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Kimon

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Messages postés par Kimon

  1. Merci beaucoup Noob et cedric.og pour vos réponses.

     

    J'ai testé la proposition de Noob (à chaque étape : pull de master, tentative de merge en local et de push sur master).
    Il n' a rien à faire, à un moment donné le second dev doit corriger un conflit (qui de fait est trivial).
    Bon il semblerait que l'on soit obligé de faire avec !

  2. Bonjour, je débute sur Git et je soumets ma difficulté suivante aux praticiens de cet outil.

     

    Partons d'une branche master avec un module python monmodule.py qui contient 2 fonctions :

    def fa():
        pass
    
    def f1():
        pass

     

    I. 1er cas de figure : pas de problème

     

    2 développeurs nommés "dev_a" et "dev_1" travaillent simultanément sur ce même module via 2 branches parallèles.
    Ils se partagent le travail de façon à modifier des fonctions différentes :
    - "dev_a" modifie la fonction fa puis merge avec la branche master.
    - Ensuite "dev_1" modifie la fonction f1 puis merge avec la branche master.
    Tout se passe bien, on obtient sur la branche master, pour monmodule.py :

    def fa():
        print("a")
    
    def f1():
        print("1")

       
    II. 2ème cas de figure : bizarre

     

    Maintenant, les 2 développeurs se partagent le travail de façon à développer chacun une nouvelle fonction de leur côté, au sein du même module monmodule.py. Ils sont sûrs que ces 2 fonctions seront toujours rigoureusement indépendantes l'une de l'autre.

    Dans une nouvelle branche, "dev_a" ajoute donc une fonction fb à la fin de monmodule.py, puis il merge avec la branch master qui devient :

    def fa():
        print("a")
    
    def f1():
        print("1")
    
    def fb():
        print("b")

       
    "dev_1", de son côté, dans une autre branche, ajoute une fonction f2 à la fin de monmodule.py. Dans la branche de "dev_1", monmodule.py devient :

    def fa():
        print("a")
    
    def f1():
        print("1")
    
    def f2():
        print("2")

    Et là, logiquement, on se retrouve face à un conflit quand "dev_1" essaie de merger sa branche avec la branche master.
    C'est logique  mais c'est con aussi.
    En effet, si :
    - "dev_a" avait écrit sa nouvelle fonction fb entre fa et f1
    - et "dev_1" avait écrit sa nouvelle fonction f2 à la fin du fichier
    il n'y aurait pas eu de conflit.

     

    Cela signifie-t-il qu'il n'a pas d'autre solution, pour éviter le conflit, que les 2 dev communiquent au préalable pour se mettre d'accord sur l'endroit où insérer leurs nouvelles fonctions respectives ?
    Cela me laisse quelque peu perplexe...
    Il y a certainement quelque chose que je n'ai pas compris (hormis le fait qu'il faut éviter de travailler simultanément et séparément sur le même module).

     

  3. Je me vois pas le post de Solomos.

    Sinon en ce moment je suis sur un Longrow en ouisky et un HSE en rhum.

    Y sont tous bien.

     

    C'est lequel le HSE ? Je voudrais me procurer un rhum vieux agricole décent à prix décent !

    Or j'aime bien le HSE blanc, son côté poivré, je l'absorbe même pur parfois.

  4. Est-ce qu'il existe un rouge qui ne soit pas un assemblage?

     

     

    Quelques exemples en France :

    100% pinot noir : Bourgogne (citée par Mathieu_D), Loire (Sancerre...), Alsace

    100% gamay : Beaujolais

    100% syrah : côte du Rhône (Saint Joseph, Crozes-Hermitage, Hermitage...)

    100% cabernet franc : Loire (Bourgueil, Chinon)

  5. Porto en digeo ?

     

    Les portos de base ("ruby", "tawny" non âgé) ont plus leur place en apéritif car ce sont des alcools sucrés et sans complexité.

    Mais les tawnies 10 ans et + développent du rancio, ce qui en fait de bons digestifs.

