à une action d'un des contractants. Par exemple si vous allez travailler et recevez un salaire vous avez un contrat de travail même si rien n'a été écrit et signé.
  8. Je ne suis pas d'accord avec cette définition. Si vous causez un tort à autrui et qu'on vous impose de lui verser une indemnité (par la contrainte si vous êtes de mauvaise volonté…), il n'y a pas de consentement. Pourtant il ne s'agit pas d'un vol. Il faut donc admettre que l'impôt est un prélèvement d'un type particulier qui n'est ni un échange libre, ni un vol. Mais on pourrait aussi considérer que choisir de résider sur un territoire revient à accepter un "contrat" avec l'État qui administre ce territoire. Dans ce cas l'impôt est bien consenti. Si ça ne vous convient pas, vous pouvez émigrer (et vous installer sur une île libertarienne par exemple).
  9. Quelles sont les mesures empiriques prouvant que ces taxes ont affecté le PIB ? Combien de points de croissance a-t-on perdu à cause de ces taxes ? Quels sont les travaux qui le prouvent ?
  10. Quelle courbe ? Celle dessinée par Claude Allègre et les groupes pétroliers ? Votre discours est en tout point identique à celui des gauchistes qui nient le lien entre imposition et réglementation excessives et difficultés économiques…
  11. Eh bien, retournez à l'école… Pire, je suis un staliniste, d'après ce qu'on m'a dit sur ce forum…
  12. La taxe carbone n'existe pas encore en France. En revanche elle est appliquée en Nouvelle-Zélande, pays qui est souvent cité à juste titre comme modèle du libéralisme. Quel est l'impact des mesures existantes aujourd'hui sur le PIB ? Il faut également regarder le coût du réchauffement climatique, qui est certainement sous-estimé. Il faut bien rappeler qu'une taxe carbone est une taxe pigouvienne qui vise non pas à remplir les caisses de l'État mais à décourager les émissions de CO2, en incitant par exemple à utiliser de nouvelles techniques de production moins polluantes. A mesure que les infrastructures de production et de transport seront modernisées, les émissions de CO2 diminueront et les prélèvements au titre de la taxe aussi. C'est la simple application du principe pollueur-payeur. Bien sûr la méfiance vis-à-vis d'une intervention de l'État sous forme de taxation et de réglementation est pleinement justifiée mais cela n'autorise pas à nier le problème.
  13. Certains esclaves parviennent à s'enfuir, cela ne suffit pas pour rendre l'esclavage non viable économiquement. Rien n'empêcherait un propriétaire de faire travailler des esclaves sur une propriété entourée d'enceinte et sécurisée par les moyens de surveillance modernes. On peut par exemple les équiper de bracelets électroniques pour les localiser facilement. Rien n'empêcherait des esclavagistes d'acheter un territoire, de s'y installer, de le protéger et d'y faire ce qu'ils veulent. Les territoires voisins pourraient éventuellement accueillir les esclaves en fuite mais en aucun cas intervenir. Je ne sais pas où vous allez chercher ça. Ce sont essentiellement la bureaucratie et l'imposition excessives qui ont précipité le déclin économique de l'Empire Romain. Enfin, il faut rappeler les travaux de Robert Fogel qui ont montré que, contrairement à la croyance répandue, l'esclavage dans les États du sud s'avérait parfaitement viable et rentable.
  14. L'idéologie anti-voiture qui vise à pénaliser les automobilistes pour les obliger à prendre des transports en commun publics inconfortables, bondés, sales, mal entretenus, où règne l'insécurité continue de se développer: une pseudo-étude nous explique que les français "ont conscience" que la voiture "coûte plus cher que les transports publics". Le rapport de 1 à 20 donné dans l'article est complètement fantaisiste. Mais surtout on ne compare pas les mêmes services : trajets longs avec de nombreux changements, trafic très faible les jours non ouvrés, absence totale de flexibilité, incompatibilité complète des transports en commun avec les contraintes d'une vie sociale, familiale et professionnelle moderne… Certes on pourrait améliorer sensiblement les transports en commun en les libéralisant et privatisant complètement mais la voiture restera toujours indispensable.
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