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Rincevent

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À propos de Rincevent

  • Date de naissance 08/05/1983

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  • Titre
    Talmudiste-parrhésiaste

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    http://
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    Demandez-le moi par MP !

Profile Information

  • Gender
    Male
  • Lieu
    Près des grottes, pas loin du bout du monde
  • Interests
    Histoire, économie, science-fiction et genres afférents, sciences… Bref, la connaissance dans tous ses domaines ! Sinon l'humour, le coupage de cheveux en quatre et les livres de quelques auteurs dont j'apprécie les thèses et/ou le style.
    Ah oui, le pr0n aussi.

Idées

  • Tendance
    Libéral classique
  • Ma référence
    Revel, Simonnot, Sowell

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  1. Rincevent

    JO 2024: Paris perdu ?

    Le twittôs de base semble avoir du mal à distinguer entre l'allusion et l'hommage d'une part, et la caricature irrespectueuse de l'autre.
  2. Nan mais tu n'imagines pas en fait : quand tu divises le nombre de repas prévus par le nombre d'athlètes, tu as 2,5 repas par jour et pas un de plus. Le fournisseur qui a remporté le contrat est déjà en quasi-rupture de stock sur les œufs et sur la viande (passque le climat, tu comprends).
  3. On m'a parlé de l'alimentation des athlètes : je parie qu'à peu près aucun record ne sera battu lors de ces jeux, tant elle semble catastrophique.
  4. Defund aussi la DGAFP, tiens.
  5. Rincevent

    Au boulot les jeunes

    Économiquement, aucun intérêt. Culturellement, tu fréquentes des gens que tu n'aurais sans doute jamais pu croiser autrement (Ceci étant, le soutien scolaire pour lycéens et collégiens permet aussi de rentrer dans l'intimité de foyers qui ne sont pas du tout de ton milieu, je ne néglige pas ce que ça m'a apporté).
  6. Il me semble me souvenir que la forme bonne du gouvernement du grand nombre chez Aristote ne se nomme pas démocratie, mais politeia, que certains traduisent par République (traduction évidemment imparfaite) ; et qu'au contraire chez lui le terme de démocratie en désigne la forme dégénérée/corrompue. Il en va peut-être différemment chez Polybe, que je n'ai pas lu. Sinon, oui, le terme est d'autant plus pertinent en notre temps de "démocratie d'opinion" menée par les media puis par les réseaux sociaux.
  7. Rincevent

    Shower thoughts

    Non, plutôt comme le Grütli.
  8. Non. C'est un bel exemple de ratage du militantisme libéral : il y a eu un moment où Guéreau se demandait à quoi attribuer et comment qualifier les tares qu'il observait, et diverses belles âmes gauchoïdes lui ont refilé une étiquette dont il a pu se servir sans qu'il ne vérifie ce qu'elle pouvait bien recouvrir. Tout ça parce qu'on n'a pas été là au bon moment pour lui donner la bonne étiquette, et pour lui expliquer en quoi elle était meilleure que les autres.
  9. Ceci. Vivre socialement sous l'identité de l'autre sexe, ça se fait par le travestissement. La transsexualité, c'est entre autres symptômes considérer que, par exemple, la bite que tu as entre les jambes est une excroissance qui n'appartient pas à ton corps et dont tu aimerais te débarrasser, tout comme dans le syndrome du membre étranger. La métaphore est plus profonde qu'il n'y paraît, puisque la transsexualité classique (i.e. non-autogynéphile) est assez souvent accompagnée d'autres anomalies du schéma corporel.
  10. @Marlenus L'Arcom a décidé (ou on a décidé pour elle) d'emmerder Bolloré, mais de jouer la plausible deniability afin que des petits malins puissent trouver cette décision justifiable. Un peu comme, dans un saloon, tu peux justifier que "oups, le coup est parti tout seul" quand tu tires dans le pied du type qui t'emmerde, mais la même justification ne passerait pas si tu lui avais tiré dans le buffet.
  11. Moui alors vu comme certains se comportent, la représentation que certains se font de l'autre sexe est au minimum très caricaturale, et souvent parfaitement fausse. (D'où un grand nombre de déceptions une fois la transition presque achevée). Ça ne semble plus simple que parce qu'on néglige toute cette subtilité (en plus de nier toute la complexité de gestion pour le reste des gens, exemple pour le moins original d'externalités négatives).
  12. J'en viens à croire que les gens ont un certain niveau basal de malheur ou de malheur, qui vient principalement d'eux, de leurs actions et de leurs habitudes ; basal au sens où, si tel ou tel évènement extérieur peut les en écarter à la hausse comme à la baisse, ils y retournent tôt ou tard. La succession de tels évènements nous a appris très tôt que ce qui nous entoure avait une influence sur notre bonheur, mais rares sont ceux qui apprennent que cette influence n'était que temporaire ; ainsi, l'on finit bien vite par attribuer tout notre bonheur ou malheur à des causes extérieures plutôt qu'intérieures, à tort. Au fond, le problème n'est pas tant la facilité de la vie, que le fait que cette facilité décourage les actes et les habitudes (et les perspectives) qui tendent à maintenir un niveau raisonnable de bonheur, parce qu'on éprouve moins le caractère impérieux du besoin de faire l'effort de surnager.
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