  6. Je me souviens avoir acheté chez Nicolas (ça va , hein)  une bouteille d'une série numérotée de 1 à 10 en fonction de la puissance de tourbé.

    Mais je ne me rappelle plus le nom de la collection.

     

    Octomore ou Port Charlotte peut-être ?

  7. Je suis d'accord Mathieu_D sur le fait qu'il y a des tendances, sur certaines régions. Je disais simplement que, pour le whisky, il y a d'autres éléments en "facteurs cachés" qui sont bien plus fondamentaux que le terroir au sein strict (sol + climat + exposition).

    Après, je manque certainement de pédagogie, mais j'essaie justement de me placer du point de vue de la personne qui voudrait découvrir ce produit et qui disposerait de ressources rares. Si elle se cale sur la géographie, il va lui falloir acheter au minimum :
    - 1 Speyside
    - 1 Islay
    - 1 Highland
    - 1 japonais
    - 1 bourbon
    - 1 irlandais
    Je ne parle même pas des Lowland, Campbeltown, whisky indien, etc.
    Cela revient vite très cher avec un risque fort de redondances sur le plan arômatique.

    En raisonnant sur les procédés de fabrication, on peut faire découvrir des trucs très typiques, de façon bien plus économique.
    Ex : tester 1 tourbé, 1 sherry brut de fût, 1 fruité
    Ou bien : 1 tourbé brut de fût, 1 sherry, 1 bourbon
    Avec 3 bouteilles tu explores ainsi des produits assez représentatifs de catégories majeures, ce qui évite de claquer de l'agent tous azimuts.
     

  8. Sur conseils dans ce fil, j'avais acheté un Redbreast irlandais et un Woodford Reserve, 2 très bons choix :)

     

    Merci à Kimon et Acéphale du coup si ce n'était pas déjà fait.

     

    Je t'en prie :)

    L'autre jour au Whisky Live à Paris, j'ai pu goûter le Redbreast 21 ans, je te prie de croire qu'il n'a pas fini sa vie dans le crachoir...

  9. 1) Le type de fûts utilisés, le caractère réduit ou non, l'âge du whisky n'ont rien à voir avec le terroir.

    2) Les céréales utilisées n'ont pas nécessairement une origine locale !!!

    3) Le caractère tourbé ou non n'est pas lié à la région mais à la distillerie (technique de séchage du malt + eau utilisée).
    Les Islay sont généralement tourbés (Laphroaig, Ardbeg, Lagavulin...) mais pas toujours (certains Bruichladdich, Bunnahabhain...).
    Les Speyside sont généralement non tourbés (Balvenie, Glenfiddich, Glenlivet...) mais pas toujours (Ardmore...).
    Les irlandais sont généralement non tourbés (Redbreast, Bushmills) mais pas toujours (Connemara).
    Les japonais peuvent être aussi bien tourbés (Yoichi) que non tourbés (Miyagikyo).

    Il y a une vraie spécificité locale dans l'usage irlandais du single pot still, mais c'est plus lié à l'histoire qu'au terroir strico sensu.

    Je maintiens donc que la notion de terroir n'est pas très pertinente pour le whisky, si ce n'est d'un point de vue marketing...
    Si tu te constitues un bar en raisonnant par région, tu risques d'accumuler des bouteilles aux profils similaires.
    Il y a moyen de diversifier le profil de ses bouteilles de façon plus économique en raisonnant autrement.
     

  10. Les régions n'ont pratiquement aucune importance.

    Le mieux pour découvrir est de jouer sur les caractéristiques suivantes :
    - céréales utilisées : single malt (uniquement du malt d'une même distillerie) / vatted malt (uniquement du malt mais de plusieurs distilleries) / blend (malt + grain) / single grain (seulement du grain)

    - tourbé / pas tourbé
    - types de fûts d'élevage : fûts ayant contenu du bourbon / du sherry / un mélange des 2
    - whisky réduit (généralement 40 à 50°) / brut de fût = cask strength (55 à 60° en général)

    - âge du whisky (ce qui compte étant l'âge passé en fût, pas en bouteille)

     

    Ce sont les principaux paramètres qui vont jouer sur le profil du whisky.

