Copeau Posté 13 mars 2008 Signaler Share Posté 13 mars 2008 Je rêve ou on n'a pas encore parlé de ce sympathique bouquin de la non moins sympathique Agnès ? Pour la petite histoire, et à moins que ma mémoire ne me fasse défaut, j'avais sollicité assez fièvreusement Agnès il y a trois-quatre ans, pour qu'elle parviennne à convaincre Zimmern d'engager l'iFRAP à soutenir liberté chérie dans sa défense de la société civile (au moment de je ne sais plus quelle grève). Et ce fut alors la première action "politique" de l'iFRAP, qui se cantonnait jusque-là à des études un peu rébarbatives. Bref, avez-vous lu ce bouquin ? Si oui, comment l'avez-vous trouvé ? Lien vers le commentaire
Henri Posté 15 mars 2008 Signaler Share Posté 15 mars 2008 Je l' ai feuilleté il y a maintenant un mois au VirginMegastore de Marseille… Assez léger sur le fond. Sans véritable intérêt. A offrir à votre voisin bobof marxiste. Lien vers le commentaire
Lexington Posté 16 mars 2008 Signaler Share Posté 16 mars 2008 Je l' ai feuilleté il y a maintenant un mois au VirginMegastore de Marseille…Assez léger sur le fond. Sans véritable intérêt. A offrir à votre voisin bobof marxiste. Même lecture superficielle chez Gibert à Paris et ça ne casse pas trois pattes à un canard. Bon pour de la vulgarisation facile, pour plus de contenu, se référer plutôt à Johan Norberg et à son Plaidoyer pour la mondialisation capitaliste. Du même auteur, le petit film très pédagogique (en anglais), Globalisation is good Lien vers le commentaire
kolb Posté 17 mars 2008 Signaler Share Posté 17 mars 2008 Le titre en dit long: la mondialisation n'est pas une personne morale responsable capable d'infliger la mort ou bien les mots ne comptent pas et dans ce cas l'écriture peut être n'importe quoi. Lien vers le commentaire
Copeau Posté 18 mars 2008 Auteur Signaler Share Posté 18 mars 2008 C'est vrai que ce livre ne va pas révolutionner la question, c'est toutefois un honnête travail de synthèse, de vulgarisation et il forme un intéressant argumentaire. Mon seul bémol, c'est le chapitre final, "réponse à ATTAC", et qui se cantonne à lister les principaux arguments d'ATTAC sans apporter un quelconque contre-argument de fond. J'ai l'impression ou bien qu'Agnès a manqué de temps, ou bien qu'il s'agit de remplissage, et, bien que ce chapitre se lise en dix minutes maximum, il ne sert à rien et laisse à l'ensemble un goût amer, ce qui est bien dommage. Le reste du bouquin est de qualité. Lien vers le commentaire
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