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Barem

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Messages postés par Barem

  1. ahah c'est le fail total, d'abord elle te pompe l'info, ensuite elle te pose une question dont elle se fout de la reponse, par politesse, c'est meme pas une reponse interessante, tu dois raconter ta vie, paye ton effort, et la elle te repond un truc desobligeant, mort de rire ! les meufs.

     

    J'ai un peu de mal à te suivre, pourrais tu exprimer ton idée autrement ?

     

     

    Laisse moi deviner: elle est suffisamment mignonne et assez casse couille pour s'être habitué à ce que les "gentils garçons" ne lui refusent pas grand chose ( un cours, une place dans la file d'attente, un détour en voiture...): gentils garçons qu'elle meprise totalement intérieurement.

     

    Pas vraiment ce genre de femme, j'imagine qu'elle n'a pas trop réfléchit à ce qu'elle m'a dit...

    Par contre, je décèle aisément ceux qui profitent des autres pour obtenir des cours, et ça m'est déjà arrivé d'en envoyer balader certains(es). Papa et maman t'ont payé ta scolarité et tu n'es même pas foutu d'assister au cour alors que tu n'as pas de taf à côté, pas de problèmes de santé, bref rien qui justifie ton absence si ce n'est ta flemme. Dans ce cas, tu vas devoir trouver un autre bouche trou.

  2. Ce qui n'est pas serieux, c'est bien de ne pas se sortir la tete de l'eau pour s'aérer l'esprit.

     

    Connasse.

     

    Je n'irais pas jusque là, (on est dans la même classe toute l'année) bien que je sois d'accord avec toi sur ta première partie de réponse.

    Je crains que l'objectif de réussite scolaire et professionnelle monte trop à la tête de certains étudiants...

     

     

  3. Aujourd’hui, une copine de l’université m’envoie un message pour me demander des infos sur un cour. Je lui réponds, puis me demande si mes révisions se passent bien. (j'ai des partiels la semaine du 16) Je lui réponds positivement tout en lui disant que dans la matinée je suis allé me balader en forêt, activité que j'adore car j'aime la solitude et la nature, histoire de me détendre.

    Bref, elle me répond aussi sec qu'elle ne trouve pas cela raisonnable en période de révision.

     

    Je ne veux pas faire mon "mâle" à ce propos mais ce genre de réflexion est typique des étudiantes. Je trouve qu'elles ont souvent (pas toujours!) ce côté scolaire-procédural-borné qui m’exaspère. (comme la fois où une connaissance prétendait qu'on ne pouvait pas, faute de temps, faire de sport en club à côté de ses études...)

  4. Petite question : je suis intéressé par les artistes recherchant dans leur travail à mélanger des harmonies classiques ou orchestrales avec des d'autres sonorités provenant d'instruments hors classiques (guitare, saxophone, ...) et électroniques.

    Connaitriez vous des auteurs de ce genre de musique ?

     

    Autrement, une amie irannienne m'a fait découvrir la musique orchestrale de son pays.

    J'apprécie beaucoup ce nouvel univers :

     

  5. 80% c'est dans la tête (i.e. ton attitude et la façon dont tu envisages la situation vs la façon dont ton agresseur l'envisage).

     

    Vrai.

    Comme dit Chitah, le problème peut se régler par le dialogue dans la majorité des cas. Il ne faut juste pas montrer la moindre réticence, la moindre faiblesse face aux potentiels agresseurs. Je sais, étant mon passage dans un établissement difficile, que la majorité des "racailles" (qui étaient parfois des amis) n'ont, comme on dit dans le milieu, "que de la gueule". Ils bavassent beaucoup mais sont rarement prêt à en venir aux mains.

  6. J'ai fais pendant 2 ans de la lutte contact.

    Sincèrement c'est un bon sport de combat. En gros, les combats commencent debout où chaque adversaire peut asséner des coups de poings, jambes, genoux à son adversaire; le but est de parvenir à renverser son partenaire, par des techniques vus par exemple au judo, et le "soumettre" au sol par des cles de bars, jambes ou étranglements.

