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Neuron

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Tout ce qui a été posté par Neuron

  1. Si, si. C'est comme avec S. Seagal. Tu as la certitude d'avoir un jeu d'acteur complet et complexe: http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSBS0vPm_NFbYVeRhV9v5ICLcZlwi133wy5lt2BNPeq-rY7P-LE
  2. Nicolas Cage est déjà assez flippant tout seul. Et je sais pourquoi je me tiens loin de lui: il accumule les nanars.
  3. La décision 1973 n'a rien arrêté du tout. Créer une bulle aérienne n'interdit pas les combats au sol donc les massacres dans le cas présent. A-t-il rappelé que la Libye n'a pour ainsi dire pas d'armée de l'air? Voilà pourquoi cette résolution fut adoptée. Or, la 1973 est un cheval de Troy car elle s'est transformée en un feu vert pour conduire des frappes au sol ou parachuter des armes à un camp en particulier. Boniface est limite car il vente l'intérêt de ce qui ne sert à rien. Et pourquoi ne pas faire une 1973 sur la Syrie si c'est si intéressant? Vous a-t-il expliqué pourquoi?
  4. Les gens se reconnaissent très vite entre eux. La seule façon de se tenir, de se mouvoir suffit. Il n'est toujours nécessaire d'engager la discution. On peut rajouter les systèmes vestimentaires…
  5. Il y a dans son explication la démonstration qu'un "capital image" peut se former de façon empirique. Cette forme d'à priori n'est pas nocive puisqu'elle est réactualisée. C'est comme pour le candidat "libéral" à l'UMP. Au delà des limites de sa candidature en l'absence de réseaux, d'appuis, il serait bon de passer le cap des préjugés pour réactualiser la vision de la pertinence de son programme. Ainsi un préjugé n'est pas obligatoirement préjudiciable. Peut-être est-il préalable à tout contact avec autrui.
  6. Dans les années 70, on dépouillait moins. La délinquance étant en augmentation constante. Mais c'est vrai qu'on est dans la rubrique "Nouvelle sans intérêt".
  7. C'est logique. Il y avait de l'argent dans les banques et on ne dépouillait pas les gens dans la rue.
  8. Fermer les bars!! Ce doit être saoulant en plein ramadan.
  9. Mon avatar, c'est l'emblème de Yeyasu Tokugawa, premier shogun en 1603. Peut être mon atavisme étatique?
  10. C'est comme le "bon chasseur".
  11. Cela s'appelle le "capital image".
  12. "Il faut se rapprocher de votre délégué syndical FO." En effet, il y a comme un problème ici.
  13. +1.
  14. Je confirme. Le dimanche, au réveil, c'est pas mal..
  15. Oui.
  16. "Ooooooh. Un monochrome de Whitman"
  17. Il n'y a rien de décourageant. Tu as la conviction qu'une idée ne peut être simple à exprimer, qu'il te faut des dizaines de liens, de citations pour fonder un argument… En gros, tu perds ton temps. Je ne me focalise sur rien puisque l'idée que je défend est déjà exprimée. Aussi n'ai-je pas besoin de partir dans nombre de démonstrations. Après, il faut sortir de chez soi et découvrir le monde. À ce moment là, tu te rendra compte de certaines évidences. Les hommes sont très différents et ne perçoivent pas les choses de la même façon que toi où moi. À propos, il se passe quoi avec tes martiens à Paris? Ils signent des contrats et les flots de kiloulol se déversent? Car il me semble que j'ai répondu quand bien même tu ne t'en es pas rendu compte.
  18. Mais bon…. Quoi?? Pourquoi coupes-tu ta réflexion? Qui a-t-il après le mais bon?
  19. Au royaume des aveugles, le borgne est roi.
  20. Tu vois que tu progresses dans la réflexion. Tu te rends compte de la notion de réciprocité: tu n'as pas besoin de moi car en effet il se peut que d'autres n'ont pas besoin de toi non. J'ai de gros doute sur ta capacité à débattre. On t'explique quelque chose de simple et tu ne le vois pas. Tu classes les arguments de tes adversaires en catégorie "pipeau" car les admettre ferait imploser tes analyses. Tant que tu ne comprendra pas que les hommes sur terre appartiennent à des cultures très différentes, qu'ils ne sont homogène, tu sera en échec. Je le réécris: ton système contractuel est pertinent dès lors que les parties prêtent le même sens au même mot. Dans le cas contraire, il s'effondre car les parties ne peuvent s'entendre et des tensions vont très vite apparaître.
  21. Je ne botte rien en touche. C'est juste que tu es enfermé dans TON référentiel incapable de comprendre qu'il n'a de validité qu'en France. Et encore! Le problème est là pour toi. Tu ne comprends pas qu'il puisse y avoir des façons radicalement différentes d'interpréter un contrat d'une culture à l'autre. Mais tu verras qu'un jour tu t'en rendra compte. Aux États-Unis, un contrat industriel lie les parties à la signature. En Chine, un contrat industriel n'est valide qu'une fois qu'il a été réalisé. La signature ne compte pas dans la culture chinoise. Ce qui compte c'est la qualité de ta relation sur le long terme que tu entretiens. Aux EU, on s'en fout. On applique juste ce qui est écrit. Point.
