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Tout ce qui a été posté par Malky
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Ce cas là est particulier, les obligations espagnoles sont utilisées comme collatéral par bon nombre d'institutions et à une échelle autre que les obligations grecques. Passer en spéculatif signifie surtout margin calls. S&P est à un notch avec outlook negatif, et moody's devrait se prononcer fin octobre il me semble.
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Standard & Poor's abaisse la note de l'Espagne à BBB- C'est plus seulement le sapin que ça sent, un notch de plus et ça passe en speculatif (et là bonjour les dégats) C'est un lien direct sur un pdf, essaye click-droit -> Enregistrer la cible du lien (ou qqch d'approchant)
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Comment kitter la Sécurité sociale ?
Malky a répondu à un sujet de Blueglasnost dans Politique, droit et questions de société
A prendre avec de grosses pincettes, et même si par hasard ça passait on aurait quand même pas plus de choix. -
Taxe de la semaine
Malky a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
http://www.challenges.fr/economie/20121010.CHA1746/les-taxes-foncieres-ont-augmente-2-fois-plus-vite-que-l-inflation-entre-2006-et-2011.html Rien de nouveau, juste un petit dossier sur la 'foncière' et son évolution sur les dernières années -
Tu prends le problème à l'envers, c'est la régulation qui est venue s'ajouter aux notations et pas l'inverse. Bâle I (pas d'usage de la notation) c'était pondération à 0% pour toutes les obligations sovereign d'un certain nombre de pays (ceux qui composent l'OCDE, principalement), et 100% pour toutes les obligations corporate, quelles qu'elles soient. Super fin comme estimation du risque… l'équivalent d'un dumptruck dans un magasin de porcelaine.
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C'est l'obligation dont le coupon n'a pas été payé qui a perdu ~30% (les autres ont dérouillé aussi) Cote sur boursorama (damned trop tard lol)
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Standard & Poors : 1860 Moody's : 1909 Fitch : 1913 Bâle II : 2006-2008 (application progressive) Solvency II 2014-… (règlementation européenne, donc inutile comme mentionné un post plus haut) Si les agences de notation existent, c'est bien qu'il y a eu une demande pour ça. Si elles n'apportaient pas quelque chose de concret à l'économie, tu crois qu'elles auraient perduré pendant plus d'un siècle ? Le marché n'a pas anticipé un défaut, c'est étonnant ? Les agences elles avaient dégradé avec outlook negatif groupama en juin-juillet (revérifié depuis l'autre post, S&P avait émis deux avis différents sur groupama, un pour le downgrade, un pour l'outlook et je n'avais vu que le deuxième)
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Les accords de Bâle ne concernent que l'activité bancaire, donc si une groupe d'assurance a une activité bancaire cette filiale est soumise aux accords de Bâle, mais pas le reste du groupe. Solvency II c'est une règlementation européenne, rédigée en 2009, et qui devrait entrer en application en 2014. Ça laisse 5 ans aux assureurs européens pour trouver des failles dedans… Il y a aussi une régulation aux états-unis, mais elle souffre du même problème : à moins d'être mondiale, la régulation a de faibles chances d'être efficace.
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Certains détails techniques concernant la sortie de la zone euro d'un (ou plusieurs) pays commencent à être rendus publiques. FAQ de S&P à propos du cas où 'un pays' sort d'une union monétaire
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Peut être déjà posté, j'ai pas vérifié les 27 pages
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Ahriman cherche son intelligence… quelqu'un lui a piquée ?
Malky a répondu à un sujet de Ahriman dans La Taverne
Quelque part je me demande si ça ne serait pas plutôt… -
Images fun et leurs interminables commentaires
Malky a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
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Ahriman cherche son intelligence… quelqu'un lui a piquée ?
Malky a répondu à un sujet de Ahriman dans La Taverne
Il doit être près de la machine à café je suppose… -
Ahriman cherche son intelligence… quelqu'un lui a piquée ?
