Tramp

Vu la quantité d’allocations en France, il y a un intérêt limité à détenir trop de cash.

Ma théorie c’est que la ville fait exprès pour dégoûter les gens des tours.

Il faut voir ce qui se fait dans les autres pays. Ce n’est pas ça qui manque. Les fonds de pension publics sont très largement investit en equities. Les gens qui mettent de côté de leur retraite mettent aussi beaucoup en equities. Que ce soit au UK, les 401k aux US, les RÉER au Canada.

Oui mais la rente Prefon est garantie aujourd’hui pour dans 30 ans donc forcément le rendement est pourri. Normalement ton assureur garantie ta rente quand tu arrives à la retraite, pas 30 ans avant.

Mais Prefon garanti le capital donc le rendement est forcément pourri.

Tu peux prendre une position chez un bookie et prendre la position inverse chez l’autre s’ils ont des odds opposées. D’ailleurs en parlant de produit financier, une plateforme a créé des contrats dérivés sur les élections. https://kalshi.com La différence entre les paris et les dérivés est une question qui occupe toujours les juristes. https://ink.library.smu.edu.sg/cgi/viewcontent.cgi?article=4567&context=sol_research

C’est donc mixte.

Au passage, il est parfaitement scandaleux que les régimes spéciaux soient des régimes par répartition alors qu’il est totalement impossible qu’ils soient à l’équilibre.

Et les fonctionnaires ne seront pas gagnant vu qu’ils auront le même taux de remplacement avec plus de cotisations.

C’est absurde de prendre en compte des primes sur lesquelles les fonctionnaires ne cotisent pas. On voit bien à quel point le régime est généreux parce qu’ils ont le même taux de remplacement quasiment alors qu’ils ne cotisent pas sur une importante partie de leurs revenus.

J’ai l’intuition qu’un salaire minimum élevé encourage cette concentration.

Si un jour on avait un gouvernement de droite, le moyen facile de faire des économies c’est aligner immédiatement le public sur le privé.

Tu ne les vends pas. C’est le régime de base obligatoire.

On devrait voir d’autres pôles se développer avec les gens qui habitent à proximité et qui n’ont pas besoin de traverser la region. Privatiser la francilienne et le periph pour donner un coup de main au proccess.

Evidemment mais ça fait plus coup politique qu’autre chose. Encore plus maintant que @Adrian nous apprend qu’en fait ce n’est même pas lui qui a pris la décision contrairement à ce qu’il raconte. Bruno : « J’ai expulsé Ben Laden. Bon ok c’est son fils. Et puis c’est pas vraiment moi mais le préfet de l’Orne. Ok d’accord c’était il y a 3 ans. » C’est juste pathétique.

Prochain sur la liste de Bruno « Obama » Retailleau : le beau-frère du cousin de la nièce de Hitler.

Au vu de tout ce qui se fait ailleurs dans le monde, c’est pas déconnant d’imaginer un système de capitalisation public investi dans autre chose que de l’OAT et des dépôts bancaires.

J’aimerais voir comment c’est à Stalingrad et près de la colline du crack. J’ai déjà vu ça à Montréal : tout un Couche-Tard sous clef parce que les clodos bourrés / camés première nation qui trainaient à côté venaient se servir. Pas du tout dans un quartier chaud.

Il me semble que les allègements de charge concernent la santé et la famille.

Soit on est dans l’illégalité soit on ne l’est pas.

Ce qui montre une fois de plus la malhonnêteté de Piketty qui défend la répartition.

Ni pour les fonctionnaires dont l’employeur n’a pas cotisé.

Depuis que la droite est revenue aux manettes, c’est le retour de la taxe de la semaine. J’aime comme ils expliquent sans rire que soumettre à l’IR puis à l’impôt sur les successions évite la double imposition.

Oui mais les 20 milliards de recettes ce n’est pas à impôts constants. Ce n’est pas comme si le PIB augmentait de X% et que l’Etat en prend 50% et donc les recettes augmentent à la vitesse du PIB. Le PIB augmente de X% et l’Etat décide de prendre 55%. Ce qui est dénoncé c’est que le contribuable est essoré toujours plus alors que l’Etat dépense toujours plus. En plus, les hypothèses sont farfelues vu que la situation actuelle est apparemment dû à un effondrement des recettes.

Les augmentations d’impôts sont des augmentations de taux et d’assiettes et rien ne permet de confirmer que cela va permettre d’augmenter les recettes.