    Je ne te recommande pas les compétitions, cela reste violent et traumatisant.

     

    La tenu d'entrainement et de combat est un peu particulière :

     

    1036739940.jpg

     

    J'ai d'ailleurs été surpris au cour de cette expérience par le respect des combattants entre eux, que ce soit à l'entrainement ou en compétition.

    Pour te faire une idée :

    http://www.youtube.com/watch?v=TDYl9JShUlg

  7. 1. vaut mieux faire ses classes et commencer à bosser salarié que se lancer sans expérience. (Il y en a qui réussissent certes, mais c'est rare, hein.)

     

    Certes. D'ailleurs des apiculteurs de moins de 30 ans, je n'en ai jamais vu.

     

     

    2. considère une franchise en restauration rapide

     

    Très peu pour moi. A la limite un bistrot me plairait mais c'est pas la mode...

     

     

    4. t'as une tête à devenir acheteur.

     

    Ah bon ?

     

     

    Tu veux ouvrir un magasin bio ?

     

    En province, pourquoi pas ?

    Mais clairement je ne jouerais pas le carte du bio, argument marketing efficace cela dit comme dit Noname, pour mon bon plaisir...

     

    Il ne faut pas oublier non plus que pour l'apiculteur, sa source de revenu ne vient pas seulement de la vente du miel mais également des produits comme la gelée royale, la propolis, etc

  8. Pas de moquerie svp. Simplement je constate qu'au vu de mes centres d'intérêt : attachement au patrimoine naturel et culinaire français, esprit plutôt provincial alors que je suis né à Paris et ai toujours vécu en ile de France, envie de devenir entrepreneur, plaisirs relationnelles que j'entretiens avec des producteurs locaux que je vais voir, avec mes parents, sur le marché de ma ville le week end, ... je me dit que le métier d'apiculteur est fait pour moi.

     

    Mais d'un autre côté je me demande si je pourrais concrètement vivre de ce métier ? Votre avis sur ce métier et mon propre projet m'intéresse autant que celui des commerçants et producteurs que je reverrais prochainement.

  9. Pourquoi tant d'anxiété ? Parce que les enfants et leurs parents n'ont aucune liberté dans leur choix de formation. Moi même, je n'ai aucune honte à dire que mon expérience scolaire, du moins jusqu'à l'enseignement supérieur, a été frustrante et une source de perte de temps. (très clairement, il m'arrivait souvent en classe d'avoir l'envie de jeter mes cahiers par la fenêtre et m'enfuir de la salle, tandis que l'institution, c'est à dire professeur et responsable administratif, penserait que mon cas relève de la fainéantise ou je ne sais quelle autre fadaise)

     

    Ce que l'école de masse arrive très bien à faire, étant donné le temps qu'elle accapare par les cours et les devoirs à la maison, c'est anéantir chez la plupart des élèves leur curiosité intellectuelle naturelle. Lorsque le livre devient un objet d'ennui, que l'enseignement de connaissance dont on ne voit pas l'utilité se fait sous la contrainte, et qu'ainsi le travail intellectuel soit perçu comme un labeur aride, il y a forcément un impact psychologique sur l'étudiant. Certains suivent le mouvement tête baissé, joue la carte de la résignation tandis que d'autres s'indignent ou font le minimum. Mais tous se voient privé de longues années de jeunesse qui pourraient être tellement mieux investies.

     

    L'usage de la force par l'état à son impact social et économique : les répercussions de l'action gouvernementale sur les potentialités individuelles, et donc le bien être collectif, sont par conséquent lourdes. Combien de fois me suis je dit, au vu des échecs scolaires d'amis ou de connaissance que je fréquentais dans mes années de collégien et lycéen, à quel point leur destiné aurait été différente dans un système éducatif libre et concurrentiel.

