Neuron

La consolidation des fournisseurs est en effet un enjeu. L'etat actuel doit venir des aides qui ont maintenu l'argricilture dans un modèle de petites exploitations.

Nous serions dans une position presque du monopole des centrales d'achat. Il en reste 4. Celles-ci veulent garantir le prix bas de leur marques distributeurs en fixant un prix d'achat inférieur au prix souhaité par les producteurs. Ceux-ci vont alors voir ailleurs profitant d'une demande qui émerge.

Une étape supplémentaire de la division scientifique du travail.

Tout à fait. Ce genre de proposition refait surface régulièrement. De plus, ils sont convaincus que cela favorise un enrichissement des acteurs car ces "bonds d'achat" ne sont pas convertibles en €. Leur nombre ne peut qu'augmenter et la richesse de tous par conséquent.

De la monnaie à la subvention, il y a peu pour certains.

Et comment font les autres jardins publiques ?

Un récapitulatif des éléments : http://www.lefigaro.fr/conso/2017/10/31/20010-20171031ARTFIG00271-c-est-dans-l-ouest-de-la-france-que-la-penurie-de-beurre-est-la-plus-forte.php les marques distributeur sont les plus touchées.

Le gros problème ici est qu'il expérimente sur ce qui doit être preservé. Par définition, on expérimente sur ce qui peu être détruit au cas où cela se passe mal. Et là, cela se passe très mal dans la décontraction du slip la plus parfaite. Leur pratique dépasse largement la question du financement légitime ou non. Ce sont des imposteurs, non des scientifiques.

Et surtout des centrales nucléaires pour produire l'énergie électrique nécessaire.

Que pense l'ADEME à horizon 2035 et 2050 des futurs motorisations : http://voituredufutur.blogspot.fr/2017/10/lademe-voit-le-gnv-comme-un-carburant.html?m=1

La réaction de Mathilde Lemoine sur cette affaire : http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/nicolas-doze-les-experts-22-2710-996385.html

Voici quelques éléments sur la consommation des derniers jours : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/10/28/97002-20171028FILWWW00076-beurre-30-de-la-demande-non-satisfaite.php

Un billet intéressant sur l'usage du GNV pour les voitures : http://voituredufutur.blogspot.fr/2017/10/le-gnv-en-mode-bio-methane-lalternative.html?m=1

Non.

Avec une chanson :

Un reportage d'investigation : [/img]

En France, le client pense que c'est l'état qui fixe le prix des produits dans les rayons des supermarchés. Cest st une blague au détail près que je ne doit pas être loin de la vérité. Il pourrait être intéressant de faire une étude sur la perception de la formation des prix par les français.

Sauf dans la perception du client qui fait face à un rayon vide de moitié pour du beurre. Un truc de base dont l'idée de manque n'existe plus depuis 48.

Il me semble que tu vas un peu loin. Je ne doute pas qu'il y ai des questions de sûreté, qu'il faille se prémunir de la malveillance mais nombre d'application ont lieu par georeferencement. Pour ce qui est des voitures automatiques, saches que le travail de carto en cours porte sur une précision au centimètre. De plus, tant que la machine partage des infos, il est possible de rentrer sur son réseau ou de le perturber.

D'ailleurs, à l'Assemblée nationale, les abonnements en journaux sont-ils toujours les mêmes ?

La moitier du rayon était vide.

En fait, c'est simple à gérer. On peut imaginer des altitudes dédiées à chaque sens avec des couloir aériens. C'est comme la circulation aérienne.

Pas dans une zone interdite. Et cela n'a pas de grande différence avec un hélicoptère. J'attendrais avant tout que de tels drones volant se déploient. Je reste persuadé que cela sera plus ponctuel que l'on y pense. L'avenir porte sur les voitures autonomes même si c'est autrement plus compliqué qu'un drone. Les voitures seront réclamées avant par les clients car celles-ci s'insérer ont naturellement dans les pratiques actuelle. Ce n'est pas le cas des drones volants qui réclament le déploiement de spots dédiés au plus prêt des destinations demandées. Les places de parking et les arrêts de bus ont déjà maillé le terrain.

De ce que l'on peut dire : - pour ce qui est des petites emprises comme l'Elysée, la protection est assez simple à mettre en œuvre. D'autant que la France a été le premier pays à mettre en œuvre des moyens efficaces ; - pour les grandes emprises, c'est plus compliqué. Il faut alors faire des choix, définir des priorités avec une bonne analyse de la menace ; - pour Paris et la France, les restrictions actuelles offrent une protection contre la délinquance par l'usage de drone ; - enfin, l'attaque par drone récréatif, si c'est faisable (voir ce qui se fait en Syrie.), cela n'est jamais d'une grande ampleur. Cependant, il faut savoir que tout drone sur une emprise police ou militaire ou approchant trop d'une patrouille est considéré comme piégé. Il sera alors pris en compte de la bonne façon. Pour le cas ukrainien, il s'agit de la pose d'un pot thermique. Ce genre de munition sert, entre autre, à faire de gros trous par réaction exothermique. la réaction en chaîne est ici plus liée à de mauvaises règles de stockage des munitions. cependant, cela doit faire réfléchir.

Je trouve cette étude pas assez inclusive-e-s et conscientisé-e-s : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/10/23/97001-20171023FILWWW00316-l-instinct-maternel-conforte-scientifiquement.php