     

  11. C'était un Bowmore 12ans.

    J'étais agréablement surpris compte tenu de son prix très raisonnable ( 32 euros ).

    Il me fait penser à mon single malt préféré, le Bruichladdich Islay Barlay.

    Je découvre que Lagavulin est aussi un Islay mais j'aime moins son goût, trop tourbé pour moi.

     

    Dans ce cas, tu ne devrais pas sélectionner les bouteilles sur la seule mention "Islay" car tu t'exposes à de mauvaises surprises.

    Si tu n'aimes pas les whiskies trop tourbés, tu peux exclure d'emblée les Islay tels que Lagavulin, Laphroaig et Ardeg.

    A contrario, le Talisker 10yo est légèrement tourbé, donc probablement plus dans tes goûts pour un prix modique, et ce n'est pas un Islay.

  12. Vu de loin, j'ai l'impression que certains individus affichés réacs traînent dans ce milieu catho ultra pour la drague. Il y a un côté club de rencontres un peu chic.  

     

    * De fait les Antigones ne sont pas déplaisantes. 

     

    Pour ce qui est des milieux tradis ce serait un calcul un peu naïf, vu leur faible propension à échanger leurs femmes avec les tribus voisines.

    Pour le reste, que dire, la vie en société est ainsi faite. Il est certain qu'un catholique va tisser des liens plus naturellement en sortie de messe qu'en boîte de nuit ou qu'à la cellule locale de PC... Tout cela est bien normal. En tant que père de famille je regarde tout ça avec bienveillance.

  13. C'est ça que vous ne pigez pas. On ne s' invente pas dans ce milieu.

    Tout le monde sait d'où tu viens, par quelles officines tu es passé, et qui était à leur tête quand tu y étais. Ou plus exactement si tu fais vraiment partie du milieu, il y a une personne qui le saura.

    Ça n'est pas une question de connaître les textes, les rites, c'est une question de vivre comme eux.

    Tant que Chitah ne sera pas marié par un prêtre tradi à une jeune femme en serre-tête / jupe en dessous du genou qui reste mère au foyer, ça ne passera pas.

    Et puis cherchez pas, tant qu'on montre des signes de curiosité pour autre chose que la doctrine officielle, on est suspect.

     

    +1 sachant qu'il est un peu utopique de rêver à la jeune femme en serre-tête quand on n'est pas issu d'une bonne famille, que l'on n'est pas passé par les bonnes troupes scoutes et le bonnes écoles...

    Cela étant je pense qu'il est possible de s'intégrer, à condition d'être très patient, d'être vrai (ne pas se faire passer pour ce que l'on n'est pas...), désintéressé, et complètement borné sur le plan intellectuel.

  14. Les Français ne boivent pas de cognac ; il faut dire que le marché est tenu par 4 maisons qui pratiquent des prix ahurissants, encore plus rats que des distillateurs écossais. On peut toutefois se tourner vers des vignerons indépendants pour trouver de bons trucs accessibles (j'aime bien mon cognac Giraud vieille réserve, bien que je tape rarement dedans).

  15. Oui, l'A'bunadh est un super rapport Q/P dans la variété des Sherry Casks. Sachant qu'il titre 60°, il est intéressant de varier les modalités d'injection (sec, avec une goutte d'eau...) Dans ma bouteille, il ne me reste plus que de quoi me verser une dernier verre... mais ma femme, qui a promis de me soutenir dans l'adversité, va m'offrir le Glendronach 15 ans Revival, le top des Sherry Casks à prix décents :-)

    Moi aussi j'apprécie les tourbés, mais il y a tellement d'autres bon trucs à découvrir que ce serait dommage de s'en priver !

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