sans

Si ma mémoire est bonne, Roland Dumas a commencé à fréquenter sa femme actuelle quand celle-ci avait 14 ans (ou 16) Mosco a encore de la marge.

Oui, mais on peut différencier ceux qui y sont de bonne grâce et les autres. Et généralement, les gens acceptent de bonne grâce, et considèrent même comme légitime une contrainte qui va s'exercer sur eux pendant une durée suffisamment longue, pourvu qu'elle ne soit pas trop contestée. Ce qui est très intéressant avec nôtre époque, c'est que le pouvoir est justement extrêmement contesté. Les politiciens sont méprisés et personne ne leur fait confiance. Malgré tout, tout le monde accepte la situation actuelle. Je pense que ça tient beaucoup au fait que les contestations sont tellement courantes qu'elles en sont devenues banales, et surtout, le confort. Les rébellions ça ne se fait pas le ventre plein, c'est un truc de crève-la-faim.

Beauvoir l'avait fait avant, ne faisant d'ailleurs que se servir de la piposophie existentialiste de son petit copain de l'époque. Avant d'être unethèse pseudo-scientifique, la théorie du genre était un positionnement idéologique assumé.

Tout fout le camp depuis le départ de pankakke. Bienvenue quand même !

Oh, dans ce cas les gender studies sont un genre de sous-ensemble de l'Histoire, et se borne à faire du descriptif. My fault, je pensais que leur but premier était justement d'expliquer les différences entre hommes et femmes, pas simplement de les décrire. Mais dans ce cas, force est de reconnaître qu'une bonne partie des gens s'étant penchés sur cette 'discipline' se sont largement écartés de son objectif de base.

Jusqu'à ce que le seuil de ras-le-bol soit atteint, c'est à dire quand les frigos seront vides. Donc, on a une grosse marge. Par contre j'ai du mal à voire le rapport avec dieudonné, mais c'est rafraîchissant de lire free jazz fustiger le racisme au nom du libéralisme pour une fois.

Vu les immenses efforts des politiciens, des journalistes, des cinéastes, des écrivains, des professeurs et j'en passe pour rendre la femme égale de l'homme (ou l'inverse, je sais plus) ; on ne peut pas franchement blâmer l'environnement pour les inégalités qui subsistent. Bah, c'est juste que cette société ne sait pas trop quelle croyance adopter, alors elle se cherche un peu. Et je rappelle que contrairement à Byzance nous avons une technologie de dingue, ce qui signifie que nous sommes encore capables de tenir très très longtemps en faisant n'importe quoi sans en crever.

Mais le problème, les gender studies étant du domaine de la sociologie, c'est me semble-t-il que le les sciences naturelles sont nécessairement mises de côté. Et prétendre que les différences H-F ne sont pas basées sur la nature mais sur la culture, c'est justement ce qu'on appelle la théorie du genre. Du coup, soit les gender studies s'assument lacunaires, dans quel cas c'est assez déroutant, soit elles partent bien du principe selon lequel les différences hommes-femmes sont le fruit de la culture et non de la nature, dans quel cas elles prennent la théorie du genre comme postulat.

J'ai cru m'être trompé de lien, donc j'ai édité, mais en fait c'était le bon, donc j'ai réédité. Mais en fait non, mais comme j'avais pas mis celui que je voulais mettre ça a bien finit. Oui, je crois que c'est ça. PS : Et même pour ce post d'explication j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois. Y a des jours...

C'est surtout complètement faux, l'inversion des schémas classiques est flagrant dans bon nombre de jeu vidéo.

Réclusion à perpétuité prononcée contre un mineur : http://www.lepoint.fr/societe/meurtre-d-agnes-matthieu-condamne-a-perpetuite-28-06-2013-1687105_23.php Je ne pensais pas que c'était encore pensable en France.

Non, non et non aux trois premières. Et je doute de la fascination des Français pour la violence d'Etat. Les gens aiment bien quand ça s'abat sur les autres, particulièrement ceux qu'ils n'aiment pas (Schadenfreude, toussa), mais il n'aiment pas la répression en tant que tel.

Je vois bien que tu essaye de me contredire, mais je vois mal à quel sujet.

Que pensez-vous d'une alliance ?

Vous avez de drôles de fréquentations Cela n'a rien d'étonnant, d'ailleurs le positionnement identitaire d'extrême-droite en France est étroitement lié à une quête de virilité. Qui prétendra que la campagne anti-minaret était autre chose qu'un complexe de castration à l'échelle nationale ? ( )

Ce n'est pas parce que le privé est admis que le public n'est pas considéré comme indépassable. La satisfaction on s'en fout, la seule chose que tu dois comprendre c'est que personne ne remet en cause l'existence de l'école publique. Tout le monde vois ses défauts, mais les réformateurs veulent la changer. A part les libéraux les plus extrémistes personne ne songe une seconde à la supprimer. Et ça marche avec tout.

C'est pourtant simple : chacun déteste tous les autres.

L'Etat ne les tiens pas, ce sont eux qui le tiennent. L'Etat c'est juste une coquille vide hein. C'est du pipi de chat ça. A chaque fois qu'un type d'étatisme est critiqué, on lui oppose un autre type d'étatisme. On en sort jamais. Discute autour de toi, propose la privatisation des écoles par exemple, ou des hôpitaux, tu verra la tête qu'on va te faire. L'école publique pour 95% de la population, au bas mot, est une évidence aussi évidente que la rondeur de la Terre.

Dans ce cas je ne vois pas vraiment nôtre désaccord. Je n'ai rien écris d'autre que la réussite d'un parti est étroitement lié à la popularité des idées qu'il prône. Sur beaucoup de sujets, les médias ont une influence énorme, il est vrai. Mais pour le coup, il n'est pas besoin de médias pour que le quidam admette le dogme socialiste (sans même avoir à le nommer). Enfin, l'étatisme pour être précis. Les gens sont nés dans l'étatisme, ont été éduqués par des étatistes et pour la plupart ne l'ont jamais entendu être remis en cause. Il est pour la majorité des gens une certitude aussi solide que la gravité.

Je l'ai dis plus haut, le socialisme n'est pas un courant de pensée. Soyons sérieux un instant : pense-tu vraiment que le succès d'un parti n'a aucun espèce de rapport avec les idées qu'il soutient ?

Ça ne change absolument rien à ce que j'écris.

Le citoyen lambda n'a pas besoin d'être idéologue ou d'avoir une pensée structurée pour que tel courant de pensée ai ses faveurs à un instant T. Courant de pensée qui vont alors être incarnés par les politiciens cherchant à gagner des voix. La socialisme aujourd'hui n'est pas ce que j’appellerais un courant de pensée populaire, ça va bien plus loin. Le socialisme est aujourd'hui profondément ancré dans les habitudes, et il n'est remis en question que par quelques marginaux.

Evidemment pas. Voilà.