Malky a répondu à un sujet de Ahriman dans La Taverne
Mince, il est déjà parti ? -
Assurance -> niet, les règles prudentielles dans ce secteur sont simples et n'utilisent en aucun cas les notations. C'est d'ailleurs l'origine du phénomène d'assurances-zombies qui inquiète plus le secteur financier que les régulateurs. En gros les assureurs en sont resté à un equivalent de Bâle I, et rien ne pointe à l'horizon pour corriger le tir. Banque -> depuis Bâle II, oui. Tu sais à quel point Bâle I était devenu dangereux ? (sans parler des aberrations qui favorisaient les obligations sovereign au dépend des corporate) Et pour les entreprises ? sans notation il y a un paquet d'investisseurs qui fuiraient le marché des obligations corporate. Connaître le boucher du coin, et analyser la comptabilité d'une holding ce n'est pas tout à fait la même chose : la notation apporte un outil, celui d'analyser froidement les chiffres pour les autres. C'est un outil d'aide à la décision, mais pas une décision en soi. Extrait des notes de bas de page figurant sur tous les avis de S&P : Ils sont assez clairs là dessus, je trouve. Again, note de bas de page S&P : Les cas où une entreprise cesse de payer les agences sont assez rares en effet, mais pas inexistants. Et dans ce cas les agences continuent de noter de toute façon. Dans le cas des états la plupart payent leur notation, mais ils ont plus de marge de manoeuvre que les entreprises quand il s'agit de ne plus payer. Pour une entreprise ça signifie se couper complètement du marché obligataire, pour un état… pas toujours. A noter que les agences ont des plateformes payantes qui offrent des infos supplémentaires, donc une partie de leur financement provient quand même des consommateurs de notation. Je référais à ton propos sur les dégradations sovereign dans l'eurozone, et dans ce cas tu peux vérifier : le marché avait pricé tous les downgrades avant qu'ils n'arrivent. Pour groupama c'est loin d'être une surprise, de mémoire ils sont en outlook négatif depuis juin ou juillet.
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Les "paradis" socialo-communistes dont on ne parle jamais
Malky a répondu à un sujet de Gil_Grissom dans Politique, droit et questions de société
Au pays de candy, la presse est bien sûr chouchoutée comme jamais… et c'est pas le figaro qui emporte le pompon! -
Presse française 10x plus subventionnée qu'en Europe
Malky a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
Comment ça, la presse française est subventionnée ? Dans certains cas c'est même pire que ça- 707 réponses
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Images fun et leurs interminables commentaires
Malky a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Et que c'est il passé avant ? … -
Pléonasme detected
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Vite, vite, un fix! il va nous faire un arrêt! Ça va mieux ? (pour l'anecdote dans un tir broadside comme dans cette photo, 2700 kg de poudre sont mis à feu)
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*gloups*
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C'est le cas, les notes d'agences ne forment que pour partie la décision de l'investisseur. Pas entièrement vrai : les agences de notations vont émettre des avis sur une entreprise même si l'entreprise de demande pas cet avis, et a priori elle ne paye pas pour que l'agence émette cet avis dans ce cas. Il serait plus exact de dire que l'ensemble des entreprises et états notés financent l'activité des agences de notation. L'avantage de ce modèle est que les avis sont accessible à tout à chacun, si les 'consommateurs' d'avis finançaient les agences ce ne serait pas le cas. C'est un gain en transparence assez évident. Kipizèt, dans ce cas les dégradations ont été publiées quand le marché avait déjà pricé les changements. Les cas où les agences précèdent le marché sont assez rares, et généralement concernent des cas de fraude manifeste. J'ai eu l'occasion de discuter avec un analyste de S&P l'an dernier, dégrader un état n'est pas une opération faite 'à la légère', de loin pas. Le principal reproche qu'on pourrait à la limite leur faire est le gros 'bug' sur les produits dérivés complexes apparus dans les années précédant l'usage de ce qu'on appelle généralement 'les subprimes', et même dans ce cas tous les avis émis mentionnaient le fait que ces produits ne disposaient pas encore de certains outils de notation. De mémoire le décalage est d'environ 18 mois (entre l'arrivée sur le marché d'un nouveau produit, et le moment où les outils de notation deviennent utilisables). Les intervenants ont choisi d'utiliser ces produits tout en sachant que personne ne pouvait garantir leur innocuité… what followed is history.
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Le plus dur c'est pas la chute…
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On peut très bien concilier les trois à condition de vendre des armes à feu de cette manière, bien sûr…