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Tout ce qui a été posté par Miss Liberty
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Question(s) autour de l'homosexualité
Miss Liberty a répondu à un sujet de tautelle dans Politique, droit et questions de société
Il y avait un "si". ;-) Je ne connais pas les méandres de l'éducation en Belgique, j'avoue! -
Question(s) autour de l'homosexualité
Miss Liberty a répondu à un sujet de tautelle dans Politique, droit et questions de société
Si elle a un contrat avec l'État comme en France, méfie-toi : certaines écoles privées font du zèle pour être bien vues.Du coup entre la petite école publique à classes multi-niveaux (tu parles de campagne) et l'école privée, on est parfois surpris de celle qui est le plus soumise à la propagande EdNat. -
Au stado, rue st honoré a Paris (Louvre-Rivoli) : cuisine du sud-ouest avec des portions généreuses et des tarifs sympas.La déco, à base d'un mélange photos noir-et-blanc d'acteurs et maillots de rugby, participe au charme du lieu.
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Images fun et leurs interminables commentaires
Miss Liberty a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
À Carvin, dans le Pas de Calais, il y a une impasse du progrès. -
La cantine, métro Belleville. De mémoire : plat 12e, plat +entrée ou dessert 15e C'est de la cuisine française en rations raisonnables. Il y a souvent du monde. Leur gratin dauphinois est une tuerie.
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Tu as peut-être raison, je me souviens que j'étais choquée de la virulence de certains en arrivant. Mais je trouvais toujours qqch à lire et des réponses à mes questions. C'est le format forum qui est inadapté, il y a un effet internet + petit village. Pour amener des non-convaincus, des sites plus structurés comme contrepoints ou le blog d'16 sont plus efficaces. L'inscription ici c'est l'étape d'après, pour poser des questions spécifiques et creuser.
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Ça ne marche pas si mal puisque les membres se renouvellent.Et bien entendu que certains sont un peu rudes avec les petits nouveaux, mais le plus souvent quand le petit nouveau parle sans réfléchir ou refuse toute suggestion rationnelle. Les plus attentifs et humbles ne se font pas démonter la gueule. Ils pourraient juste être effrayés de notre ton entre nous, mais autant savoir tout de suite quand on rentre dans une famille qu'il y a des querelles internes. Une sorte de sélection naturelle.
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Voilà voilà. Moi s'il ne s'agit que de méthodes, je ne m'offusquerais pas tant que ça d'être traitée de trotskyste (bon, un peu, pour les assassinats politiques, tout ça). On fait de la politique ou on n'en fait pas.
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Dire que ce sont des méthodes trotskystes ne veut pas dire que ce sont des méthodes horribles qui foutent tout en l'air ou que leurs adeptes sont des mangeurs d'enfants. Trotsky n'était pas si nul pour la construction d'une élite politique, non? Donc on peut dire qu'il faut savoir encaisser au lieu de chialer ET reconnaître que ce sont des méthodes pas franchement bisounours pour les nouveaux... Depuis quand on serait obligés d'être tolérants et d'accueillir la terre entière? Moi ce qui me gène, c'est que les désaccords perso ou sur des sujets autre que le libéralisme pourrissent le débat sur les sujets où on pourrait trouver un point commun.
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C'est vrai que ça fait longtemps!
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Toutes mes excuses aux forumeurs. La remarque de free jazz étant très personnelle, je ne pouvais que répondre de façon personnelle, ou me taire. J'aurais dû me taire. Et pour info : si être libéral conservateur consiste à partager la majorité des opinions de free jazz, je ne suis pas libérale conservatrice. Là c'est une question d'idées, pas de personnes. Pour ce qui est du document : un livre conseillé par un syndicat majoritaire a son importance, c'est presque comme si c'était au programme. Xara l'explique très bien.
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L'État, c'est le problème, pas la solution.Un gouvernement voulant limiter le rôle de l'État? Constitué uniquement de masochistes ou de gens n'avait aucun sens de leur propre intérêt, donc. Le Printemps Français est utile parce qu'il politise une génération, point. Il ne va pas mener à une abrogation immédiate. Mais il aura des conséquences sur les mentalités et ce que les gens confient à l'État. Contrepoints, lui, donne 30.000 occasions par jour à nos idées de se faire un chemin dans la tête des gens. Sur un public plus large. Et tu oses insinuer que ce n'est pas de l'action?
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En fait si on les connaît bien et qu'on prend le temps de les former au libéralisme, certains peuvent franchir le pas. Quand on fréquente F.mas depuis cinq ou dix ans, difficile de résister à la conversion Mais c'est sûr qu'il faut avoir les bonnes affinités au départ pour se faire écouter. Et puis pour ce qui est des sujets clivants, il n'y a pas un libéral d'accord avec l'autre, et on sort quand même relativement bien pour trouver des causes communes : regarde contrepoints.
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Exactement. A moins d'être un élu, je ne vois pas trop ce qu'ils entendent par désobéissance civile sur le point précis du mariage pour tous. Du coup quand je leur demande de préciser, ils m'annoncent généralement que cela se fera par harcèlement sur tous les plans et par, je cite, blocage des comptes livrets (c'est la nouvelle coqueluche). C'est une bonne base pour délégitimer l'impôt et le rôle de l'Etat tout entier.
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Et bien non. Je n'ai pas croisé grand monde qui s'imagine que la droite changera quoi que ce soit. Ils sont pour l'immense majorité convaincus que la droite se couchera, et que la seule solution est de faire de la désobéissance civile. Ce qui ne veut pas dire grande chose pour des gens non habitués à la politique, mais qui pourrait ressembler furieusement à du libéralisme s'ils rencontrent quelques libertariens promouvant la liberté totale des écoles et des programmes, critiquant les subventions et faisant l'apologie de la charité individuelle au lieu de l'Etat-nounou. C'est pourquoi je me suis empressée de leur expliquer que de mon point de vue, la seule solution était moins d'Etat.
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Vu sur le profil d'un ami très impliqué dans le mouvement en ce moment : "Mais il est évident que plus la réglementation devient complexe et étendue, plus l’Etat devient despotique à l’égard de l’individu. Car la fraction de contrôle que ce dernier exerce sur le gouvernement par son suffrage n’est en aucun sens proportionnée à l’autorité que le gouvernement exerce sur lui." (Walter Lippmann, que je ne connais pas, mais qui m'a l'air d'avoir été une partie de sa vie libéral) Il y a quelques semaines, je discutais avec un ami Hommen, et il pensait clairement que la solution était un gouvernement moins impliqué qui ne se mêlait pas de certains sujets, et non pas un Etat qui s'en mêlait dans un sens qui l'arrange. Une envie de reprendre le contrôle de sa propre vie.