  22. Comme je ne te connais pas beaucoup puisque je suis ici de puis peu, je crois comprendre que tu n'es pas suisse si tu écris un truc pareil. Pour la Belgique, connaissant beaucoup moins bien son histoire (en fait je ne la connais en rien), je vais éviter d'en parler. En revanche, pour la Suisse, je vais t'apprendre deux trois choses que tu sembles ignorer. Pour faire trés, trés simple (les suisses me pardoneront ou pas): La Suisse est un pays à cheval sur trois espaces culturels qui va s'agréger pour cause de nécessité. Quand débute la guerre de Trente ans vers 1618, les villes suisses vont observer le conflit se répandre. Elles vont vite comprendre que si elles restent isolées, elles vont faire l'objet de raids de la part des grandes puissances en guerre. Les villes autonomes sont rasées, pillées en Allemagne. Aussi, les villes suisses pour se protéger vont décider de s'allier sur une idée simple: tout en gardant leur autonomie les unes des autres, elles acceptent de se porter assistance mutuelle face à toute agression sur l'une d'elles. Cette alliance va sceller un espace au centre de l'Europe qui sera le seul à ne pas être ravagé jusqu'à la fin du conflit en 1648. Donc, la Suisse est une confédération de villes qui assurent leur prospérité, leur stabilité en faisant le choix de se tenir à distance des querelles européennes. D'autres choses peuvent être citées comme la contestation de la noblesse mais le point clef de la realité suisse est là. Aussi, dire que c'est une absurdité linguistique est très léger. Quand on sous-entend l'action d'un état pour tenir l'ensemble, c'est particulièrement absurde. Il n'y a pas de meilleure manière. Il y a juste une réalité: si tes martiens ne deviennent pas parisiens (tout en apportant une petite influence martienne aux parisiens) alors au mieux ils vivront dans un ghetto entre eux. Au pire, ils seront combattus
  23. Peux-tu développer car je crains de le pas comprendre. Surtout la notion d'union absurde dans le cas de la Suisse. J'espère que tu es suisse pour écrire cela! Il faut voir les raisons historiques de la constitution de ce pays.
  24. Le problème est que les cultures ne s'agrègent pas naturellement et ne sont pas toujours compatibles. Il y a sur leur bordure des influences mais c'est quantitativement très limité. Faire coexister plusieurs cultures dans le même espace est générateur de tensions. C'est pour cela que la notion de diversité au niveau local est une illusion. Une chose artificielle. Au niveau local, il y a toujours une spécialisation culturelle car les gens se rassemblent selon leurs proximités. De plus, la notion de contrat dans cette réalité ne suffi pas. Toute ta démonstration avec les martiens s'effondre par elle-même car tu n'intègres pas dans ta réflexion cette notion de culture. Tu penses le contrat nécessaire et suffisant pour assurer la paix, la coexistence. Il n'est suffisant en rien. Pourquoi? Car le contrat doit être pris en compte en fonction du sens qu'il revêt chez les parties. Et c'est ici que la culture intervient donc la nécessité pour un état d'accepter ou non un étranger (avant même que ce dernier n'ai de contrat avec un particulier du pays). Reprenons ton idée de martiens et de souchiens: Imaginons un contrat de location, donc de voisinage, liant les deux parties. Selon ton approche, tu penses qu'il est simple de faire respecter le contrat car les droits et obligations sont rédigés et signés. En fait, ce n'est pas aussi simple. En effet, il se peut que les deux parties accordent un sens différent aux termes dudit contrat. Selon les cultures, le même mot ne décrit pas le même sens (d'ailleurs, la simple notion d'exécution de contrat n'a déjà pas le même sens entre les États-Unis, la France et la Chine.). En cas de litige, il ne suffira pas d'aller devant le juge pour régler le problème. Imaginons que ton martien fasse trop de bruit selon les termes de ton contrat. Meme si ton souchien est de bonne foi au regard de sa culture, il se peut que ton martien le soi tout autant. Le problème étant juste que les deux parties n'ont pas la même notion d'intolérance au bruit. Et là que faire? Cette situation est une situation de violence chez les deux parties. Le martien n'est pas un sale con. C'est juste un martien et pour lui, ce qui n'est pas bruyant peut être insupportable pour un souchien. Souchien qui n'est pas non plus un sale con. La décision juridique ne résoudra en fait pas grand chose. Il y aura forcément une partie qui sera violentée au regard de sa culture. Très probablement ton martien si le juge est issu du système juridique souchien, ce qui est fort à parier. Pour résumer, nous ne pouvons nous limiter à la seul rédaction de contrats dans le cadre de rapport avec des étrangers. Il faut nous assurer en amont qu'il y ai une capacité chez l'immigrer à comprendre le contrat. Sinon, c'est l'émergence de violence. Intériorisée au début puis extériorisée. C'est à cela que servent ici les frontières. Elles ont un rôle de filtre pour s'assurer de la compatibilité minimale requise pour assurer la paix au sein du pays d'accueil. Et cela, c'est une tâche menée à bien par le gouvernement.
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