     

    Pas étonnant qu'il y est autant de jeunes pommés qui quittent le système sans la moindre qualification et que certains professeurs, comme JT Gatto, après des années de travail remarquable, démissionne de leur fonction tellement leur travail, tel qu'il s'exerce au sein du système éducatif actuel, et leur employeur les dégoutent.

     

    Il ne faut pas non plus oublier les dépenses gouvernementales croissantes dans ce secteur pour des résultats de plus en plus médiocres. Si le niveau d'instruction d'une population était corrélé aux dépenses gouvernementales pour celle ci, on serait un pays de génie...

     

    je ne l'ai pas encore vu mais cela pourrait intéresser :

     

    http://www.youtube.com/watch?v=KfIN9J7Y9us

     

    Le droit à l'éducation est un faux droit crée par le pouvoir afin de faire passer pour un privilège l'enfermement dans les écoles publiques de la bonne conscience citoyenne. La liberté de choisir quelle éducation on souhaite donner à ses enfants en est un.

  10. Tu ne te mouilles pas. Je crois que tu as fais quelques fautes et à la fin j'aurais utilisé plutôt "I" que "we" en anglais. 

     

    Sans te mouiller, tu aurais aussi pu dire que la science économique est wertfrei et qu'il n'est pas du ressort de l'économiste de porter un jugement de valeur.

     

    J'avais justement fait cette remarque à mon prof d'anglais vendredi dernier à propos de l'absence de jugement de valeur. C'est d'ailleurs pour cela qu'en terme de moralité de l'évasion fiscale, j'ai eu un raisonnement totalement économique.

    Et non je ne me mouille pas car on sait ce que ça vaut auprès des profs malheureusement...

     

  11. Voici le boulot :

     

    Offshore tax havens are immoral. Discuss.

        Tax havens are part of a larger set of measure call « tax evasion ». In a historical perspective, we can advance that tax avoidance exist as long as tax itself. To discuss the morality of the specific type of tax evasion we study, it’ll be, for us, accurate to remind, in a first move, what is a tax haven and why they exist ?
    Next, we’ll see why tax havens can be estimate as moral and, in another part, immoral.
    Finally, we’ll focus on the means to solve this problem.

    A tax havens is, as Geoffrey Colin Powell says, a state with a tax system deliberatly design to « take advantage of, and exploit, a worldwide demand for opportunities to engage in tax avoidance ». Indeed, we know that in any economy, economic agent responds to incentives. Accordingly, we can observe that when governments work to prevent tax evasion, people work to evade tax synchronously.

    However, is this ratepayer’s behavior can be judged as moral ? From an economic point of view, we notice that the goal of agent is to maximize their profit.
    Consecuently, without considering the moral aspect of their action, they choose to evade tax even if there is a large amount of waste and inefficiency associated with efforts to circumvent tax enforcement. (that’s why tax avoidance touch mainly wealthy individual) Moreover, fiscal competition between countries encourage these havens to maintain their activity. In reality, their is clearly too much money at stake for these states to abandon their policy. (for instance, tax evasion represente a loss of 50 billion € per year for french administration)

    But now, from a social point of view, can we find tax avoidance moral ?
    As a rule, tax levy need to reach a certain point to cover the expenditure of government. If some taxpayers choose to steer clear of taxation, the cost of the tax increase then for the rest of taxpayers. In brief, enrichment of some comes at the expense of the rest of the population.

    As a conclusion, we want firstable to remark that tax evasion produce inefficiencies for governments, through their fight against tax evasion, and for producers by spending time and money to keep their fortune instead of investing these resources on productive investments. To solve this problem of deficiency and immorality of tax avoidance, we think states must adopt simpler and fairer tax codes and maintain their tax rate at a reasonable level to minimize tax evasion.

     

    Je vous invite à corriger mes fautes d'anglais s'il y en a.

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